Deux Nuits, Deux Blacks Et Moi....
Lhistoire des conquêtes territoriales a fait que lArgentine na pas de population africaine au contraire du Brésil où les hommes sont vraiment beaux, leur charme dévastateur, souvent à mon goût. Les soirées parisiennes en compagnie de Désiré gravées en souvenir.
Eh bien laffiche du film Nymphomaniac a réveillé mes pulsions. Et ce ne sont pas les descriptions de JF qui risquent de les atténuer : Il mimagine, jouet, entre leurs bras et, sachant ma motivation, nos libidos sont en feu !
Le carnaval se prépare des mois avant, costumes, défilés des chars, musiques, thèmes. Nous avons des amis brésiliens entre Rio et Porto Alegre. Ils nous aideront pour les contacts avec une école de samba sans quils soient au courant de notre véritable quête
On se retrouve dans une sorte de garage bon , bruyant, où les corps plus ou moins nus se frôlent sans même sen apercevoir. Notre guide, un bel athlète au corps de bronze, un visage dadolescent, la peau souple et ferme que ma main a pu apprécier à la première étreinte de bienvenue, sorte de big hug américain ou dabrazo argentin. Je nai pas retenu sa force pour quil écrase ma poitrine contre son torse en déposant une bise sur ma joue droite.
Il parle espagnol et nous explique ce qui se passe ici et demande si nous voulons participer avec eux aux défilés prévus de lété. JF répond pour moi que cest mon rêve et quil serait ravi de me voir défiler mais quil nous sera impossible dassister à toutes les répétitions !
Il répond avec humour que si je ne tiens pas à être la reine de ce groupe mais la sienne ça ne pose aucun problème, quon ne remarque pas chacune des participantes si elles bougent en rythme et que le costume soit adapté. Quelques visites seraient certainement suffisantes. Pas dobstacle donc, demblée me voilà dans le bain et rassurée, prête à mexhiber presque nue dans les rues de lété brésilien.
Tiago nous présente certains de ses amis et amies et rapidement on mentraine à droite à gauche dans la volupté brésilienne pour me montrer des costumes, des teintures de corps, des musiciens, des photos dannées passées, toujours dans le rire et la danse.
La tête me tourne quand nous rentrons à notre hôtel en milieu de nuit. Jai donc fait la connaissance de Tiago et Paolo, deux beaux et charmants fantasmes.
Pas de temps à perdre le lendemain soir déjà, essayage de costume et de maquillage, la danse cest pour la nuit suivante.
Il y a une sorte de paravent entre la loge des femmes et celle des hommes. Il reste ouvert en permanence, la pudeur na pas de place ici. Les corps se frôlent en riant, en dansant, en chantant, joie permanente. Ils ne sont pas nus, non ! Tous couverts dun peu de tissu, de strass, de peinture sur corps, donc pas nus. Les seins brillent et se balancent, les croupes sursautent, les torses bronzés et musclés des garçons captent mes regards. Sourires aux dents blanches, épaules solides, tablettes de chocolat au dessus du cache sexe enveloppant qui dessine sans honte les débuts dérection. Chacun aide son voisin, sa voisine, pour agrafer, maquiller nimporte quelle partie du corps et tous en profitent en riant pour se tripoter sans vergogne. Une main claque sur une fesse, une autre soupèse un sein plus délicatement.
Pas encore totalement intégrée on me ménage. Jessaie en culotte et soutien gorge les harnais supports des plumes du costume. Les deux garçons les attachent sans oublier de discrètement vérifier la fermeté de mes seins et la douceur de ma peau en général
JF se rapproche, les deux garçons se font plus sobres : « continuez, continuez, je ne veux rien interrompre, au contraire » et Tiago de répondre : « Muriel va être très belle dans ce costume » et JF de poursuivre « sous le harnais il ny aura pas de soutient gorge ? » la réponse hésitante « ben
non.. » alors JF reprend « vous devriez essayer dès maintenant vous verrez elle a des seins superbes, je suppose aussi quil faut porter un string ? » Tiago plus sûr de lui : « allons-y alors, on fait lessayage complet » et il part rapidement chercher les plumes, les cache-tétons, et un string hyper coloré.
On regarde passer la française, puis chacun repart dans ses activités. JF demande alors à Tiago : « On ne pourrait pas aller sur la plage, dans ta cabane ?».
Court parcours en voiture et nous y voilà. A ce moment je sais que mon fantasme va se réaliser.
