Découverte Inattendue (1)
Le Saint-Antoine, un des pubs les plus populaires de la ville universitaire où je poursuis mes études, est plein à craquer en ce samedi soir. Les succès de lheure résonnent sur les murs du bar au point de rendre les conversations difficiles, mais tout le monde se plie volontiers au jeu de répéter à une ou deux reprises sa question ou dacquiescer à ce que son interlocuteur vient de dire même si ses paroles se sont perdues dans le brouhaha ambiant. Au fur et à mesure que la soirée avance, les corps des jeunes hommes et femmes se rapprochent ostensiblement, désinhibés par la fatigue, lalcool ou simplement la beauté des uns et des autres. La main qui pendant les deux heures précédentes reposait sur la table fait maintenant des incursions tantôt subtiles, tantôt franches sur le bras ou lépaule de lautre; les pieds qui se rencontraient sous la table ne rebroussent plus aussitôt chemin et prennent le soin de faire plus ample connaissance en même temps que leurs propriétaires, à létage supérieur
Bref, cest une soirée de fin de semaine parfaitement normale au Saint-Antoine.
Quant à moi, je suis attablé avec quelques-uns de mes amis comme à tous les samedis. Nous discutons de tout et de rien, des professeurs qui nous plaisent ou nous énervent, de nos camarades qui ont dit une bêtise, du type dune quarantaine dannées au bar accoudé au bar qui détonne dans cet environnement, des choix musicaux parfois douteux de létablissement
Kenny Rogers tout juste après Arcade Fire, vraiment ?
En plus, de mon côté, je me suis donné pour mission personnelle de faire la conversation avec Mylène, une collègue de travail que mon amie Caro a invitée avec une intention bien précise : me la présenter. Cela fait plus de deux ans que je suis célibataire et mes amis se sont mis en tête de remédier à la situation. Il faut dire que Mylène est tout ce quil y a de plus charmante : jolis yeux très foncés lui donnant un air mystérieux, cheveux cacao qui lui tombent en cascade sur les épaules, mince, souriante et intelligente, au vu des échanges que nous avons depuis plus dune heure.
À un moment, les pintes de bière faisant leur effet, je dois méclipser quelques instants pour aller me soulager. Une fois debout, à la recherche du meilleur chemin à emprunter pour, mes yeux croisent ceux de lhomme plus âgé qui, jignore pourquoi, me regarde fixement, un verre à la main, bien droit sur son tabouret. Avec son costume dhomme daffaires, il détonne vraiment dans cet endroit plein de jeunes du début de la vingtaine. Un peu mal à laise, je me dirige vers les toilettes par la seule voie daccès praticable qui longe le bar au bout duquel lhomme en question est accoudé. Chaque fois que je lève les yeux durant ma progression, je ne peux que constater que son regard demeure rivé sur moi comme si jétais une proie et lui un chasseur à laffût. Arrivé près de lui, je le vois mieux : il est plutôt dans la fin de la quarantaine, sa mâchoire carrée est recouverte dune barbe de deux jours finement entretenue; comme ses cheveux, elle est poivre et sel. Je ne suis pas gay, mais je sais reconnaître un bel homme et celui-là, cen est un. Par contre, je doute quil arrive à séduire une fille de vingt ans dans un bar. Enfin, qui sait ? Continuant de le détailler autant à la dérobée que possible, jarrive finalement à ses yeux.
Devant lurinoir, je fais ce que jai à faire depuis déjà quelques secondes quand la porte souvre derrière moi. Instantanément, je sais que cest lui. Son pas est lent et lourd, pas comme celui de quelquun pressé duriner. Néanmoins, il sinstalle à lurinoir à côté du mien, même si tous les autres sont libres.
