Léa 1

Le lendemain de mon aventure avec Sonia, je me rendis au cinéma, qui se trouvait dans une petite ville, juste à côté du Camping du Soleil où je passais mes vacances. Arrivé au cinéman, je fis la queue, puis me présentai au guichet pour acheter ma place. La guichetière était magnfiique, elle avait un peu près le même âge que moi, elle était grande (autant que moi), blonde, des yeux verts clairs qu'encadrait un beau visage, et un corps superbe, agrémenté d'une belle poitrine. Je lui demandai un ticket pour le film. Elle me regarda avec grand intérêt, puis me demanda :

"T'es résident au Camping du Soleil ?"

"Oui, répondis je, pourquoi ?"

"Parce que c'est demi tarif pour les résidents du Camping. Est ce que t'es accompagné ?"

"Non, je suis seul."

"Ok, c'est bon à savoir..."

Je ne compris pas pourquoi elle me dit cela, mais je ne relevai pas. Elle prit mon ticket, et avant de me le donner, écrivit quelque chose au dos, sans que cela ne m'interpelle. Puis elle me tendit avec un sourire éloquent, comme si elle voulait me dire quelque chose que je ne compris pas. Après avoir pris le ticket, je la remerciai, me dirigeai vers la salle, montrai le ticket au vigile à l'entrée, et m'installai devant le film. Ce ne fut que lorsque le film fut terminé, que je sortis de la salle, et que par hasard, je regardai au dos du ticket que je compris ce qui m'avait échappé : la belle guichetière avait écrit son numéro de téléphonne au dos, ainsi que son prénom, Léa !

En proie à une brusque excitation, je pris mon portable et appelait imméditament la belle blonde. Elle me répondit presque imméditament

"Allo ? Dit elle."

"Salut Léa, c'est le mec de tout à l'heure, au guichet..."

"Ah, c'est toi beau gosse ! Ca fait un moment que j'attends que t'appelles, t'es du genre lent toi !"

"Désolé, dis je, j'avais pas vu ton numéro. Tu veux qu'on se voie ?"

"Oui, pourquoi pas chez moi ? Je suis moi aussi au Camping du Soleil pour les vacances, t'as qu'à m'y rejoindre ! Tu t'appelles comment ?"

Je lui dis mon nom, puis lui demandai à quelle heure elle souhaitait que je la retrouve.

Elle me fixa rendez vous à 15h, puis me donna son adresse.

Je rentrai donc chez moi, et me préparai un peu fébrile. A 15h, je me rendis au bungalow de Léa et toquai. Elle m'ouvrit. Elle était vêtue d'un t-shirt orange qui moulait sa généreuse poitrine, et d'un jean serré, qui mettait parfaitement en valeur ses belles fesses. Elle me sourit et me dit :

"Vas y entre !"

N'ayant pas très envie de rester dehors, je m'exécutai. Elle me proposa un café et j'acceptai. Puis nous nous installâmes à sa table, et discutâmes de choses et d'autres. Nous parlions ainsi depuis une bonne demi heure, lorsque Léa me dit :

"T'as une copine ?"

Question qui eut le don de me donner chaud...

"Nos répondis je, je suis célibatire... Et toi ? T'as un copain ?"

"Non... Dit elle".

Une tension sexuelle s'installa imméditament entre nous, et grandit jusqu'à en devenir presque palbable. Nous nous regardions dans les yeux, sentant chez l'un comme chez l'autre le désir monter, monter, monter... Puis ce fut l'explosion : nous nous jetâmes l'un sur l'autre avec sauvagerie, nous embrassant passionément. Avec ses bras, elle m'enserra le cou et m'attira contre elle, tandis que moi je l'attrapai par les fesses et l'attira contre moi également. Ainsi collés l'un à l'autre, l'excitation montait en nous, rendant notre baiser délicieusement passionné.

