La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 339)

Suite de l'épisode précédent N°338 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -

Le Marquis d’Evans se retourne pour chercher une soumise-soubrette à portée de mains quand IL aperçoit à quelques pas, Walter, son fidèle Majordome, qu’IL n’avait pas vu depuis de nombreuses minutes. Lui faisant signe de la main, IL l’interpelle.

- Walter !
- Oui, Monsieur le Marquis. Que puis-je pour Vous ?
- Je me demandais où vous étiez passé, car je ne vous voyais plus. Je me suis demandé si vous étiez déjà monté vous coucher épuisé par tous ces préparatifs, ce que j’aurai pu aussi comprendre d’une certaine manière.
- Monsieur le Marquis, Vous n’y pensez pas ! Même fatigué, je resterai le dernier éveillé dans cette Noble Demeure à vérifier que la nuitée se passe au mieux et que vous n’avez pas besoin de mes services, pas plus qu’un quelconque de vos Invités. Je pense que je ne dormirai pas beaucoup, voire pas du tout cette nuit, mais je tiens avant tout à ce que Vous soyez satisfait et enchanté de cette soirée anniversaire que vous m’avez permis d’organiser en ayant carte blanche, ce qui fut pour moi un vrai ravissement, je le reconnais.
- Oui Walter, Un bien sincère merci qui va au-delà de la relation de l’employeur que je suis à son employé que vous êtes. C’est une gratitude chaleureusement amicale que je vous adresse, oui un sincère merci à un véritable ami. Et j’avoue que Vous vous êtes surpassé. Mais y-a-t-il quelque incident quelque part qui vous ait retenu loin des deux salles principales où je ne vous ai pas trouvé.
- Pas du tout, Monsieur le Marquis. Je me suis absenté quelque temps pour un ultime préparatif au bas du grand escalier central. Avec l’aide de Monsieur David, nous avons préparé une petite et dernière surprise pour Vous en premier lieu quand il Vous plaira de Vous retirer, si j’ai bien entendu ce que Vous avez annoncé un peu plus tôt, car je me tenais juste à côté de Vous, avec à Votre bras, Madame la Marquise Aurore pour rejoindre la Chambre Nuptiale du Château.

Surprise que Vos invités pourront aussi découvrir lorsqu’ils quitteront les lieux ou lorsqu’ils décideront de rejoindre leurs chambres respectives dans les deux ailes du Château, soit à Votre suite, soit ultérieurement au petit matin.
- Ah … une surprise de plus … encore une surprise après tant d’événements. Cette soirée restera vraiment mémorable dans mes souvenirs. Mais, même si j’aime les surprises et si j’ai envie de découvrir cette dernière, je ne vais pas me précipiter tout de suite pour monter me coucher alors que la nuitée n’en est qu’à ses prémices. Il y a tant de monde que je ne sais si j’arriverai, malgré mon envie à passer un petit moment avec chacun. Mais assez parlé, passons aux choses plus sérieuses, j’ai deux croupes qui sont prêtes pour la démonstration que je voudrais pouvoir offrir à Madame la Député-maire, espérant qu’elle s’y mettra à son tour.

Le Châtelain explique à Walter les équipements dont IL a besoin en particulier pour infliger la punition au chien-esclave 17. Walter revient personnellement avec le nécessaire dans les mains, étant allé chercher lui-même le matériel et n’ayant pas voulu perdre le temps de passer par l’intermédiaire d’une soumise.

- Walter puisque Vous êtes de retour. Voulez-vous bien punir ce chien-esclave par là où il a puni, oubliant de déposer un baiser sur Ma main après avoir eu le privilège de pouvoir la lécher et de la sentir s’enfoncer dans sa bouche.

