Tel Est Pris Qui Croyait Prendre (2/2)
- Maintenant penche-toi en avant. Je veux que tu me montres bien ton petit cul.
- Bien, Maîtresse.
Lesclave obéit.
La Maîtresse saccroupit derrière lui, pose lobjet quelle tient et lui empoigne les fesses à pleines mains, plantant ses ongles dedans.
- Tu as un très joli petit cul, esclave.
- Merci, Maîtresse.
Elle écarte les fesses, et crache sur le petit trou qui lui est offert, avant détaler sa salive du bout de lindex.
- Que
Quest-ce que vous faites, Maîtresse ?
Chloé lui envoie une grande claque sur la fesse.
- Silence, esclave !
Il se tait. Elle commence à presser son index contre le trou, puis à lenfoncer. Mallory pousse un cri de surprise. Cest une sensation tout à fait nouvelle pour lui. Il a honte de ladmettre, mais il doit bien reconnaître que ce nest pas désagréable. A-t-il vécu dans lignorance pendant tout ce temps ?
La femme fatale joue avec lanus de son esclave jusquà pouvoir y faire entrer un deuxième doigt, puis un troisième et enfin, sans crier gare, elle ôte les trois et sempare de lobjet quelle avait posé. Elle crache dessus et lenfonce dans son esclave comme un bouchon. Il hurle.
- Tu sens ça ?
- Oui, Maîtresse.
- Cest un plug anal. Je vais tenseigner comment les esclaves trouvent leur plaisir. Je vais te dresser à être un esclave accompli. Tu apprendras à servir, à subir et à chérir. Mais surtout, tu apprendras à aimer cette sensation que tu découvres dans tes fesses. Tu apprendras à laimer, car elle sera ta récompense.
Mallory ne rate pas une miette du discours de Chloé. Il sen délecte. Sans savoir pourquoi ni comment, il est galvanisé.
La cruelle se relève, et contourne son esclave, toujours penché en avant. Elle pose son pied devant le visage et le pointe du bout du doigt.
- Maintenant, embrasse mon pied.
Le docile obéit sans discuter. Il pose délicatement ses lèvres dessus, tendrement, amoureusement. Puis à nouveau. Puis, comme pris de frénésie, il se met à lembrasser de toutes parts, à le lécher, à le baiser.
Elle le laisse faire, puis, dun léger claquement du pied sur le visage de labandonné, lui fait signe que cest assez.
- Redresse-toi, à genoux et les bras dans le dos.
Il obéit.
Elle att la chaînette qui relie les pinces, et joue avec.
- Tu comprends pourquoi tu en es là maintenant ?
- Oui, Maîtresse. Parce que vous avez mis ma queue en cage.
Elle tire un coup sec, il gémit.
- Faux ! Parce que tu tes comporté comme un immonde porc en mabordant dans la rue pour me draguer lourdement et avec insistance. Si tu en es là aujourdhui, cest une punition pour ce comportement. Tu as compris ?
- Oui, Maîtresse. Je vous demande pardon.
- Très bien, je vais massurer que tu retiennes la leçon.
Elle va sasseoir sur le lit, et fait signe à son esclave de venir sallonger sur ses genoux.
- Tu as été un esclave vilain. Et tu sais ce quon fait pour punir les esclaves vilains ?
- Non, Maîtresse ?
Elle éclate de rire.
- Oh allez, un petit effort !
Elle lui envoie une grande claque sur les fesses.
- On leur donne la fessée !
Il pousse un cri de douleur, elle continue.
- Tu as conscience davoir un vilain garçon ?
- Oui Maîtresse !
Elle le fesse de plus belle.
- Tu ne recommenceras plus ?
- Oui Maîtresse !
- Évidemment que tu ne recommenceras plus, puisque tu es mon esclave maintenant.
Elle ne sarrête pas.
- Qui tu es ?
- Votre esclave, Maîtresse !
- Pourquoi ?
- Parce que je suis un immonde porc, Maîtresse.
Et elle continue, encore et encore. Quand les fesses du pauvre garçon sont écarlates, elle le repousse par terre. Il se met instinctivement dans sa position à genoux.
- Regarde-toi, un parfait petit esclave bien docile. Et dire quil y a quelques heures à peine, tu te la jouais macho viril, en recherche dune proie. Il faut croire que tu avais ça en toi. Ça te plaît dêtre mon esclave ?
- Oui, Maîtresse.
- Tant mieux, parce que jai bien lintention de te garder pour moi. Maintenant file te mettre à quatre pattes sur le lit, on va passer aux choses sérieuses.
