Initiation De Ma Soumise

Première rencontre avec maître M. Ce qui importe c’est la confiance.
C’est un mardi soir, je devais me rendre à F. pour ma première rencontre avec mon maître. Nos seuls échanges dès lors n’ayant eu lieu que par mails interposés et diverses demandes de mon maître.
C’est remplie d’appréhension que je pris la voiture ainsi qu’une bouteille de bon bordeaux et me rendit au rendez vous.
J’avais choisi ma tenue le jour même, je ne savais pas à quoi m’attendre, le point de rendez vous étant 19h45 sur le parking de macdonald’s. Je choisi une tenue assez sobre, qui me représente bien, des bas, et une robe noire, fendue dans le dos pour le coté sexy. Des souliers noirs sobres.
Je ne portais pas de sous vêtements comme depuis que j’ai accepté de devenir la soumise de maître M. J’introduis dans mon anus, le rosebud que mon maître aime tant.
Sur la route, je m’imaginais comment allait se passer la soirée, je sentais les papillons logeant dans mon ventre dans les moments d’angoisse, s’agiter impatiemment.
Je sentais mon bas ventre frémir, mon sexe s’ouvrir et le désir grandir. L’heure de route pour toucher au but me parut interminable.
Sur la route, je préviens mon maître que j’aurais 15 minutes de retard, il ne me dit rien de plus. Lorsque j’arrive il m’attend.
Nous sortons de la voiture pour nous saluer. Il me demande de le suivre. Il est vêtu d’un costume bleu foncé, décrypte ma tenue et arbore un sourire conquit.
Je le suis au cœur de la ville, puis nous sortons et roulons un peu. Il met son clignotant je ne comprends pas où nous allons. Je vois que c’est un parking, nous nous garons. Les papillons s’envolent tous en même temps, j’entends mon cœur battre. Dès lors je me doute que nous ne sommes pas chez mon maître, je me demande bien où il m’emmène.
Une petite maison perchée sur la colline, un lieu prêté par un ami m’explique t il.
Il me fait passer devant et nous montons jusqu’à la maison, je me sens observée, j’aime ça.


Nous rentrons, mon maître me demande de lever la robe et de lui montrer ce que je porte, il me caresse, regarde si je porte le rosebud et laisse trainer ses doigts sur ma chatte, il ne semble pas déçu. Je suis trempée. Maître M. nous sert un verre de vin. Depuis que nous sommes rentrés j’entends la télévision à l’étage, je demande si il y a quelqu’un là haut il me répond que non. Je me sens rassurée.
Maitre M. me rappelle que j’ai eu 15 minutes de retard, je sais déjà où il veut en venir. Il me demande de mettre mes mains sur la table basse et de relever ma robe, jambes écartées. J’obéis. Il me mettra 15 fessées, une par minute de retard, je dois les compter à haute voie.
Il n’oubliera pas de relever après avoir vérifié, que les fessées me font mouiller, ce qui est vrai, cela m’excite vraiment.
Nous nous asseyons, buvons du vin, il me présente le contrat que je dois signer si je m’engage à devenir sa soumise. Je m’allume une cigarette et lit attentivement ce contrat. Je rajoute une close concernant les photographies, je le signe. Cela me paraît un peu utopique pour une femme libre comme moi mais je décide de jouer le jeu.
Maître M. m’invite à monter à l’étage, me demande de me déshabiller, il me rappelle qu’une punition est en sursit, deux pinces à linge viendront alors contraindre mes tétons. Je dois me mettre à quatre pattes sur le lit, j’obéis, je me cambre pour offrir ma croupe à mon maître. Il me caresse, entre un doigt dans ma chatte, deux ou plus, joue avec le rosebud, le sort, le ré insère. Je sens que ça l’excite, j’ai déjà remarqué la bosse sous son pantalon depuis que nous sommes entrés dans la maison. Cette bosse qui, dès que je l’ai vu, m’a donné envie d’y gouter sans retenue, mais je dois attendre les ordres du maitre.
Je suis à quatre pattes sur le lit, il est en train de se déshabiller, je sens mon entre jambe couler, les papillons s’essoufflent et se posent, le désir et l’envie s’élèvent.
Il ne tardera pas à me présenter son sexe déjà bien dur, je le suce avec gourmandise sans rien dire, il est beau, droit, dur et large.
Il a bon goût. Très vite je dois sucer profondément les mains derrière le dos, je prends un plaisir fou. Il me caresse, je m’allonge il enfonce sa bite dans ma bouche, me dit de tirer la langue et ne tarde pas à jouir dans ma bouche. C’est chaud, c’est bon.
