La Renaissance D'Audrey
Je mappelle Audrey et jétais en pleine dépression lorsquest arrivée cette histoire insolite qui ma fait renaître. Après une déception amoureuse douloureuse, javais tout abandonné : le cocon familial, les études à la fac, les relations sexuelles. Tout ce qui faisait de moi une jeune fille séduisante sans être vraiment belle mais au succès certain avec les garçons.
Javais tout changé dans ma vie : je ne me maquillais plus, je nallais plus chez le coiffeur, tirant mes cheveux en arrière sans grâce, mhabillais avec des pulls amples sans formes et des pantalons accompagnés de baskets plates. En un mot, jétais totalement transformée et je décidai dacquérir une formation professionnelle me permettant dentrer directement dans la vie active et, si possible, à plusieurs centaines de kilomètres de chez moi et de mes récents et douloureux tourments.
Je me retrouvais donc en plein hiver pour un stage de six mois sur la Côte dAzur. Je me plongeai dans mon stage avec la seule envie de réussir et en occultant tout plaisir qui aurait pu me distraire de mon objectif : réussir professionnellement, puisque ma vie amoureuse était un désastre. Cela se passa remarquablement bien : je terminai première avec les félicitations du jury et se présentaient donc devant moi des perspectives qui allaient, je pensais, me redonner goût à la vie.
Je me rendais donc au dernier cours, lorsque je fus surprise dy être seule, les professeurs sourirent de ma présence en me disant que le dernier jour était toujours séché par les stagiaires qui faisaient la fête. Bien sûr, comme je ne communiquais avec personne, on ne mavait pas mise au courant, ce que jaurais dailleurs refusé. Il restait donc deux professeurs, Roger et René, deux hommes à la quarantaine bien avancée, dont la ringardise était proportionnelle à celle de leur prénom. En fait, je les avais beaucoup appréciés car ils sétaient révélés très compétents et gentils. Physiquement, ils navaient rien
rien de laid ni de beau.
Me retrouvant seule dans la ville, je décidai dhonorer correctement linvitation de mes deux professeurs qui le méritaient bien. Aussi, je me rendis chez le coiffeur, ce nétait pas un luxe, et jen ressortis transformée avec des mèches blondes très réussies sur ma couleur naturelle châtain clair. Ce passage chez le coiffeur me rappela un peu à ma nature de femme et je passai aussi chez lesthéticienne doù je ressortis, après un soin rapide, avec un flacon de mon parfum favori, Trésor de Lancôme. Puis, je machetai une petite robe : je craquai littéralement devant une robe très moulante jusquaux hanches puis évasée sous les fesses descendant au-dessus du genoux. Son tissu en peau de pêche était très doux contre ma peau et sa couleur abricot se confondait avec celle de ma peau.
En passant devant le rayon lingerie, je craquai pour une paire de dim-up tabac très brillants, moi qui navait mis que des chaussettes depuis six mois. Enfin, je décidai de changer mes baskets par des escarpins beiges en daim. Revenue à lhôtel Campanile où je logeais, je me trempai, tout le reste de laprès-midi, dans un bain chaud et moussant qui me régénéra complètement. Je me sentais enfin femme de nouveau, mais sans éprouver quoi que ce soit au niveau sexuel, chose dont je me sentais guérie pour longtemps.
Pour la première fois depuis longtemps, je restai longuement devant le miroir : ma coiffure, cette fois, cachait mes petites oreilles de souris un peu décollées ; mes joues saillantes me paraissaient moins juvéniles ; mon petit nez pointu ne me gênait plus ; ma bouche ourlée se laissait embellir à grand renfort de rouge à lèvres.
Quand jenfilai ma robe, la peau de pêche glissait comme une seconde peau sur mon corps. Mes seins, certes assez petits mais parfaitement bien pommés, navaient aucunement besoin de soutien-gorge, dailleurs, je nen avais pas amené. Je me surprenais même à rentrer mon petit ventre, source de complexe, pour paraître plus féminine. Et la forme évasée du bas de la robe cachait très bien mes cuisses, un peu trop pleines à mon goût et surtout atteintes par un léger embryon de cellulite. Quant à mon popotin saillant et rebondi
je ny pouvais hélas rien pour en dissimuler les exagérations.
