Initiation À La Domination
Attiré depuis fort longtemps par le plaisir que procure lasservissement de femmes contactées sur internet, Thierry savait comment fonctionnait (virtuellement) la gente féminine. Ses mots, percutants, étaient finement choisis, et ses « conquêtes virtuelles » mouillaient abondamment devant leur ordinateur au gré des scénarios choisis.
Las de ces situations virtuelles, surtout frustrantes, il sefforçât, non sans mal, à convaincre une jouvencelle à le rencontrer. En effet depuis plusieurs semaines maintenant, elle lui était dévouée et il avait su jouer avec sa frustration sexuelle en la submergeant dimages pornographiques, foncièrement dégradantes, alliées à des scénarios où la fille, conquise, adhérait docilement.
Elle sexhibait en cam devant son « maitre », portant autour du cou un collier et une chaine en guise de laisse. Thierry la sentait « mure » pour une rencontre réelle. Convaincue de son infériorité et abreuvée dimages et récits pervers, elle cédait du terrain petit à petit, jouant à la pute soumise, obéissant à toutes ses demandes, elle lui montrait maintenant toute son intimité, prenait des poses suggestives et avait fini par lui donner son numéro de téléphone.
La jeune et jolie Daphné, tout juste 20 ans, était dévorée par un feu intérieur brûlant. En recherche dune image paternelle vite oubliée dans une vie de famille monoparentale, elle était restée vierge et était très fleur bleue. Elle idéalisait son prince charmant, il serait le seul et lunique à lavoir, pour la vie. Naïve sur la nature humaine, elle était restée persuadée quun garçon merveilleux, vierge comme elle, laimerait et que celui-ci aurait mérité son hymen.
Les années passèrent et il ne vint jamais. Elle faisait régulièrement la difficile quand les occasions se présentaient. Elle se rendait aujourdhui compte quelle était peut être passée à côté de quelque chose. Du haut de son mètre soixante, ses cheveux longs, blonds, ses rondeurs gracieuses et la finesse de ses doigts étaient son atout charme.
Un jour, chatant sur internet afin dassouvir une envie honteuse, elle était tombée sur cet homme mur, sûr de lui, qui avait su lui faire découvrir des plaisirs insoupçonnés dans lobéissance. Rassurant et bel homme, il avait réussi à lui faire avouer tout ce quelle avait dans son cur, même linavouable. Il lui avait envoyé des images pornographiques qui faisaient mouche dans le ventre de la belle, une femme à genoux avec un sexe dans la bouche, des images raffinées où colliers, laisses et positions lascives restaient néanmoins artistiques. Plus tard il poursuivait en la bombardant dimages réellement pornographiques qui, inconsciemment, imprimaient en elle une certaine norme dans les rapports hommes-femmes et les rôles de chacun.
Les premiers échanges téléphoniques étaient intimidants, il lui parlait doucement mais dune voix grave et ferme. Elle répondait par des « oui maitre » tout en mouillant abondamment sa culotte.
« La curiosité est un vilain défaut lui disait-il régulièrement, mais je suis sûr quaujourdhui tu veux être une bonne fille, comme dans ces films, et que pour ton bien, tu vas devoir me rendre visite, tu ne voudrais pas fâcher ton homme nest-ce pas ?
- Non maître, bien sûr je ne veux pas vous contrarier, mais jai peur
- Laisse toi faire et obéis, tu viens chez moi cet après-midi, tu connais ladresse et je suis sûr que tu es déjà passée devant en allant à la fac, allez petite trainée, viens à ton maître, grouille. »
Le ton sec de cet homme et limage, postée par son maître, de la fille à 4 pattes avec des couettes grimaçant de douleur, dont se délectait Daphné, avaient mis fin à ses dernières barrières. Elle lui répondit, vaincue, « jarrive maître ».
Son cur battait à la chamade, elle était à 15 minutes de la rencontre avec lhomme qui la faisait vibrer depuis plusieurs semaines, celui qui la rassurait, lui disant quelle était belle, intelligente, quil souhaitait lui faire découvrir le monde, des voyages, des musés, de grands restaurant, son esprit vagabondait et fantasmait sur son avenir avec lui.
Quand linterphone sonna, Thierry était impatient, il savait quil navait pas droit à lerreur, que cette fille pouvait lui appartenir si les choses étaient bien amenées. De sa voix grave il dit « 3ème étage ».
Quelques longues minutes plus tard elle se trouvait sur le palier de sa porte, tête baissée, il la surplombait de son mètre 90. Il la prit par la main et, la conduisant fermement contre lui, ferma, de son autre main, la porte à clé.
« Regarde-moi trainée ! » dit-il dun ton sec. Docilement, elle leva les yeux, se sentant toute petite devant cet homme si imposant et haut perché. Les yeux levés vers lui, elle lentendit lui dire « tu sais ce quil te reste à faire maintenant ».
Ca y était, elle était enfin arrivée à destination. Elle sagenouilla en baissant les yeux et, levant les yeux, elle fit un « o » avec sa bouche.
Le « zip » de la braguette était largement perceptible et elle vit cette queue quelle avait déjà vu en web cam sapprocher de son nez. Cette bite sentait lhomme et sortait dune forêt de poils dont une paire de couilles pendait. Les testicules de thierry étaient gros et semblait bien remplis.
La queue, demi-molle, senfonça dans sa bouche sans difficultés. Thierry faisait des vas et viens et Daphnée sentait durcir cette tige de chair de plus en plus. Lors de ses séances virtuelles elle avait appris à bien saliver dessus et navais pas oublié que sa langue devait se promener, que sa bouche devait aspirer et sucer et que, pendant quune main caressait la verge, lautre devait flatter les bourses. Elle sappliquait du mieux quelle pouvait, prenant pour modèle les filles des clips pornos quelle avait visionnée.
Elle alternait les succions, la masturbation avec sa main, elle gobait le gland violacé et senfonçait le plus loin possible de ce que sa gorge lui permettait.
Thierry nen revenait pas, une si jolie fille qui se trouve maintenant à genou avec sa queue dans la bouche, sappliquant comme une bonne élève motivée, lavait laissé pantois.
Il avait réussi à faire de cette petite merdeuse une bonne bouche à pipe. Restait à savoir si son hymen était bien intact et, à cette occasion, lui intima lordre darrêter la sucette baveuse.
« Lève-toi esclave, je vais maintenant faire de toi une femme ».
Le mot « esclave » avait fait son effet dans le cur de Daphné, elle était devenue lesclave de cette homme mur et dominateur, et se sentait la plus heureuse des femmes. Encore un petit détail et elle lui appartiendrait vraiment. Il avait été clair lors de leurs séances virtuelles. « Ce nest quen te fécondant que je marquerai mon territoire, je devrais te féconder où bon me semble et tu seras mienne ».
Emoustillée par la situation où elle se sentait salope, elle regardait son homme amoureusement, reconnaissante et servile à son égard, elle le remerciait de lui apprendre sa place. Elle le suivit docilement dans ce qui sapparentait à la chambre nuptiale. Un grand lit à baldaquin et des miroirs de part et dautre, une literie dapparence moelleuse et des couleurs chaudes et mordorées dautomne, une moquette épaisse et grise, bref un véritable nid damour.
La souiller, cétait lobjet de Thierry depuis quil lavait dans ses filets. Il ne la désirait pas, il la convoitait, la fantasmait littéralement, surtout depuis quelle lui avait avoué sa virginité. Il allait pouvoir modeler une fille à sa guise et en faire le parfait vide-couilles obéissante quil rêvait depuis longtemps.
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