Eté Indien Trés Chaud (3)

Je m’allongeais donc sur le lit comme il me l’avait demandé sur le ventre, vêtue seulement d’un string. Il avait allumé des bougies, l’ambiance était très coocooning. Il avait réchauffé l’huile de monoi et commença à me masser le dos. Je fus surprise de toute la douceur, la sensualité qu’il pouvait y mettre.
Il insista sur les fesses, y soufflant dessus pour apaiser les rougeurs des coups reçus sur le capot de la voiture. Il écarta la ficelle de mon string et massa aussi mon petit trou, qui se détendait et semblait s’ouvrir comme une corolle, il me le lécha , introduisant sa langue dans mon intimité, tirant sur le string pour frotter mon clito. Le désir montait en mi, j’appréciais ces caresses qui contrastaient avec les violences que je lui connaissais.
Il me retourna sur le dos, et entreprit de me masser les seins, les léchant, les tétant doucement, descendant lentement vers mon bas ventre. Il massa ma chatte par-dessus le string qui bien sur était trempé de mon jus. J’ondulais mon bassin de plaisir
- mais t’es vraiment une chaudasse, tu n’en as jamais assez apparemment
Et il accompagna sa phrase en me pénétrant d’un coup sec, enfonçant mon string dans ma chatte. Celui-ci craqua sur un côté. Il jouit très rapidement au fond de ma chatte après quelques de boutoirs bien profonds.
- allez salpe, nous allons passer aux choses sérieuses maintenant
Il m’écarta les bras et les jambes et les attacha aux 4 pieds du lit, me banda les yeux, glissa un coussin sous mes fesses pour les rehausser. Il fini d’arracher mon string et me le fourra dans la bouche
- au cas où t’aurais envie de crier, chienne, et régales toi de nos deux jus
Il reprit son massage, mais plus puissant, malaxant mes seins violemment, tirant sur les tétons, et les tordants. Je sentis la morsure de deux pinces à linge sur mes tétons déjà endoloris, et gémissait malgré le baillon. Un liquide chaud coula sur ma chatte, sur mon clito, je réalisais que c’était de la cire de bougie, qu’il faisait couler lentement, jusqu’à me recouvrir entiérement la chatte.

Il appuya fort sur mon clito, les parois de ma chatte et me dit je fais un moulage en souvenir. Cela me fit sourire malgré le baillon et la brûlure cuisante sur ma vulve. Il arracha d’un coup sec les pinces des tétons, pur y faire couler de la cire, Ca me faisait mal, mais tout cela m’excitait, je sentais ma chatte s’humidifier, mon clito se gonfler de plaisir. Qu’avait –il fait de moi ? je prenais du plaisir dans la douleur, il m’humiliait et j’aimais çà.
Il enleva le string de ma bouche, que j’avais sucé pur aspirer son sperm et ma cyprine. Il fourra des 2 boules en lieu et place et entreprit de recouvrir mon ventre de cire, j’avais envie de me tordre sous l’effet de chaque goutte qui brûlait ma peau. Une fois recouverte de cire des seins jusqu’au sexe, il détacha mes jambes, les relava jusqu'à mes poignets pour les attacher ensemble. J’avais ainsi mes 2 trous bien exposés, à sa disposition. Une multitude de pinces furent mises sur mes lèvres et mon clito. Je serrais les dents. Puis son gros chibre rentra d’un coup sec dans mon anus et me baisa le cul à grand coup. Chaque mouvement faisait balancer les pinces avivant la douleur. Fiché dans mon cul, sans bouger, il arrache les pinces de ma chatte, ce qui me fit crier.
- ta gueule grosse salope,
Il mit quelques claques sur ma chatte ce qui déclencha quelques éclaboussements de cyprine. Il entreprit alors de me fister, sa queue toujours plantée dans mon cul. Lentement sa main progressait, me dilatant la chatte, et poussa d’un coup sec pour faire passer le restant de la main. Il bougea alors ses doigts à l’intérieur de mon vagin, ouvrant et fermant son poing, tout en reprenant ses va et vient dans mon cul. Je gueulais cette fois ci mais de plaisir
- ouiiiiii continues c est trop bon, défonces moi fort, fouilles MOIIIIIIIIIIII
Il jouit dans mon cul tout en retirant sa main, délivrant mes jets de cyprine
Il me détacha, je me sentais fourbue, j’avais l’impression que mes trous restaient béants, j’avais mal partout.

Il proposa que l’on se repose, car le lendemain nous devions partir tôt pour aller pique niquer avec son ami et la femme de celui-ci sur la plage.
J’avais besoin d’un repos réparateur, et ce fut le cas.

Comment allez se passer cette journée à la plage ?