Une Partouze Amicale
Mon mari me rappelle que je dois organiser cette soirée à laquelle il tient tant, comme si j'allais oublier ce que j'insiste pour avoir enfin chez nous.
Notre maison est isolée dans la campagne, tellement que nous vivons souvent nus pour être à l'aise. Seuls des voisins proches peuvent nous voir : seulement nous avons des relations disons intimes, surtout avec elle, pour moi. Elle a une attirance pour les filles ce que je partage beaucoup. Mon chéri m'y encourage pourvu que je lui détaille ce que nous faisons. Il n'a qu'à venir avec moi. Enfin il ne préfère pas, par crainte je crois de se faire draguer par le mari. Et alors, je me suis faite levée par elle : je n'en suis pas morte encore. Il prendrait du plaisir avec lui. J'aimerais tant le voir avec un autre homme. Enfin il se décidera un jour !
Cette soirée doit réunir des couples, des filles seules ou avec une amie. Il ne le sait pas, j'ai aussi invité les voisins.
La maison est prête, je peux aller dans le jardin, dans mon petit coin secret, là où souvent je me contente seule, cachée sous les arbres. Dans la petite cabane j'ai mis il y a longtemps un gode qui reste là après nettoyage.
C'est agréable de sortir, d'aller traverser le grand jardin en cueillant des fleurs, en sentant l'air directement sur ma peau. J'en frémi en pensant à ce plaisir particulier de la nudité, et de ce que je vais faire seule. J'aime bien me masturber avec lui, mais là j'ai envie de le faire isolée, comme avant.
Mon chéri s'occupe de préparer les parkings pour les nombreuse voitures attendues. Il peut encore rester nu dehors:personne en vue.
Des fois quand nous sommes ensemble dans le jardin, que je regarde sa belle queue j'ai envie d'elle.
Je le prend dans la main, il ne me refuse jamais ce genre de caresses qu'il connaît depuis qui a eu 13 ans, à l'époque où il le faisait seul.
Le reste dépends de mon humeur et mes envies. Souvent je me contente de la masturber, les autres fois je mets sa queue dans la bouche pour le déguster jusqu'à la fin.
Quand il revient, je vois sa queue ballotter dans tous les sens, ses couilles suivent le mouvement. Je me demande comment un homme nu ne bande pas en étant ainsi.
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Je reviens à la maison, le voisin me voit : il me fait un geste d'invitation. Son épouse est en ville, je le sait, il ne va pas me demander de faire l'amour en son absence ? Non, il veut me montrer un détail de sa bite: son prépuce est descendu plus que d'habitude. Il découvre tout le gland. Je n'y connais rien en sexualité masculine. Il a du se branler et la peau est reste en bas. Qu'il s'en débrouille avec sa femme.
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Mon chéri sait que je viens de me masturber, j'en suis encore mouillée. Sa demande est simple, il voudrait que je le suce. Ça ne me dit rien après avoir joui comme j'ai fait. Je prend sa bite je baisse sa peau, la remonte. Je le branle quoi, comme il aime. Son jet me rassure : il a bien joui.
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Je pense que j'ai oublié de garnir les soucoupes de préservatifs : moi je n'aime pas ça, ni mon mari, mais les autres doivent se protéger. Je suis dans la maison, j'attends un moment que les invités arrivent.
J'espère que Margot sera là, j'aime bien m'isoler avec elle, loin des autres pour nous mettre en ciseau, les jambes ouvertes, les sexe collés pour jouir sans entrave comme nous aimons l'une et l'autre. Je voudrais essayer de faire ce que nous faisons toujours, en y ajoutant un double gode dans les deux culs.
Rien que de penser à ça me fait encore mouiller.
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22 heures, mes invités arrivent. Tous le monde s'embrassent soit sur les joues, soit le plus souvent sur la bouche quelques fois avec les langues.
Seul mon mari refuse de se livrer à la politesse.
Mes amis et amies sont là. Ils savent qu'ils leur faut se mettre nus chez moi. Margot est là : un énorme baiser entre nous. Ils sont tous au courant de ma préférence.
Je vois que mon mari commence à bander. Bon signe il a du voir une fille qui lui plaît, tant mieux. Il sera heureux de baiser une autre que moi. J'aime le voir pénétrer un autre fille, le voir jouir, la faire jouir. Et pareil pour lui qui après un moment de récréation bande plus fort et plus longtemps, de quoi contenter d'autre fille. J'espère que ce soir il pourra sodomiser sa préférée.
S'il pouvait me faire mentir en allant vers un autre homme pour se faire aussi sodomiser comme il le fait avec tant de dextérité avec moi. J'aimerais tant le voir farci par une belle queue.
J'ai affaire à un premier amant. Je l'ai déjà eu celui là, il y a longtemps. Nous échangeons des souvenirs juste avant que je sois à sa disposition en le suçant un peu. Il a toujours le même goût de sperme séché. Cette fois il me veux debout. Je m'adosse au mur, il peut venir, je ne tomberais pas. Il arrive, sa queue dressée, dure avec le gland apparent. Il me fait envie ;
Il se baisse un peu, il pose sa queue sur le pubis. Je la prends en main, elle est dure comme j'aime. Je le dirige vers mon orifice. Il entre doucement trop doucement. Je pousse pour la faire entrer. Je la sens au fond de moi. Il passe ses mains sur mes fesses, il cherche la raie. Je sais où il veut aller, j'en suis d'accord.
Que c'est bon de se faire baiser et caresser le cul.Son doigt ne s'arrête pas à un massage il entre en entier dans mon anus. Sa bite et son doigt, debout, ma bouche sur la sienne. C'est paradisiaque. Il est long à venir, tant mieux je jouis deux ou trois fois, la dernière en criant. Même mon mari me regarde.
Je suis prête pour la suite, Margot enfin vient me voir.
Un long baiser scelle notre accord, notre presque amour pour l'autre. C'est vrais que nous aimons baiser ensemble. Nous nous isolons dans un endroit calme.
Elle commence par me caresser partout, surtout vers les fesses. Je mouille je rend ses caresses en allant moi d'avantage vers son sexe mouillé.
Je sais qu'elle a déjà baisé avec une autre, mais nous deux c'est spécial, nous aimons la même chose.
Nous nous masturbons un peu pour refaire connaissance de nos sexes. Puis c'est autour de nos langues d'aller lécher l'autre. Le 69 que nous faisons est long. Je jouis plusieurs fois, elle aussi.
Maintenant nous nous couchons, oh, pas normalement. Elle écarte bien ses jambes, j'en fait autant. Nous ne nous touchons pas encore. Elle passe une jambe sur la mienne. J'en fait autant avec son autre jambes. Nous nous approchons l'une de l'autre. Nos sexe se touchent. Nous faisons des aller et venue, nous résistons longtemps pour ne pas partir. Pourtant il faut que nous jouissions. Je sens sa chatte se refermer quand elle commence à jouir. Je répond pareil.
C'est au moins aussi bon qu'une bite.
Nous restons longuement imbriquées dans l'autre. Nous cessons quand les autres partent ,trop tôt pour nous, à la fin de la réunion.
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