Il Nous Baise
Chéri, trouve un endroit pour baiser !
Il nous reste beaucoup de route à faire.
Tant pis j'ai trop envie.
Alors branle toi !
J'ai besoin d'une langue.
Tu n'as pas de gode ?
Je l'ai laissé dans la valise qui est dans le coffre.
C'est malin. Tiens essaye ça.
Je lui donne une canne avec un bout assez gros pour lui combler le machin. Elle regarde l'engin qu'elle ne peut pas se mettre dans la voiture : assez de place. Elle ouvre la cache du tableau de bord. Elle sait qu'il y a une serviette.
J'ai ce qu'il faut.
Elle se dépatouille pour enlever le string, elle passe sa main sur la chatte, la ressort pour me faire sentir et lécher. C'est vrai, elle mouille et je sens l'odeur si caractéristique de son con. S'il n'y avait pas tant de kilomètres à faire....
Je regarde du coin des yeux. Elle introduit un angle de la serviette dans le vagin. Elle force un peu pour en faire entrer le plus possible. Je vois que la moitié de la serviette est en elle.
Elle se cale sur le siège, pour être à l'aise, elle défait la ceinture de sécurité. La robe remontée complètement laisse voir autre son sexe, ses jambes, son ventre, presque se ses seins.
Chérie quand tu double un camion ralenti que les chauffeurs voient mon con.
Mais ça va pas ?
Si mais ça m'excite de savoir que je suis vue.
La conversation n'arrête pas ses gestes : elle bouge doucement la serviette avant d'accélérer pour un orgasme. Je ne pensais jamais qu'elle puisse prendre du plaisir avec cette simple serviette. Elle la pousse avec deux doigts simplement, comme quand elle se caresse le clitoris.
Ca y est, je jouis.
Enlève cette satanée serviette.
Non, je le garde c'est bon. Je vais recommencer.
C'est vrai elle reprend les mouvements de va et vient. Elle se crispe, s'arrête pour recommencer, cela pendant plus d'une heure.
Elle se masturbe devant moi qui conduit et mouille.
Je ne pouvais pas être tombée sur une fille normale, enfin une lesbienne correcte ?
Si je vois un jeune stoppeur qui me semble correct je l'embarque pour qu'il se paye ma compagne : ça lui remettra le cerveau en place, une bite, une vraie.
Youpi. Il est un peu âgé, grand et brun. Il fera l'affaire, même si elle continue avec sa satané serviette
Il embarque derrière, son sac dans la malle.
Je suis garce quand je lui demande si ça lui dirait de baiser ma compagne.
Après un moment d'égarement, d'étonnement il me répond que oui, elle est attirante, mais que tout compte fait il préférerait commencer par moi.
Et vlan, prends ça ma petite qui ne voulait plus d'homme entre ses jambes. Il me donne envie, le petit salop. Et pourquoi pas, finalement, même avec elle aussi : nous avons pris des habitudes de veilles filles.
Pour en finir vite, je vais me garer derrière une station service, en pensant que le stoppeur n'osera pas se mettre nu à cet endroit.
Je trouve un endroit propice derrière un bosquet. Je descends la première, ma chérie suit. Je l'encourage par un baiser sur la bouche. Je lui passe les mains sur tout le corps. Elle me répond normalement. Elle me donne envie d'elle.
Et lui enfin sort de la voiture. Il me semble qu'il bande, ce qui serait normal après tout. Il vient vers nous, nous enlace les deux à la fois. Quand il est contre moi, je sens sa bite bien grosse. Il y a longtemps que je n'en ai pas senti une, surtout si grosse. Mon amie, mon amante a envie de baiser un homme pourvu qu'il ait une bite.
Ce petit salop commence par nous caresser les deux à la fois. Je mouille, elle doit en faire autant. J'ai une brusque envie de bite. Je fais ce que je ne devrait plus faire : je lui défais la braguette. C'est ma chérie qui lui sort la bite.
Mon dieu quelle beau morceau plein de veines apparentes.
