Decouvertes - 5
Vous vous souvenez d'Odile, jeune oir blanche qui entre à l'internat et dont les trois compagnes de chambre sont de grandes adeptes des plaisirs saphiques. Si tel n'est pas le cas, relisez les quatre premiers chapitres, comme le dirais si justement Misa.
J'ajoute que ce récit et purement imaginaire et que toute ressemblance avec des personnages existants serait totalement fortuite
Dans la voiture sa mère dit à Odette :
- Elle a l'air très bien cette camarade, réservée, correctement vêtue, très bon genre ! Comment sont les autres filles de ta chambre ?
- Oh ! Super, mais c'est Ingrid que je préfère, elle est très bonne élève et m'aide beaucoup, avec elles, j'apprends plein de choses qui me seront utiles pour mes examens.
- J'en suis bien contente, il faudra que tu l'invites aussi pour son anniversaire.
- Oh ! Oui, merci maman, ce sera super.
- Comment font-elles pour se déshabiller, comme toi, elles ont une cloche ?
- Non mais elles se mettent sous les draps, elles sont très pudiques aussi.
Odette n'avait jamais dit autant de mensonges à ses parents, mais elle les regardait d'un il neuf, pensant, en elle-même : ce qu'ils peuvent être cons avec leur pudibonderie, je me demande comment ils font l'amour ? Sûrement dans le noir sans même se mettre nus et priant Dieu de les pardonner pour ce péché de luxure.
Odette avait hâte que le week-end se passe pour retrouver ses trois amies.
Le samedi, elle est allée faire différentes emplettes, en particulier des fournitures scolaires, au rayon papeterie, elle a vu un très joli cahier muni d'un fermoir avec une petite clé, cela lui a donné l'idée de l'acheter afin de tenir un journal des évènements de sa vie.
De retour le dimanche soir, elles se sautèrent mutuellement au cou. Vous vous êtes bien amusées demandait l'une ; j'ai vu mon petit copain et nous avons baisé comme des fous mes parents étant absents expliquait l'autre tandis que la dernière disait s'être masturbée avec délices en pensant aux cochonneries qu'elles allaient continuer à faire.
Odette était très heureuse de les retrouver toutes les trois, mais particulièrement Ingrid pour laquelle elle avait un petit faible, aimant particulièrement la blondeur et l'odeur de sa toison ; Ingrid le lui rendait bien.
Les jours continuèrent à s'écouler ponctués par les inévitables passages aux toilettes pendant certains cours et surtout le soir par les "leçons" que ces amies lui donnaient, d'autant plus intéressantes qu'elles ne faisaient pas partie du programme !
Elle faisait des progrès rapides pour la plus grande joie de toutes et particulièrement d'Ingrid.
Cette dernière lui dit d'ailleurs :
- Ce soir Odette, nous allons passer à un nouvel exercice. Je t'ai montré ce que c'était de se faire sucer par une fille et de la sucer, maintenant nous allons faire la même chose, mais à trois.
- Comment peut-il se faire ?
- Tu vas voir c'est très simple. Je vais commencer par te caresser et petit à petit, j'irai entre tes cuisses pour trouver ton minou, toi, tu es sur le dos, Anne ou Sophie vient s'agenouiller au-dessus de ta tête, caresse tes seins et petit à petit, elle descend sa toison vers ta bouche pour que tu puisses la sucer.
- Cela semble compliqué.
- Pas du tout, à toi de choisir qui l'une des deux aura le privilège de ton abricot, l'autre viendra derrière moi et introduira un doigt dans mon sexe pour bien me faire mouiller.
Les consignes étant donner, il ne restait plus qu'à se mettre en position et à choisir laquelle viendrait se faire lécher.
- Anne pour commencer, dit Odette.
Odette et Ingrid s'allongèrent, cette dernière, déposant un long baiser plein de fougue sur la bouche d'Odette qui le lui rendit avec passion. Elles étaient enlacées, mais Ingrid a dégagé une main pour parcourir en l'effleurant le corps d'Odette en s'attardant sur les seins, allant d'une pointe à l'autre, lesquelles durcissaient sous la pression de doigts. Tout le corps d'Odette était parcouru de frissons surtout quand la main arriva à la pointe du compas de ses jambes et commença à peigner sa toison.