Le Majordome att un large ouvre-bouche circulaire en métal qu’il insère derrière les dents et dans la gueule du chien-esclave bien obligé d’ouvrir grand ses mâchoires distendues. Il pose également 2 pinces à linge de chaque côté haut et bas des deux commissures des lèvres veillant à ne pas pincer à l’endroit de la pliure pour éviter une déchirure et par la suite une infection possible. Le Majordome sous l’œil satisfait du Châtelain att vivement la langue au milieu de la bouche, faisant comprendre à l’esclave que toute résistance est inutile car son geste est ferme et sans appel.
Il tire au maximum et pose une cinquième pince à linge mordant bien au centre de la langue. Walter positionne le chien esclave pour qu’il garde la tête à l’horizontale regardant vers le sol et à une hauteur d’une trentaine de centimètres. Il leste alors de petites clochettes les 4 premières pinces qui tirent du coup avec le poids sur les lèvres encore plus étirées et distendues et d’un vrai poids de métal pesant la pince centrale qui tient la langue qui est douloureusement tendue à l’extrême vers le bas. Le Marquis d’Evans satisfait de l’installation ajoute :

- esclave 17, te voilà appareillé pour tout le temps que durera cette petite démonstration. J’espère que la douleur et l’incommodité de ce que tu as sur et entre les lèvres, t’aidera dorénavant à te souvenir que lorsque l’un de Mes soumis-esclaves a la chance de pouvoir déposer ses lèvres sur la main du Maître en personne, il doit considérer cela comme un véritable honneur qui lui est accordé, et à l’inverse s’il refuse ou oublie de le faire cela constitue un véritable affront que je ne peux tolérer et qui mérite un châtiment adapté. Si après ce petit rappel à l’ordre, ta minuscule cervelle ne s’en souvient pas, tes lèvres, elles s’en souviendront pendant quelques temps. Et sache pour terminer, qu’à la fin de cette première correction, pour me remercier comme il se doit de ce que j’aurai daigné t’infliger, tu ne seras surtout pas autorisé à déposer tes lèvres sur Mes mains de Maître punissant, mais seulement de les savoir à peine digne de s’aplatir sur le sol que foulent Mes pieds. Est-ce bien clair ! Il te faudra endurer pendant plusieurs jours mon courroux avant de pouvoir redécouvrir l’odeur et la couleur de la peau de la main du Maître.

L’esclave qui n’est pas autorisé à parler et qui serait bien incapable de sortir le moindre mot ayant la bouche grande ouverte, lèvres et langues distendues et tombantes, ne bouge pas gardant la tête dans la position imposée par Walter et essayant de remuer le moins possible pour éviter de faire tinter les clochettes d’une part et de faire balancer le poids qui est pendu à ses lèvres d’autre part, car tout mouvement entraîne une augmentation de la douleur qu’il a du mal à supporter.
Pour autant, esclave 17 se sent terriblement et malgré lui excité d’être rudoyé et châtié sous le regard du Maître, regrettant toutefois de l’avoir courroucé en oubliant un geste qui est pourtant devenu bien machinal avec les mois de dressage subis depuis son arrivée au Château. La douleur est mordante sur les lèvres et la langue qui restent des parties sensibles du corps, mais d’un autre côté, il est content de pouvoir enfin participer aussi d’une certaine manière à cette fête D/s ou les sens sont mis dans tous les sens, lui qui n’avait jusqu’à cet heure fait qu’attendre patiemment, presque statufié d’immobilité, que ceux à qui il avait été assigné lui impose quelque chose, regrettant de n’avoir pas pu participer à leurs ébats à quatre où il n’avait pas été convié, les deux époux n’ayant décidé de se faire lécher l’un et l’autre que par les deux chiennes-femelles, le laissant agenouillé à côté, tête basse, ne pouvant même pas profiter du moindre spectacle. Là, il se sent enfin partie prenante de la nuitée, ce qui n’est pas pour lui déplaire, même si cela se fait avec quelques difficultés et douleurs qui vont aller croissantes quand il sera fustigé et devra rester immobile le plus possible sous les coups de paddle et de cravache. Au fond de lui, il espère cependant que le Maître oubliera assez vite l’incident, n’ayant pas encore pris la mesure de son « non-geste » et qu’IL acceptera de lui pardonner au terme de la punition, car esclave 17 sait que cette faute qu’il aurait dû éviter terni beaucoup le plaisir qu’il peut prendre à accepter sans rechigner la sanction imposée… Le Marquis Edouard d’Evans prend la cravache des mains de Walter, ainsi qu’un paddle cuir à double bandes étroites.