Puis, nous nous séprâmes tous les deux, le soufle court, les joues rougies par le désir. Léa m'attrapa par le T-shirt, et m'entraîna vers sa chambre. Là, elle me poussa sur le lit, et vint sur moi. Elle m'embrassa langoureusement, puis détacha ses cheveux, les laissant tomber en cascade autour d'elle. Après quoi, elle retira son t-shirt révélant un soutif rouge vif, et désordonnant sa belle chevelure dorée, lui donnant un air sauvage qui ne me laissa pas indiférent. Je la saisis par les hanches et la renversai. Je lui embrassai le cou, puis descendit sur son décolleté, avant de lui embrasser le bassin.
Après quoi, je remontai pour un deuxième passage sur son coprs, m'attardant sur ses seins, encore retenus par son soutif, que je massais vigoureusement. Ensuite, je lui retirai son jean, et entreprit de lui embrasser les jambes. Léa haletait et frémissait de plaisir, puis, visiblement lassée de se laisser faire, reprit les choses en main. Elle se redressa et me plaqua contre le matelas, me retira mon t-shirt et m'embrassa le cou, puis me lécha les pectoraux, avant de descendre sur mon bassin. Après quoi, elle me retira mon pantalon, saisit mon caleçon avec les dents et le retira. Puis, elle avala goulument mon sexe, et entreprit une délicieuse fellation. Ses cheveux tombant en cascade autour de son visage, je ne la voyais pas me sucer, je voulus me redresser pour les écarter, mais lorsqu'elle entreprit ses vas et viens bucaux, je fus soudainement paralysé, tant sa fellation était exquise. Elle était vraiment très douée pour les fellations probablement la meilleure fille dans ce domaine que je connaissais. Le corps agité de spasme, je ne tardai pas à pousser des râles de plaisir, tandis que le plaisir montait et montait encore. Au bout de quelques minutes de ce rude traitement, je criai grâce, et la suppliai de s'arrêter, sans quoi je jouirais dans sa bouche.

Souriante, elle s'interrompit, retira sa culotte, dégraffa son soutien gorge, me révelant ses magnfiiques seins, puis s'enfourcha sur moi en andromaque et entreprit des vas et viens de plus en plus rapides. Les mains sur mes épaules pour me maintenir immobile, elle se déanchait sur moi en poussant de petits gémissements. Le visage déformé par le plaisir, ses seins lourds se balançant au rythme de ses mouvements lancinants, elle m'offrait une vision horriblement sexy. Le plaisir montait en moi, et je commençai à pousser des râles de plaisir, ce qui la fit sourire de satisfaction. Elle accéléra encore le rythme de ses attaques, jusqu'à me mettre au bord de la jouissance, puis ralentit le tempo, afin de me frustrer.
Après quoi, elle réaccéléra le rythme me faisant encore crier de plaisir, avant de ralentir à nouveau le rythme. Elle joua ainsi avec moi, s'amusant à tantôt me faire défaillir de plaisir, tantôt à me faire languir au point de me rendre fou. Elle me fit subir ce traitement pendant un gros quart d'heure, durant ce quart d'heure, je tentait à plusieurs reprises de la renverser pour reprendre le commandement des opérations, mais à chaque fois elle m'en empêcha.

Cependant, je finis par réussir à la renverser et à la plaquer contre le matelas. Je lui attrapai ensuite les mains, et l'ayant ansi faite prisonière, j'entrepris de la baiser sauvagement en missionaire. Je la pilonnais à un rythme soutenu, tandis qu'elle gémissait de plus en plus fort, et me criait de continuer et d'aller plus vite. Stimulé par ses encouragements, j'accélérai encore le rythme, ce qui la fit crier encore plus fort. Ivre de plaisir, elle me griffa le dos avec ses ongles, ce qui me stimula encore plus. Puis en réponse à ses griffures, je lui mordillai le menton et le cou. Bref notre partie de jambe en l'air était très sauvage, jusqu'à ce que je décidai de calmer le jeu en lui prenant les mains et les plaquant contre le matelas afin de la tenir à ma merci. Je l'embrassai langoureusement ensuite, afin de calmer un peu les choses, avant de reprendre mes vas et viens, mais plus lentement. Je lui malaxai ensuite ses gros seins, avant de les lécher. Puis, je repris mes coups de reins, à un rythme plus rapide, et Léa reprit ses gémissements. Je la pris ensuite en enclume : je lui mis ses jambes sur mes épaules, et la baisai ainsi, la regardant droit dans les yeux, tandis qu'elle se tordait de plaisir, le visage décomposé par la jouissance. Elle eut un orgasme qui la fit pousser un grand "ouiii !".

