La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 341)
Suite de l'épisode N°335 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -
Marie la cuisinière du Château de Monsieur le Marquis dEvans, vient dattacher la chienne-esclave Thaïs MDE dans une soi-disant poissonnière-saumonnière géante, qui nest en réalité quune ancienne baignoire en métal sur pieds qui a été détournée de sa fonction première et installée sur des réchauds à gaz posés à même le sol. La soumise est dans lincapacité de bouger, ayant les jambes et les bras à lextérieur de la baignoire et ceux-ci sont attachés sur les pieds de cet équipement ménager un peu particulier qui était au départ rempli dune eau transparente assez chaude. Maintenant, la soumise trempe dans une eau moins limpide qui contient à la fois, lurine de Marie sétant soulagée avec un grand plaisir pervers sur le visage de la soumise à sa merci. Mais aussi tous ses sucs de femelle qui ont coulé de sa chatte humide lorsquelle sest fait lécher longuement par lesclave qui avait la tête enfouie entre ses lèvres béantes. Lèvres largement écrasées sur Thaïs MDE qui sactivait de sa langue de petite chienne bien dressée et qui sappliquait de son mieux pour procurer un orgasme à celle qui la surplombait et pesait de tout son poids sur le visage confiné de la chienne, lempêchant ainsi presque de respirer.
Marie ayant repris ses esprits après avoir savouré le plaisir de sa jouissance vient de décider de nourrir quelque peu celle qui est entre ses mains et à sa disposition totale pendant quelques heures, ayant décidé den profiter pour lui mijoter quelques spécialités qui si elles ne sont pas très académiquement culinaires seront visiblement dune perversion excitante. La cuisinière commence par tendre une tomate à Thaïs MDE qui nayant rien mangé depuis la veille sempresse de croquer à pleine dents dans le légume bien mûr, dont les sucs et pépins dégoulinent aussi sec sur ses babines et les doigts de Marie.
- Tu vois comme je suis gentille, la chienne, je moccupe même de te nourrir.
Marie se retourne et revient avec pour la troisième fois un grand verre deau servi dans une haute chope de bière. Elle att aussi une tomate de plus dans un saladier juste à côté.
- Cest bon pour la santé les légumes. Ouvre la bouche. Dabord, tu vas me finir cette tomate en premier lieu et la suivante.
Marie écrase carrément ce quil reste de la tomate un peu blette sur le visage de Thaïs MDE, et de ses grosses mains, repousse les morceaux de chair rouge qui ne sont pas tombés dans leau vers la bouche grande ouverte de celle qui impassible se laisse faire baissant les yeux, ne voulant pas prendre le risque de croiser le regard de la cuisinière sadique. Marie prend la deuxième tomate qui est encore plus mûre que la première et fourrant carrément son doigt dans la chair rouge, elle fait gicler lintérieur sur le visage maculée de la soumise impassible.
- Attend, je vais te donner un peu de couleurs aux joues et aux lèvres. Tu vas voir que mon rouge à joues et mon rouge à lèvres naturels sont très efficaces. En cette saison hivernale, il est plus difficile davoir des cerises ou des mûres pour te maquiller. Je pourrais encore trouver sur le marché des myrtilles qui teintent la peau en bleue très vite, mais cela ne convient pas dans la recette que jai mise au point.