- Walter, je vous remercie. Vous pouvez disposer. Je souhaiterai que vous fassiez le tour de tous nos Invités pour s’assurer que chacun y trouve son contentement.

Le Majordome prend congé tout en saluant respecueusement. Le Châtelain se décale afin de contourner Madame la Député-maire et va se positionner de manière à ce que son bras droit soit juste derrière de celui de sa charmante amie, la positionnant en lui ayant pris la main à l’intérieur de la sienne juste au bon endroit pour pouvoir atteindre les deux croupes dénudées et si bien exposées des deux esclaves.


- Très chère amie, si vous me le permettez, laissez-moi faire, laissez-vous guider, vous sentirez peu à peu la force et la direction des coups. Il est vrai qu’il est bon de s’entrainer pour un Dominant respectueux, ayant soin de savoir manier l’instrument avec finesse, ni trop fort, ni trop faible, évitant de taper trop loin ou trop près, ou avec la mauvaise partie de la cravache et le mauvais angle. On ne naît pas Maître, on peut ressentir des prédispositions à la Dominance, mais devenir Maître nécessite aussi toute une réflexion, un vrai contrôle de soi et un apprentissage nécessaire, si l’on veut pouvoir se dire Maître avec un grand M et surtout agir sans risques majeurs pour celui ou celle qui est avant tout sous la protection du Dominant qui l’a pris sous Son joug. Tout comme je pense aussi qu’on ne nait pas directement soumis(e), on peut de très jeune se ressentir soumis(e) dans l’âme et attiré(e) par la soumission ou excité(e) à l’idée de se soumettre à un Maître ou une Maîtresse, mais il faut franchir de nombreuses étapes avant de passer de novice à soumis(e) en devenir puis à soumis(e) accompli(e).

Le Marquis Edouard d’Evans, pose la cravache dans la main de la Dominante qui se laisse faire, referme la sienne par-dessus serrant la cravache avec fermeté pour ne pas la laisser échapper mais sans se contracter dessus. Il assène plusieurs coups plus légers sur la croupe de la chienne-femelle 3, volontairement plus forts sur la couenne du chien fautif 17. Les deux postérieurs arborent vite quelques petites zébrures rouges bien caractéristiques.

- Voilà, pour une première démonstration, je m’en tiendrai là. Si vous voulez un jour vous lancer à recommencer, je vous propose de penser à vous entraîner avant sur un bon coussin bien moelleux, cela permet de se faire le poignet et d’apprendre à doser ses coups et à savoir les diriger. Vous n’aurez qu’à m’appeler si vous voulez de nouveaux conseils. Ce sera avec grand plaisir comme toujours, très chère amie. Mais passons maintenant au paddle plus simple à manier. Je vais vous laisser faire toute seule cette fois. Mettez-vous bien dans le bon angle pour que la partie en cuir frappe bien sur la partie bombée basse des fesses, les zones qui sont à éviter sont les mêmes que pour les fessées, et si vous vous en tenez à la partie basse et charnue, vous ne risquez rien, sauf de faire chauffer et rougir le postérieur de votre cobaye.

Le Marquis d’Evans positionne la main et le bras de son invité, et rectifie aussi l’endroit où elle s’est placée, un peu comme le ferait un professeur de golf sur le practice ayant à faire avec un débutant qui n’a jamais tenu un club de golf entre les mains.

