Salle Des Fêtes
La salle des fêtes du village, louée pour l'occasion permet de réunir les pires personnes des environs : j'en fais partie. Je me suis fais connaître grâce à mon incroyable résistance à l'orgasme : je peux facilement baiser, faire jouir plusieurs filles daffilé. Il y a là des personnes dont je ne soupçonnais pas l'endurance : surtout des femmes, comme celle du notaire, du boulanger ou du maire.
Si les relations sont encore froides, la musique, le fait de voir des femmes presque nues, offertes à qui veut d'elle, monte vite l'ambiance. Je suis surpris de voir des femmes à priori sage, se précipiter pour prendre une bite dans la bouche, la lécher selon les règle de l'art pour la faire jouir, continuer jusquà la faire encore bander pour recommencer cette fois en donnant son sexe.
Une de celles qui m'étonne le plus est la femme du médecin : elle commençait avec la femme du maire, se faisait lécher le sexe, puis l'anus avant de faire un 69 devant les autres ; Je ne pensais jamais qu'elle soit si sensuelle.Puis toujours chaude, elle demandait à un autre, un homme cette fois de la sodomiser:elle était à peine penchée en avant, tenant la bite dans sa main pour la diriger, se faire empaler profondément en jouissant assez vite.
J'étais tellement pris devant ces spectacles que je ne pouvais me décider pour la partenaire. J'étais appuyé le dos au mur quand je sentais ma bite prise dans une bouche : c'était agréable de sentir une langue lécher ma bite.
J'étais sucé par un homme ; je trouvais qu'il me donnait du plaisir, je ne l'ai pas repoussé, surtout qu'il passait un main dans la raie des fesses pour chercher mon petit trou. C'était la première fois qu'un homme me faisait ce telles choses, que je ne refusais pas.
Je trouvais du plaisir, je le laissais faire.
Juste devant moi deux femmes s'aimaient comme il est décrit dans les histoires de lesbiennes. Elles étaient en 69, couchées sur le coté, les jambes relevées, les bouches collées sur les sexes.
J'aurais tant aimé participer à ces jeux de femmes, et je me trouvais avec ma bite dans la bouche d'un homme, moi qui aime tant les filles.
Je pouvais me dégager juste avant de jouir pour avoir ma queue libre de ses mouvements. Ma bite avait des mouvements de bas vers le haut. Il semblait que le gland devenait encore plus violet. Mes couilles ballottaient moins sous ma queue.
Une autre bouche est venu me croquer le sexe. Cette fois je voyais une fille qui avait de l'habileté qui me léchait dans l'espoir de boire ma liqueur.Je ne faisais que lui caresser les chevaux, passer ma main sur son visage en signe de soumission. J'étais à elle.
Elle oubliait un instant ma pine pour lécher mes couilles, c'était excitant. Je le relevais pour l'embrasser. Sa langue allait et venait dans ma bouche. Ma queue était collée à son ventre qui donnait des mouvements excitants.
Je voulais lui faire l'amour, pas comme ça, vite fait devant les autres qui m'auraient peut être regardé, mais dans un endroit confortable, surtout pour elle.
Je le trouvais à eux pas, dans un petit hôtel qui n'avait jamais du avoir tant de clients. Nous étions toujours nus quand nous sommes entrés dans l'établissement sans que la réceptionniste, presque nue qui visiblement se donnait du plaisir ne trouve à redire, même si je bandais encore.
Notre chambre était ce qu'il y a de plus rustique. Pourtant nous nous sommes aimés comme des amants depuis longtemps ;
je me souviens encore du plaisir que j'ai eu à la pénétrer, la baiser, la sodomiser, sur sa demande, et de son goût de cyprine affolant.
Lorsque au petit matin nous devions cesser nos étreintes, elle a tenu à lécher ma queue toujours enduit de sa cyprine, même de son jus de cul. Mais quel goût quand sa langue est venue dans ma bouche.Puis quand je finissait de la lécher, elle me donnait tout ce qu'elle avait dans le vagin : un régal matinal.
Chaque année, la même salle des fêtes est retenue. J'y vais pour trouver une bonne baise.
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