Marie écrase lintérieur de la tomate sur les joues de Thaïs MDE qui est bien incapable de bouger et qui se demande bien à quoi elle peut ressembler, dautant plus que du fait du bain très chaud dans lequel elle se trouve, elle sent sa transpiration dégouliner sur son visage à grosses gouttes, subissant plus par obligation et abnégation envers le Maître Vénéré qui la remise entre les mains de Walter, le Majordome, et de Marie, la cuisinière, que par plaisir dêtre ainsi souillée. Elle se dit cependant que ce nest que de la tomate après tout, un aliment dont elle se régale en toute saison et qui parcourt lintérieur de son corps et de son estomac sans le moindre souci quand elle y réfléchi bien. Pensant aussi quelle ne doit pas faire vraiment la dégoutée de se savoir juste badigeonnée sur le visage dun produit si naturel, alors que lorsquelle va chez lesthéticienne régulièrement, cette dernière lui colle parfois sur le visage des épaisseurs de crèmes dont elle ignore totalement la contenance et les produits chimiques quelles peuvent contenir, se laissant faire pour bénéficier pleinement de ce que lon appelle un soin du visage. Marie continue, de tomates écrasées sur le visage en tomates éclatées qui giclent de partout, en donnant parfois des petits morceaux de chair rouge à manger directement, becquée par becquée, à la soumise qui avait déjà la peau rouge avec la chaleur qui irradiait du bain, mais qui est maintenant « rouge tomate » du sommet du crâne jusquau cou.
- Voilà, cest bien la chienne
mange tout ce que je donne à manger sagement car tu es une bonne chienne bien sage qui fait ce quon exige quelle fasse toujours
et puis lèche mes doigts, car jen ai partout à cause de toi. Tu es une bonne chienne en chaleur peut-être, mais une vraie cochonne qui mange salement et sen met partout sur le museau. Tu ne penses pas tout de même que je vais salir mon beau tablier propre pour messuyer les mains.
Thaïs MDE préfère ne pas penser aux propos humiliants et encore plus erronés de la cuisinière, ayant fini par se rendre compte de ses côtés particulièrement pervers et sadiques qui cherchent sûrement à laiguillonner jusquau bout pour la tester ou pour la pousser à la faute, avec larrière pensée de pouvoir la punir encore plus. La soumise qui cherche avant tout à satisfaire le Maître à qui elle a juré fidélité et obéissance absolue se dit quil vaut mieux quelle relativise la situation dans laquelle elle se trouve qui nest pas si terrible quand elle y pense et que lhumiliation na de valeur que si elle la ressent ainsi au lieu de ne voir là quun jeu sans grandes conséquences et aussi une expérience à vivre un peu particulière mais dun autre côté assez excitante ne serait-ce que par létrangeté de la situation et sa totale acceptation à se plier aux lubies bizarres de Marie. Après tout, elle a juste un peu de jus de tomate sur le visage et les cheveux. Elle a plus souvent été aspergée sur le visage par le sperme onctueux du Maître Vénéré et elle trouve cela très plaisant de pouvoir être le réceptacle de la Divine semence sil plait au Maître quil en soit ainsi et sIL daigne consentir à se répandre sur elle.
Et puis, Thaïs MDE se rappelle que, dans le temps, nos grands-mères utilisaient des décoctions faites de produits naturels (fleurs, fruits, herbes) pour se nettoyer et sentretenir visage et corps, se rappelant même quelle a vu sur des images des personnes qui se mettaient des rondelles de concombre à même les yeux pour les faire dégonfler, et que dans les balnéothérapies, on couvre les corps dalgues fraiches.
- Maintenant, il te faut boire, car tu transpires beaucoup. Ouvre la bouche.
Marie fait tomber leau dans la bouche de la soumise qui rapidement se trouve pleine à ras bord, car elle na pas pensé à déglutir au fur et à mesure que leau sécoulait et sest vite sentie débordé par le liquide qui lui emplissait la bouche.
- Mais, enfin bécasse que tu es ! Il te faut avaler au fur et mesure, sinon tu vas finir par t. Tu ne crois pas que je vais rester là pendant des heures à te faire boire. Il me faut finir de préparer la soupe des esclaves pour ce soir, quest-ce que tu crois ! Et puis, il y a aussi le personnel à nourrir quotidiennement. Cest un vrai travail de longue haleine qui moccupe bien tous les jours quand il sagit de nourrir tout ce petit monde, mais jai de nombreuses compensations et pas mal de petits plaisirs sensuels, comme celui que tu viens de me donner juste avant, avec toutes ces petites chiennes en chaleur qui peuplent le Château et qui ne sont bonnes à mes yeux quà lécher ma mouille. Par-dessus tout, Monsieur le Marquis est vraiment un patron très agréable et très bon, quil me plait de servir et de choyer avec une loyauté sans borne, comme je le fais depuis mon arrivée au Château de la famille Evans.
