Paries Avec Fleur
Nous sommes cinq à être réunis. Cinq, bon chiffre pour une partouze : ne jamais être un nombre pair pour baiser ensemble. Il y a trois hommes montés, disons normalement, et nous, deux femmes du genre sensuelle. Nous dinons bien vite, et à chaque plats nous enlevons chacun un vêtement. Avec Fleur, lautre fille nous sommes volontairement assez peu vêtue, juste pour ne pas offenser la décence. Les hommes eux sont presque endimanchés.
Je suis la première totalement nue, sauf un string que jai baptisé ainsi parce quil cache à peine le début de ma fente. Bien sur mes deux voisins en profitent pour me caresser la poitrine. Même Pierre, le mari de Fleur en profite pour passer une main entre mes cuisses qui jécarte. Il me fait mouiller ce salaud. Je fais celle qui ne comprend rien.
Fleur outre une main de son mari qui se partage entre sa femme et moi, reçoit également deux mains, une sur les fesses par derrière et lautre sur un sein.
Nous continuons à bavarder de la pluie et du beau temps comme si rien ne se passait alors que nous nattendons plus quune petite liqueur pour nous faire mettre.
Nous navons rien prévu de particulier, chacun est libre de baiser avec qui il veut, comme il veut. Cest « open scuw ». Jai mes envies, jespère les satisfaire. Je voudrais bien fister le cul dun homme. Et si par hasard, Fleur veut je ne lempêcherais pas de me sucer, jai envie delle depuis longtemps sans oser le lui dire. Pourtant ce ne sont pas les occasions de nous confier lune à lautre qui nous manque. Qui sait elle aussi a sans doute envie de moi.
Enfin le repas est terminé. Cest Bernard, mon mari qui donne le signal en demandant tout fort à Fleur de venir le sucer. Ils vont sur un des divans, Bernard sassoit confortablement, la bite sortie du pantalon, Fleur vient à coté de lui. Lentement elle le déshabille pour quil soit à laise. Ils échangent un long baiser. Puis, lentement, comme pour faire durer le spectacle, Fleur saccroupit devant la bite bien dure de mon mari.
Nous nous levons tous pour bien voir : les hommes bandent déjà comme des ânes. Moi je mouille pas mal, nimporte quoi pourrait entrer dans ma chatte facilement.
La langue de Fleur lèche la bite en passant par les couilles avant de remonter lentement tout le long de la tige. Sa main prend la bite en lentourant pendant que la langue continue son ascension jusquau frein du gland. Elle le lèche comme le ferait un chien avec la main de son maitre. Bernard ferme les yeux : je ne le suce jamais ainsi. Pierre envie Bernard, sa femme ne le lèche pas non plus ainsi. Où a-t-elle été apprendre ça encore. Il se branle en regardant la bouche de sa femme engloutir enfin la bite de Bernard qui est aux anges.
Je suis surexcitée, il faut que je me satisfasse vite sinon je vais crever de désir. Henri me regarde, il prend un sein le caresse lentement à le faire presque doubler de volume. Il passe derrière moi pour passer sa main par derrière vers le clitoris. Il me branle, la vache aussi bien que Bernard. Jécarte bien les jambes. Je cherche sa bite derrière moi. Quand je lai en main je ne la ménage pas, je le branle un bon coup avant quil se retire pour venir entre mes fesses. Il va menculer, ce con. Et en plus je vais me laisser faire. Je prends la cyprine en trop sur mon abricot pour la mettre sur lanus. Il me fait pencher un peu en avant.
Nous regardons toujours la bite de Bernard pour voir si Fleur gardera le sperme dans la bouche, sinon je suis prête à le prendre. Henri cherche à peine mon cul. Je louvre comme je peux. Cest la première fois que nous baisons ensemble. Je ne sais même pas sil baise bien. Il a trouvé mon entrée de derrière. Lentement il entre en me faisant déjà jouir dès sa pénétration. Il en a un bien gros pour mon petit trou. En entrant lentement comme il fait, il agrandit mon cul, il écarte bien les chairs pour mon bonheur. Quand il ma enculé à fond, il commence ses aller et venues. Je suis tous ces mouvements. Cest bon, je me laisse sodomiser uniquement pour mon plaisir, je ne pense même pas que je lui en donne.
Bernard jouit dans la bouche de Fleur qui lui tient les couilles. Elle ne pense pas à moi, elle garde tout pour lavaler lentement en me regardant dans les yeux. Elle a eu sa ration dans la bouche et moi dans le cul. Nous sommes quittes.
Reste Pierre qui fini lui aussi de se branler quand sa femme fait jouir Bernard. Son sperme à lui se perd sur le corps de mon mari.
Les hommes sont hors jeu pour un petit moment. Jen profite pour essayer dembrasser Fleur sur la bouche. Si elle évite le contact la première fois, elle accepte la seconde. Quel baiser nous échangeons, plein dobscénité : nous y sommes. Le reste arrive normalement. Cest même elle qui me caresse la première entre mes cuisses. Je veux le lui rendre quand elle me fait coucher sur le tapis. Elle vient entre mes jambes, la langue en avant. Elle veut faire un cunnilingus. Je nai rien contre. Je sens dabord son souffle chaud sur ma fente, puis sa langue qui écarte mes lèvres pour aboutir à mon bouton dor. Elle le fait bien sortir et me lèche lentement. Elle doit avoir lhabitude de faire ces choses aux filles.