Lesclave obéit. Pendant ce temps, la déesse enfile un gode ceinture quelle tire de sa table de chevet, et sempare dun tube de lubrifiant.
Plus question dêtre tendre. Maintenant elle va montrer à sa conquête, littéralement une conquête, qui est la reine. Elle ôte dun coup le plug de lanus du malheureux, et applique une noisette de lubrifiant. Le contact du gel froid sur son petit trou désormais bien dilaté fait tressaillir Mallory. Elle masse quelques instants, puis lui rentre immédiatement le sexe de plastique tendu, dun coup dun seul.
Mallory hurle. Chloé éclate de rire.
- Quest-ce quil y a ? Ça ne te plaît pas ?
- Si, Maîtresse
Beaucoup. Ça ma simplement surpris.
- Bien, très bien. La place des machos comme toi est au pied dune femme, et le meilleur moyen de vous le faire comprendre, cest de faire de vous des petites chiennes. Tu nes pas trop à létroit dans ta cage ?
- Si, Maîtresse, un peu.
- Cest fort dommage, parce quil faut que je tavoue une chose.
- Quy a-t-il, Maîtresse ?
- Jai oublié le code du cadenas.
Mallory blêmit, mais il a à peine le temps de réaliser ce que sa Maîtresse vient de lui dire, quelle entreprend une série de va et viens dans son fondement. Son esprit sembrume. Chloé le pilonne de plus en plus vite, prise dun fou rire frénétique.
À chaque coup, ses hanches viennent cogner bruyamment les fesses de Mallory. Les secousses agitent les pinces qui nt les tétons du pauvre garçon, apportant une stimulation supplémentaire.
Il essaye de réfléchir. Est-ce vrai ? A-t-elle réellement oublié la combinaison ? Ou bien est-ce quelle bluffe pour le r ? Impossible de le savoir. Il a de plus en plus de mal à réfléchir. Il sabandonne au plaisir et hurle.
Le rire de Chloé redouble dintensité, elle se moque de lui. Elle se met à ponc ses va et viens par des fessées brutales. Elle plante ses ongles dans la chair pulpeuse des fesses.
Mallory bouillonne. Il est en colère. Il veut se lever, frapper Chloé, la jeter par terre et se venger, mais il est paralysé. Le plaisir est trop intense. Il na jamais connu un tel plaisir. Lâcher prise, soffrir purement et simplement à une personne en la reconnaissant comme sa propriétaire, cest ça quil veut. Il la toujours désiré.
Il est haletant, son corps est luisant de sueur. Il hurle, comme un cri de jouissance :
- Maîtresse ! Je me fiche de cette combinaison. Gardez ma queue en cage, sil vous plaît ! Je veux rester votre esclave à tout jamais.
Les assauts de Chloé ralentissent. Ils se font plus sensuels. Elle ne rit plus, elle arbore maintenant un sourire fier. Conquérant.
Encore quelques coups de reins, et elle se repose sur le dos de son soumis, collant ses seins aux tétons tendus sur la peau moite du jeune homme. Elle lembrasse dans le cou et pose délicatement ses doigts sur les pinces à tétons pour les tourner dans un sens, puis dans lautre, se délectant des gémissements plaintifs à demi étouffés par le manque de souffle. Enfin, elle les retire dun coup sec. Mallory hurle. Elle repousse sa victime qui tombe inerte sur le matelas. Il peine à reprendre son souffle.
La déesse lance dans un éclat de voix sonore :
- Parfait, cest ce que je voulais entendre. À genoux, esclave.
Il obéit tant bien que mal, il est vidé de son énergie.
- Quest-ce quon dit ?
- Merci, Maîtresse.
Elle se penche et lembrasse langoureusement.
- Très bien. Je suis fière de toi. Maintenant va me faire couler un bain, esclave. Je suis vannée.
Mallory obéit sans se poser de question. Son visage arbore un léger sourire béat. Il aime sa nouvelle vie.
Pendant quil est dans la salle de bain, Chloé lui crie depuis la pièce dà côté :
- Au fait, esclave, ce nétait pas une blague. Jai vraiment oublié le code du cadenas.
Mallory hausse les épaules. Après tout peu importe, il na pas besoin de sa queue pour servir sa Maîtresse, il y a des tonnes dhommes respectueux qui pourront la satisfaire de la leur.
La morale de cette histoire, messieurs, cest quil faut faire attention à ce que vous bavez aux inconnues, car vous pourriez bien finir vous aussi avec un collier autour du cou.
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