À ce moment-là, elle s'est allongée sur le dos tandis que la bouche d'Ingrid, abandonnant sa bouche descendit aspirer les lèvres de son sexe pour introduire sa langue dans cette fente dont émanait l'odeur suave de la mouille qui commençait à suinter.
Profitant de la position des deux amantes, Anne vint entourer de ses genoux la tête d'Odette et tout en lui malmenant la pointe des seins elle fit descendre sa jolie chatte vers la bouche d'Odette d'où pointait une langue avide de goûter le jus dont des gouttes commençait à sourdre.
Relevant les fesses Ingrid dit à Sophie :
- Viens derrière moi et enfonce bien ta langue dans ma fente pour l'éponger et ensuite va visiter ma petite rosace.
- Tu penses si j'en ai envie ! Je suis lasse de me masturber en vous regardant toutes les trois.
C'est ainsi que l'une après l'autre, elles furent secouées par un violent orgasme qui les laissa pantelantes et décidèrent qu'il était temps d'aller se coucher comme des petites filles sages, mais pas tellement, chacune sachant, qu'avant de s'endormir, elle se caresserait en revivant les moments délicieux qu'elles venaient de vivre.
Les jours passèrent ainsi, Odette multipliant les "travaux pratiques" avec l'une ou l'autre ou en groupe au gré de ses désirs. Elle faisait des progrès rapides et ses camarades s'accordèrent pour lui dire qu'elle était digne de faire partie du club des salopes vicieuses. Ce dont elle tira beaucoup de fierté.
Le week-end de sortie approchant, elle demanda à Ingrid comment il allait se dérouler ?
- C'est une surprise mais je suis sûre qu'elle te comblera de joie et sûrement de nouveautés.
Tout cela était bien mystérieux elle prit son mal en patience.
Enfin le jour J est arrivé. Enfin Odette allait pouvoir passer tout un week-end, 3 nuits et 2 jours, avec des jeunes de son âge, bien différents de ceux que ses parents l'obligeaient à fréquenter pour préparer la retraite annuelle imposée !
C'est Fréderik le frère d'Ingrid qui est venu les chercher, ayant son permis depuis peu.
Ils arrivèrent à la maison ; une maison ultramoderne dans sa conception, pleine de grandes baies donnant sur un jardin éclairé avec une piscine à la fois intérieure et extérieure.
Comme les soirées étaient encore douces, il avait été décidé de faire un barbe Q, à l'extérieur au bord de la piscine.
Une bonne dizaine de jeunes se trouvaient là, garçons et filles dans les mêmes âges. Mais Odette n'avait pas encore vu les parents d'Ingrid et Frédérik qu'elle souhaitait saluer et remercier.
- Ingrid tes parents ne sont pas là ? Je ne leur pas encore présenté mes civilités.
- Non, Odette, ils sont partis chez des amis afin de nous laisser la maison pour nous seuls.
- C'est bien embêtant, car je suis certaine que ma mère va téléphoner pour prendre des nouvelles !
- Ne t'inquiètes pas, on gérera et ils n'y verront que du feu. !
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- Que Dieu t'entende !
Sur ces bonnes paroles, elles partirent toutes dans leur chambre pour mettre leur maillot de bain afin de passer agréablement la fin d'après-midi.
Ils redescendirent tous en tenue de natation. Odette qui n'avait qu'un maillot une pièce sans attrait, se sentait perdue au milieu de ces bikinis minimalistes et des garçons en boxer mettant bien en valeur les attributs qu'ils comptaient bien dévoiler à celles, ou ceux qui en feraient la demande.
C'est à ce moment-là que le téléphone a sonné. Sûrement, les parents d'Odette.
- Pas de panique ! Frédérik va aller répondre, il imite merveilleusement la voix de Papa !!!!
