Les 12 Servitudes D'Hélène (Épisode 51)

Les 12 servitudes d'Hélène (FIN) : Le départ de Sparte pour l’Odyssée d’Hélène -

Déployant de véritables efforts pour déplacer le corps si lourd de Ménélas, Hélène et son esclave Clytia étaient tout de même parvenues à porter le roi de Sparte sur la paillasse, où il reposait maintenant allongé sur le ventre. Elles l'avaient dépouillé de tous ses vêtements, dévoilant son corps alourdi par les ans et les excès. Elles lui avaient enchaîné les poignets aux barreaux de la cage qui avait été la prison d'Hélène. Le roi dormait encore et ronflait bruyamment... Hélène contemplait avec dégoût celui qui était encore son époux, officiellement, même s'il avait durant toutes ses années d'absence remplacé dans sa couche sa sublime épouse par la jeune femme qui se tenait humblement à ses côtés... A la moue d'Hélène succéda un froid et cruel sourire... le temps était venu de venger les outrages, de venger le terrible malheur qui s'était abattu sur cette Cité de Troie où elle avait trouvé refuge aux côtés de son bel amant, le prince Pâris... De venger la destruction, le sang de ces troyens qui l'avaient accueillie, recueillie et protégée au péril et au prix de leurs vies. Hélène contemplait son oeuvre, le roi endormi sur la couche grâce à l'élixir dont elle avait ordonné à Clytia qu'elle en verse dans la coupe de vin de Ménélas, avant de le mener par le bout de la queue jusqu'à Elle. Il était désormais en son pouvoir. Hélène demeurait silencieuse, laissant son esprit se remplir du souvenir de sa vie, de sa vie de Reine, d'épouse, d'infidèle... et puis d'esclave privée de mémoire et livrée aux êtres les plus pervers qui soient. Les Dieux lui avaient infligé un terrible châtiment, faisant d'elle la plus servile des créatures, la livrant aux plus viles concupiscences, lui infligeant l'humiliation absolue de n'être plus qu'une chose que l'on dressait à assouvir les plus bas instincts de l'humanité. Mais cette expérience l'avait rendue plus forte, avait fait d'elle une experte inégalable pour toutes les choses du sexe et de la perversion.

.. Elle avait tant appris, dans tellement de circonstances, auprès de personnages si divers, et si extraordinaire comme par exemple le Cyclope ou la sphinge et tant d’autres, qu'elle avait accumulé une fabuleuse science des corps et de ce qui les mène…Ayant retrouvé son identité et sa mémoire, elle pouvait désormais en user pour elle-même et non pour servir celles et ceux qui voulaient en faire leur exclusive propriété.

Elle accorda un regard à Clytia qui se tenait discrètement debout à son côté, les yeux baissés, silencieuse et humble... La jeune femme de noble ascendance avait accepté de n'être plus qu'une esclave, Son esclave dont Elle disposerait autant et comme bon Lui semblerait. Elle allait la dresser, l'éduquer, l'utiliser pour mener à bien son destin, un destin qu'elle, Hélène, tracerait désormais seule et indépendante ! Mais d'abord, il y avait Ménélas dont les grognements indiquaient qu'il était en train de se réveiller... Hélène se pencha sur lui et saisit brutalement ses cheveux, tirant sa tête en arrière :

- Alors, grand Roi ? Enfin réveillé ?

Ménélas grogna, clignota des yeux comme s’il avait dormi une nuit entière puis porta son regard encore embrumé vers elle sans pouvoir vraiment la voir, puisque les chaînes le maintenaient allongé sur le ventre :

- Quel gros tas, tu es devenu, lui cracha Hélène, et cette jolie Clytia me dit que tes prouesses au lit ne valent guère plus que tes faits d'armes, se moquait-elle. (Ménélas tenta sans succès de lui cracher au visage)
- Sale chienne ! Mes gardes vont te saisir et je vais te livrer à mes crocodiles !