Notre action réveille les bites de ses messieurs. Jen trouve deux, Bernard, mon mari et Pierre celui de Fleur qui me tendent leur bite. Je le prends dans les deux mains. Celle de Bernard mest familière, je ne passe pas un jour sans la branler. Celle de Pierre est une découverte avec son gland foncé, plus gros que le fut de son axe, agréable à masturber. Je ne vais pas trop vite pour faire durer leur plaisir le plus longtemps possible.
Je remarque que le troisième homme soccupe du cul ou du con de Fleur. En tout cas, sa bite est dans son ventre. Je vois son arrière train monter et descendre : elle se fait mettre.
Je sens dans mes reins dabord, puis dans mon sexe et montant vers la colonne vertébrale le grand frisson de lorgasme majuscule.
Fleur vient sur moi, entrainant son amant. Cest-ce que je pensais elle se fait baiser, son amant restant lui accroché à sa figue.
Elle me donne un baiser sur la bouche encore meilleur que le premier. Je finis de branler les deux bites : je reçois leur jus sur la figure. Pour celui de mon homme, cest normal, pour le mari de celle qui vient de me faire lamour cest la première fois quil me fait ça.
La langue de Fleur lèche toute la semence des deux hommes. Elle la en entier dans sa bouche. Cette fois elle membrasse encore sur la bouche pour me donner sa langue pleine de sperme. Nos langues jouent avec la liqueur avant de les avaler lentement : nous nous sourions. Je lui fais la proposition que je tais depuis longtemps :
- Si tu veux nous pouvons rester amantes ?
- Je ne demande pas mieux. Baises moi maintenant.
Elle se retourne pour me présenter sa foufoune. Elle me plait beaucoup, remplie de cyprine et de sperme. Ma langue na plus quà fouiller dans son intimité. Son clitoris est gonflé. Je peux facilement le prendre dans la bouche pour le lécher. Quel gout délicat que sa liqueur. Je sens bien son orgasme arriver, se réaliser et finir un bon moment après.
Elle me rend le service de me sucer encore une fois. Bernard, mon mari nous a entendues nous entendre pour baiser souvent ensemble.
- Je pourrais moi aussi baiser avec vous ?
- Non, après tant que te veux pas pendant. Nous nous aimerons quand nous voudrons où nous voudrons.
- Dans un hôtel confirme Fleur, dès demain après midi.
Le lendemain encore un peu fatiguée de la longue baise de la veille je suis en avance à lhôtel : celui de lentrée de la ville. La chambre est déjà retenue. Sous le regard goguenard de la réceptionniste je monte dans la chambre.
Je nattends même pas que Fleur soit là, je me mets nue aussitôt. Je commence même à me branler en lattendant. Quand elle entre je suis sur le point de jouir.
Enfin sa bouche est sur la mienne. Nous faisons durer un baiser des plus chauds. Notre commune nudité permet à nos mains de se promener sur le corps de lautre. Nous sommes liées simplement pas nos langues gourmandes de la cyprine de lautre.
Nous finissons aujourdhui par un 69 particulièrement relevé, nos langues sont dans le cul de lautre.
Nous décidons dinviter chaque semaine un de nos maris. Cest ainsi que Pierre, celui de Fleur pourra venir Mardi. Il y a une condition que je pose : je tiens à fister Pierre.
Le Mardi elle vient avec son époux en sachant fort bien ce qui lattend. Nous sommes nus tous les trois. Lui est enchanté dêtre avec deux filles qui vont se baiser. Il bande par avance : je le prends dans la bouche pour le sucer comme je sais faire à Bernard. Javale presque chaque couille pendant que je le branle lentement. Puis, ma bouche mordille la base de sa queue. Il bande de plus en plus, je sens durcir sa bite. Il me fait mouiller. Je continue pour lécher le gland là où il est le plus visible. Pour finir je le lèche dans la bouche. Jaspire en même temps. Enfin je reçois de longs jets de semence. Je garde tout précieusement pour aller embrasser Fleur pour partager mon butin. Nous nous régalons du sperme.
Nous reprenons nos amusements entre filles. Bien sur nous ne jouons pas à la poupée, sinon à prendre lautre pour un jouet, ce qui est un peu le cas. Nos lèvres sont sur les seins, les fesses, les cons et bien sur les lèvres. Notre jus nous plait tellement que nous en sommes fardées avec lui jusquau front quelques fois.
Nous finissions un 69 particulièrement jouissif quand la bite de Pierre reprend vie. Je moccupe de lui, aidée par Fleur qui enduit lanus de son mari avec sa cyprine. Il se doute que la suite se trouve sur son anus.
Je le fais mettre en levrette, il a le cul bien visible. Fleur regarde en détail ce que je fais. Jarrive péniblement à entrer deux doigts dans lanus. Tant pis je force encore et soudain dun seul coup cest toute ma main qui est dans son cul. Fleur regarde la scène en se branlant. Je fais aller et venir ma main : Pierre se tord de douleur, puis dun seul coup il commence à prendre son plaisir : sa queue qui débandait se remet à la verticale. Je me masturbe en voyant le résultat. Soudain un jet de sperme part de la bite. Il jouit, la vache. Jenlève ma main. Il me remercie en membrassant sur la bouche.
- Tu es une salope tu mas enculé et fais jouir.
Le pli est pris, chaque semaine un mari a droit à être fisté.
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