Marie Trompe Son Mari (2)
Quelques jours après, mon déjeuner avec Marie, et la remise du film à son mari, il me téléphone en me disant :
Pierre : cétait super, elle était magnifique, tu as su la mener loin, je ne lavais jamais vue comme ça. Jai bandé comme un fou, et joui plusieurs foi. Je lai baisé comme une bête. Elle navait jamais réagi comme ça. MERCI
MOI : il ny a pas de quoi, surtout que moi aussi jai pris mon pied, je ne me suis pas sacrifié, ce fut très agréable, et jaime bien rendre service
PIERRE : justement tu pourrais me rendre encore un service ?
MOI : si cest dans le même ordre que le dernier je veux bien
PIERRE : jaimerais la voir faire lamour avec une femme
MOI : beau challenge, surtout que je ne connais pas de femme lesbienne, ou si jen connais je ne sais pas si elles sont gouines. Mais jaccepte. Tu me laisses combien de temps ? et je gagne quoi ? Tu me dois déjà un repas.
PIERRE : comme le premier défi je te laisse 6 mois. Pour la récompense si tu réussis, on cumulera les 2 lots en un seul. Un week-end pour 2 dans un palace de ton choix en France. Ça te va ?
MOI : ok, mais Marie elle ne va rien dire, de voir passer la facture, dun hôtel pour 2 personnes ?
PIERRE : non elle ne sera pas au courant, car je te ferai profiter dun cadeau que jai gagné au boulot. Et sans vouloir me vanter, jen gagne tellement quelle ne peut pas savoir si nous avons tout utilisé ou pas.
MOI : OK pas de problème, on se recontacte à la rentrée. Bonnes vacances.
Lété se passe, le soleil, la chaleur, les invitations des uns et des autres.
Un soir, mi-juillet, chez des amis nous rencontrons un couple denviron 70 ans, très sympathique, qui nous invite à leur tour, à passer un dimanche au bord de leur piscine avec quelques amis à eux.
Durant cette belle journée, il ne se passe rien de spécial, à par ma rencontre avec Isabelle, jolie femme de 45 ans, et son mari Henri, 77 ans.
La chaleur, la bonne ambiance, la piscine, et le rosé bien frais, permettent dentamer des discussions très personnelles.
Pendant que ma femme, se fait draguer par 2 hommes dun certain âge, dont Henri le mari dIsabelle, je me rapproche delle, un verre de vin à la main.
MOI : je peux vous offrir un verre ?
ISABELLE : oui merci.
MOI : vous regardez ma femme en train de se faire baratiner, par votre mari, nayez crainte, elle ne va pas succomber à son charme. Pas quil ne soit charmant, mais parce quil ne rentre pas dans ses critères.
ISABELLE : (avec un léger rire), je ne suis pas inquiète, bien que votre femme soit ravissante, je sais que mon mari ne pourra pas lui faire grand- chose. Il a été opéré, il y a 2 ans, et de puis il ne peut plus rien faire
MOI : je suis désolé, je vous rapporte un autre verre ?
Après plusieurs allers et retours vers le bar, je décide de revenir avec une bouteille bien fraiche.
ISABELLE : vous voulez me saoûler, je commence dailleurs à être un peupompette, jespère que je ne dis pas trop de bêtises
MOI : non du tout, mais ça fait 4 fois que je vais chercher des verres, alors jai trouvé plus malin de prendre une bouteille. En plus à chaque fois que je vous laisse, je ne sais pas si un autre mâle ne va pas venir prendre ma place
ISABELLE : vous êtes un flatteur
MOI : non, non, vous êtes ravissante et attirante et certains messieurs autour de la piscine vous regardent avec envie.
ISABELLE : merci pour le compliment, mais vous ne maurez pas. Avec Henri nous avons longuement discuté, de notre vie de couple. Il sait quil ne pourra plus jamais me satisfaire. Il comprend mes besoins, mais il ne veut pas que je le trompe avec un homme. Je me contente comme je peux, mais jaurais besoin de sentir dautres mains, dautres bouches sur mon corps. Il ma donné son accord pour que je fasse lamour avec une femme. Je nai pas encore franchi le pas.
MOI : je vois, je vous comprends, je peux vous proposer mon aide si vous le souhaitez. Et je lui raconte, dans les grandes lignes mon histoire avec Marie, lui demande de réfléchir à ma proposition.
En fin de journée, je lui laisse mon tél discrètement, en lui demandant de mappeler si elle souhaitait réaliser son fantasme.