Elle le gifla, lui enfouissant la tête dans la paillasse qui sentait encore le parfum des semences de Vétérans dont Hélène avait été arrosée des semaines durant

- Silence, porc ! Nul ne peut t'entendre, tu as bien pris garde à cela pour que mes hurlements que tu espérais ne puissent troubler tes journées... Mais il n'y avait rien à entendre, à part mes gémissements de plaisirs, car même le plus maladroit de tes Vétérans est plus apte à faire jouir une femme que toi, leur minable roi, dit-elle en le giflant, il est bien loin le vigoureux roi qui m’a épousé… Tu n’es plus que l’ombre de toi-même, gros et impuissant …
- Tu me paieras tout cela, vociféra Ménélas, et toi, putain, lança-t-il à Clytia, tu ne peux même pas imaginer ce que tu subiras bientôt ! (Hélène éclata de rire et fit signe à Clytia de la rejoindre)
- A genoux, et dit-lui donc ce que tu es désormais et pour toujours, ordonna-t-elle (Clytia s'agenouilla avec tant d’humilité, tête baissée, les mains derrière le dos)
- Je suis Votre esclave et le resterai jusqu’à ma mort, Ô Divine Hélène, maintenant et à jamais, je Vous appartiens corps et âme et je n'agirai que pour Vous servir, quoi qu'il Vous plaise d'exiger de moi
- Tu vois, tu n’es plus rien ou plutôt juste un gros tas de graisse enchaîné à Mes pieds… et sache combien cette esclave de Clytia ressent une si profonde haine envers toi…, murmura Hélène à l'oreille de Ménélas, … et maintenant, il est temps de m'occuper de toi, car je n'ai que peu de temps avant de quitter ce maudit palais…

Clytia tendit un objet à sa Maîtresse et Hélène le montra à Ménélas, c'était un long et large olisbos taillé dans l'ivoire et qui avait été offert au roi de Sparte par un lointain visiteur.
Il était symbole de virilité et de fertilité... Hélène le fit passer sur le visage de Ménélas, lentement... puis elle le fit glisser le long du dos du roi, lentement, jusqu'à la fente qui séparait ses fesses... Ménélas gigotait inutilement dans ses chaînes, il tentait en vain d'échapper à l'issue dont il ne pouvait douter... Hélène savourait sa perverse vengeance en cet instant et savoura tout autant le râle rageur et impuissant que lâcha l’obèse roi lorsqu'elle enfonça l'objet dans son cul, lentement, minutieusement, profondément. Tout l'énorme engin fut poussé dans le fondement de Ménélas qui haletait.

- Voilà, il ne sortira pas... dit-elle satisfaite.

Puis elle se saisit d'une épaisse lanière de cuir et commença à flageller la croupe de Ménélas qui sursautait sous les coups, ne faisant qu'affermir l'enfoncement du gode entre ses fesses... Hélène tendit la lanière à Clytia

- Frappe aussi, car il t'a offensée et tu as bien mérité ce soulagement

En souriant, Clytia saisit les verges et frappa à son tour le dos et le cul du roi, là où maintenant apparaissaient de longues zébrures rougissantes... Puis, sur un mot d'Hélène, la jeune femme cessa de frapper et vint se placer au-dessus de la tête du roi, écartant les cuisses, elle commença à uriner, ainsi que sa Maîtresse en avait décidé les jours précédents, lorsqu'elles ourdissaient ce plan de vengeance et d'évasion. Ménélas secouait la tête, sans pouvoir échapper au flot ininterrompu de l'urine dorée que Clytia laissa couler sur lui durant de longues minutes. Puis, lorsque le flot fut tari, elle revint se tenir humblement un pas derrière sa Maîtresse qui contemplait ce doux spectacle. Mélénas enchaîné puis fouetté, le cul douloureusement rempli par l'imposant godemichet, couvert d'urine, Ménélas fulminait ! Non seulement il voyait sa prisonnière lui échapper, mais aussi tous ses projets, lui qui avait imaginé offrir sa grâce à Hélène, à condition qu'elle devint son humble et docile épouse, dont il aurait pu user et r en même temps que de Clytia qui serait restée sa favorite.
Il avait imaginé toutes les combinaisons et plaisirs qu'auraient pu lui offrir ces deux femelles asservies, contraintes aux actes les plus impudiques pour son seul et royal plaisir .Au lieu de cela, il se trouvait dans la plus dégradante des situations, humilié par la jeune femme qu'il avait contrainte à se soumettre à lui et voyait Hélène, pour laquelle il n'avait jamais cessé d'être empli de désirs, sur le point de s'envoler de la cage où il l'avait enfermée...

