La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 342)
Suite de l'épisode précédent N°341 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -
Lesclave baisse la tête, regrettant beaucoup davoir laissé trop paraître son désir, alors quelle nétait là après tout que pour satisfaire les envies farfelues de Marie. Son bas-ventre la titille dautant plus que la cuisinière a commencé à lui caresser les seins, à les lui malaxer pleinement de ses grandes mains encore trempées de tomate, même si Marie lui en déjà fait lécher une bonne partie.
- Oui, cest bien ce que je dis, tu nes quune chienne-esclave qui ne doit pas comprendre et connaître grand-chose à la cuisine, surtout que si jai bien compris avant de venir ici, tu la jouais grande femme daffaires qui ne devait pas souvent se salir les mains devant les fourneaux. Je parie même que tu avais une femme de ménage et une cuisinière à ton service
Mais ici, les rôles sont inversés, alors, je vais quand même essayer de texpliquer le bé à ba de la cuisine à ma manière. Pour faire un bon bouillon, il faut de bons légumes. Tu vois, cest simple après tout !... Simple, mais
surtout quand cest à ma façon
ha ! ha ! ha !
Marie ironiquement perverse par son rire vicieux séloigne de quelques mètres et revient avec une petite caissette remplie de poireaux déjà correctement nettoyés mais laissés entiers et mis à refroidir et durcir tels quels. Elle en att un et sen sert pour caresser avec la partie blanche, les joues, le cou et la poitrine de Thaïs MDE qui frissonne en sentant le légume froid qui sort du freezer parcourir sa peau sensible et vivifiée. La cuisinière ayant attisé les sens de la soumise sur la partie du corps qui est au-dessus de leau prend le poireau dans lautre sens écartant la partie verte supérieure au maximum et donnent de petits coups sur les seins tendus de la chienne, martinet naturel dont les lanières sont constitués des feuilles encore givrées et durcies qui viennent sabattre sur les mamelons turgescents dautant plus sensibles que lécart de température entre le poireau glacé et le bain très chaud est important.
- Cest très bon les poireaux pour faire un bon « potage à la soumise » façon Marie, recette inventée par mes soins et dont je conserve lexclusivité absolue. Par contre, le poireau, ce nest pas bon pour toi, il est cru et tu ne peux pas en manger. Je vais te redonner encore un peu de tomate mais plus
disons
de façon plus cuisinée
!
Alors cette fois-ci, Marie presse carrément de manière presque ininterrompue plusieurs tomates molles au-dessus de la bouche et du visage de la soumise faisant tomber la chair souple dans la bouche ou à côté, et jetant le reste des légumes écrasés dans leau. La cuisinière entreprend ensuite de couper un à un les poireaux au-dessus du corps de Thaïs, laissant les petits centimètres verts et blancs de légumes coupés tomber sur la poitrine ou dans le bain. Thaïs qui avait accepté sans broncher jusquà présent de se laisser manipuler par la cuisinière, commence à se sentir assez mal à laise de voir la tournure que prennent les événements. Elle vient de repenser aux images de BD ou de films qui montraient des cannibales qui mettaient leurs victimes et leur futur repas humain à cuire dans de grandes marmites à même le feu. Elle se demande si Marie na pas perdu la tête car elle se souvient que la poissonnière dans laquelle elle trempe est située au-dessus justement de réchauds posés à même le sol. Leau est déjà très chaude et elle craint dêtre brulée carrément si la cuisinière se mettait à allumer les feux, car le métal du récipient deviendrait vite brulant. Elle tente de se raisonner en se disant que même si elle a compris depuis le début que Marie la cuisinière est assez sadique, aimant jouer avec les esclaves du cheptel à leurs dépens, Le Maître Vénéré à qui elle appartient, a toute confiance en elle et que dans ces conditions, elle ne pourra pas prendre le risque de porter atteinte à la vie de celle qui est sous la protection du Châtelain.
En parallèle, la soumise se rend compte que cette situation qui la panique par un certain côté malgré le fait que cela soit peu crédible, lexcite aussi terriblement, se sentant totalement impuissante, vulnérable, devant accepter toutes les lubies les plus folles de cette cuisinière qui se plait à jouer des aliments qui font son quotidien, nhésitant pas à gâcher sans remords cette nourriture juste pour le plaisir dun spectacle loufoque et lenvie de faire tremper lesclave dans un bain déjà souillé de lurine et de la cyprine de Marie, et maintenant rempli de tomates et de poireaux. Marie continue à couper les poireaux, mais en garde un non coupé, ayant déjà en tête la suite de sa recette. Elle oblige Thaïs MDE à boire un cinquième grand verre deau qui doit bien avoir maintenant vidé une bouteille entière, mais dont une bonne partie a dû partir en transpiration dans ce « spa » alimentaire improvisé et , qui est loin de ressembler à un spa aux huiles essentielles comme on en trouve dans certains instituts de beauté. La cuisinière glisse le dernier gros poireau non coupé dans la bouche de la soumise, le plaçant à lhorizontale en travers entre les deux commissures des lèvres écartées de lesclave, un peu comme si elle lui avait mis un mors entre les dents.