En dautres occasions, jaurais simplement regardé lhomme pour lui faire comprendre dun regard que je ne suis pas intéressé. Mais cette fois, jignore pourquoi, impossible de my résoudre. Lalcool, peut-être ? Je reste les yeux baissés dans lattente de ce qui va se produire. Jignore pourquoi, une série de spasmes saisissent alors ma queue et un frisson court le long de mon échine. Quest-ce qui se passe avec moi ? Jamais un homme ne ma fait un tel effet ! Jamais un homme ne ma fait deffet tout court ! Contre toute attente et surtout contre ma volonté, mon sexe se met à durcir et à gonfler entre mes doigts. Paniqué, je ne peux toutefois pas le ranger en ce moment, je vais mouiller mes jeans ! À côté de moi, je vois du coin de lil que lhomme se tient volontairement loin de lurinoir, comme sil navait aucunement envie de lutiliser. De cette façon, il mest impossible de ne pas constater la bosse imposante qui déforme son pantalon. De longues secondes sécoulent ainsi pendant lesquelles je ne peux quitter des yeux son entrejambes qui grossit toujours. Sans trop savoir quoi faire, je déglutis péniblement, pétrifié. Une partie de mon cerveau prie pour que quelquun entre à ce moment et mette fin à ce petit jeu que lhomme joue avec moi, tandis quune autre souhaite ardemment voir comment cette situation inédite mais, il me faut lavouer, étonnamment excitante va se terminer.
À linstant où je me fais cette réflexion, lhomme fait un pas de côté vers moi et plaque une main contre mes fesses. Sa prise est puissante et je me sens littéralement me liquéfier sous ses doigts. Il se met alors à me palper comme si jétais une vulgaire marchandise, passant dune fesse à lautre pour bien en évaluer la rondeur, la fermeté. Il glisse même sa main entre mes globes pour venir caresser mon périnée à travers le tissu jusquà effleurer mes couilles. Sans le vouloir, je me surprends à gémir faiblement lorsque ses doigts sattardent ensuite sur mon anus quils massent quelques secondes. Cest la première fois quon touche à cette partie de mon corps, et je navais jamais imaginé quelle puisse être aussi sensible. Je bande maintenant tellement fort que mon gland est appuyé contre le fond de lurinoir. Jai toutefois à peine loccasion de men inquiéter puisquà cet instant lhomme saisit ma main dun geste ferme pour la poser sur la bosse proéminente entre ses jambes. Ma bouche sarrondit alors de surprise et mes yeux écarquillés ne peuvent sempêcher de vérifier de visu, car ce que je sens sous mes doigts me semble énorme ! Aussi curieux quexcité, je prends la mesure de ce sexe qui, cest étrange à penser, bande pour moi. Mes doigts suivent la dure colonne de chair plaquée contre son bassin jusquà arriver à un renflement que je devine être son gland, surtout que, dès que jy touche, linconnu est pris de légers sursauts qui marrachent un sourire. Muet de stupéfaction, je masse machinalement ce paquet que je sens encore gonfler sous mes caresses pourtant maladroites. Depuis quil ma rejoint dans les toilettes, la pensée de ne pas obéir à cet homme ne pas traversé lesprit une seconde. Et plus ça avance, moins je me sens la force de ne pas faire ce quil pourrait me demander.
Finalement, alors que jespérais presque quil memmène dans une des cabines, lhomme sécarte de moi et me dit simplement :
Infiniti Q70 noire, dans le parking à larrière. Dans cinq minutes. Pas de sous-vêtements.
Puis il sort.
Encore sous le choc de ce qui vient darriver et du brusque départ de linconnu , il me faut quelques secondes pour reprendre mes esprits et donner le temps à mon sexe de reprendre sa taille normale. Comme un automate, je me dirige vers une cabine pour retirer mon boxer et le fourrer dans ma poche. Mais quest-ce que je fais là ? Je ne le connais pas ce type, et voilà que je lui obéis comme sil avait tous les pouvoirs sur moi ! Hélas, le contact du jeans directement contre la peau de mes fesses et mon gland encore décalotté me fait bander de nouveau. Je dois donc attendre encore un peu avant de me risquer à lextérieur
Enfin, je reviens dans le bar, non sans appréhension. Heureusement ou malheureusement, je ne sais trop, lhomme a disparu. Je vais rejoindre mes amis et Mylène et essaie pendant quelques minutes de reprendre goût à la conversation. Celle-ci me semble toutefois bien ennuyeuse désormais, il y est question de magasins de vêtements, de sport, de cours que je ne suis pas. Pendant ce temps, dans mon esprit résonnent sans cesse les seuls mots que lhomme a prononcés dune voix grave et très posée malgré les circonstances. Je ne sais trop ce qui me convainc, la confiance sans faille quil a démontrée, le sexe impressionnant que jai senti sous mes doigts, la simple curiosité ou bien un mélange de tout cela, reste que cela suffit pour que je mentende dire à mes amis, au beau milieu de la conversation, que je ne me sens pas très bien et que je vais donc retourner chez moi. Mylène madresse un regard chargé de surprise et dincompréhension auquel je préfère ne pas répondre. Décidément, jaurai passé la soirée à détourner les yeux
Un instant plus tard, me voilà dehors. Sans réfléchir de crainte que cela ne me fasse changer didée, je contourne le bâtiment pour arriver dans le stationnement arrière. Tout au fond, loin des lampadaires, se trouve lInfiniti noire. La vitre côté conducteur est baissée. Lhomme me regarde fixement, fidèle à son habitude. Je mavance vers lui.