- Non... implora-t-il … Non, ne part pas, tu auras tout ce que tu voudras, tu règneras... restes, je t'en supplie ! (Hélène éclata de rire)
- Régner ? Ha ha ha ! Tu n'es plus rien… et que crois-tu que penseront tes guerriers lorsqu'ils te trouveront ici ? Impuissant, le cul déchiré, humilié ? Crois-tu qu'ils te jugeront encore digne d'être un Spartiate ? Interroges-toi pendant les heures de solitude qui vont venir... Tant que tu es encore roi... Nous, nous avons mieux à faire pour le moment que de régner ! répondit Hélène et quittant la cage, accompagnée comme son ombre par Clytia...

Les deux femmes abandonnèrent Ménélas qui leur suppliait de revenir et elles empruntèrent l'étroit et humide escalier qui rejoignait les couloirs du palais. Telles deux ombres irréelles, elles regagnèrent la chambre royale, où nul n'aurait osé pénétrer sans la permission du roi. Là, Hélène fouilla parmi les robes et tissus accumulés afin de se choisir une tunique digne de Celle qu'elle serait désormais.... Elle se fit laver par Clytia, avec une eau parfumée qui lui rafraîchit le corps et détendit son esprit. Puis Clytia s'appliqua à la coiffer, la parant aussi des plus beaux bijoux offerts par Ménélas... Ainsi coiffée et parée, Hélène resplendissait de beauté au-delà de tout ce que la jeune esclave avait pu imaginer. Elle contemplait avec admiration cette Femme digne d'être Une Déesse, que Ménélas avait eu l'incroyable présomption de vouloir lui faire imiter. Clytia tomba à genoux et baisa avec vénération les pieds de Hélène

- Ô Divine Hélène, je mesure combien était présomptueuse et même indécente l'idée de vouloir Vous ressembler.
Comment pourrait-on seulement espérer approcher d'une telle Beauté ! dit la jeune femme en sanglotant
- Relève toi, la faute n'est point tienne, tu n'étais qu'un jouet entre les mains de ce gras crétin, dit Hélène

Clytia se redressa, se tenant droite face à Hélène, les yeux humblement baissés, Hélène lui caressa les cheveux, le visage, le cou... D'un geste vif, elle déchira la tunique que portait encore la jeune femme, dévoilant son opulente et ferme poitrine. Hélène caressa ces seins d'albâtre dont les sombres tétons pointaient... elle joua avec, pinçant les tétons lentement, durement, jusqu'à obtenir une grimace tendue sur le visage de son esclave... Clytia subissait docilement ce geste douloureux, sans le moindre mouvement pour y échapper, sans émettre le moindre gémissement... Hélène pressait, pressait implacablement et Clytia cherchait son souffle, effrayée par l'idée d'émettre un son qui eut contrarié sa Divine Maîtresse... Enfin, Hélène relâcha la pression sur le petit bout de chair meurtrie. Elle fit remonter sa main jusqu'à la chevelure de Clytia, que Ménélas avait fait transformer afin de tenter de la rendre semblable à l'incomparable flot d'or qui cascadait sur les épaules d'Hélène...