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- Mes hommages MADAME, Odette est une fille charmante, pleine de bonne éducation, mon épouse et moi-même vous félicitons.
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- Aucun problème, elles travaillent les textes qui seront lus à la Messe de dimanche.
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- Non mon épouse n'est pas là ! Elle est allée voir Monsieur le Curé.
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- Je n'y manquerai pas, Chère Madame, mes respects à Monsieur votre époux.
L'ensemble des jeunes présents, qui avaient écouté, religieusement, cet échange applaudirent de concert.
Odette était rouge comme une pivoine.
Comme la soirée commençait à être bien entamée, tous les participants se mirent à préparer le barbe-Q au bord de la piscine. C'était une piscine magnifique, très moderne d'architecture.
Outre la vingtaine d'invités pour la soirée, Ingrid avait convié deux amies à passer tout le week-end. Arielle et Nathalie, une amie canadienne de passage en France. Cela faisait donc trois filles et un garçon qui constituaient le noyau dur.
Odette dit à Ingrid :
- Je vois que vous êtes toutes en bikini, j'ai l'air d'une cruche avec mon maillot une pièce, pourrais-tu m'en prêter un ?
- Sans problème, viens avec moi dans ma chambre, mais je peux te dire qu'il ne te servira pas très longtemps
Mais je ne t'en dis pas plus. Ah ! Si au fait, Frédérik m'a dit qu'il te trouvait très mignonne !!!
Odette rougit jusqu'à la racine des cheveux d'autant plus qu'elle-même trouvait le frère d'Ingrid "craquant" avec ses yeux verts et ses cheveux blonds.
Redescendues rejoindre les autres après avoir trouvé un maillot plus seyant pour Odette, Ingrid s'empara du micro pour annoncer à tous que l'heure du bain était arrivée pour pouvoir dîner ensuite.
- Bien évidemment, vous savez toutes et tous que cette eau ne supporte pas les tissus, synthétiques ou non, et qu'il est nécessaire, et même impératif, de laisser tomber le maillot.
Cette annonce a déclenché un grand éclat de rire suivi d'une, fameuse bataille de slips, boxers et soutiens gorges.
En un temps record tous les présents étaient nus et montraient à tout un chacun, la beauté de leur anatomie la plus intime.
Ils sautèrent dans l'eau dans un joyeux brouhaha et s'ébattirent pendant un moment comme un banc de dauphins, ivres de joie. Les filles glissaient le long des garçons telles des sirènes aguicheuses. Ces derniers, avec leurs étendards bien raides formaient des chicanes qu'il fallait contourner, à la rigueur en les frôlant, mais sans plus. Tous riaient de bon cur, mais Odette se sentait un peu perdue dans cette ambiance. Les seules personnes qu'elle connaissait un peu étaient Ingrid, fort occupée à embrasser un grand brun très séduisant ; Axelle qui, manifestement filtrait avec une autre fille aux cheveux très courts, coupés à la garçonne, mais qui avait d'adorables petits seins. Elle se rapprocha de Nathalie, de plus elle la trouvait très jolie avec cette magnifique toison noire, coupée en triangle parfait, mais dont elle avait gardé une longueur suffisante pour créer un effet de beau coussinet propice à y enfouir sa tête. Sans doute, la mode québécoise.
Après ces joutes aquatiques tout le monde fut heureux de rejoindre le buffet et le barbe-Q qui débordaient de victuailles, toutes plus succulentes les une que les autres. Des bougies et des lampions avaient remplacé la lumière du jour et créaient une atmosphère chaleureuse. Au centre de la table trônait une immense coupe remplie d'un punch sublime, mais sûrement traître.
Bref l'ambiance était extraordinaire et Odette était tout émerveillée et bien loin des "goûters" guindés organisés par sa mère et où les présences masculines se résumaient à quelques premiers de classe boutonneux.
Devant le buffet en buvant un verre de ce délicieux rhum ; Nathalie a demandé à Odette :
- Ingrid m'a dit que tu avais appris beaucoup de choses depuis que vous vous connaissez avec Anne et Sophie ?
