Jumelles

La lune se reflète sur le grand miroir. Une étrange lueur éclaire la pièce. Un fantôme passerait sans que j’en sois étonné. Ce n’est pas un spectre, c’est une vraie fille que je tiens dans mes bras après l’amour, et qu’elle fille, ardente, gourmande, n’hésitant jamais à demander ce qui lui plait. Je me sens bien à ses cotés. Souvent au cours de la nuit elle se réveille pour que je recommence à lui donner ma queue. Câline porte bien son prénom.
Elle habite à deux pas, c’est toujours elle qui vient chez moi. Elle ne veut pas me voir chez elle, elle a peur que ses parents me connaissent. Pour moi ça m’est égal. Elle vient le soir vers 22 heures. Là commence notre nuit agitée.
Au début j’étais un peu étonné de la voir sans sous vêtements. Mais c’est tellement excitant de faire tomber son jean pour voir directement sa chatte. Quel sexe qui tient de la force d’attraction pour moi, surtout pour ma langue que je pose sur elle. Elle aime beaucoup quand je la passe sur sa minette. Je lui enlève le haut pour voir une paire de seins extraordinaires. Même en, remuant fortement, ils restent toujours comme cimentés et pourtant quelle douceur sous la fermeté.
Dès qu’elle est nue, je passe deux doigts entre ses fesses à la recherche d’un trou perdu. Dès que j’arrive sur l’anus, elle l’ouvre pour que mes doigts la pénètrent. Dès que je suis en elle, elle resserre son cul. Je reste un peu prisonnier d’elle le temps qu’elle désire, jusqu’à son premier orgasme.
Je choisis cet instant pour me déshabiller aussi. Elle prend ma queue dans sa main pour me branler aussi un tout petit moment. Quand elle me lâche ma pine fait de petits mouvements ascendants qui l’amusent beaucoup. Elle profite de la petite goutte qui suinte du méat pour passer sa langue sur le gland.
Puis, couchée sur le dos, elle écarte ses jambes. Sous la lueur lunaire j’aperçois à peine sa chatte. Si elle pense que je vais la baiser elle se trompe beaucoup.
Ma bouche remplace avantageusement ma queue.

D’abord je lui lèche d’un seul coup de langue depuis le cul jusqu’au bouton. Puis, je le prends entre mes lèvres en serrant. Elle tend son bas ventre vers moi pour finir par dire un seul mot :
- Encore.
Comment refuser une telle chose à Câline ? J’en suis incapable. Je continue à la mordre ainsi. J’ai la queue qui me fait mal à force de bander. J’oublie sa chatte pour venir sur elle. Ma bouche suit le mouvement. Je lui lèche en montant d’abord sa fourrure brune, puis son ventre, avec un arrêt obligatoire sur ses seins, pour fini sur sa bouche. A ce moment là seulement elle prend ma queue pour la diriger vers son endroit secret.
J’entre en elle toujours lentement. Pour que j’aille plus vite, elle avance son pubis contre le mien. C’est ensuite une course d’endurance qui commence : je ne veux pas jouir trop vite comme elle qui entend avoir un bel orgasme. Nos poils pubiens de mélangent sans cesses. C’est sacrément jouissif d’être ainsi à deux pour se donner ce plaisir. Je ne tiens plus : je jouis au fond de son puits. Ce doit être ce qui entraîne aussi son plaisir qui dure bien plus que le mien.
Ainsi chaque nuit nous nous baisons.
Un jour je découvre la vérité par hasard. Câline n’est pas seule. Elle a une sœur jumelle. Je me demande si c’est toujours la même fille que j’ai pour amante.
Ce soir, je laisse la lumière allumée pour bien examiner tous les détails de son corps. Je remarque un petit grain de beauté sur son épaule droite. Cela n’empêche pas qu’elle me baise comme une professionnelle. Ce soir elle me demande pour la première fois une sodomie. Si elle jouit normalement avec deux de mes doigts, là, elle se lâche totalement. Je passe sans trop de peine son entrée : mon gland la pénètre lentement. Toute la longueur de ma bite est en elle, plus que dans son con. Je sens ses fesses à chaque fois que je fais les vas-et-viens. Je la sens quand elle se caresse le clitoris. Elle jouit bien avant moi qui pourtant en ai envie.
Je ne tiens quand même pas longtemps pour éjaculer au fond de son cul.
Elle prend toute ma soupe en jouissant encore. Puis après les câlins d’usage elle rentre chez elle.
Le lendemain je laisse encore la lumière allumée. Je vois le grain de beauté sur l’épaule gauche !!! Ainsi je baise des jumelles sans que je sois au courant, surtout sans que je sente de différence de comportement. Je ne dis rien, je ne veux pas perdre de si bonnes baiseuses. Je cherche comment les démasquer, sans que je trouve de solution pour connaitre laquelle des deux j’ai dans mon lit.
Je trouve ce que je crois être un piège :
- J’aimerai bien te baiser avec une autre fille qui ai tes capacités.
- C’est vrai ?
- Oui, j’aimerais ton double.
Le lendemain je pense avoir la berlue. J’ai devant moi deux Câline. Les deux sœurs qui sans honte aucune viennent vers moi pour un trio.
Celle que je prends pour Câline est Rosine. Pour me montrer qu’elles sont capables de baiser en trio, elles s’embrassent sur la bouche avant de se masturber. Je suis vite excité par ces deux jeunes femmes qui n’hésitent pas à me montrer de quoi elles sont capables. Nues, cote à cote, mis à part les grains de beauté, rien ne les différencie, surtout pas leurs mains sur ma pine.
Pour une fois je les laisse faire ce qu’elles aiment. C’est justement leur plaisir mutuel qui les inspire aujourd’hui. La masturbation n’est qu’un petit hors d’œuvre. Pour me faire participer aussi à ses agames particuliers. Une des deux est dessus, me donne ses fesses. J’ai le choix entre l’enculer ou la baiser.
Mon choix est très simple. Je mets ma queue, non pas dans le cul, mais dans le puits. Aucune n’arrête de lécher l’autre. Je prends un autre plaisir plus complet en sentant la langue lécher ma queue pendant qu’elle baise le con de la sœur. Je sors ma pine juste avant de cracher pour le donner à la bouche voisine.
Nous baisons toujours maintenant en trio.
J’ai eu l’explication de ce doublé. J’ai baisé la première Câline qui toute contente d’avoir bien jouit en parlait à Rosine qui le soir même est venue se faire mettre par l’amant de sa sœur.
Depuis elles alternent leurs baises avec moi. Pour leur propre duo lesbien c’est de l’histoire très ancienne : ça date de leurs 15 ans où initiées par une tante, elles y ont pris gout au point de ne plus pouvoir s’en passer. J’attends la suite sans déplaisir.

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