Dans mon idée première de la soumission et suite aux lectures que j’en ai faite, la soumise doit mériter le sexe de son maître, cela est allé vite pour moi. La contrainte fait partie du jeu dominant/soumise, mais visiblement mon maître avait très envie de ma bouche et ce avant même que je me déshabille. C’est plutôt flatteur.
Mais il ne débande pas maître M.
Il me fait me remettre à quatre pattes, me touche, me fouette, insère un gode en moi puis bientôt sa bite raide de nouveau. Avec le rosebud en moi, les sensations sont décuplées, je ne sais plus si j’ai mal ou si je vais bien. C’est gênant au départ puis tellement bon. Il me pilonne avec force et attention, c’est bon. J’ai chaud, je crie, je ne sais plus ou est mon corps.
Il s’amusera ensuite avec ses godes, je ne vois rien, je lui offre ma croupe, il me doigte le cul en même temps. Je ne vois pas la taille qu’ils font, je les sens, bien là. Je les sens se gonfler en moi, me prendre avec vivacité. Il trouve comment me faire jouir, je ne tarde pas à mouiller complètement les draps. Ça lui plait, il continue. Il enlèvera les pinces à linge au bout de mes seins, je les avaient oubliés. Lorsqu’il les retire, c’est très douloureux, je me contorsionne pour évacuer la douleur, mes tétons sont meurtris mais mon maître est content.
Une alarme sur mon téléphone sonne depuis quelques temps, il propose de faire une pause. Nous descendons, buvons un verre et il m’annonce que le propriétaire de la maison va arriver pour se joindre à nous. Au début je crois à une blague, ce n’en est pas une, les papillons se réveillent, et décollent aussitôt, je suis tremblante, blême. Cela amuse mon maître.
Il me rassure, dit qu’il sera attentif à ne pas me brusquer, ne pas aller là où il est trop tôt pour aller.
Je n’ai pas le choix de toute façon, nous attendons notre hôte. Je ne pensais pas que mon maitre m’offrirait si vite, j’avais l’idée d’une connaissance mutuelle avant l’offrande, cela m’inquiète. Je pensais que le maître réservait sa soumise pour des moments uniques de partage. La connaissant parfaitement, enfin surtout son corps, il l’offre alors à d’autres hommes à qui il a dicté la conduite à suivre. Je ne suis pas déçue.
Un homme grand, métisse et plus âgé que mon maître arrive alors. Il paraît sympathique et tente de me mettre à l’aise. Je suis nue, mes bas m’ornent les jambes et j’ai enfilé un gilet car le froid gagnait mon corps après les chaudes sensations éprouvées là haut. Nous discutons de choses et d’autres, depuis quand je suis libertine, pourquoi un maître, etc...
Mon maître semble fier de me présenter à son ami, il lui signifie qu’il faudra changer les draps car j’en ai mis partout, cela plait au nouvel arrivant que nous nommerons Mada. Mon maître rappelle à Mada que je suis débutante et qu’il faut faire doucement avec moi, il acquiesce et semble de bonne confiance. Tout le monde paraît excité de nouveau, l’ambiance sent le sexe à plein nez.
Nous montons tous les trois à l’étage, mon maître me demande de me mettre à quatre pattes pour me présenter à notre hôte, je m’exécute et cambre du mieux que je peux ma croupe avantageuse. Maître M. remet de rosebud dans mon anus, il rentre parfaitement, j’aime à le sentir. Mon maître propose rapidement à Mada de profiter de sa soumise. Mada se déshabille et vient se poster devant moi. Il me présente rapidement sa bite encore vide de désir. Je le prends dans ma bouche et il durçit sous mes coups de langue, j’adore ça, cela m’excite. J’aime sentir gonfler une bite dans ma bouche, je prends du plaisir à cela. C’est un très beau sexe également, mon maître me gate.
Je m’applique à le sucer parce que j’aime ça, Mada me demande de le dire bien fort au maître « j’aime sucer ta bite ».
Je sens rapidement la queue de mon maître dans ma chatte de nouveau alors que je rentre celle de Mada au fond de ma gorge, c’est bon, quel plaisir.

Mada veut que j’aille toujours plus loin dans sa gorge, ça ne passera pas, j’ai un renvoie cela me dégoute un peu mais je fais l’air de rien et nous continuons. Mon maître demande de faire attention, je suis rassurée qu’il prenne ainsi soin de moi.
Bientôt Mada me pilonne et je suce mon maître.
Parfois je vois mon maître en train de me regarder et de se branler en voyant sa chienne sucer ou se faire pilonner par une belle queue, j’aime lui offrir ce plaisir. Moi je crie de plaisir, c’est tellement bon, je suis excitée et ils s’occupent si bien de moi.