Vers le 15 septembre, je reprends contact avec Marie, pour savoir comment elle va, si elle a passé de bonnes vacances, si elle serait prête à venir déjeuner avec moi.
Elle me dit que tout allait bien, que ses vacances avaient été supers, que Pierre son mari avait été très amoureux, mais quelle avait des remords quelle ne reviendrait plus déjeuner avec moi.
Je lui dis de bien réfléchir, que nous avions passé un très bon moment, qui navait fait de mal à personne et beaucoup de biens à nous.
Elle en convenait mais ne voulait plus recommencer.
3 jours plus tard Isabelle me téléphonait, pour me rencontrer. Au cours de cette rencontre, elle me demanda si ma proposition tenait toujours. Et si oui elle voulait dans un premier temps être active et ensuite elle verrait bien. Elle me fit promettre que je ne la toucherais pas.
Je lui promis de lappeler rapidement.
Je rappelais Marie, pour lui dire que javais trop envi delle se son corps, je lui fit dire quelle avait beaucoup aimé, et que recommencer ne lui ferait pas de mal. Je lui donnais RDV au même hôtel le vendredi suivant à 12h.je lui donnerais le numéro de chambre par SMS, et je voulais quelle mette la même robe que la dernière fois sans soutien-gorge et je raccrochais sans lui laisser le temps de répliquer.
Javisais Pierre que vendredi je lui donnerais un nouveau film, et je donnais rdv à Isabelle devant lhôtel à 11h45
Elle était très inquiète, voulait savoir qui était lautre personne, doù elle venait, doù je la connaissais.
Une fois dans la chambre je fis un sms à Marie et expliquait à Isabelle ce que javais imaginé. Et nous avons attendu.
Vers 12h10, la porte souvrit doucement, et je vis le beau visage de marie apparaitre, elle me sourit timidement elle a mis sa robe noire courte, sans manche, avec un décolleté qui découvre ton cou et tes épaules, qui se boutonne par devant.
Je suis nu, je mapproche lui prend son sac que je pose, sur la commode juste à côté de ma caméra miniature. Je la prends dans mes bras pour un baiser fougueux, mes mains parcourent son corps, elle na pas de soutien- gorge.
Je lembrasse dans le cou, lui mordille loreille tout en la poussant doucement vers le lit ou je lassois.
Je couvre son visage de baisers
MOI : tu mas manqué, ton corps ma manqué
MARIE : je suis souvent masturbée en pensant à notre séance de sexe, ou quand Pierre me faisait jouir
MOI : on va faire pareil aujourdhui, sauf que je vais te bander les yeux
Et je sortais un foulard de soie de dessous loreiller, pour lui couvrir les yeux.
MARIE : non non je ne peux pas, tu vas me faire quoi ? ça me fait peur.
Elle essayait de retirer le bandeau, mais je la rassurais, lui disais quelle pouvait avoir confiance que ne lui voulait que du bien. Elle se calmait et assise sur le bord du lit les mains le long du corps elle attendait la suite.
MOI : ça va tout ira bien, laisses toi aller
Cétait le mot de passe, à ce moment Isabelle sortie sans faire de bruit du placard ou elle attendait le signal. Elle était juste vêtue de sous-vêtements en dentelle.
Pendant quelle se rapprochait, jembrassais Marie dans le cou, elle respirait fort, défaisait les premiers boutons de sa robe, me mettait à genou, lui embrassait les genoux et lui caressait les cuisses.
Isabelle pris rapidement linitiative, elle écarta, la robe et caressa la peau soyeuse et douce des seins dont les boutons étaient tout gonflés de désir.
Elle posa sa bouche, mordilla, aspira les bourgeons hyper sensibles
Marie gémissait, renversait la tête en arrière, sagrippait au drap.
Tout à coup entre deux soupirs elle se figea, et essaya de darracher son bandeau
MARIE : mais tu nes pas seul ? qui est avec nous ?
Je retenais son geste, et lui expliquait quil y avait Isabelle qui nétait là que pour son plaisir, quelle venait den avoir un échantillon. Je réussis à la calmer
Mais elle restait très tendue.
MARIE : laisses moi enlever mon bandeau
ISABELLE : Ok jenlève ton bandeau, mais tu ne pars pas en courant
Elles se mirent à rire
Elles se dévisagèrent quelques instants, puis Isabelle appuya ses lèvres contre celles de Marie, qui voulut tourner la tête, mais je la remettais dans le bon sens.