Un regard à ma montre meffraya : javais un retard de 30 minutes ! Vite, jenfilai un manteau de fourrure en renard qui tombait à mes chevilles et descendis lescalier extérieur, lorsque je vis la voiture de René et Roger. Je fus agréablement surprise de voir quils ne me reconnaissaient pas, je dus me pencher à leur portière pour leur faire signe, et cest en riant de leur stupeur que je minstallais à lintérieur de la vieille Nevada Renault qui devait avoir plusieurs centaines de milliers de kilomètres au compteur.
Me laissant guider par mes deux professeurs, je ne fus nullement surprise de voir que leur choix sétait porté sur une pizzéria. Cétait bien là leur univers : pizzéria et cafétéria en guise de gastronomie ; bobonne et famille nombreuse ; meubles de la CAMIF et dimanches à vélo ; foot et tarots
enfin toute la panoplie du beauf
Le repas se passa très bien dans une ambiance quasiment paternaliste qui fut juste, peut-être, un peu troublée au moment où jai quitté ma fourrure pour paraître dans la petite robe moulante. Mais ce ne fut quun nuage furtif dans le regard de mes pères de famille qui mont abreuvée de conseils pour la suite de ma carrière professionnelle, bien entendu, et de rosé de Provence qui fut dun grand secours pour que je puisse garder mon attention en éveil. Après un tiramisu insipide, il fallut se lever pour me ramener à lhôtel.
À côté de la pizzeria, il y avait un dancing aussi triste que la mine de mes chevaliers servants, mais je fus prise dune envie de méclater un peu après ce repas étouffant. Ils acceptèrent dentrer après quelques refus polis que je sus convaincre en promettant que nous rentrerions de bonne heure. Après un premier gin fizz, moi qui navais pas bu une goutte dalcool depuis six mois, jallais seule sur la piste de danse où quelques couples dansaient. Javais besoin de me mouvoir sur la musique pour me sentir bien, je récupérais ainsi de cette période monacale où je navais pourtant subi aucune frustration.
Je revenais vers eux, toute transpirante après mes danses en solitaire, et leurs regards se posèrent enfin sur moi. Mais aucun brillant dans leurs yeux nétait perceptible pour minquiéter sur leurs intentions. À vrai dire, leurs intentions étaient daller se recoucher pour retrouver enfin leur foyer le lendemain au plus vite. Je leur offris un verre et, bien sûr, une troisième tournée arriva. Nos conversations étaient toujours aussi peu affriolantes, mais je sentais lalcool agir en moi, et la peau de pêche de ma robe collait de plus en plus à ma peau brûlante. Ils refusèrent de danser avec moi mais arriva alors un slow et je dis à Roger de venir avec moi. En protestant, il se leva et maccompagna. Roger était un chauve moustachu assez drôle avec ses grosses mains et sa pilosité excessive, et nous dansions "à la papa" tous les deux. Je sentais quil nosait pas me prendre dans ses bras. Ça mamusait et, à un moment, un mouvement involontaire nous rapprocha et je sentis les cuisses de Roger frotter contre les miennes.
Jai eu envie de le sentir contre moi, mais sans penser à autre chose que déprouver un simple contact chaleureux. La danse se termina alors que mes seins touchaient son torse fort développé et que ses mains étaient descendues sur mes hanches. Il me sembla que ses gros doigts cherchaient en vain la trace dune culotte à travers le tissu collé à mes fesses.
Il me sembla que quelque chose avait changé
Roger me regardait différemment et jai senti ses yeux se promener sur mon corps mais sans insistance, cétait plutôt de la curiosité que jai lue dans son regard, ce qui ne ma pas inquiété mais plutôt amusé. Arrivée sur la piste, je me retournai vers René et cest lui qui me prit dans ses bras en me serrant quelque peu, jai aimé ce contact, mes seins contre son buste, ses mains venues directement sur mes hanches et aussitôt le jeu de nos cuisses se frôlant, se touchant, se frottant parfois. Je préférais cela aux timides et inquisiteuses palpations de Roger sur mes hanches.