Je n'ai pas lautorisation de la toucher, c'est mon amour qui la veut pour elle, sevrée trop longtemps. Elle la prend en entier dans sa main, elle la serre avant de faire aller et venir le prépuce. Et lui qui se tend dans l'attente de la jouissance.
Je regarde la chose comme une étrangeté. Il y a tellement longtemps que je n'en ai pas vu ni touché. Elle en a envie. Il le sait : il remonte a robe là où elle était quand elle se masturbait. Une main posé sur le pubis, il passe un seul doigt,(je regarde bien) dans la fente et elle qui se donne mieux qu'avec moi.
Sans pudeur elle se laisse masturber un instant, lui prend la bite dans la main, le masturbe lui aussi. C'est une séance de touche pipi.
Il la pousse doucement vers la carrosserie de la voiture. Il se courbe un peu sur les genoux. Il tend sa queue vers la sexe de ma chérie. Et elle se donne à lui qu'elle ne connaît même pas. Pourquoi il n'est pas venu vers moi, je suis laide à ce point ?
Il passe deux mains derrière ses fesses. Il l'élève un peu, il passe entre ses cuisses qu'elle ouvre, la salope. Elle prend sa bouche contre la sienne quand il a lui met . Elle répond à ses avances, elle pousse des petits cris comme quand je la suce. Saleté de fille, tu en trouveras un autre gourde qui te lèche et le sexe et le cul ?
Et toi l'Apollon, ce n'est pas parce que tu a une belle queue que tu va faire découvrir l'orgasme à ma compagne : c'est moi qui lui ai tout apprit.
Elle jouit sans complexe, devant moi en plus. Il se retire d'elle. Il bande toujours. Sa pine est mouillée des liquides du sexe de mon amante.
Il vient vers moi.Il me veut c'est sur. Mais je ne vais pas me laisser baiser comme la première venue.
Il m'embrasse sur la bouche ? Comme une idiote je lui donne ma langue. Il sait que j'ai envie de lui. Il ose me relever la jupe sans rien me dire sinon qu'il me donne une foule de baisers dans le cou.
Mes fesses prennent du plaisir à ses caresses, surtout quand il passe dans la raie. C'est doux, c'est merveilleux de sentir cette main d'homme venir vers mon intimité totale.
Pas là, pas encore. Il voudrait passer sur mon petit trou. Personne n'est jamais venu là, en tout cas pas une main d'homme. Il remet son doigt. Il me masse le troufignon. C'est agréable, il insiste, c'est bon, il insiste encore, cette fois il entre son doigt. Mes muscles anaux cèdent volontiers. Il entre bien son doigt. Je commence à trouve la chose plus qu'agréable. C'est finalement bon. Je le laisse faire comme il veut.
Aïe, il rajoute un doigt. Et je le laisse faire. Son pouce cherche ver mon sexe. Il y trouve ce qui me fait toujours jouir quand je le caresse. Il me branle le clitoris. Comment résister ce genre de caresses si agréables. Je le laisse faire.
Il me masturbe par devant, il me caresse le cul.
Je suis bien obligé de lui rendre la queue, bien que je ne sage plus très bien comment faire. Elle grossie encore dans ma main. Il voudrait bien que je le lui prenne ailleurs. Et pourquoi pas une fois, il y a si longtemps.
Je refais ces gestes oubliés pour le rendre dans ma chatte. Son pantalon est en bas, mon string aussi. Il me caresse la fente avec le gland. Je me force à peine pour qu'il entre en moi. Il déplie mon sexe fané. Je sens à nouveau ce plaisir que j'avais abandonné pour l'amour d'une fille qui me regarde me faire mettre. Elle s'approche de moi, me caresse les mains pendant que je me fais mettre.
Il est entré totalement dans mon ventre qui commence à manifester sa joie en me donnant une rareté : un orgasme complet, enfin.
Mon amante m'embrasse pendant que je jouis. Elle n'est pas jalouse, au contraire j'ai jouis une fois de plus avec elle à coté de moi.
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