Elle avait eu un orgasme, mais pas moi, je pris alors mon sexe, et l'insérai entre ses deux seins, et entamai ainsi une branlette espagnole. Je fis ainsi des vas et viens dans sa généreuse poitrine pendant 5 bonnes minutes, avant de changer de position.


Je la retournai, elle se mit à 4 pattes, et je la pris en levrette. Aggripé à ces hanches, je faisais des vas et viens d'abord lent, puis j'accélérai quelque peu le rythme. Aussitôt Léa fit des grimaces de plaisir, et son souffle, déjà court devint haletant. Stimulé par tout cela, j'accélérai franchement, atteignant un rythme très rapide. Le visage de Léa se décomposa sous le plaisir que je lui infligeais, et ces halètements de plaisir devinrent des cris, ponctués de petits gémissements quand je lui claquais les fesses. Léa se redessa un peu, se mettant à genoux, et je la baisai ainsi plus rapidement que jamais, lui massant les seins, et lui mordillant l'épaule. Je lui murmurai à l'oreille "tu aimes ça hein ?" tout en lui assénant de gros coups de reins. Elle ne me répondit pas avec des mots, mais les cris qu'elle poussa était explicite. Je la remis à quatre pattes, et reprit mes coups de reins, plus violemment que jamais. Cette fois ci elle cria à s'en perdre la voix des "ouiii ! Vas y continue ! C'est trop bon !" qui m'excitèrent au plus haut point. Le plaisir que je lui infligeais était si intense, que ses bras ne la soutenaient plus : Léa se mit donc en apuit sur la tête. Je continuais à la baiser ainsi pendant un quart d'heure, jusqu'à ce qu'elle reprit le dessus soudainement. Elle se redressa, et me renversa, et vint sur moi.

Souriante elle me dit :

"C'était excellent, maintenant tu vas voir de quel bois je me chauffe !"

"J'ai déjà vu tout à l'heure tu sais ! Dis je pour la narguer."

"Oh mais tout à l'heure je ne fais que m'échauffer, là je vais te faire atteindre le septième ciel !"

Joignant le geste à la parole, Léa entama des vas et viens, d'abord lentement puis progressivement elle augmenta la cadence. Elle me griffa le torse, puis vint vers moi et m'embrassa langoureusement. Après quoi, elle se redressa et accéléra encore le rythme de ces coup de rein, en me regardant bien droit dans les yeux. Le plaisir monta en moi, me faisant perdre la tête, je poussai des râles de plaisir, j'étais tout tremblant et des points lumineux dansaient devant mes yeux. Sous l'effort que je devais faire pour ne pas jouir, je grimaçais. Léa observait tout ça avec un air triomphant, et bien décidé à me rendre la monaie de ma pièce, elle me demanda :

"Tu aimes ça hein ?"

"Oh ouii, répondis je, j'adore continue !"

Elle sourit de satisfaction et accéléra encore. Elle s'escrimait sur moi, le souffle court, les joues en feu à cause du plaisir qu'elle se procurait. Cette fois, plus question de jouer avec moi en me frustrant, elle allait et venait à un rythme effréné avec pour but de me faire défaillir de plaisir. Inutile de dire que son but était atteint, j'étais dans un état plaisir indescriptible au bord de la jouissance. Je serrais les dents, aggripais les draps du lit pour tenter de me retenir, mais, implacable, Léa poursuivit ses assauts, encore et encore, jusqu'à ce que nous explosâmes de plaisir tous les deux.

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