- Quelle insulte que cette toison factice, lâcha-t-elle, tu ne peux rester ainsi, agenouille-toi, ordonna-t-elle

Clytia obéit tandis qu’Hélène s'emparait d'un grand et lourd ciseau grec. Elle se tenait derrière Clytia, saisit la masse des cheveux de l'esclave et tailla dedans... De lourdes mèches tombèrent sur le sol et d'autres encore... Hélène taillait allègrement dans la chevelure de son esclave et lorsque les cheveux furent trop courts, elle lâcha le ciseau, s'empara d'une longue et fine lame effilée coupant comme un rasoir et acheva son travail, rendant le crâne de Clytia aussi lisse qu'une boule d'ivoire. Le travail fini, elle caressa le crâne nu de son esclave qui était d'une pâleur extrême... Et d'une voix douce :

- Je puis comprendre ce que tu ressens, esclave. Mais peu importe, tes cheveux étaient une insulte à ta Maîtresse, il fallait donc y remédier. Une esclave n'a nul besoin de cheveux, du moins s'ils ne sont pas les siens au naturel... Ceux-ci repousseront et, finalement comme je te vois là à l’instant, ton joli visage est ainsi mis en valeur, je trouve... Tu resteras ainsi jusqu'à ce que le temps te rende ta chevelure naturelle ainsi qu'elle était apparue après ta naissance. à moins qu'il ne me plaise de te garder ainsi, l'idée ne me déplaît pas. N'est-ce pas ? (Clytia déglutit et chercha à raffermir sa voix)
- Seule compte Votre Satisfaction, Divine Hélène. Je me réjouis que cela Vous contente et je ne saurai espérer autre chose que ce que Vous voulez. Merci Divine Hélène, dit-elle humblement.

Hélène lui enleva des touffes de cheveux tombées sur ses épaules, puis elle se pencha pour lui caresser les seins avec douceur...

- Tu me plais, tu es une bonne esclave et tu apprendras à l'être plus encore afin de me combler
- Oh oui, oui Divine Hélène, rien de plus cher au monde ne puisse être que de Vous combler

Hélène chercha alors parmi les coffres aux bois précieux tous ciselés d’or et qui encombraient plusieurs coins de la pièce, là où elle savait que Ménélas laissait traîner tant d'objets et d'accessoires... Elle y dénicha un épais collier de métal brut, sans grâce ni autres décoration qu'un simple anneau destiné à fixer une chaîne ou une laisse. Elle passa le collier au cou de Clytia et le ferma dans un claquement sec, puis jetant loin la clé qui alla tomber contre le mur derrière les coffres.

- Ce sera désormais ton seul ornement, dit Hélène, et regarde je n'en garde pas la clé, car ton destin est d'être à jamais mon esclave, tu ne quitteras jamais cet état et ne quittera donc jamais non plus ce collier, symbole de ton état
- Merci Divine Hélène, répondit avec reconnaissance Clytia, subjuguée par Cette Femme à nulle autre Pareille.

Puis, les deux femmes préparèrent un sac, dans lequel elles disposèrent beaucoup de monnaies d'or et pierres précieuses, assez de richesses pour ne pas être dans le besoin pour une longue durée et faciliter ainsi leur fuite loin de Sparte... Les deux femmes quittèrent ensuite la chambre royale et c’est avec discrétion que toutes silencieuses et à pas de loup, elles gagnèrent les écuries. Là, ainsi que l'avait décidé Hélène, Clytia avait grassement soudoyé un palefrenier afin qu'il tint une monture prête. L'homme, chèrement payé, avait obéi et prévu une belle jument, aux muscles fins et à l'allure noble. Il ne reconnut pas Hélène qui, telle toute noble Spartiate sortant dans les rues, avait couvert son visage d'un fin voile assorti à sa tunique. Elle abandonna une autre et lourde bourse entre les mains de l'homme qui sentait la sueur et le fumier... Mais se méfiant de lui, elle lui proposa de le récompenser aussi d'un petit plaisir. Ainsi sur un claquement de doigts, Clytia s'agenouilla devant l'homme et souleva sa courte jupe grecque, laissant apparaître une épaisse verge déjà bien tendue... Clytia entreprit de le sucer et l'homme se laissa faire, appuyant sur la nuque lisse de l'esclave pour la maintenir tandis qu'il poussait brutalement son sexe dressé entre les lèvres et s'enfonçait dans la bouche humide et chaude jusqu'à la garde... Afin de satisfaire de son mieux l’exigence sa Divine Maitresse, Clytia suça avec avidité ainsi le palefrenier jusqu'à ce qu'il lâche une abondante et épaisse semence dans sa gorge, avec un râle de plaisir qui se termina brusquement, lorsque Hélène lui asséna un coup d'une barre de bois dur sur la nuque. Assommé, il s'écroula sur le sol, sa verge esquissant encore quelques soubresauts et laissant échapper un dernier flot de sperme. Clytia se releva et Hélène lui caressa le visage