Monte, dit-il dune voix assurée avant de reporter son regard vers lavant et de remonter la vitre teintée.
Lintérieur de la voiture est propre, recouverts de cuir. Je ne crois pas être déjà monté dans une voiture aussi luxueuse que celle-là. Instinctivement, jattache ma ceinture de sécurité.
Détache-toi, nous nirons nulle part pour linstant. Tu as enlevé tes sous-vêtements ?
Oui.
Montre-le-moi.
Ma voix, elle, est tout sauf assurée. Jai limpression quelle est sur le point de casser, pourtant je nai prononcé quun mot depuis jai rencontré cet homme. Je nai jamais été aussi gêné de ma vie. Sans dire un mot, je sors mon boxer de ma poche et le lui tend. Il le prend et le jette sur la banquette arrière.
Pourquoi es-tu là ?
Cette question me prend au dépourvu. En fait, je ne connais pas la réponse. Ou bien plus probablement je refuse de ladmettre et lui, en face de moi, souhaite me lentendre dire.
Alors ?
Je croyais quil allait prendre les devants sans me laisser le temps de réfléchir. En mon for intérieur, je me disais quen lui laissant linitiative je réduirais ma capacité daction, je pourrais alors prétendre pour moi-même avoir été entraîné dans cette histoire par accident ou quelque chose du genre
Que cétait un malentendu
Mais non, il ne lentendait pas de cette oreille. Dailleurs, en ce moment, il nentendait rien parce que je me terrais dans le silence, totalement intimidé. Je navais pas la force de prononcer autre chose que des monosyllabes.
Tas aimé que je pelote ton petit cul ?
Ou
oui.
Tu as aimé que je caresse ton petit trou ?
Euh, oui
Fais des phrases.
Oui, jai aimé que tu me caresses là
Tu vas me vouvoyer
Daccord, ok.
Daccord, Monsieur.
Euh, oui, daccord, Monsieur, je vais vous vouvoyer.
Mais dans quel guêpier est-ce que je métais fourré ? Il était dingue ce type-là ! Quest-ce qui mavait pris de marracher à la compagnie de mes amis pour
Tu bandes ?
Euh, je
Oui, Monsieur.
Merde. Oui, je bande. Et sans boxer, ça se voit sans peine. Mon corps me trahit
Le sien aussi, dailleurs ! Entre ses jambes écartées se dresse clairement la même déformation que jai caressée dans les toilettes du pub. Et elle est toujours aussi imposante
Quand je relève les yeux timidement, je crois les siens, durs.
Tu sais, jen ai vus des tas dans ton genre, je sais pourquoi tu es là. Depuis que tu as touché à ma queue, tu ne peux plus te la sortir de la tête, hein ?
Je
euh
je
Vas-y, dis-le.
Je crois que je
Sans me laisser le temps de finir ma phrase (jallais lui dire que je préférais men aller), il empoigne mon bras et pose une nouvelle fois ma main sur son entre-jambes. Aussitôt, toute intention de partir me déserte. Mes doigts, comme animés dune force propre, courent sur le tissu, tâte le corps dur quil dissimule.
Tu meurs denvie de la voir, hein ? Avoue.
Oui, je
Jaimerais bien, oui
Mieux que ça.
Jaimerais voir votre, euh, votre queue
Monsieur
Alors, va la chercher, tu sais où la trouver.
Quoi ? Il ne veut vraiment me laisser aucune chance ! Il ne pourrait pas me faciliter un peu les choses en se débraguettant lui-même ? En plus, je tremble comme une feuille, jamais je narriverai à descendre cette fermeture éclair !