- C'est exact et grâce à elle, j'ai découvert des choses totalement inconnues pour moi.
- Je suis certaine que ce soir, tu vas en découvrir d'autres de bien agréables et je t'y aiderai.
Odette la trouva assez énigmatique, mais décida de laisser les choses venir comme elles se présenteraient.
Le dîner étant fini, la sono a pris le relais et les couples se sont formés. En se déhanchant Ingrid frottait son pubis contre la verge, bien raide, d'un garçon qu'elle ne connaissait pas. Nathalie était la cavalière de Frédérik et faisait de même tandis qu'il lui tenait ses jolies fesses y insinuait les doigts dans une petite toison à la recherche de ce qui allait lui permettre de faire une feuille de rose. Sans doute émoustillée par cette caresse, Nathalie lui prit la queue, dans un lent mouvement de va-et-vient, permettant de voir de temps à autre son gland turgescent.
Odette n'était pas en reste puisque Sophie venait de la rejoindre près du buffet, où la coupe de punch venait d'être renouvelée.
Sophie se passait, sans façon un doigt dans la fente et fit à Odette une proposition que cette dernière accepta immédiatement.
- Je te caresse, dit Sophie, tu fais de même et ensuite nous allons goûter nos cyprines, au calme dans un 69 d'enfer !!!!
Marché conclu.
Mais Odette avait quand même à l'idée de se rapprocher du couple "d'enfer" que formaient Frédérik et Nathalie.
Cette dernière, tout en dansant en masturbant Frédérik a commencé à s'accroupir sur ses talons afin de prendre en bouche la verge tendue comme un arc. Sa main, elle, allait introduire son majeur dans sa fente, coulante et dans une synchronisation parfaite son doigt et sa bouche se mirent en mouvement.
Frédérik était haletant et lorsqu'il dit :
- Je vais partir !
Nathalie accéléra le mouvement de sa bouche. Dès qu'elle fut pleine du sperme abondant, elle mit son majeur dans sa bouche afin de mélanger les deux saveurs pour savourer le breuvage tel un nologue dégustant un grand cru.
Odette avait regardé la scène avec fascination, car d'une part, elle n'avait jamais vu autant de sexes d'hommes et que d'autre part, elle venait d'assister pour la première fois à une fellation exécutée avec autant de maestria.
Elle sentait sa liqueur couler le long de ses cuisses d'autant plus que Sophie pressait avec douceur et efficacité son bouton d'amour.
Une partie de la piscine se trouvait à l'intérieur de la maison, et la fraîcheur de la nuit arrivant tout le monde barbotait à l'intérieur. Certains enlacés dans l'eau, d'autres sur les bords et tout aussi enlacés, des filles ensembles, des garçons avec une ou des compagnes d'un soir. Bref, une orgie infernale. On pouvait voir les filaments de sperme flotter entre deux eaux. Les filles et les garçons encore seuls se masturbaient avec délectation en regardant les autres, la sono était remplacée par les cris de jouissance des filles, répercutés au centuple dans cet espace fermé. Vers quatre ou cinq heures certains rentrèrent chez eux les autres allant continuer leurs ébats dans les chambres.
Ingrid, son frère Frédérik, Nathalie, Axelle, un autre garçon Mathias, Sophie et bien sur Odette gagnèrent une chambre immense avec un lit xxxl et une cheminée dans laquelle brûlait un feu de bois.
Nathalie était ravie disant que cela évoquait pour elle le confort des maisons québécoises où en cette saison le vent, froid, d'automne soufflant, il faisait bon de trouver le confort d'un lit et d'un feu pour y faire l'amour tout à loisir.
Les garçons ayant repris de la vigueur les pieux étaient tendus tels des étendards. Odette regardait avec concupiscence ces choses si nouvelles pour elle.
