Recrutement
Je dirige une petite entreprise.
Trouver du personnel qualifié nest pas simple, et comme le travail est dur et le turn-over important, je reçois régulièrement des postulant(e)s pour des postes qui se libèrent.
Cest ainsi que la semaine dernière, en vendredi en fin de journée, je reçois une jeune femme noire pour un poste dassistante en relation avec la clientèle. Un bon diplôme, mais surtout une présentation soignée. Plutôt ronde, ce sont ses beaux seins qui attirent mon regard en premier quand je lui ouvre la porte du bureau. Je la laisse passer devant moi en lui désignant un siège et là, je constate que son fessier imposant se dandine quand elle marche avec ses talons hauts. Bref, une belle black.
Nous commençons lentretien de façon classique. Elle est face à moi et son corsage est un peu ouvert, tendu par sa poitrine imposante. Plus lentretien avance, plus je constate quelle écarte un peu les jambes, et que sa jupe remontant sur ses cuisses laisse apparaître peu à peu sa petite culotte mauve. Je jette des illades vers ce compas qui souvre, et une petite érection commence à me tendre le slip.
Je reste professionnel, et il devient peu à peu évident que ses qualités en feront potentiellement une bonne assistante. A partir de là, la conversation devient plus personnelle et latmosphère se détend un peu. Et elle se penche vers moi par moments, me donnant loccasion de mater ses seins.
Après une trois quart dheure de ce traitement, ma queue est raide et mon cerveau commence à avoir une idée fixe : la baiser.
Jessaye de garder mon sérieux, mais je vois bien que sous son air innocent, elle mallume.
Alors soudain, je me lève, fait le tour de mon bureau pour aller chercher nimporte quoi sur une étagère, et en revenant, je mapproche delle. Jai trop envie. Je ne me reconnais pas. Je perds toute prudence. Arrivé à son côté, je baisse ma braguette, sort mon chibre tendu et lui dit :
- Vous mallumez depuis le début, maintenant il faut me calmer mademoiselle
- Oh, Monsieur, enfin, mais vous êtes dégoûtant !
- Suce-moi, je vois bien que cest ce que tu veux.
- Oh, mais, mais, ouiiiiiiiii, votre queue est belle !
Et elle matt le membre, se penche un peu et mavale dun coup, tournant un peu la tête pour me regarder dans les yeux. Après quelques minutes de fellation :
- Vous aimez ça, Monsieur ? arrive-t-elle à articuler ?
- MMMM, tu es bonne, tu es belle, tu mas fait tourner la tête. Jai bien vu que tu voulais du chibre bien dur. Maintenant, à toi. Je veux te voir à poil.
- Mais si quelquun arrive ?
- Il ny a plus personne. Je veux voir ton corps superbe. Et moi aussi je me déshabille.
Elle se lève, et me fait le plus beau strip-tease de ma vie. Lentement, tournant sur elle-même, elle seffeuille. Sa veste, puis sa chemise, puis son soutif. Je me jette sur ses gros tétons, les lèche, les palpe, les malaxe, les triture, les suce, je men régale.
Jai toujours trouvé que la peau noire est un délice. Une douceur unique, qui me rappelle le temps où jétais coopérant en Afrique (jy reviendrai peut-être un jour sur ces souvenirs).
Elle sest mise nue, et je lai faite asseoir sur mon bureau.
Je lui ouvre les jambes et découvre son abricot tout rasé.
- Tu es une coquine, cela se voyait, mais jen ai la preuve maintenant. Je vais te faire jouir.
- Mmmm, ta langue est douce, patron, oui, suce-moi mon gros clito
Cest vrai quil est gros, et quil darde son excitation en dehors des lèvres offertes. Je lui lèche tout doucement, faisant tourner ma langue autour, dessus, je la rentre dans son sexe humide aussi loin que possible.
- Ahhh, cest bon,
Je lui mets deux doigts dans le vagin et la branle, de plus en plus vite, faisant rapidement jaillir sa cyprine qui inonde ma main. Jaccélère encore, elle halète, elle sest renversée sur le bureau, appréciant par ses petits cris le traitement que je lui fais subir.
Ma queue raide sapproche bientôt de la fente convoitée, dans laquelle je mintroduis dun coup tant elle est chaude et prête à la saillie.
- Ohh, encore, mets-la-moi bien au fond, jadore ta grosse queue.
- Tu vas lavoir, petite chienne, la bite du boss, je te sens qui te serre sur elle.
- Ahhh, ohh, encore, plus vite, que cest bon
Je la lime longtemps, appréciant la danse de ses seins, et elle jouit enfin dans un grand cri.
Je la relève, la retourne, et la prends en levrette.
Son cul mexcite encore plus. Je prends ses hanches et la pilonne littéralement, nécoutant plus que mon envie de baiser cette fille que je ne connaissais pas il y a une heure.
Ses gémissements ne font quamplifier mon rut, et cest lâché à pleine vitesse de piston que jéjacule sur son cul majestueux, ayant sorti mon dard juste avant.
Enfin calmés, on se regarde, un grand sourire aux lèvres.
- Je crois que nous ferons du bon travail ensemble, Mademoiselle.
- Je le crois aussi, Monsieur.
On sest rhabillés et on sest dit : à lundi.
Mais le lundi matin, javais un mail sur mon ordinateur : « Monsieur, bien que jai satisfait à toutes vos demandes et malgré mon envie de vous apporter le meilleur de moi pour votre entreprise, je regrette de vous dire que je ne donne pas suite à votre proposition. En effet, je suis mariée, mère de deux s, et je ne veux pas prendre le risque de fracasser ma famille en travaillant trop avec vous. Jespère que vous me comprendrez. Mais compte tenu de notre bonne relation lors de lentretien, je passerai vous voir à loccasion si jai un conseil à vous demander. Je suis sûre que vous aurez à cur dy répondre. Bien à vous »
Le plus dur dans cette fin dhistoire, cest que je vais devoir trouver une autre assistante aussi qualifiée
professionnellement !
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