Yan

Dans une ville, l’ennui vient quand on déménage. Plus de voisins connus, même de vue. Plus le même paysage. Tout a changé, comme ma situation, même si elle est bien meilleure. Le temps de tout mettre en place pendant le week-end, je suis fourbu. Le soir du dimanche je me couche vers 19 heures.
Le lundi je prends mon nouveau travail : je suis à la fois plus occupé et libre de m’organiser. Je fais le tour des collègues pour me présenter et les connaitre un peu. Je remarque entre autre une blonde que je ne regarde qu’à peine, parce que je n’aime pas tellement les blondes que je trouve fade. A force de passer dans tous les services, arrive Midi. Plus personne au bureau jusqu’à 13 heure 30.
Tant pis pour moi. J’attends pour me mettre au travail en lisant le courrier, regardant les dossiers en cours. Je pianote un peu sur l’ordinateur. Enfin tout le monde rentre. Une personne frappe doucement à ma porte. C’est la blonde, ma secrétaire particulière. Tant pis je ferrais avec.
- Bonjour monsieur, je suis à votre disposition. Je m’appelle Yannick, tout le monde m’appelle Yan.
Je ne dois pas passer trop de temps avec elle. Enfin je suppose parce que les ennuis commencent. Je ne connais pas bien la boite, elle si. Je la rappelle pour me montrer où est située la machine à café. Je ne lui demande pas autre chose : c’est elle qui va le chercher. Je la remercie. J’ai à dicter des réponses à des clients extérieurs. Elle attend que je finisse de parler pour prendre en sténo toutes mes paroles, se lève pour aller taper tout ça. Vers 16 heures, elle vient me faire signer le courrier. Elle pose le parapheur devant moi, vient à ma droite pour tourner les pages. Je sens à ce moment là son odeur suave. Elle commence à m’intéresser. Son bras passe devant moi souvent. Il est fin et charmant ce bras. Je la regarde de plus près elle est belle, très belle et fine. En plus si elle n’est pas habillée sérieusement, je peux deviner ses secrets.


Il me semble qu’elle ne porte pas de sous vêtements. J’ose enfin lui parler d’elle
- Dites moi Yan, vous avez un ami ?
- J’en avais un que j’ai mis dehors de chez moi.
- Il avait fait des bêtises.
- Non, pour autre chose.
C’est son domaine privé, elle m’en dira plus la prochaine fois.
Je ne fais appel à elle que le lendemain vers 9 heures 30. Cette fois elle est vêtue plus sexy avec une jupe en jean assez courte, montrant la moitié de ses cuisses. Son haut est décolleté : je vois le début de ses seins.
Elle porte avec elle l’inévitable bloc et un Bic. Je ne sais si elle le fait exprès, elle fait tomber son stylo. Elle se baisse pour le récupérer. Je vois sa jupe monter très haut au point que je vois qu’elle ne porte pas de culotte. Comme j’aperçois bien ses tétons, elle ne porte pas de soutien gorge. Elle se relève tranquillement. Rien ne transparait de son visage, sinon un léger sourire. C’est une vrai blonde, je l’ai vu. Du coup je me demande si je ne vais par aimer les filles blondes, une en particulier.
- Excusez-moi. J’avais fait tomber quelque chose.
- J’ai bien vu, tout vu.
Elle rougit un peu, elle comprend que j’ai plus qu’entre aperçu sa chatte.
- Venez près de moi faire connaissance.
Je ne sais ce qui me prend, j’ai envie d’elle. Ce doit être réciproque puisqu’elle vient tout près de moi, trop près puisque je sens la chaleur de son corps contre mon bras. Je passe mon bras autour de sa taille sans qu’elle se dérobe.
- Quels étaient vos rapports avec mon prédécesseur ?
- Bof, pas terrible.
De sa taille mon bras descend pour qu’une main soit sur ses fesses que je caresse lentement.
- Oh monsieur, ce n’est pas convenable.
- Mais si vous verrez.
- Montrez-moi, monsieur.
Elle se fout de moi ? Elle veut voir, elle va voir. Je passe ma main sous sa jupette. Comme elle ne porte rien dessous, ma main est vite sur ses fesses. Elle est douce. Je caresse lentement avant de passer entre les globes.
Yan écarte un peu les cuisses. Elle accepte déjà ce qui n’est pas convenable. Je passe partout je sens au passage son petit trou pour aller perdre ma main sur sa foufoune. Elle devait être déjà excitée vu la quantité de cyprine qu’elle secrète.
Je ne lui fais rien de particulièrement désagréable en le branlant. Elle s’appuie à eux bras sur mon bureau, les jambes bien écartées pour mieux profiter de ce que je lui fais.
Je bande comme un âne en la branlant. Pourtant je ne veux rien lui faire au bureau. Ma bite doit être sage. J’arrive à mettre un doigt dans le cul tout en la caressant avec le pouce posé sur le clitoris. Elle se cabre au moment de l’orgasme. Je n’arrête pas, je continue pour la faire jouir une fois encore.
- Je voudrais ta queue.
- Non, pas ici. Ce soir.
Elle jouit en gémissant. J’arrête ce que je lui faisais, même si elle n’est pas d’accord. Ce soir c’est-ce soir.