Ingrid et Axelle se mignotaient gentiment, Sophie se faisait faire une fleur par Frédérik, Mathias se masturbait tranquillement et a proposé à Odette de venir l'aider. Ce qu'elle a accepté en se demandant si elle saurait y faire ? Nathalie lui a dit :
- Vas-y, je vais venir t'aider. Quant à vous les garçons, ne videz pas trop vos couilles, car je souhaite que vous veniez l'un après l'autre emplir ma grotte à plaisir, afin que je puisse faire goûter à Odette le goût inimitable du sperme, parfumé à la cyprine parfumée au sirop d'érable !
Chacun sait qu'en fonction de la nourriture, la cyprine change de saveur.
Tout le monde était d'accord, pensant en son for intérieur que ces canadiennes québécoises étaient de parfaites vicieuses franchement salopes !
Odette s'est avancée pour prendre en main, la bite bien tendue de Frédérik, il s'est allongé sur le lit ; pour elle c'était une première, elle prenait pour la première fois, un zob en main, la sensation de cette saucisse dure était émouvante. Elle a commencé à faire aller ses doigts sur la hampe. Frédérik pensait que pour une novice, elle se débrouillait bien.
Pendant ce temps Nathalie est allée se placer derrière elle pour la caresser du bas du dos à sa fente en passant par la petite rosette qu'elle a caressée doucement de son index à l'ongle coupé très court.
Odette haletait de bonheur, quand ce doigt allait-il s'enfoncer pour lui faire découvrir d'autres bonheurs ?
Frédérik sentant sa sève arriver l'a dit à Nathalie qui venant s'allonger sur le dos lui dit :
- Frédérik, viens me remplir de ton foutre, ensuite Mathias fera de même afin que ma grotte soit pleine à déborder !
Ainsi fut fait et elle a couché Odette pour venir s'accroupir sur sa bouche afin qu'elle puisse venir s'abreuver du nectar dont elle était dégoulinante.
Ingrid dit à ton frère :
- Maintenant qu'il te reste encore un peu de vigueurs, il faut que grâce à toi, Odette devienne vraiment femme.
Tous approuvèrent sans réserve, Odette aussi, mais avec un peu d'appréhension.
Allongée, jambes pliées, elle a largement écarté le compas de ses cuisses, Ingrid écartant les lèvres de son joli sexe et Nathalie guidant le gland de Frédérik vers cette entrée tant convoitée.
Ce dernier s'est enfoncé doucement jusqu'à sentir la petite résistance de l'hymen, une légère douleur vite escamotée par le plaisir de se sentir remplie par ce membre viril et d'être entrée dans "la cour des grandes".
Ils avaient tous eus de nombreux orgasmes, les garçons étaient totalement vidés et les vagins comblés de bonheur. Tous s'endormirent enlacés ensemble.
Quand ils se sont réveillés, en début d'aprèsmidi, Odette a pu voir que les garçons avaient des "matins triomphants"; q'Ingrid doitait Nathalie tandis qu'Axelle faisait pénétrer son majeur dans les fesse de cette dernière cherchant le contact avec le doigt d'Ingrid à travers la mince paroie qui les séparait. Nathalie se mordait les lèvres pour ne pas hurler son plaisir.
Après deux ou trois orgasmes simultanés Nathalie a vu qu'Odette était réveillée, il était grand temps de parfaire son éducation ! Voyant les deux vits dressés comme des mats elle a pensé que c'était criminel de ne pas leur donner du bonheur et qu'Odette devait se dévouer sans tarder.
- Mathias, Frédérik à ouvert la voie cette nuit à toi de parfaire le travail en la ramonant encore !
- Mais l'engin est fin prêt et les citernes pleines
- Je vais la positionner sur toi tu pourras entrer bien à fond et Frédérik tu viendras à coté d'elle paur te faire sucer, ainsi elle sera pleine de sperme en haut et en bas, le jus de couilles est un excellent breuvage pour remplacer le jus de fruit du petit déjeuner !
Elle a fait mettre Nathalie en position pour subir le "suplice du pal", mais suplice oh ! combien divin.
Décidément cette Nathalie était une vicieuse comme on en fait peu !!!
