Fantasmes Candaulistes 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Cest comme une drogue
Je tiens quelques jours, et je replonge. Ce produit quil ma donné a vraiment révolutionné ma vie. Il mavait dit quau bout dun moment elle pourrait sen affranchir et que sa libido aurait été transformée. Je dois dire que son comportement a radicalement changé lorsquelle est sous lemprise de ce produit et quelle me laisse donner libre court à mes fantasmes.
Lui aussi en a profité puisquil est revenu 3 fois. Et la dernière fois, il la prise le plus naturellement du monde en position du missionnaire ; peut-être était-ce la lumière tamisée, mais ses yeux étaient ouverts et elle ne pouvait plus penser que cétait moi. Elle a joui en serrant ses jambes autours de ses reins, puis comme à chaque fois sest assoupie et au réveil cest comme si rien ne sétait passé.
Jai donné libre court à mes envies cest vrai. Je lai photographié dans toutes les positions les plus suggestives et ce, même dans notre jardin pourtant pas si protégé que ça. Je lai exhibé sur webcam et plus dun a pu se masturber en la regardant me sucer. Mais voilà, je maperçois que bientôt je naurais plus ce fameux produit, et jai peur de ne plus pouvoir assouvir pleinement mes vices.
Je me suis donc décidé à le rappeler et à lui demander sil pouvait me fournir à nouveau. Il a éclaté de rire au téléphone « Accroc hein ?
Je ne sais pas, faut que je réfléchisse
ça risque dêtre un peu plus cher payé ! » Jai raccroché en me demandant où il voulait en venir sachant que cela ne mavait rien coûté. Il ma rappelé 2 jours plus tard. « Il faut quon se voit, jai quelque chose pour toi avec certaines conditions. ». Son attitude avait changé cest clair. « Je nai plus ce produit, mais celui que je peux te fournir tapportera, nous apportera de nouvelles satisfactions. Simplement, il nest plus question de me contenter de rapports aussi directs, je veux profiter pleinement de ta femme.
Le samedi suivant, cest tout à fait par hasard quaccompagnant ma femme dans ses courses hebdomadaires en grande surface, nous tombions nez-à-nez sur lui. Lui, lami perdu de vue depuis plusieurs années, avec qui javais partagé tant de bons moments. Je ne pouvais que linviter à la maison pour fêter cela et nous convînmes du mercredi soir. « Si je ne dérange pas ta charmante épouse, ce sera avec joie ! ». Il fut très onctueux et empressé auprès dEliane et nous nous quittâmes après avoir échange de coordonnées bien inutile.
A lheure convenue, ce fut Eliane qui répondit à son coup de sonnette et elle le ramena dans le salon, les bras chargés dun beau bouquet de roses. Il avait bien fait les choses au moins. Eliane avait revêtu pour la circonstance une petite robe imprimée, mais je navais malheureusement pas obtenu delle quelle porte des bas et javais dû me résigner à la voir enfiler des collants noirs pour éviter quelle ne sinterroge sur mon insistance. Nous nous installâmes dans les fauteuils et je servis lapéritif. Eliane se leva pour aller chercher les amuse-bouche dans la cuisine. Il me sourit et ostensiblement, il versa quelques gouttes dans le verre dEliane, sembla hésiter et doubla la dose. A mon tour je me levai et je mis une musique dambiance. La conversation repris, malgré la série de slows qui passait en sourdine. Eliane semblait bien détendue, riant volontiers. « Oh jadore ce morceau ! si josai, je vous demanderai de le danser avec moi
Ca ne te dérange pas Marc ? » « Non bien sûr que non
allez-y, je vais rechercher des glaçons ». Une fois dans la cuisine je ne quittai pas lhorloge des yeux
je ne savais pas combien de temps il faudrait pour que les choses senclenchent. Dans le salon, le 3eme slow commençait quand je me suis décidé à y revenir. Mon cur semballa à nouveau
Cette fois lui aussi savait que cétait un collant quelle portait. Celui-ci était roulé en bas de ses fesses tout comme sa culotte dailleurs, et la robe relevée, laissait voir les globes charnus sur lesquelles il promenait ses mains sans retenue.
Lappel ne dura que quelques minutes, mais cela suffit pour me faire rater une partie du spectacle qui se déroulait maintenant sur le canapé. Ma femme les fesses sur le bord, se faisait besogner et ses ongles plantés dans les reins de son partenaire prouvaient combien elle aimait cela. Cela dura pendant plus de 10minutes et elle gémissait en se mordant les lèvres quand enfin il poussa un grognement et se laissa tomber sur elle. Lentement il se releva, sortant son sexe à peine débandé du fourreau de ma femme. Je compris alors quil lavait prise sans protection aucune, cétait dautant plus visible quun filet de sperme sen écoulait, se répandant lentement sur le cuir du canapé.
Il se leva et se dirigea vers le verre auquel il navait encore pratiquement pas touché : « Désolé, javais trop envie
» Après lavoir contemplée un court moment il se rapprocha delle, toujours le verre à la main et vint présenter son sexe à proximité du visage dEliane.
Soudainement, il se retira, et alla poser son verre sur la table basse, puis le sexe toujours tendu, il revint vers elle et la prit par la main pour la faire se relever. Il lentraîna vers la chambre, et comme je faisais mine de les suivre, il marrêta : « Non, toi tu restes ici
» La porte se referma et jentendis distinctement le bruit des corps qui sallongent.
Jai passé la nuit allongé sur le canapé, à guetter les bruits provenant de la chambre, les gémissements, râles qui se sont répétés à plusieurs reprises et quand le matin il sest levé, jétais déjà debout nayant pratiquement pas dormi. Il se servit un café et en me regardant il lança « Cétait excellent
» Je me doutais bien quil ne parlait pas du café. Lorsquil me laissa là après un « A bientôt ! », je me décidais à entrer dans la chambre, pour y découvrir ma femme, au milieu du lit dévasté, nue et dans une pause abandonnée avec cette odeur de sexe qui semblait-il avait imprégné chaque objet de la chambre.
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