Bruno Et Virginie (2Ème Partie)
En rencontrant Bruno pour la seconde fois, je découvris son univers, sa vie, son chez-lui. Lhomme, de prime abord, ne semblait pas causant mais austère. Après être rentré chez lui, il me fit cependant masseoir dans son salon. Lhomme habitait un petit appartement T2 tout en haut dun immeuble de quatre ou cinq étages en plein centre dune ville dont je ne peux que taire le nom pour la commodité et la tranquillité de chacun.
Avant toute chose, je demandais à Bruno sil habitait déjà ici du temps de ma relation avec Virginie et si ma belle était venue ici chez lui à lépoque. Lhomme me dit quil y habitait bien avant davoir connu ma belle, quil y a vécu toute sa vie de célibataire et quun certain nombre de filles était passé par ici.
Je lui demandais alors sil avait connu beaucoup de filles et combien. Lhomme se refusa de me répondre avec un chiffre précis :
- Pas mal, oui ! acquiesça-t-il, mais je dois avouer que ta chérie était vraiment particulièrement chaude ! Elle est venue ici, effectivement. Je ne lai pas .
Bruno pouvait me mentir. Je ne pouvais le croire que sur parole. Ces propos corroboraient cependant ce que je savais déjà ou ce dont je me doutais à savoir la visite de Virginie chez lui. Ma belle, qui a toujours aimé les hommes, ne se gênait pas en effet pour rendre visite à ceux de ces derniers dont elle accordait de limportance. Au plus, elle se moquait des conventions sociales et des règles de bienséance : Quune femme en union libre avec un homme se rende seule au domicile dun autre homme ne la gênait guère. Elle se fichait du quen-dira-t-on. Mieux, elle était de celles qui, se sentant libres, passaient de la théorie à la pratique sans hésitation.
Dans le salon, je demandais à Bruno si cétait les mêmes meubles à lépoque et si Virginie sétait assise sur lun des fauteuils du salon. Je voulais tout savoir sur elle, sur lui. Je ne sais pas sil était la meilleure personne pour me répondre.
- Tu veux voir dautres photos de ta belle ? me questionna Bruno.
Spontanément, je ne savais quoi répondre, gêné sans doute par lassurance et louverture desprit de mon hôte. Bruno lui était à laise et voyait bien mon indisposition :
- Détends-toi, je ne vais pas te manger. Tiens, assis-toi là ! renchérit Bruno dune voix amicale.
Je masseyais dans lun des fauteuils du salon qui faisaient face au téléviseur. Bruno me proposa un verre. Sans savoir pourquoi, je sentais que jen avais vraiment besoin. La suite des événements allait dissiper mes doutes.
Bruno prit la télécommande de son téléviseur et sinstalla dans lautre fauteuil, situé près du bien.
- Tu es prêt ? me dit-il.
- Oui, répondis-je maladroitement.
De sa télécommande, lhomme alluma son téléviseur et soudain, sans plus attendre, je vis Virginie, debout, cuillère à la main à lécher langoureusement lustensile dune façon qui ne laissait aucun doute à son caractère suggestif :
- Bon sang, mais cest quoi ce truc ?? mexclamai-je en sursautant sur mon siège.
Bruno était encore content de leffet que cela faisait sur moi :
- Putain, mais ce nest pas possible ? Ce nest pas une photo ça ? Cest une vidéo ! ajoutais-je en oubliant ma réserve.
- Tout à fait ! répondit Bruno. Jen ai comme ça pour pratiquement chaque fille que jai rencontrée.
- Sérieux ? métonnai-je.
- Comme tu peux le voir, il y en a une au moins pour ta gonzesse. Tu veux voir la suite ?
Sans plus attendre, je répondis immédiatement Oui à Bruno. Lhomme réappuya sur le bouton lecture de sa télécommande. Lenregistrement curieusement était fait sans le son. Ma belle portait un body bleu transparent que je ne lui connaissais pas.
- Tu as enregistré ça quand ? Mais cest ici ? lui demandai-je.
Bruno venait de me scotcher. Je voulais encore tout savoir de cette nouvelle découverte : Quand ? Qui ? Quoi ? Où ? Bruno me dit de patienter et que je verrai bien la suite. Je repris alors mon calme apparent alors que je bouillonnais de lintérieur.
Bruno prit la tasse de café, la porta à ses lèvres et la posa sur la table basse près de lui. Ma belle sapprocha de Bruno et lembrassa. Cétait la première fois que je voyais ma chérie non pas embrasser un autre homme mais embrasser Bruno lui-même et qui ne se gênait pas pour lembrasser à pleine bouche en retour. A trop voir limage, je peinais à savoir qui des deux amants embrassa lautre en premier et qui embrassa le mieux ou le plus. A trop y croire, jai cru que ma belle était à linitiative de toute cette mascarade, et, de laveu même de Bruno, il en fut bien réellement ainsi.