Je me tourne alors davantage vers lui et mapproche un peu. Après avoir pris une grande inspiration, je descends le curseur et plonge ma main à lintérieur de louverture. Mes doigts rencontrent aussitôt un organe que je nai jamais touché ailleurs quentre mes propres jambes. Avec précaution, jextirpe son sexe de son carcan. En quelques instants, le voilà maintenant bien droit, pointant fièrement le toit de la voiture. Ma première impression ne mavait pas trompé : cet homme a bel et bien été gâté par la nature. Étant moi-même un peu en haut de la moyenne (18 par 5 cm, environ), je ne peux quêtre impressionné par le sexe qui se dresse devant moi. Il doit faire quelque chose comme 21 ou 22 cm, et il est surtout très large, au moins six centimètres, et ce, sur toute sa longueur. On dirait un mât, un monument. Le gland na rien à envier à la hampe parcourue de veines saillantes, il est lui aussi plus quimposant, foncé, joufflu. Cest une surprise pour moi de mentendre murmurer tout haut :
Wow
Sors mes couilles, aussi.
Aussitôt dit, aussitôt fait, jamène à lair libre ses deux grosses couilles qui pendent lourdement à la base de sa verge. Depuis que jai sous les yeux la belle queue de mon inconnu, je me sens plus calme. Comme si javais désormais fait la paix moi-même, comme si mon corps et mon esprit sétaient mis daccord pour dire que je ne pouvais passer à côté dune aussi belle occasion et quil fallait que jen profite, que je me laisse aller
Justement, sans que lhomme ne dise quoi que ce soit, je commence tout de suite à le masturber lentement. Il gonfle encore mes doigts. Cest vraiment toute une sensation de sentir la peau glisser le long de la hampe jusquà recouvrir le bas du gland, de sentir sous mes doigts chaque veine gorgée de sang
Jen ai le souffle coupé ! Je découvre une partie de moi que jignorais complètement et il semble bien que cela me plaise, car jai limpression que ma queue va faire exploser mes pantalons !
Cest bien, tu te dégênes. Tu en avais déjà vu une aussi grosse ?
Euh, non, Monsieur, en fait, cest la première fois que
Que je
Excellent, excellent. Tu vas voir, si tu fais ce que je te dis, ça va bien se passer. Enlève ton t-shirt maintenant. Hum, oui, jaime les gars minces et presque imberbes comme toi. Continue à me branler comme tu le faisais, lentement. Ne tarrête pas à moins que je te le dise.
Il se met ensuite à caresser mon torse, pinçant légèrement mes tétons et les étirant un peu, ce qui me fait lâcher un petit cri de surprise. Et de plaisir aussi, car cest en effet fort plaisant. Jignorais que cétait aussi une zone érogène chez les hommes.
Tu es sensible des seins à ce que je vois
Ça te fait bander quand je joue avec comme ça ?
Oui, Monsieur, cest agréable.
Après quelques minutes, je sens sa main descendre vers mon nombril et détacher dun geste habile le bouton de mes pantalons (je ne porte pas de ceinture ce soir-là), puis descendre ma braguette. Tétanisé, je cesse tout mouvement en attendant de voir ce quil va faire, mais à ma grande surprise il ne fait rien. Il mordonne plutôt de changer de position, ce que je fais, intrigué
Agenouille-toi sur le siège, face à moi. Tiens-toi droit, mains sur les cuisses. Ouvre la bouche.
À peine ai-je le temps dobtempérer que deux de ses doigts sengouffrent entre mes lèvres. Il me les plante bien au fond de la bouche, ce qui me fait abondamment saliver.
Lèche mes doigts. Cest ça, promène ta langue tout autour comme si cétait une glace. Suce-les maintenant. Voilà, tu es doué. Laisse tes mains sur tes cuisses et continue de sucer. Cest bien. Ouvre un peu plus grand encore.
Il me fourre alors un troisième doigt et commence à aller et venir dans ma bouche à un rythme assez rapide. Ses trois doigts me fouillent la bouche de fond en comble, distendant mes lèvres et mes joues comme pour évaluer lespace disponible. Je me sens comme un animal dont on examine la santé des dents avant de le ramener chez soi. Bien vite, je passe près de m, mais cela ne le fait en rien ralentir, au contraire, on dirait quil prend un malin plaisir à me voir peiner de la sorte.
Mains sur les cuisses.
Jai limpression que je vais me noyer dans ma salive, je manque dair, des larmes coulent sur mes joues et, juste quand je pense que je vais vomir ou alors mévanouir, il retire ses gros doigts recouverts de salive. Aussitôt, je prends une grande bouffée dair et tousse à quelques reprises.
Cest bien, je sens quon va bien sentendre toi et moi. Viens me sucer maintenant, je sais que tu en meurs denvie.