- C'est bien, tu comprends vite et tu n'as pas hésité à m’obéir sans réfléchir, c’est ainsi que tu dois être, toujours et à jamais... Maintenant, guide ma monture, nous partons.

Hélène s'installa sur la belle jument racée, le sac contenant leur butin de pièces d’or et joyaux reposant devant elle et Clytia saisit les rênes afin de mener la monture hors des écuries. Hélène connaissait très bien les lieux pour en avoir été la Reine jadis et elle se rappelait que tout de suite dès la sortie des écuries, il y avait un tout petit sentier étroit envahi de broussailles, un petit sentier oublié de tous et qui menait à l’extérieur de la cour du palais et ainsi elles ne rencontrèrent aucun des gardes royaux. Et lorsqu'elles franchirent l'enceinte par une porte dérobée rendue invisible étant trop enfouie par une végétation envahissante, c'était déjà le petit matin. Elles se déplaçaient doucement afin de ne pas éveiller quelques soupçons car dans la Cité, les plus besogneux des spartiates étaient déjà à pied d'oeuvre. En effet dans l'animation matinale des rues, nul ne prêta attention à l'esclave chauve et nue qui menait par la bride la monture d'une Noble Dame pudiquement voilée... Il était monnaie courant que les esclaves se déplacent dénudés et souvent enchainés, signe de leur état servile. Certains certes, posèrent un regard lourd sur la croupe de la jeune femme qui n'était "vêtue" que d'un épais et lourd collier de fer, mais il n'était pas temps de perdre son temps à contempler le cul ou les seins d'une esclave, car cela était, pour les spartiates, d’une banalité quotidienne.

Hélène et Clytia traversèrent ainsi la Cité et atteignirent sans encombre la porte nord de Sparte, où les gardes remarquèrent à peine leur passage juste en s’inclinant emplis de respect car en effet quand une noble spartiate vêtue avec apparat dont sa monture était menée par une esclave se présentait, ils s’inclinèrent comme le protocole l’exigeait, de plus ils étaient là pour surveiller les entrées et non en interdire la sortie... Une large vallée s'étendait devant le petit équipage. Clytia marqua un bref temps d'arrêt. Elle n'avait jamais quitté les murs de la Cité, jamais connu le monde qui s'étendait au-delà de l'enceinte...

- Allons ! Nous n'avons pas de temps à perdre ! lança Hélène.

Et Clytia reprit sa marche, menant la belle jument pur-sang de sa Maîtresse vers un avenir plein d'inconnu !...

FIN -

C’est donc la FIN des 12 servitudes d'Hélène... mais certes pas celle de ses Aventures car la suite est prévue avec le prochain Tome 2 intitulé : L’Odyssée d’Hélène !

Résumé : Pour rappel, voici ce qu’ont été les 12 servitudes d'Hélène :
1 - êta, esclave du pêcheur
2 - La pornaÏ du port
3 - Offerte au harem
4 - Entre les mains des Amazones
5 - Les leçons du philosophe
6 - Sur le navire des pirates
7 - Sur l'île du Cyclope
8 - Les Jeux d'Apollon
9 - Le pouvoir de la Magicienne
10 - Captive des nymphes
11 - La Sphynge de Thèbes
12 - Retour à Sparte

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