Paris Perdu
Pourquoi avais-je participé à ce pari stupide ? Je narrête pas de me le répéter. Nous étions au bureau et je bavardais avec 2 collègues sur les futures promotions. « Je te paries tout ce que tu veux, cette année, tu es sur la liste des promotions ». Je madressais à une petite brunette, dune trentaine dannée. Elle a souri de ma réflexion et ma répondu « tout ce que tu veux, mais je suis sûre que cette année, ce sera toi ». Lautre collègue, une grande blonde, qui me faisait fantasmer depuis que je lavais rencontrée, me dit : « oui, tout ce que tu veux, pari tenu, tu seras le promu. Nous, on sait, on est toujours de la baise ».
Et quelques jours plus tard, quand le chef de service, au cours dune réunion, nous a annoncé les promotions de lannée, mon nom ma claqué dans les oreilles. Je nai pas osé relever la tête mais jai senti que mes 2 collègues souriaient.
Je pensais que tout était oublié, quand 2 jours plus tard, profitant de la pause déjeuner et du départ de la plupart des collègues, elles sont venues jusquà mon bureau et se sont installées devant moi, les mains derrière le dos. « Tu te souviens de notre pari, tu as perdu. Mais, ce nétait pas difficile, tu as toujours été un suce boules. Tu te rappelles de ta parole, tout ce que je veux » me dit la petite brunette.
« Désolé, cétait une parole en lair », dis-je en rougissant.
« Ta gueule, petit con, tu as juré et si tu ne veux pas que ça fasse le tour de lentreprise, quen plus dêtre un lèche boule, tu es un enculé et que tu ne tiens pas tes paris, tu as intérêt de mécouter. Tu apprendras rapidement ce que nous avons décidé, tu préviendras ta femme que ce weekend, tu ne seras pas à la maison. Tu nous attendras à la sortie du bureau vendredi soir, avec un mot dans la main où tu écriras je suis une petite salope et jai perdu mon pari. Jaccepte tout ce que vous voulez. Et tu noublieras pas de signer ». Et sur ce, elles tournèrent sur leurs talons et je regardai ces 2 paires de fesses séloigner.
Bon, un gros challenge, comment expliquer à ma femme mon absence du weekend ? Je mabsentai du bureau pour lappeler et la prévenir quun séminaire était organisé par mon employeur ce weekend et que je ne pouvais pas refuser du fait de ma promotion.
« Oui, mon chéri, je comprends, je me débrouillerai avec les s. Pas de problème. Bisous ».
Nous en avons encore parlé le soir et jai continué à lui mentir dune manière assez magistrale. Le jeudi soir, je préparais ma valise et elle maida même pour que je noublie rien.
Larrivée au bureau me sembla étrange. A chaque fois quun collègue entrait dans le bureau, javais limpression quil était au courant de tout en me disant bonjour. La journée ma semblé longue, entre limpatience et la crainte de ce qui allait marriver. Je noubliai pas décrire mon petit mot comme il me lavait été demandé.
16Heures, lheure de partir. Rapide coup dil autour de moi, tout le monde avait encore la tête sur leur dossier. Je me suis levé, éteins mon ordi et qui quittai le bureau avec un gros « bon weekend ». Jai attendu un bon quart dheure devant la porte de sortie avec mon bout de papier dans la main.
Jai resouhaité quelques bon weekend quand Mathilde, une autre collègue de bureau sest plantée devant moi. « Alors, Stéphane, quattends tu ici ? » Je fus un peu surpris de sa question et je nai pu que bredouiller quelques mots « je, je
, jattends quelquun ».
« Donne- moi ton petit mot que tu as dans la main ! »
Je ne sais pas trop pourquoi je lui ai tendu, elle la pris de ma main et a rigolé.
« Allez, suis-moi, Virginie et Caroline mont parlé de ton pari et mont demandé de te préparer »
« Je dois prendre ma valise dans ma voiture »
« Tu nen auras nul besoin daprès ce quelles mont expliqué » et elle sest dirigée vers sa voiture. Je lai suivie et quand à quelques mètres de sa voiture, elle a actionné sa clé et ma dit :
« ouvre-moi la porte » ce que je me suis empressé de faire.
Je fais le tour de la voiture et vais pour minstaller à ses côtés et là :
« non, monte derrière, tu nas rien à foutre devant. Tu en profiteras pour te foutre à poil pendant le trajet.
Je me suis donc installé à larrière, vérifiant si personne ne nous observait. Jai attendu que la voiture qui le bâtiment avant de commencer à me déshabiller. Le trajet a duré une bonne vingtaine de minutes. Nous sommes arrivés devant le portail dune maison de campagne, un peu éloignée des autres maisons du village. Elle a arrêté la voiture, sest retournée et « va ouvrir le portail, petit con »
« Mais, je suis nu »
« Ta gueule, va ouvrir, que je vois ton petit cul de lopette »
Je suis donc descendu et jai ouvert le portail, espérant que personne ne me voit. Elle a redémarré et a garé la voiture devant la maison. Je lai rejointe, les mains devant mon sexe. Elle est descendue de la voiture et ma demandé dapprocher.
« Mets tes mains derrière la tête que je vois ta bite »
Comme ordonné, jai mis les mains derrière la tête, lui dévoilant mon intimité. Elle a éclaté de rire.
« Tu as vu la taille de ta bite, on dirait un gamin de 10 ans, tu nas pas du donner de plaisirs à beaucoup de femmes. Mets-toi à 4 pattes et suis moi. »
Je me suis mis à 4 pattes et lai suivi. Mes genoux me faisaient mal sur le gravier. De plus, il ne faisait pas très chaud.
Elle a ouvert la porte et ma demandé de passer devant elle.
« Beau petit cul, petite bite mais un beau petit cul. Chéri, tu as là ? Viens voir ce que je ramène ».
Jai senti mon sang se glacer, je navais pas prévu dêtre accueilli ainsi. Et jai vu un super beau mec, la trentaine, descendre les escaliers et se planter devant moi dans le hall.
« Cette petite lopette a perdu un pari avec Virginie et Caroline et doit faire tout ce que nous voulons. Nous devons le préparer pour ce weekend »
Il a fait le tour de moi puis ma dit :
« Relève-toi, les mains derrière la tête », ce que jai fait immédiatement.
« Cest pas une bite quil a, cest quoi ce petit machin ? Branle toi, petit connard, quelle grandisse un peu »
Me voyant hésiter, il me donna une grande claque qui me fit tituber. Je repris mes esprits et commençai à me branler. Mathilde vint enlacer son homme tout en me regardant.
Je ne mis que quelques minutes pour éjaculer et jétais rouge écarlate.
« Recommence » me dit Mathilde, « vide-toi complètement, tu dois être fin prêt »
Alors, jai recommencé et ma bite me faisait mal. Jai une nouvelle fois giclé sur le sol.
« Maintenant, tu vas nettoyer, il est hors de questions que tu dégueulasse chez nous, petit connard. A 4 pattes et lèche. Noublie pas de lever ton cul le plus haut possible ».
Je me sentais complètement abattu, comment avais-je pu en arriver là. Que dirait ma femme si elle me voyait ?
La suite si l'histoire vous plait
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