- Ne bouge pas
Celui-ci sera pour plus tard
. Pour linstant, il faut que je te prépare un peu mieux. Je ne sais pas si tu sais pourquoi lorsquon a fait cuire de la tête de veau ou bien de cochon, lhabitude est de toujours garnir de persil les trous des oreilles et du nez de lanimal si on veut la servir entière sur une table, il parait que cest plus pudique. Je me demande si tu ne serais pas enfin belle toi aussi avec un peu dherbes frisée comme parure pendant que tu fais trempette dans mon bouillon.
La cuisinière repart vers le frigidaire chercher plusieurs saladiers remplis que Thaïs MDE aperçoit à peine car elle garde la tête inclinée et le regard baisé, conservant entre ses dents le gros poireau entier que Marie lui a glissé qui lui tient la bouche complètement écartelée.
- Voilà tous les ingrédients y sont presque, je voudrais juste rajouter dans ce bouillon un peu de tes sucs de chienne-femelle en chaleur.
Marie qui avait pourtant quelques instants plus tard précisé le contraire, vient de mettre en éveil à nouveau les sens et lexcitation de Thaïs MDE qui na pas manqué de noter cette petite phrase, malgré le fait quelle ne se sent pas vraiment à laise dans cette pataugeoire qui ne ressemble plus à leau limpide dans laquelle elle sétait immergée au départ.
- Vilaine chienne, juste bonne à dresser et à châtier ! Qui est-ce qui ta autorisé à parler ou à gémir ! (Marie sexprime de sa lourde voix qui est fracassante dans le silence qui règne dans cette pièce où les deux femmes se trouvent seules). Tu seras punie pour ce manquement à la règle de base qui règne en ces murs légendaires. Je vais réfléchir à quelque chose de tout à fait adapté à ton cas décervelée. Je te ferai part de la sanction que je vais timposer au moment où je te remettrai à nouveau entre les mains de notre bon Majordome, qui pourra sil le juge utile compléter ou doubler la sanction, suivant tes autres fautes accumulées de la journée. Tâche maintenant de la fermer sinon jinverse et ce « petit » con-combre que je destinais à ton con, je te le fourre dans le cul et tu verras bien quil est dune toute autre taille pour te dilater les fesses
Thaïs MDE est très gênée des propos rustres et obscènes de la cuisinière, rougissant de honte de se savoir excitée dêtre ainsi à sa merci et pourtant si désireuse de pouvoir être pénétrée malgré létrangeté de la situation et le drôle de liquide dans lequel elle a été plongée, car il lui semble de plus en plus difficile de comparer cela à un bain maintenant. La chienne-esclave est toutefois heureuse de savoir que Marie navait pas eu dans lidée de lui enfoncer lénorme concombre dans son petit trou, mais bien le poireau qui reste dune taille plus adaptée, bien que déjà conséquente. La cuisinière essaye denfoncer un peu plus profondément le poireau entre les fesses de lesclave qui se mord les lèvres pour ne pas broncher, ni de douleur, ni de surprise, ni surtout dexcitation et de plaisirs non encore autorisés. Elle sent ce premier légume venir appuyer au plus profond de ses entrailles, tout en même temps quelle comprend que Marie est en train décarter ses grandes lèvres pour rentrer dans son vagin lénorme et long concombre, qui sil nest pas équivalent à un fisting, sen rapproche plus par la taille que dun simple godage. Sensation étrange pour Thaïs MDE qui avait déjà eu loccasion de faire lamour en couple dans une baignoire remplie de mousse et deffluves de senteurs odorantes, mais qui comprend que ce quelle vit est dune toute autre perversité et dune intensité à nulle autre pareille tandis que Marie commence à agiter dans tous les sens les deux légumes, entrant et sortant dans ses orifices immergés, faisant remuer à grands coups de vagues tous les ingrédients qui viennent par moment caresser et titiller la peau de la chienne-esclave, dont le corps se trouve sollicité de multiples sensations.
- Je te préviens ! Tu ne jouis pas la chienne !
. Tu vas attendre un peu avant de pouvoir y avoir droit et avant que je te laisse atteindre la crête des plaisirs. Jai envie de tentendre me supplier et me supplier encore de te permettre de te lâcher et de faire retomber la pression qui va te dévorer. Et même quand tu me supplieras de te permettre davoir un orgasme, il nest même pas sûr que je consentirai à te laccorder, si je trouve que cest trop tôt ou que tu ne mas pas assez bien supplié et remercié pour le mal que je me suis donnée à te préparer un si bon bouillon de légumes et de cyprine dans lequel tu mijotes allégrement...
Et Marie accentua de plus belle le godage végétal dans les deux orifices de la chienne-soumise
(A suivre
..)
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