Mon esprit est comme embrumé, comme si tout ce qui marrivait nétait pas tout à fait réel tellement cest improbable. Moi qui étais jusquà maintenant 100% hétéro, je viens de me faire fouiller violemment la bouche par les doigts dun homme dans sa voiture ! Et je mapprêterais à lui faire une fellation ? Voyons, cest impossible. Pourtant, cest sans vraiment réfléchir que je reprends sa queue toujours dure en main et me penche vers elle. Ma bouche est maintenant juste au-dessus du gland qui me semble encore plus imposant vu de près. Jamais je narriverai à emboucher cette chose, et encore moins sans la graffigner avec mes dents ! Je sors timidement la langue pour cajoler le gland comme si cétait une friandise, faisant le tour de la corolle puis titillant son prépuce et son méat. Heureusement, son sexe sent bon. Je suis assez sensible aux odeurs et je suis certain quune odeur trop marquée maurait rebuté. Mon homme nest pas insensible à mes caresses et je sens aux sursauts de sa bite que mon travail lui plaît. En plus, il me caresse les cheveux dune main et le dos de lautre pour me relaxer. Jen profite donc pour menhardir et essaie demboucher cette belle colonne de chair. Je suis à peine capable den avaler plus que le gland, mais je mefforce de lui procurer tout de même du plaisir en commençant à monter et à descendre le long de son sexe. Surtout, je ne cesse jamais de faire courir ma langue sur son gland, comme jadore quon me le fasse dans cette situation.
Voyant que je me débrouille relativement bien tout seul, lhomme, dont la main droite me caressait alors plus les fesses que le dos, baisse mes pantalons détachés pour avoir libre accès à mon cul.
Quel beau petit cul lisse, on dirait celui dune fille. Lèche à nouveau mes doigts, ajoute-t-il juste avant que je lui obéisse sans me questionner.
Quelques instants plus tard, je sens son index appuyer légèrement sur mon anus, ce qui me fait me crisper aussitôt.
Continue de me sucer, tu fais bien ça. Avec un peu dentraînement, tu seras parfaite. Pour le reste, laisse-moi faire, tu vas aimer.
Intrigué par l« entraînement » dont il parle et la soudaine mais brève féminisation, je retourne malgré tout à ma tâche et reprend en bouche la partie de sa queue qui veut bien y entrer. À loccasion, il appuie un peu plus fermement sur ma tête pour donner le rythme, mais sans que je métouffe sur son sexe décidément trop gros pour ma petite bouche.
Une nouvelle fois, son index tente une incursion dans mon petit trou qui, plus détendu, le laisse passer plus facilement. Cest la première fois que quelque chose dautre quun thermomètre passe par ce canal dans ce sens-là et ce nest, ma foi, franchement pas désagréable. Même que je me sens bander de plus belle au fur et à mesure que le doigt sactive en moi.
Ouf, tu es vraiment serré, toi. Ça paraît que personne nest encore passé par là ! Mais ne tinquiète pas, je vais te préparer comme il faut.
Me préparer ? Mais me préparer à quoi ? Pas question que son énorme sexe entre par cette porte, cest à peine si un seul doigt parvient à passer ! Oh, justement, en voilà un deuxième ! Ouf
Seulement deux doigts et je me sens complètement rempli
Sil en ajoute un troisième, je fais tout simplement fendre ! Je ne peux toutefois pas tellement exposer mon point de vue puisque la main qui appuie sur ma tête se fait maintenant plus insistante comme si elle anticipait mes réticences. Elle impose maintenant un rythme plus rapide en même temps que celui que je suce donne de petits coups de bassin pour senfoncer plus profondément en moi.
Tu aimes que je te baise la bouche comme ça ? Jai su dès que je tai vu que tu allais finir par me sucer. Les petites salopes comme toi, je les repère de loin.
Incapable de répondre, je ne contrôle plus grand-chose et me contente de subir le va-et-vient de cette queue entre mes lèvres écartées. Le gland va à plusieurs reprises chatouiller ma luette, ce qui me donne des haut-le-cur, mais semble plaire à celui qui dirige puisquil ne se gêne pas pour recommencer même si cela fait couler des filets de salive sur ses pantalons bien propres et le siège de cuir. Malgré tous mes efforts, je constate avec effarement que je naccueille même pas la moitié en sa verge en moi !