Mais la musique sarrêta vite, le dancing fermait vu le peu de nombres de clients. Arrivée à la table, je sentis une pointe de tristesse dans le regard de Roger qui me fit un peu de peine, il devait regretter de navoir pas profité un peu plus de la danse pour serrer contre lui une jeune fille comme moi, une occasion inespérée pour un homme comme lui
Puis, je me drapai dans ma fourrure et nous fûmes dehors dans le froid de lhiver. Mon corps était brûlant, je regrettais les danses, je regrettais la compagnie de ces deux hommes aussi charmants quinoffensifs et une onde de tristesse menvahit quand je fus de nouveau installée seule derrière dans la voiture. Très vite, nous arrivâmes dans le parking de mon hôtel, une panique sempara de moi, jallais encore me retrouver seule face à moi-même et à tous mes problèmes. Je leur demandai de venir encore discuter dans ma chambre car le hall de lhôtel était fermé.
Ils me suivirent dans lescalier extérieur, cela commençait à me faire bizarre dêtre suivie ainsi par deux hommes, qui auraient pu être mon père, dans ma chambre dhôtel. Je me sentais prise de picotements au creux des reins, signe que la femme nétait pas définitivement effacée de mon corps même si mon esprit rejetait toute éventualité charnelle.
La chambre étant très étroite, ils sinstallèrent tous les deux sur le lit. Je passai dans les toilettes pour satisfaire un besoin pressant, les laissant tous les deux. Le gin fizz navait pas que fait effet sur ma vessie, je me sentais grisée par lalcool et la présence de Roger et René, tout à côté, simplement séparés de moi par la frêle cloison, alors que je relevais ma robe pour masseoir sur le siège, cela me fit sourire et surtout me troubla. Je sentis mes tétons se dresser, imprimant mes pointes sur le tissu doux et léger de la robe. Jécartai mes cuisses et je sentis le jet chaud de mon urine faire un grand bruit dans la cuvette. Je me disais quils devaient tout entendre et cela me troubla encore, si bien que lorsque je me suis essuyé la chatte, jai insisté et un liquide beaucoup plus épais imprégna le papier. Sous linsistance de mes doigts, cela coula abondamment. Je nen revenais pas de me sentir ainsi troublée.
Pourtant, Roger et René navaient vraiment rien pour mexciter mais lenvie était là, entre mes cuisses, et mes doigts la palpaient, la cultivaient, la faisaient monter jusquà la pointe de mes seins. Je serrais les cuisses, emprisonnant mes doigts qui devenaient poisseux. Je dus arrêter pour ne pas jouir et je me relevai prête à les rejoindre avec un trouble si profond que je sentais que javais besoin deux. Javais besoin de ces deux mâles. Je me sentais pour la première fois depuis six mois femelle.
Jouvris la porte et les regardai, ils ne disaient rien, ils étaient là, me déshabillant du regard. Lattente à travers la cloison où javais mis si longtemps à faire pipi avait réveillé leur instinct de mâle. Mais ils nosaient pas. Visiblement, ils se trouvaient devant une situation aussi inédite quinespérée.
Alors, perdant toute retenue, nécoutant que mon désir, debout devant eux, je pliai mes genoux pour saisir ma robe et la remonter sur moi découvrant mes cuisses gainées par les bas tabac. Puis le triangle châtain de ma toison leur montra que leurs doigts sur mes hanches avaient bien lu labsence de petite culotte. Je remontai encore ma robe, dévoilant ma poitrine nue elle aussi, et ma robe alla rejoindre le sol. Sans un mot, je minstallai entre eux sur le lit, je me tournai vers René, lui tendis ma bouche, et un baiser nous unit longuement sans que les deux messieurs nosent quoi que ce soit sur moi tellement mon attitude les subjuguait.
Je décollai mes lèvres brulantes de la bouche de René pour me tourner vers Roger dont le visage sillumina et je sentis aussitôt le picotement de ses grosses moustaches sur mes lèvres puis sa grosse langue qui vint aussitôt fouiller ma bouche. Dans sa fougue, qui me surprit, il mentraîna sur le lit me couchant contre lui. Ses grosses lèvres que je croyais seulement gourmandes de saucisson et autres charcutailles me dévoraient la bouche et cela me plaisait. Cétait mon premier vrai baiser avec un homme aussi âgé et, à ma grande surprise, jaimais et je me sentais fondre partout.
