Il M'A Prise Pour Une Pute

Ça s’est passé alors que nous sortions de diner chez un oncle en pleine ville, où se garer est un exploit,
Il était minuit passé et je dois dire que l’un et l’autre étions bien gais, j’adore quand ma femme Julie est désinhibée par l’alcool, j’ai bien l’intention d’en profiter et ceci dans la voiture, dés notre départ, lui faire enlever sa culotte, voire plus, sera un jeu d’, et pour ma part je compte bien me faire faire une gâterie tout en conduisant, prudemment !
Pour récupérer la voiture j’ai proposé à ma femme de m’attendre au pied de l’immeuble, sous un lampadaire, pour lui éviter de marcher, surtout que je ne savais plus trop ou était le véhicule !
Après dix minutes je revient devant la bâtisse, Julie est bien là mais en compagnie d’un homme d’une cinquantaine d’année, elle semble soulagée de me voir arriver et se précipite dans la voiture

- Démarre vite ! Il est gonflé celui là !
- Que te voulait-il ?
- Il m’a prise pour une pute tout simplement ! il m’a demandé si j’étais intéressée par son gros membre
- Une pute c’est quand il s’agit d’argent chérie … tu as dit qu’il avait un gros membre ?
- Ou veux-tu en venir ?
- Ce n’est pas un manque de respect, au contraire, tu devrais être fière qu’il t’ais trouvée désirable dans cette tenue plutôt sexy
- Pourquoi t’arrêtes-tu ?
- Qu’a tu éprouvé aux propos de cet homme ?
- Eh bien, je t’avoue que ça m’a excitée se sentir qu’il avait envie de moi
- Dépatte deux boutons à ton chemisier, je recule …
- Tu veux que je montre mes seins à cet inconnu ?
- Pour commencer, oui
- Il nous regarde … il s’approche …
- Fait comme si tu ne le voyais pas, je vais te commenter ses réactions …il se penche pour mater ton décolleté, sa main frotte sa braguette, avance toi sur ton siège, laisse ta jupe remonter, écarte bien tes genoux, ça te fait de l’effet ?
- Je mouille pardi …
- Regarde-le, il baisse sa fermeture de braguette
- Il va la sortir ? mais oui, c’est bien vrai ! quel engin !
- Fait lui plaisir montre lui en plus
- Quoi ? mes seins ?
- Ouvre ton corsage et sort tes seins de leurs bonnets
- Mes bouts me font mal tellement ils sont dressés
- Passe tes mains sous ta poitrine comme pour la soupeser
- Ouah, il décalotte sa queue …dommage qu’ont ne puissent pas aller plus loin, ici ça craint, c’est en pleine lumière
- Je vais démarrer et rouler doucement jusqu’au parc, il y fait plus sombre
- Il va nous suivre tu crois ?
- Je vais appuyer deux fois sur les stops, c’est un bon code
- Je mouille chéri, t’as raison il nous suit …
- Ouvre ta glace

L’homme est a nouveau prés de la vitre, il a rangée sa bite, mais vu la bosse de son pantalon il bande toujours …

- Bonsoir messieurs dame …
- Bonsoir monsieur, il fait chaud ce soir …
- Oui la nuit est douce … votre femme est très belle et très jeune
- Merci, rassurez vous elle est majeure
- Je peux toucher ses seins ?
- Demandez-le-lui …
- Oui monsieur je vous le permets
- HUUUUUMMM ….

. ils sont très ferme …j’adore vos cuisses entrouvertes
- J’ai cru apercevoir votre verge tout a l’heure ?
- Oui, mais maintenant que je suis devant vous je n’ose plus la montrer
- Et si je vous le demande ?
- Dans ce cas …. Voilà …
- Muuuum, beau gabarit, combien mesure-t-il ?
- Vingt trois en longueur et six en largeur, vous pouvez le toucher …
- Je peux chéri ?
- Bien sûr, mais en retour montre lui ta petite culotte
- J’ai peur qu’elle ne soit tachée
- Vous mouillez madame ?
- C’est votre faute !
- Et si vous descendiez ? juste là il y a un trou dans la grille pour pénétrer dans le parc
- Ça te dit mon amour ?
- Allons-y, je fais confiance à monsieur, mais nous restons prés de la clôture
- Il y a de grands arbres pour nous dissimuler

Julie suit l’homme sans refermer son corsage, je lui touche les fesses, elle glousse a idée de se faire toucher par cet inconnu

- Voilà, ici nous seront très bien …
- Qu’attendez vous pour reprendre là ou vous en étiez ?
- Ah oui… je voulais toucher votre petite culotte,
- Et moi votre membre
- Faites de façon à ce que je vois tout …
- Naturellement monsieur, comme ça ? de coté ?
- Impeccable, remontez lui sa jupe jusqu'à la taille …
- Quel magnifique petit cul …