Cela doit faire plus de quinze minutes que dure la fellation et il ne montre toujours pas de signes de jouissance imminente. Quant à moi, mes mâchoires sont de plus en plus douloureuses, mais je refuse de me plaindre. Au fond, je suis fier de savoir que je lui procure du plaisir (il ne dit rien, mais sa queue dure comme du béton parle pour lui) et la présence de ses trois doigts (oui, il y en a trois maintenant, ça a rentré
) dans mon cul me fait tellement de bien que je suis prêt à endurer quelques outrages pour quils y restent encore un peu. Ils se promènent en tous sens dans mon rectum, tantôt caressant ma prostate ce qui me fait automatiquement trembler de plaisir, tantôt sécartant pour mieux me dilater. Jamais je naurais cru quil puisse être si agréable de se faire jouer dans le cul.
Malheureusement, quelques minutes plus tard, les doigts qui fouillaient mon intimité viennent rejoindre lautre main sur ma tête, non sans avoir maltraité un peu seins au passage et mavoir fait pousser un petit cri perçant.
Laisse-moi faire maintenant.
Il me maintient bien en place de ses deux mains et me fourre sa grosse bite à coups de bassin de plus en plus rapidement. Lui seul bouge désormais, je me contente de subir le forage de sa queue du mieux que je peux, ce quil semble apprécier puisquil commence à pousser des râles de satisfaction. Comprenant trop tard quil souhaite jouir dans ma bouche, ce dont je nai absolument pas envie, jessaie de méchapper, mais rien à faire, sa prise est trop solide. Je me console en me disant que cest bientôt terminé.
Enfin, il pousse un grognement de satisfaction au moment où sa queue palpitante senfonce une dernière fois et encore plus profondément quauparavant en moi, comme sil souhaitait minséminer le plus efficacement possible. Un instant plus tard, sa verge gonfle une dernière fois et une série de puissantes giclées aspergent mon palais et ma gorge. Évidemment, dès que le premier jet chaud sécrase contre mon palais, jai un mouvement de recul, mais cest compter sans lhomme qui a la ferme intention de déverser en moi lentièreté de sa dose. Bien vite, ma bouche se remplit au point de déborder, et je serre les lèvres instinctivement sur la large hampe afin de conserver cette semence au goût pas si désagréable que ça finalement
Quand enfin il sest complètement vidé, ses mains relâchent leur pression et je peux me relever, la bouche inondée.
À genoux face à lui sur le siège, je cherche un instant autour de moi un moyen commode de me débarrasser de tout ce sperme, mais lhomme ne lentend pas de cette oreille. Il me prend par le menton et me dit simplement, ses yeux plantés dans les miens, dun ton qui nappelle pas de refus :
Avale.
À peine une seconde plus tard, surmontant ma réticence, je lui obéis et avale cette énorme quantité de semence gluante au goût un peu âcre, mais moins que ce que janticipais.
Montre-moi.
Pour la première fois depuis notre rencontre initiale, il me sourit. Pas beaucoup, juste un peu. Mais je sais quil est content de moi. Aussitôt, une vague de chaleur menvahit et je me sens tout à coup très fier de lavoir satisfait. Mais quest-ce qui marrive ? Cet homme vient de se servir de moi comme on se servirait dune prostituée (ce quaccentue le fait quil soit toujours habillé et moi à moitié nu
) et tout ce que je trouve à ressentir, cest de la fierté ? Ça va pas la tête ?
Viens me nettoyer maintenant.
Encore une fois, à mon grand étonnement, je fais preuve de docilité et retourne lécher les moindres coins de ce sexe ramolli qui sest vidé en moi quelques instants plus tôt. Jen profite pour donner quelques coups de langue sur les couilles que je nai pas eu loccasion de goûter pendant que lhomme me caresse distraitement la tête comme on caresse celle dun chien. Je me surprends même à envoyer à lhomme quelques regards que je veux lascifs durant cette opération de nettoyage.
Cest assez, elle est propre. Tu peux la ranger.
Je fais bien sûr ce quil ma ordonné, peinant à remettre dans les pantalons la queue encore grosse malgré quelle a perdu de sa dureté.
Dans cinq secondes, je men vais. Si tu en veux encore, on ira continuer chez moi. Sinon, rhabille-toi, reprends ton boxer et sors.
Étonné, je suis demeuré muet et immobile quelques instants, incapable de prendre une décision. Il a alors démarré et nous avons quitté le parking du Saint-Antoine.
Voulez-vous connaître la suite ?
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