Marie nouvrant toujours pas la bouche pour un baiser plus profond, Isabelle, fini de déboutonner la robe, la fit glisser doucement sur le lit, et repris la caresse des seins. Instinctivement, sous le plaisir Marie entrouvrit ses lèvres, laissant passer la langue dIsabelle qui rencontra celle de Marie vaincue.
Je mécartais pour leurs permettre de sallonger sur le lit. Bouches collées, langues et salives mélangées elles se caressaient mutuellement. Marie avait dégrafé le soutient gorge dIsabelle, leurs mains parcouraient leurs corps. Marie sur le dos, les cuisses écartées. Isabelle allongée entre ses jambes frottait son pubis contre celui de sa maitresse.
Isabelle stoppa le baiser, et commença à descendre le long du corps de Marie, qui frémissait à chaque bisou. Le cou, les épaules, les seins, le ventre, à chaque étape Marie gémissait. Quand les lèvres dIsabelle se rapprochèrent de son sexe en commençant par embrasser lintérieur des cuisses et à caresser le à travers le tissu de la culotte Marie repoussa la tête en disant quelle ne voulait pas quune femme lui fasse ça.
Pendant quIsabelle, qui navait pas insisté descendait le long des jambes, jembrassais Marie, lui caressait le sexe en passant les doigts sous la dentelle.
Puis je lui présentais mon sexe, quelle prit en bouche goulument. Je me penchais vers son ventre pour entamer un 69. Isabelle maida à lui enlever sa culotte. Nous étions sur le côté, sa bouche me pipait, ma langue la léchait. Très vite Isabelle vint me rejoindre, et quand Marie par des petits cris, des mouvements des hanches plus forts, montra des signes de plaisir, je laissais la place à Isabelle elle léchait les grandes lèvres, introduisait sa langue dans le vagin, aspirait le clitoris.
Marie tout à son plaisir et à ma fellation ne se rendit compte de rien. Elle jouit sous les caresses disabelle, en serrant fortement les cuisses sur la tête dIsa comme si elle voulait la retenir pour toujours. Pendant que jéjaculais au fonds de sa gorge dans un râle de plaisir.
Après quelques instants, je me retirais, Isabelle la bouche pleine de cyprine venait embrasser Marie et ainsi mélanger cyprine et sperme.
Je tenais ma promesse je ne mapprochais pas dIsabelle, cest Marie qui entre nous deux profitait de nos douceurs.
Après plusieurs minutes de câlin, Marie repris linitiative, elle fit mettre Isabelle sur le dos, lembrassa et la caressa partout pour venir sarrêter sur son sexe entièrement épilé. Isabelle les bras en croix les yeux fermé savourait les bisous et autres lèches que la langue de marie lui faisait.
Marie la tête entre les cuisses de son amie, la croupe en lair, ne saperçu de ma présence derrière elle que quand mon gland, que javais lubrifié avec de la salive, vint se poser et forcer délicatement sur son petit trou.
Elle voulut protester, mais Isabelle lui retint la tête à deux mains. Le mouvement de recule quelle fit sous la surprise, permit que je la pénètre profondément.
Très vite nos plaisirs montèrent, Isabelle sous la langue de Marie se déhanchait et criait :
ISABELLE : oui cest bon, vas- y broute moi la chate fais- moi du bien avec ta langue jadoooooooooorrrrrrrrrrrrrrrrre
Marie qui je limais de plus en plus fort entre 2 coups de langue disait :
MARIE : oui jaime ta bite, je vais jouir, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, défonce moi le cul fort fort foooooooooort
Moi tenant Marie par les hanches, allant de plus en plus vite les couilles tapant ses fesses offertes
MOI : tes bonne, jadore tenculer, je vais jouir dans ton ventre, je jouissssssssssssssssssss, tes vraiment trop bonne.
Et nous jouissons tous les trois dans un dernier sursaut.
Nous avons repris nos esprits, je me levais, pour aller prendre une douche, laissant les 2 dames allongées sur le lit.
Quand je sortais de la salle de bain, elles discutaient doucement, sur le dos, en se caressant mutuellement le sexe.
Cette vue me fit bander instantanément
ISABELLE : (en regardant mon sexe tendu) je te prendrais bien dans ma bouche, elle a lair douce et chaude, mais jai promis à mon mari
MOI : jai aussi promis de ne pas te toucher, même si jen meurs denvie je ne le ferai pas, du moins aujourdhui
MARIE : eh bien vous avez tort tous les deux car vous êtes super bons et vous ne devriez pas vous priver.
Quand je suis parti, sans oublier ma caméra, pour Pierre, elles allaient prendre une douche ensembles. Dommage nous naurons jamais les images.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!