Bruno fit un arrêt sur image :
- Tu veux voir la suite ? me demanda-t-il.
- Bien sûr que je veux voir la suite, bougre didiot, lui dis-je.
Bruno me passa alors la télécommande et aussitôt jappuyai sur lecture. Immédiatement, je vis ma belle sucer Bruno aussi bien quelle le faisait avec moi-même. Je demandai alors à Bruno si Virginie était au courant quelle était filmée :
- Ne parlons pas des sujets qui fâchent, veux-tu, rétorqua Bruno, me laissant encore dans le doute du consentement de ma chérie. Puis dajouter devant mon étonnement : « cest elle qui a demandé ».
En écoutant Bruno et en regardant les images, je découvris finalement que ma belle était bien plus exhibitionniste que je ne lavais alors pensé jusque-là.
En regardant la vidéo, je me surpris à dire à Bruno :
- Elle suce bien, tu ne trouves pas ?
Bruno me répondit du tac-au-tac par un « pour sûr, elle suce bien. Tu las bien éduquée ». Je pris la remarque de Bruno comme un compliment même si lhistoire de Virginie et moi est désormais terminé :
- Tu sais que tu es le deuxième homme de sa vie à qui elle a fait une fellation ? dis-je à Bruno.
Lhomme me regarda sérieusement :
- Tu es sûr de ça ? dit-il.
- Non ! rétorquai-je spontanément.
Bruno et moi regardions la suite de la vidéo. Ce qui va suivre va te plaire, me dit-il. Sitôt dit, je vis effectivement Virginie à quatre pattes sur le divan en train de se prendre des coups de bites.
- Ça te fait quoi de voir ça ? me demanda Nono.
- Ça mexcite lui répondis-je instantanément. Jai trop envie de me branler sur elle.
- Fais-le ! rétorqua Bruno.
Sans gêne, et tout en restant assis dans le fauteuil, je sortis alors ma queue pour me branler devant celle qui était mienne. Bruno à côté de moi en fit de même. Je regardais un instant sa queue pour voir sil en avait bien une plus grosse que la mienne bien que jeusse aussi sur lécran limage de son sexe qui pilonnait ma meuf.
Bien quil ny eût pas de son, je pouvais voir et imaginer ma chérie en train de jouir et je dois avouer franchement que cela ne me déplaisait.
- Le must, cest après ! me fit savoir Nono.
Virginie chevaucha Nono.
- Cest un classique, ça. Cest une position quon a fait tout le temps, elle et moi. Ce nest pas le must, rétorquai-je.
- Attends, tu vas voir après, reprit Bruno.
Virginie chevaucha Bruno et en le chevauchant, javais limpression que la queue de Bruno était bien plus grosse que la mienne. En le chevauchant, ma belle se cambrait comme pour se mettre enceinte mais je sais aujourdhui quelle ne fut jamais enceinte de lui. Leut-elle espéré seulement ?
Bruno attrapa ma belle par la taille. Il se pencha vers elle tout en la pénétrant toujours. Soudain, alors que je ne ly attendais pas, il la souleva et continua à la prendre debout comme jamais moi je nai pu le faire avant et encore aujourdhui.
- Putain ! mexclamais-je, la salope !
Lhomme désormais était debout et ma chérie se cramponnait à lui, entièrement dans le vide et uniquement perché sur sa queue. Virginie tenait toutefois Bruno par le cou. Ses jambes enserraient la taille de son étalon :
- Putain, tu assures grave ! lui dis-je. Tu devais être un sacré gaillard. Tu fais toujours cela ? lui demandai-je.
- Non, plus comme avant. Jessaie encore parfois. Cest hyper physique, tu sais, me dit-il.
- Oui, je me doute. Putain, comme tu la baises bien ! rajoutai-je.
Nono, sur limage, ne ménageait pas ses efforts et je pouvais voir sa bite, de profil, baiser ma dulciné que javais tant aimé et que lui aussi avait aimé. Son sexe disparaissait encore tout entier dans le con de ma chérie. Virginie semblait jouir à chaque coup de bite introduit en elle. Nono attrapait ma chérie tantôt par les hanches tantôt par les fesses. Ses coups de queues continuaient à la pilonner au plus profond delle-même. Devant lécran, je me branlais avec frénésie. Bruno à côté de moi se masturbait tranquillement. Soudain jai vu Virginie se mettre rapidement à genou devant lui comme soumise par la volonté la plus exquise. Ma belle le branlait tout en aspirant le gland dans sa bouche. Mon excitation était à son comble. Jai vu Bruno lui remplir la bouche et déverser ses jets de sperme sur la langue. Mon sexe vint jouir en même temps. Je comptais les jets de sperme de Bruno plutôt que de moccuper des miens. Lhomme continuait à jouir dans la bouche de ma chérie. Virginie était heureuse. Jai demandé ensuite à Bruno si ma belle avait tout avalé, nayant vu la suite des images, faute denregistrement plus long. Il me répondit que oui.
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