L’homme caresse le string sous toutes ses coutures, il malaxe l’abricot ventru, Julie se prête au jeu en s’ouvrant au maximum, elle manipule lentement le chibre et tire le prépuce vers l’arrière afin de le décalotter, il n’est pas pressé de la dénuder et ça me plait, ses doigts lissent la fente pour imprégner le tulle rendu transparent par le jus abondant
Je me branle devant ce spectacle plus qu’érotique, enfin il se décide à passer entre le tissu et son beau cul, ma femme geint lorsqu’il lui enfile un ou des doigts, j’entends le clapotis qui prouve qu’elle apprécie la pénétration digitale
Julie fait rouler le gland juteux au creux de sa paume, elle me regarde avant de se pencher sur la queue pour en engloutir autant que son palais peut en accepter, des bruits de sucions s’ajoutent aux bruits mouillés du vagin
Je lâche ma verge sinon je vais tout balancer dans la pelouse, l’inconnu ferme les yeux et lève la tête au ciel, preuve que la pipe est royale, je connais les talents de ma femme !
Des onomatopées annoncent la jouissance de l’homme, il prévient ma femme de l’imminence du foutre, peine perdue, elle s’accroche a la queue des deux mains, ce soir son haleine aura l’odeur du sperme d’un inconnu, mais il m’en faut plus pour m’interdire de l’embrasser
Le bassin de l’homme est secoué de nombreux spasmes, il finit par souffler fort lorsque ma femme lui rend sa queue

- Wooouuuah ! Je suis terriblement surpris par votre efficacité madame, j’aimerais vous faire découvrir l’agilité de ma langue si votre mari le permet
- Bien sûr que oui, mais l’herbe est humide...
- Je vais étaler ma veste sur la pelouse ?
- J’y ajoute la mienne prend la pose mon amour, prête ton ‘mille-feuille’ a monsieur
- J’adore la comparaison ! puis vous retirer votre culotte madame ? elle poisse votre toison

Julie soulève son bassin afin que le sou vêtement pollué de mouille libère sa vulve, l’homme me le tend après en avoir longuement respiré son arôme, je colle a mon tour mon nez sur l’étroit triangle visqueux, allongé de tout son long il soulève les cuisses de ma femelle en chaleur et avance son visage vers la fente entrebâillée
Ma femme pose ses mains sur la tête grisonnante et semble la guider, comme elle le fait avec moi, il a lâchées les cuisses qui montent droit vers le ciel, ce qui lui permet d’utiliser ses doigts pour visiter d’autres lieux plus secret …

- OOOHH oui ! Là dans mon cul, enfonce-les !!! Aaaaahhhhhooooouuuuuuuiiiiiii ! chériiiiiiiii ?
- Oui amour ?
- Je vais …. JOUUUUUUUUUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIRRR !!!
- CHHHUUUUT !!!! tu va réveiller le quartier !
- Pardon mais c’était trop bon ! merci monsieur ! vous êtes aussi un expert du broute minou !
- Il y a un autre domaine où je me défends, mais je ne veux pas r de votre amabilité…
- Monsieur, ma femme est en état de choc, vous n’allez pas l’abandonner alors qu’elle est ouverte de partout ?
- Merci ! en fait, je crève d’envie de la pénétrer dans la position qu’elle voudra
- Levrette ? ça vous dit ?
- Je suis à vos ordres et déjà à genoux !

Docile, Julie se positionne de façon à ce qu’il ne perde rien de l’exposition de son entrejambes, la vulve et l’anus sont en saillies par rapport aux deux charmants lobes fessiers, les deux trous sont aussi tentant l’un que l’autre, de toute façon, vus comme c’est parti lui ou moi prendront le petit
L’homme a quatre pattes pose les lèvres sur le vagin, autant pour lécher que pour s’enivrer du doux parfum de femelle en chaleur, apparemment satisfait il avance sont ventre sur le cul de Julie, sa main passée entre eux doit guider le manche vers la cible choisie, Julie s’arque-boute lorsqu’il pousse, ses poumons se vident quand la queue a atteint son but

- Wooouuuh ! Ça surprend ! Quelle bite !
- Tu la sens bien ma chérie ?
- Il remonte jusqu'à mon nombril !
- N’ayez pas peur de la secouer, elle aime les hommes virils
- Elle va être servie, croyez moi …

Les deux poignes sur les hanches menues, l’homme attire à lui le corps de ma femme d’un coup sec, elle couine de surprise, il la repousse pour mieux la faire venir sur sa queue aussi rudement, et ainsi de suite, Julie semble apprécier, cette brutalité car elle s’emmanche elle-même sur la trique raide
J’ai peur que les claquements sonores produits par les corps qui s’entrechoquent, et les cris strident de ma salope, n’attire des curieux qui passeraient par là, une plainte plus longue m’apprend qu’elle vient de jouir, à présent elle ne lutte plus, elle se laisse malmener par le formidable baiseur
Celui-ci grogne de plus en plus fort, jusqu’au moment ou il se colle sur le cul de Julie qui gueule comme une hystérique en recevant le sperme bienfaiteur
Il se recule un peu, je croyais qui allait se relever pour me laisser la place, mais non, avec sa main passée à nouveau entre eux il manipule son pénis, Julie à une réaction échappatoire….. Trop tard ! Son amant, plus costaud la retient, elle se fait tout bonnement sodomiser

- Chériiiiiiiii ! dit quelque chose ! Il m’encule !
- Ça te fait mal ?
- …….. NON ……..
- Alors laisse toi faire, apprécie la vigueur de cet homme
- Elles aiment toutes ça ! ma queue les hypnotise ! vous verrez qu’elle demandera à me revoir !