Mada à son tour s’amuse sauvagement à me faire éjaculer partout, je n’en peux plus de plaisir et de tiraillement, ma chatte en gardera quelques séquelles. Mon maître le remarque et calme un peu le jeu.
Quand l’un me baise je suce l’autre et quand l’autre me baise je suce l’un. J’obéis, je suis leur objet de jouissance sans fin, comme ils disent, une belle chienne qui aime ça.
Mon maître veut tenter la double vaginale, je suis partante. Je m’empale sur mon maître, sa queue est sauvagement bonne. Mada tente de rentrer en moi mais leurs queues sont tellement grosses qu’il n’y parvient pas, on abandonne la double. Je la prendrais bien dans le cul mais je suis trop serrée pour cela, comme dit mon maître il faut y travailler avant pour lui permettre d’y rentrer.
Je suis allongée sur le dos quand mon maitre me gicle a nouveau dans la bouche, mada s’occupe de ma chatte. Je commence à sentir l’irritation gagner mon entre jambe mais le plaisir prend le dessus, cela s’entend...
Mada frotte son sexe sur ma chatte où il a étaler du lubrifiant, il goutera également mon jus, c’est bon. Je n’en peux plus, je sens mon corps qui me lâche...
Le maître l’a sans doute senti et il arrête là la séance.
Nous descendons ensembles, nus, nous buvons un verre, fumons, discutons de tout et de rien
Mon maître surveille sa montre et donnera le temps du départ. j’aurais aimé prendre une douche avant de prendre la route et après m’être fait prendre dans tous les sens mais je n’ose pas demander. Mon maître et moi même remontons et nous rhabillons.
Il est temps de sortir. Nous partons tous deux en direction des voitures, il me demande si je vais bien. Oui je vais bien.
Je porte toujours ma robe mais j’ai enfilé un leggings à la place des bas. Pour la première fois mon maître m’embrasse, je sens sa main parcourir mes fesses nues pour me dire aurevoir. Cela me donnerait presque envie de le sucer à nouveau là, sur le parking. En écrivant cette histoire, je suis trempée de plaisir, le fait de se remémorer cet instant m’excite et me fait attendre avec impatience le prochain rendez vous. (même si en ce moment même mon maître m’a interdit le plaisir pour une durée de 72 heures et que bien entendu je lui obéis)
Je pensais à une relation assez exclusive et unique avec mon maître, je ne pense pas que cela se passe ainsi avec maître M. Il possède différentes soumises ce qui ne nous met pas sur un pied d’égalité. Je ne sais pas si je parviendrais à m’offrir complètement à lui dans cette position. Je n’ai jamais été jalouse, c’est un sentiment que je ne comprends pas. Dans une relation D/s la confiance est au centre de l’échange. La multiplicité des partenaires je pense ôte un peu de cette confiance car si moi j’attends les rencontres avec impatience, lui trouve ailleurs d’autres possibilités de jouissance. De plus je ne sais pas combien de temps je me réserverais uniquement à lui ?
Je suis libertine depuis plusieurs années, je n’ai pas l’habitude de rendre des comptes à qui que se soit. J’aspire à des relations basées sur le respect, la sensibilité et le désir. Dire bonjour et être poli est important et souvent oublié. Être soumise implique des sacrifices mais jamais ceux là, je ne me laisserais jamais mal traité, là n’est pas le but recherché.
Mon maître me demande l’exclusivité, ou alors c’est lui qui décide qui je peux rencontrer. Là ce n’est plus une histoire de confiance mais d’appartenance. S’il n’est pas là et que je n’ai pas discuté avec la personne je ne sais pas si je pourrais baiser. Comment faire confiance à des mots derrière un écran si moi je n’ai pu juger la teneur et la valeur de ces mots ? Mon maître dirait de lui faire confiance... Oui bien sur, mais en suis je capable ? N’est ce pas là une de mes limites ?
Quel est le plaisir ou les plaisirs de mon maître si ce n’est être dominant ? Cumuler les soumises ? Aller toujours plus loin avec sa soumise ? Faire d’elle un corps troué, voué à être rempli de bites par tous les trous ? J’aimerais en savoir plus de ce coté là. Après avoir lu le livre de Marcella Iacub Oedipe reine, je me demande quel est le fil de la jouissance chez le dominant. Je me suis engagée, j’irai au bout de cet engagement.
Beaucoup de questions qui trouveront réponses au fil du temps et des rencontres. Le sado masochisme je le connais parfaitement, je sais ce qu’est une perversion, je sais ce qu’est le trait pervers dans la névrose, je me connais ou cherche à mieux me connaître. J’ai pris beaucoup de plaisir, je veux continuer, prouver que je peux être une soumise impliquée dans le plaisir de son maître mais aussi dans le sien. Il ne faut jamais s’oublier.

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