Je descends en prenant par le bras chacun des deux garçons. Jai retrouvé mes vêtements dorigine, tee-shirt échancré, jupe longue légère et fendue et juste le string dessous. JF nous suit. On monte les marches de la petite terrasse de la cabane face à la mer. Mes mains quittent les bras des garçons et descendent sur leurs fesses rondes et fermes. Plus aucun doute pour personne ! JF est resté en bas. Depuis un banc il va pouvoir assister à nos jeux libertins, éclairés par la lumière blafarde du lieu et par la lune discrète.
Je me tourne vers Tiago et défais sa chemise, dans mon dos Paolo dégrafe ma jupe et la glisse à mes pieds. Un baiser sur le torse musclé couleur bronze, pas un seul petit duvet, juste la douceur de la peau fine et la force des muscles qui se dessinent dessous. Il bande et jen suis fière. Je me retourne pour dévêtir Paolo. Même sensation de chaleur, de douceur et de fermeté. Même couleur de peau, un cran plus sombre, même force dans les muscles et même bandaison
Jembrasse le torse nu et descends mes mains vers le bermuda qui glisse tout en bas, un peu retenu un moment par la verge raide de Paolo. Parfums masculins sans excès qui montrent leur raffinement.
Tiago me porte dans ses bras et mallonge à lintérieur sur le matelas au sol. Pas de mot, mais des regards tendres qui pourtant expriment le désir, lenvie de me plaire et de me donner. JF sest installé sur la terrasse, il sait mon goût pour cette luxure.
Les deux garçons sallongent contre moi, leur sexe dur contre mes hanches, leur bouche sur mes seins, mes poignets dans leurs mains serrées. Jai envie de leurs caresses, envie quils deviennent audacieux, je suis disponible à toutes les audaces du kamasoutra.
Les quatre mains mentreprennent entre sexe et poitrine, cuisses et ventre.
Tout de même, jobtiens gain de cause avant dêtre épuisée, pour renverser un peu les rôles et à mon tour profiter de leur anatomie. Je me redresse, saisis les deux queues que je masturbe et embouche chacune leur tour. Ce nest plus moi qui souffle fort, mais eux, qui commencent à respirer profondément. Là, la femme que je suis, jubile. Je deviens maîtresse de deux superbes garçons. Je les excite et fais durcir et surtout se dresser les membres, une sorte dincroyable sensation de fierté qui mexcite autant queux.
Je sais où je veux en venir.
Je grimpe de face sur Tiago, plonge mes yeux dans les siens et mempare de son sexe entre mes cuisses et le rentre en moi progressivement. Je suis trempée, lubrifiée à souhait. Bouche en cur, je gémis du plaisir du passage, il mouvre largement. Il pelote aussi mes seins, les triture un peu et jaime ça
Je me penche en avant pour recevoir, faire bouger sa queue en moi et sans honte, dune main sur mon petit trou je souris à Paolo en lui montrant mes fesses.
Il comprend et va venir me sodomiser. Leur amitié, leur complicité, permet aux deux garçons dêtre en contact, que leurs mains touchent le sexe de lautre. Petite contraction de ma part quand Paolo va délicatement pousser sa queue entre mes fesses. Je les veux en moi tous les deux. On y est ! Premiers mouvements coordonnés. Premiers soupirs, je profite de mon fantasme, celui imaginé par la photo de promotion du film.
Mes mollets collés à ceux des garçons, tendus et rigides comme leur sexe en moi. La peau douce des cuisses de Paolo contre les miennes, son ventre sur mes fesses, dessous, mon pubis sur celui de Tiago pour écraser mon clito, leurs mains partout sur mon corps offert, ils serrent, palpent, caressent, senfoncent poussent ou retiennent. Je sens les tensions quasi simultanées dans mon ventre, quand un sexe se raidit celui de lautre aussitôt se tend, les deux réagissent de lautre, ils se touchent presque en moi, je sens les deux bâtons fichés, vibrer des envies des deux hommes. Ils veulent faire jouir la même femme ensemble, ils la bourrent et lui donnent en se stimulant. Mes mollets se relèvent doigts de pied écartés ou au contraire ongles enfoncés dans le matelas au gré de lintensité du plaisir. De même, tendue sur mes bras au dessus de Tiago, mes seins se balancent, provocants sur son visage, doigts écartés sur le drap, puis je maffaisse sur son torse, seins collés à sa peau, il menlace de ses bras puissants, enveloppants et caressants. Je souffle et bave dans son cou. Il me souffle à loreille « tes belle, tu me plais » et un sourire accompagne la force de son pubis contre le mien, ce qui déclenche un râle de Paolo, son ventre vrillé à mon cul. Jai limpression dêtre envahie et bourrée au fond de moi. Mes liqueurs coulent sur Tiago et Pablo, sans craindre de toucher son copain saide de sa main pour lubrifier mon entrée et en profite pour titiller mon clito. Tous mes doigts sécartent ensemble avant de se crisper de nouveau.