- Après, c’est à vous d’adapter suivant si vous voulez que cela reste un jeu excitant et un préliminaire à des divertissements plus charnels, voulant juste provoquer un léger échauffement qui fait circuler le sang, mouiller les femelles soumises et exciter les cervelles des dominés des deux sexes, ou s’il s’agit d’une vraie punition imposée qui doit être donnée plus fermement et conformément à la sanction annoncée, précisant avant le nombre de coups, que l’on peut faire compter par la personne punie en l’obligeant à remercier à chaque fois la personne qui consent à appliquer la sanction. Je finis toujours par me demander avec tous les gadgets que je vois sur le marché s’il n’y aura pas un idiot capable d’inventer un appareil capable de compter tout seul le nombre de fessées ou de coups de cravache par simple détection des impulsions des bras. On a bien fini par installer des compteurs de pas dans certains de nos téléphones portables, podomètres du 21ème siècle. Ce serait vraiment plus que dommage de priver à terme nos soumis et nos soumises du plaisir de compter ce qu’ils ou elles reçoivent en cadeau ou en punition, et de priver tout autant tous les Dominants et Dominantes du petit plaisir pervers de pourvoir s’offrir le luxe de remettre le compteur à zéro s’il y a un oubli ou une erreur, ce qui met souvent un peu d’animation et de tension, pendant la séance et l’intervalle plus fustigeant.

Le Châtelain regarde Madame la Député-maire qui n’a pas encore porté le premier coup, attendant comme un élève sage le ferait l’autorisation de se lancer.

- Chère amie, allez-y, un peu de courage. Le paddle peut avoir une intensité largement supérieure à une bonne fessée, suivant le matériau utilisé et la force des coups. Tout est dans la mesure, bien entendu. Mais les esclaves de mon cheptel ne sont pas en porcelaine, ils ne se casseront pas au premier coup, ni même aux suivants. Vous serez sûrement fatiguée bien avant que leurs fesses ne soient hors d’état de pouvoir leur servir à s’asseoir, car ils en ont vu d’autres depuis des lustres. Je reste persuadé que la satisfaction et l’excitation que vous allez ressentir au bout de quelques coups vont décupler votre plaisir et la qualité des ébats qui vont suivre, car je pense que Votre bouton d’Amour va très vite réclamer que l’on s’occupe de lui plus précisément. Je vous regarde faire pour les premiers coups, et puis je vous laisserai continuer la nuitée avec mes deux esclaves, de la manière qu’il vous siéra.

Le Marquis d’Evans exige à la soumise-soubrette la plus proche d’aller quérir le Majordome en lui précisant que Monsieur le Marquis d’Evans lui demande de venir dès qu’il le pourra. La soumise s’incline et part à la recherche de Walter qu’elle aperçoit au fond de la salle. Ce dernier s’empresse de rejoindre le Maître des Lieux après avoir pris soin néanmoins de s’excuser auprès des personnes avec qui il conversait.

- Walter, je ne vais pas pouvoir rester plus longtemps en compagnie de Madame la Député-maire. Je voudrais donc dans un premier temps avant que je parte qu’on libère 17 de sa punition buccale, car je tiens à le voir embrasser et lécher le sol que Mes pieds foulent car je ne peux accepter que ses lèvres puissent encore toucher Mes mains ou Mes pieds. Ce minable chien mal dressé ne regagnera ces privilèges qu’avec du temps et s’il peut s’en montrer à nouveau digne. Je ne veux donc pas le toucher moi-même et lui ôter tout son appareillage, ce serait un trop grand honneur lui faire que ne mérite pas, ce sale cabot.

