Le Défi Amoureux
Avec Graciela, on se retrouve cet après midi pour évoquer tous les sujets politiques et économiques du jour, mais lessentiel nous accapare immédiatement, à savoir : nos émotions au lit, ainsi que nos petits et grands fantasmes à venir.
Les sujets évoqués réveillent nos libidos et lintimité fait le reste
Malicieusement jouvre son tiroir a fantasme pour y découvrir, sans surprise, la présence de JF. Je sais quil est préférable dassouvir que de refouler. Je décide dagir plutôt quattendre quelle se livre à lui, un homme peut rarement refuser à une femme qui veut
De plus, le souvenir de notre fin de nuit à trois reste toujours aussi intense et émouvant.
Le stratagème de la webcam a formalisé les évènements. Jai demandé à JF quil reste dans son bureau pour suivre notre conférence, je me doutais de lissue.
Une fois dans le jacuzzi nous jouons aux masseuses réciproques et jimagine JF dans la pièce à côté !!
Au milieu de nos ébats lesbiens je dis : « imagines si JF se baignait avec nous
tu te souviens
il ta fait jouir non ? » sa réponse gentille « tu nous as bien accompagnés quand même dis donc ! ».
Alors cest maintenant! Je regarde la cam, dune moue et dun sourire à lintention de JF : « tu viens ? »
Le regard de Graciela en dit long sur sa surprise, le sourire sur son espoir
.La suite, les éclaboussures de leau, les clapotements, les rires gouailleurs puis les gémissements, les cris et souffles forts
Je me rends compte quil mest toujours impossible de décrire les gestes de mon mari mais enfin
.
En deux secondes il nous rejoint nu, entretenant sa virilité provoquée à la vue de notre spectacle. Dun sourire, dun regard et dun geste discret je lui indique sa place derrière Graciela.
Je suis assise sur le bord du spa, cuisses ouvertes, le visage de Graciela me mange. JF, debout derrière elle, se concentre sur la croupe offerte. Je sais son bel abricot trempé par nos jeux.
Je sais ce quest la frénésie dune femelle quand elle est comblée par celui quelle veut. Je sais leffet du sexe de mon homme dans son ventre.
Son plaisir est intense et je mexcite de ce que je contribue à lui offrir. Graciela à quatre pattes sur ses genoux offre sa fente à mon mari, lui, debout derrière elle, la besogne, leau natteint par leur sexe. Elle se cambre pour ouvrir son abricot luisant, son visage relevé face à moi, je vois sa rougeur jusquau cou presque jusquaux seins. Elle mord sa lèvre inférieure, paupières closes et serrées, puis souffle en ouvrant la bouche, elle est face à moi mais ne me voit pas, totalement accaparée par son propre plaisir. Son corps ondule, son visage reflète lintensité des émotions physiques. Il la bourre, la défonce et elle en est folle, les grimaces se succèdent sur les deux visages. Mâchoires serrées, mains crispées sur les hanches de Graciela pour lun et elle qui amplifie tous les va-et-vient pour sentir la queue de mon homme au fond de son vagin. Elle gémit et crie, il râle et continue plus fort. Leur plaisir est intense et je le vis devant eux, avec eux. Cest beau et excitant.
Les seins de Graciela frottent mes cuisses à chaque fois quelle se jette en avant, puis quand elle recule sur le membre de mon mari.
Ils baisent face à moi avec fougue, je sais que ma présence amplifie leur excitation, ils se veulent et se retiennent pour encore plus denvie. Il claque ses fesses, elle crie denvie et se cambre à rompre. Je sais ce quelle ressent au fond de son ventre, la queue raide et gonflée de mon homme qui la réjouit. Ils sont rouges et en sueur. Agités, incontrôlés et bientôt tétanisés par lorgasme.
JF plante ses yeux dans les miens quand il va la prendre. Coït intense, je ressens en moi la chaleur qui envahit Graciela, le sperme de mon mari qui se répand dans son ventre, léjaculation quelle aspire de tous ses muscles, sa muqueuse enveloppe le gland gonflé et fendu, et lui, qui se vide à chaque spasme. Il serre les fesses de Graciela comme pour mieux emprisonner son membre en elle, un pouce sur son petit trou. Les visages sont rouges, figés dans les stigmates de lorgasme, souffles coupés.
Les yeux se ferment, ils jouissent, je suis subjuguée, éberluée. Mâchoires serrées pour lui, bouche en O pour elle, les grondements que je connais, les petits cris stridents pour elle.
Elle se remplit de mon mari, chaque giclée se lit sur son visage, ses doigts se crispent, ses ongles senfoncent dans la peau de mes cuisses. Je sens par elle chaque jet se répandre. Comme eux je ne respire plus. Les curs battent forts.
Relâchement des tensions.
JF rouvre ses yeux dans les miens. Tout lamour du monde !!
Graciela estomaquée de ce qui vient de se vivre, son fantasme dans le ventre, elle est face à moi
Jai simplement ajouté : « On nen parle pas à Alberto nest ce pas
».
Déliée de mon homme, elle enjambe le spa sans pudeur, sexe luisant, fesses encore rougies, une coulée blanche sur la cuisse, et file vers la salle de bain.
JF menlace et membrasse
Silence de lamour complice.
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