Je suis prise en sandwich par ces deux masses de muscles et de sexe. Leurs mains me contiennent, pourtant cest moi qui vais imprimer le rythme lent des mouvements. Je veux les sentir me remplir, gonfler, se dresser. Je veux que le feu parte de mon sexe et de mes fesses pour envahir tout mon corps. Je ne peux plus ouvrir les yeux, je sais mes grimaces dexcitation et de jouissance intenses. Ils me suivent dans mes mouvements de plus en plus profonds. Ils me baisent tous les deux, jaime ça ! Souffles profonds, je sens leurs muscles tendus, raidis par lenvie, tétanisés par le désir. Je mouvre et me ferme sur les gourdins ancrés en moi, les deux dans mon ventre. Je suis dans mon fantasme, il se réalise en vrai. Pas besoin de mouvements rapides, mon énergie et leur tension suffisent à la montée des orgasmes. Cette lenteur, cette retenue, font grimper lintensité des envies. Ils sont enfoncés loin dans mon ventre, je suis remplie, pleine des deux hommes. Ils sagrippent avec la force de leurs larges mains, lun à mes bras, lautre à ma croupe. Mon orgasme va venir avec léjaculation de Tiago. Chacun au bord de son orgasme ressent celui des deux autres, impatience de la jouissance, envie du partage, envie de jouir, ventre en feu. Nos visages face à face se renvoient limage de nos contorsions et de lorgasme imminent avec Tiago. Paolo ne peut plus attendre, ventre plaqué à ma croupe, sa queue serrée à lentrée de mon petit trou, mes hanches dans ses mains crispées. Je le garde en moi, lempêche de sortir en me cabrant pour quil me jouisse dedans. La queue de Tiago en même temps senfonce encore. Je sens et vibre les spasmes de Paolo, sensation nouvelle dans cet endroit, il éjacule, joui dans mon trognon. Je suis comme stupéfaite incapable de bouger avec lenvie de jouir si forte ! Le feu est partout, les trois corps unis, tétanisés, liés, fichés dans et par mon ventre. Juste des « oh » étouffés, retenus, sortent de ma bouche stupéfaite. Puis mon cri bestial dêtre prise, le cul en feu. Alors cest Tiago qui ne peut résister davantage à mon poids sur son membre, à mes réactions et soubresauts de femelle baisée. Lui aussi a senti passer léjaculation de son copain venue gicler dans mon cul. Il se vide à son tour, remplit mon vagin et memporte définitivement
Jai crié, tremblé, pleuré, mouillé, bavé
je ne sais plus, saoûle, comblée, satisfaite, épuisée, du sperme plein le ventre, le cul et les cuisses, des sueurs mélangées de partout. Je tremble inconsciente sans maitriser mes nerfs, femelle comblée et assouvie. Ma salive, ma sueur coulent sur Tiago qui les lèche.
Paolo me libère, puis je me défais de Tiago, son sexe à peine détendu, strié du blanc des semences mélangées et du brillant de ma mouille qui sécoulent de ma fente. Je fixe cet instrument du plaisir comme une femelle gourmande qui entrevoit déjà lavenir.
Tous étonnés de tant dextase, le silence accompagne nos sourires confus.
Sur le dos, bras en croix, je me recroqueville avec encore la sensation dêtre écartelée alors que mes cuisses se sont fermées sur mon sexe.
Je mendors dans les bras de mon mari resté tout proche pour partager mon fantasme et vivre au plus près de moi, ma fabuleuse agonie.
Une journée de farniente en amoureux pour récupérer et se préparer à la suite des envies. Silence pudique sur nos pulsions et nos mots de couple.
La nuit suivante était celle de la danse. On la prolongée en dînant tard dans la cabane et en réapprenant nos corps. Jeux différents, autres envies, autres intensités inouïes. Agenouillée nue devant mes chevaliers, je maîtrise le plus longtemps possible leur extase. Je goûte les deux spermes. Les deux garçons grimaçants et râlants au dessus de moi, sur la terrasse grinçante. Je suis limage de la parfaite salope, la bourgeoise extravertie qui jubile toujours autant de son audace perverse. Les circonstances toujours différentes, les regards et moues se mélangent aux gentils sourires tellement expressifs ! Jai sucé et avalé la semence de deux mâles, tout en jetant des regards de feu à mon mari, voyeur épanoui et excité. La mer éclairée par la lune, les trois silhouettes ont joué le spectacle du sexe torride.