Odette caracolait avec l'engin de Mathias qui s'enfoncait de plus en plus à chaque mouvement de la "cavalière", elle aurait aimer hurler la senstion sublime mais sa bouche était pleine de l'organe de Fédérik qu'elle sucait au rytme de sa chavauchée. Les deux garçons déchargèrent presque simultanément. Du sperme coulait à la commissure de ses lèvres tandis que celui de Mathias coulait de ses lèvres intimes entrainé par la mouille abondante que son orgasme avait produit.
Le week-end s'est terminé par une orgie nautique pendant laquelle Nathalie et Axelle s'étaient emparées chacune qu'un sein d'Odette tandis que les garçons lui faient connaître la double pénétration et qu'ingrid tout en se doigtant et qu'en grande pratiquante de l'apnée , elle introduisait le bout de sa langue dans le petit illet de Mathias.
De retour à l'internat les filles reprirent leurs occupations habituelles de vicelardes dans le calme de leur chambre, toujours avernties du passage d'une surveillante selon un code digne d'un établissement pénitacière.
Mais chaque jour Odette prenait un moment pour confier, de son écriture élégante, les leçons un peu particulières qu'elle avait eu depuis le début de l'année. En particulier et par le menue ce qui s'était passé durant le week-end chez Ingrid; sachant que pendant les vacances de la Toutssaint qui étaient proches, la lecture d ce précieux cahier lui permettrait des masturbations intenses !!!
Ses parents la trouvèrent très changée, parlant peu d'un ton cassant voir méprisant.
Un jour elle est partie faire des courses avec une amie à qui elle a raconté, avec force détails comment s'était passé sa "première fois" lors fu fameux week-end. Son amie était subjuguée tout autant qu'éffarée. A son retour à la maison elle a trouvé ses parents dans le salon, aussi blêmes l'un que l'autre et l'air particuliairement fermé et consterné.
- Que se passe-t-il ? Vous avez un drôle d'air !
- A toi de nous le dire. Lui dit sa mère en brandissant le fameux journal.
- Comment vous avez osé foullez mes affaires et lire ce journal qui était fermé à clef !
- C'est bien pour cela que nous l'avons ouvert. Ma pauvre fille comment as-tu pu inventer des horreurs pareil ? Ton père et mois n'imaginions même pas que cela pouvait exister !!!
- C'est bien pourquoi vous êtes si "coincés". Vous devez faire l'amour dans le noir en demandant à Dieu de vous pardonner de céder aux besoins physiologiques. Moi au moins, car rien n'est inventé, je sais ce que veut dire "prendre son pied" et en suis très heureuse !
- Tu es une fille perdue, nous te changeons immédiatement d'institution.
- Faite ce que vous voulez mais dans quelque mois je serai majeur e je me casse, vous me faîtes gerber !!!
Elle a tourné les talons. A dix huit ans et un jour elle a quitté son internat, vivant chez l'une ou l'un et l'autre en fonction de ses amours, faisant des petits boulots pour ses petits besoins personnel. Après son bac elle est parti faire un tour d'Europe, au Danemark elle a rencontré un vicking blond aux yeux bleus qui faisait des études de français dont elle a complété l'étude de la langue sur l'oreiller, mariés ils sont rentrer vivre en France.
*
* * *
Vingt cinq ans plus tard
Odette entre dans sa pharmacie habituelle , à ses cotés une jeune fille de quinze ou seize ans blonde aux grands yeux avec de superbe jambes bronzées et fuselées. Elles connaissent bien la pharmacienne.
- Alors Ingrid donne à Delphine ton ordonnances, c'est toujours important la première ordonnance de pilulle, n'est-ce pas Delphine ?
- Bien sur Odette, vous l avez expliqué qu'l faut la prendre régulièrement.
- Elle sait tout ça, mais Ingrid tu n'a besinde rien d'autre ?
- Si tu veux parler des préservatifs, Frédérik m'a dit qu'i m'en dnnerai.
- Si ton frère te l'a dit c'est parfait, il en a une belle collection tu auras le choix !
En ressortant elle dit Ingrid
- Dans deux ou trois ans tu expliqueras à Nathalie , cest important qu'une grande sur aide la plus jeune elles sont plus complices
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