La cuisinière force Thaïs à finir le verre deau, ne lui laissant guère de répit pour déglutir et avaler ce quelle lui fait boire, alors même que la soumise commence à se sentir déjà bien remplie avec ce quatrième verre ingurgité en si peu de temps, bien quelle sache que de grosses gouttes continuent toujours de couler de son front et de ses cheveux trempés de sueur et sûrement de toutes les autres pores de sa peau, trempant toujours dans le bain chaud supportable mais tout de même à la limite du bouillant.
- Après les bonnes tomates, que dirais-tu dun « petit » concombre. Regarde comme cest mignon un beau concombre bien lisse et bien formé.
Marie att le menton de Thaïs MDE qui est dégoulinant de jus de tomate et oblige la soumise à lever la tête pour lui montrer le spécimen si large quelle a du mal à en faire le tour avec la paume de sa main et dune longueur dépassant les 30 centimètres.
- Tu ne trouves pas, la chienne en chaleur, que cela ressemble à quelque chose dautre de très tentant
surtout quil est bien gros, bien long et bien dur, celui-ci. Jai choisi celui-là exprès pour toi, tu vois comme je suis gentille avec la petite chienne que lon ma confié, il te faudra me remercier à la fin dautant plus que je suis sûre que tu vas aimer la suite de ma recette de cuisine.
Marie att le concombre et le promène sur les lèvres de lesclave, qui est fortement excitée cette fois de la symbolique de ce légume résolument phallique, nosant cependant pas mordre dedans ou faire riper ses dents sur la peau, tandis que la cuisinière le pointe vers sa bouche, poussant sur ses dents et gencives et voulant la forcer à ouvrir plus grand la mâchoire. Imitant le geste dune bonne pénétration buccale, Marie se plait à rentrer le légume et à le voir sortir, le rentrant avec difficulté cependant car vu la grosseur du concombre, celui-ci a bien du mal à trouver sa place entre les lèvres pourtant grandes ouvertes de Thaïs MDE, qui commence à sentir son bas-ventre se tendre du désir de se voir aussi forcer dans ses parties plus intimes. Elle sétonne elle-même de son désir, quelle trouve pervers et presque indécent, car elle na jamais été pénétrée de sa vie par un légume, autre que la racine de gingembre que lui a fait déjà connaître la veille le Majordome. Et pourtant à cet instant, elle désirerait tant que Marie, partie dans sa lancée, aille plus loin. La soumise par instinct primaire et animal se tend presque dans ses liens relevant le bassin comme pour soffrir encore plus à une pénétration vaginale quelle espère, ayant abandonné toute pudeur pour ne plus sabandonner quau désir qui la prend de lintérieur de son bas-ventre, de pouvoir vivre cette expérience que lui a fait miroiter Marie, mais sans rien lui promettre vraiment.
- Et bien, dis donc, la femelle, de plus en plus excitée à ce que je vois
. Tu le voudrais bien dans ton con, mon gros con
combre !!! Tu es une vraie petite vicieuse, toi
.. Je men doutais depuis le premier soir où tu es arrivée au chenil, tu mouillais comme une vraie salope dès quon y mettait le doigt. Mais tu ne timagines pas que je vais tremper mes mains dans ce jus plutôt sale dans lequel tu patauges, juste histoire de te faire goûter au plaisir
Chienne en chaleur, tu es ... Eh bien soit ! Je vais ten donner pour ce que tu es, bonne petite salope de chienne juste bonne à se faire baiser
A suivre
)
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