JF mavait demandé de le faire. Laprès midi même il ma dit « tu es belle, ils sont beaux. Ils ont envie de toi, regarde comme ils bandent ! Tes seins, ton ventre, tes fesses les attirent comme la grâce de tes gestes les rend fous denvie. Rien que ton sourire les excite. Ils savent maintenant comme tu es capable de donner, comme on est bien en toi. Jai envie de te voir réjouir deux hommes et te voir abandonnée aux plaisirs. Ose tes fantasmes, ose toutes tes envies et souris moi
. »
Plus tard à peine, on se baigne. JF reste sur la terrasse pour jubiler du spectacle lubrique de sa femme avec ses deux amants. Chacun leur tour ils entrent en moi. A quatre pattes sur le sable ou flottant dans locéan, ils me labourent, me défoncent, me baisent, brutalisent un peu mon corps de leur sexe, de leurs doigts, de leur bouche.
Jai fantasmé ces moments, avant de venir ici, en faisant lamour avec mon mari qui imaginait lui aussi, en me questionnant. Il est amoureux fou et veut me voir réjouie par dautres, il sait mon fantasme de deux beaux mâles blacks à ma disposition. Mais là, cest en vrai, en vrai de vrai. Les garçons ont un visage, une peau chaude, ce sont leurs mains qui me palpent, me doigtent, me pelotent les seins. Cest leur sexe qui me pénètre, me lime et me fait jouir, leur sperme qui brûle mon ventre avant de sécouler entre mes cuisses.
Cette image du film devenu fantasme, ce fantasme qui devient réalité. Le vivre totalement devant mon mari !
Jaime cette rudesse. Un jour tendresse, lautre vigueur.
Joriente le jeu par ma position et mes mouvements. Je suce lun, appuyée sur ses hanches, jambes écartée corps à lhorizontal, je tends ma fente pour que lautre me défonce et de sa force me projette sur la queue du premier. Puis ils échangent leur position, je suce toujours et me laisse prendre avec ardeur. Jondule et force mon sexe offert sur le pieu raide. Les mains claquent mes fesses rougies que je secoue, mon clito brûle. Celui de face enfonce sa verge dans ma bouche, mains sur mes cheveux, il impose que je suce et je mapplique. Lautre, coulisse raide, avec furie dans mon vagin ouvert et dilaté, il ne se ferme plus et reçoit. Je suis la salope soumise que je peux être. Je râle mon plaisir en sons graves, je subis avec délice leur virilité. Echange encore, jadore. Puis enfin Tiago me prend, cuisses relevées, visage aplati sur le sable, en levrette dans la nuit brésilienne. Il me remplit et bourre son sperme au fond de mon ventre. Quand il se retire, je ne bouge pas, aplatie sur le sable, mains à plat, fente offerte, jattends Paolo, seins et visage sur le sable. Il pénètre mon vagin ouvert. Il se libère lui aussi après mavoir copieusement défoncée avec rage. Je crie, je jouis, je tremble, sur le sable, sous les étoiles et quelques embruns, la peau collée par le sel, les sueurs, mes liqueurs et les leurs. Le ventre plein des semences de mes deux amants, je jubile. Trois ombres copulent dans la nuit entre ciel et mer.
Roulement discret des vagues calmes, brillance argentée de leau, au fond, la lampe de la cabane sur la silhouette de mon mari et les ombres de deux palmiers, je prends conscience du cadre et du spectacle. La peau couverte de sable collé, essoufflée, heureuse, indécente, assouvie sur la plage, une femme devenue femelle pour deux jeunes mâles, en spectacle charnel, lubrique, un brin obscène devant mon amour et spectateur unique qui na pas résisté à ses pulsions.
Apaisement général, ils redeviennent douceur et prévenance. Portée par les bras de Paolo jusquà la cabane, les deux garçons me couvrent, puis apportent de leau, me lavent, me sèchent. Caresses délicates, je redeviens « princesse ». On se sourit, complices joyeux des plaisirs et audaces sexuels vécus devant mon mari, garant des limites de ces scènes aphrodisiaques.
Je ne sais pas ce que sera le film de Charlotte, je sais ce que je viens de vivre. Nympho ? Un peu, cest possible, est-ce grave ? Et dans ce cas pour qui ? Personne ne se plaint, au contraire, les garçons ont demandé la date de notre prochaine visite et jai répondu : « bientôt jespère ? » en regardant JF, malicieuse et souriante. Tous prêts pour un nouveau jeu, lors du prochain voyage initiatique au carnaval. La question concernait-elle vraiment le carnaval ?
.sourire.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!