Walter officie et retire un à un tout ce qui entravait et tourmentait la bouche et la langue de l’esclave 17 qui par chance avait réussi à ne pas broncher malgré la douleur qui avait augmenté au fil des coups de cravache fermes qu’il recevait qui chaque fois ébranlaient les poids qui lui étiraient la langue et aussi les lèvres. L’esclave garde bien visible pour l’instant la trace des cinq marques des pinces. Le Marquis Edouard d’Evans fait le tour de l’esclave pour venir se positionner juste devant, IL lève une jambe pose son pied sur la tête du chien-esclave le forçant à se baisser jusqu’au sol, plaquant sa tête sans trop appuyer mais juste assez pour maintenir un contact des lèvres directement plaqués sur le sol à l’endroit même où l’instant d’avant le Châtelain avait posé son pied, ne daignant pas lui accorder le moindre mot pour accompagner son geste, ni même encore son pardon pour l’heure.

- Très chère amie, je vais devoir vous quitter, je vous laisse entre les mains de mon fidèle Walter qui restera avec vous tant que vous le désirerez, mais je me doute que vous allez très vite devenir une adepte de ce petit instrument D/s, tout à fait capable de prendre les choses en mains. Les fesses de ces deux esclaves peuvent encore rougir largement plus, amusez-vous et que désirs excitants et plaisirs charnels s’en suivent pendant toute la nuit. Ne soyez pas chagrinée de mon départ, je me dois aussi à mes autres Invités, il y en a tant que je n’ai salués qu’à leur arrivée et avec qui je me dois par courtoisie presque obligé de passer un petit moment plus personnalisé à échanger, si je ne veux froisser la susceptibilité de personne.
- Je Vous en prie, Cher Marquis, je comprends tout à fait. Ce n’est pas rien d’être le sublime et merveilleux point de mire de toute l’assemblée D/s réunie ce soir, qui plus est dans le magnifique Château légendaire de Vos aïeux qui doivent Vous regarder de là-haut. Votre soirée est un délice jusqu’à présent, mais j’aurai bien le temps de vous remercier de tout cela après, quand nous aurons l’occasion de vous avoir à diner à la maison. Ce sera nettement moins excitant, mais j’ai cru comprendre que vous teniez vraiment à cette création de musée consacré à la Domination/soumission, nous en reparlerons avec quelques autres invités autour d’un plat accompagné de quelques bons verres, cela devrait aider ce projet à voir le jour. Mon époux est encore réticent pour l’heure car il craint que l’on ne fasse le rapprochement avec nos tendances D/s s’il soutient ouvertement Votre dessein dès le départ, il souhaite donc que nous y allons de manière indirecte. Pour ma part, je trouve Votre idée merveilleuse et je pense que je vais pouvoir réunir à notre table quelques personnes que Vous pourrez convaincre plus facilement. Quand le projet aura été validé au niveau des collectivités territoriales et de certaines instances administratives, il sera plus facile alors à notre cher Député-maire de donner à son tour son aval, sans apparaître de fait en première ligne. La politique et les enjeux politiques et électoraux, mon Cher Marquis, si Vous saviez combien cela est complexe à manier et comme tout se fait sous la table et non au grand jour ….
- Oui tout à fait, je comprends amplement. Je vous quitte mais ne vous abandonne pas pour autant. N’oubliez pas que j’ai promis à votre époux de vous faire reconduire à votre domicile dès que vous le souhaiterez, mais que vous pouvez tout à fait choisir de dormir ici-même, si vous avez besoin de prendre un peu de repos. Dans tous les cas, 17 et 3 sont à vous jusqu’à demain matin.

Le Châtelain esquisse un léger sourire complice qui en dit long de ce qu’IL peut imaginer que sera le reste de la nuitée et IL reprend le tour qu’IL avait entrepris de faire de la salle aménagée en donjon, ayant perdu toute notion de l’heure qu’il peut être, mais personne ne songerait à aller dormir tant la nuitée orgiaque bat son plein avec de nombreux gémissements et râles de plaisirs et encore quelques bruits plus spécialement D/s lorsque les fouets claquent ou les cravaches fendent l’air.

(A suivre ….)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!