Je glissai une main dans sa chemise dont les boutons craquèrent et je découvris son torse épais et velu. Mes doigts se perdaient dans ses poils tandis que sa langue mexplorait la bouche avec fougue. Jaimais cette grosse langue épaisse, sa salive abondante, la précipitation de son étreinte. Jeus envie de sentir son ardeur et ma main glissa sur son gros ventre adipeux que je caressai doucement tandis quil me mangeait la bouche. Je glissai mes doigts sur sa braguette que je défis habilement puis la boucle de sa ceinture et je sentis sous mes doigts sa force tendue. Je découvris son chibre qui me parut démesurément épais et large mais plutôt court.
Nous en oublions René dans notre folie, tandis que je caressais sa queue. Que ma main se faisait à son étrange configuration. Roger me fit basculer sur lui car je sentais quil ne supportait plus la pression de ma main sur sa queue et quil voulait me pénétrer. Je me laissais faire et me retrouvais à califourchon sur son gros ventre en tenant encore sa queue dans ma main.
Moi aussi javais envie de la sentir me pénétrer et aussitôt je me soulevai et la dirigeai contre ma vulve béante et trempée et aussitôt elle me pénétra entrant avec une facilité qui me surprit vu le diamètre impressionnant de lobjet. Je savourais cela avec délices et sentis le gland entrer puis pousser en moi. Je me redressai sur lui et la bite entra jusquà la garde dans mes chairs gluantes.
Je gémissais, heureuse de ressentir cette sensation qui mavait tant manqué pendant six mois. Je me mis à chevaucher Roger pour mieux la sentir, pour mieux mempaler sur cette queue qui me faisait du bien. Cest alors que jentendis René se lever. Je tournai mon visage vers lui et rencontrai un homme dépité par ce spectacle duquel il était simple spectateur. Je lui souris, charitable, et lui fis signe de rester. Il sarrêta et comme il me semblait ne pas comprendre je lui dis
René, prends-moi en même temps
Je lus sa stupéfaction sur son visage. Visiblement, il navait jamais pris une femme à lanus. Mon sourire lencouragea et je lentendis se déshabiller. Je repris ma chevauchée sur la queue de Roger, en ralentissant un peu pour ne pas jouir avant que René ne soit dans mon cul. Je sentis ses mains me saisir aux hanches, puis je sentis le contact de ses cuisses sous les miennes. Je sentis son gland chercher entre mes fesses. Il sy prenait si mal que sa queue débandait. Alors, je dis à Roger de ne plus bouger et, le gardant dans mon vagin, je me retournai un peu pour saisir la queue de René qui était heureusement beaucoup fine mais aussi plus longue. Aussitôt, ce contact le réveilla et il banda à nouveau, mais je dus saisir mes fesses pour les écarter avant quil me pénètre en même temps que son copain. Je poussai un cri car René mencula sans aucune précaution et me déchira lanneau qui se détendit enfin pour lui laisser le passage qui était jusque-là interdit.
Une fois la douleur estompée, je me cambrai pour linviter à me pénétrer plus loin et à me bourrer le cul sans ménagement. Ce sont les coups de queue de René qui imprimèrent alors le rythme de notre folle chevauchée. Mon cul le recevait et se mouvait sous la direction de sa bite en me poussant sur celle de Roger. Je sentais lorgasme monter en moi et je ne pouvais le retenir, ne maîtrisant plus rien, étant la proie des bites de mes professeurs. Je partis dans une longue plainte de fauve qui dut réveiller une bonne partie de lhôtel, jusquà en perdre connaissance, mévanouissant entre les deux queues et les corps des deux quadragénaires.
Je ne me réveillai que fort tard le lendemain matin, seule dans mon lit, le ventre et les cuisses encore souillés de leur semence. Avaient-ils joui en moi ? Je ne le saurai jamais. Mais que javais mal à mon petit cul
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