Je lui donne rendez vous chez moi pour 20 heures.
La déçue arrive bien à l’heure. Il faut croire que j’ai eu raison de ne pas la baiser ce matin. Ses vêtements ne sont plus les même. Elle porte une robe qui l’enveloppe entièrement sauf les fentes sur le coté qui lui découvrent touts les jambes jusqu’à son pubis.
Nous nous embrassons pour la première fois d’un baiser pire qu’au cinéma. Ces lèvres insistent pour ne pas quitter ma bouche. Ma langue ne demande pas mieux. Elle embrasse divinement bien. Ses bras entourent mes épaules. Je pose encore une fois ma main sur sa hanche, puis la passe derrière elle. Je ne sais pourquoi je suis attitré par son cul. Elle me fait enlever ma main pour la passer dans la fente de sa robe. Je ne suis pas contrariant, je mets la main là où elle le demande. Je tombe encore sur sa peau nue.
Je vais directement entre ses fesses. Elle les écarte, m’aide quand je pose mon doigt sur son anus. Il est encore sec, elle ouvre bien son cul. J’entre comme je suis. Bien sur je force à peine pour entrer. Elle soupire de bonheur quand je fais les aller et venues.
Soudain :
- Je vais jouir.
- Jouis bien.
Elle ferme les yeux, serre un peu ses fesses. Je sens son bonheur à travers son cul qui a des spasmes qui ne trompe pas : elle jouit comme il faut.
Elle n’a pas attendu pour sortir ma bite, qu’elle branle très lentement. Elle n’arrête que quand j’ai trouvé la fermeture éclair de sa robe. Elle tombe complètement.
Enfin je peux voir tout son corps. Toutes les déesses de l’antiquité ne la valent pas. Ma bouche prend une pointe de sein qui grossit aussitôt. Elle a repris mon sexe qu’elle ne caresse toujours pas vite. Elle doit bien baiser pour me ménager ainsi. Cette fois ma main passe devant elle. Je passe sur toute sa chatte, à la recherche de son berlingot. J’y passe deux doigts, un de chaque coté. Ses gémissement reprennent plus forts encore.
- Oui, branles moi encore, tu la fais très bien.
- Toi aussi tu branle bien. Ne me fait pas jouir sinon je ne pourrais pas te baiser.
- Je connais un moyen infaillible pour te faire bander plusieurs fois.
- Si tu veux je peux te sucer, j’adore faire des fellations. *
- Tu en faisais à ton ex ?
- Il ne voulait pas.
- Toi tu voulais ?
- Bien sur l’aime avaler le sperme ;
- Alors oui, suce moi.
- Pas ici, dans la chambre.
En plus elle aime ses aises. J’ai à peine le temps de m’assoir au bord du lait qu’elle est à genoux devant moi. Elle écarte mes jambes pour être à l’aise. Elle commence par me caresser les couilles avant de prendre mon mandrin à pleine main pour le branler. Je regarde sa main pleine de ma bite. Elle me fait déjà un bien fou.
Elle arrête pour me prendre en bouche, en commençant par lécher ma tige de bas en haut, jusqu’au gland. Là sa langue bouge partout sans s’arrêter à un endroit précis. Sa main est toujours en mouvement. Je sens enfin une grande différence quand je suis avalé. Je ne regarde plus ce qu’elle fait, je me régale simplement. Ses lèvres me serrent sans cesse, sa langue lèche le gland, finalement je ne sais plus ce qu’elle fait.
J’ai du plaisir. Elle arrête souvent, elle reprend. Yan est véritablement la reine de la pipe. Mon orgasme est fulgurant, à tel point que je n’ai pas le temps de la prévenir.
Je jouis au fond de sa bouche qu’elle n’ouvre pas avant que j’ai fini d’éjaculer toute ma réserve de semence. Elle me montre ce que j’ai jeté avant de l’avaler à toutes petites gorgées.
Comme prévu, je débande. Elle regarde ma queue rétrécir. On dirait que ça l’amuse. Comme je ne me suis pas occupé de sa chatte, je me place entre ses cuisses. Je la lèche depuis les orteils en passant par les genoux et l’intérieur des cuisses. Plus je monte vers sa féminité, plus je sens son sexe. On dirait une odeur de miel et de sel de mer. Ma langue arrive enfin à son but. Son abricot est entièrement mouillé. Sa cyprine a débordé jusqu’à son anus. J’en profite pour le lécher. J’y entre un peu. J’aime faire les feuilles de roses;
Elle doit bien aimer la sodomie puisqu’elle me laisse faire tout ce que je veux. Mon nez plonge dans son puits. Je la branle aussi avec lui. Elle prend ma tête entre ses mains pour me diriger vers son bouton. Je ne saurais dire combien de fois j’ai senti ses orgasmes.
Vient l’instant fatidique. Je ne bande plus correctement. Elle applique sa méthode apprise je ne sais avec qui. Elle passe mes couilles, me masse juste sous les roubignoles une ou deux minutes. Je ne connaissais pas ce truc. Miracle elle me fait bander rapidement. Un coup de langue dessus, me voilà prêt à la servir comme elle veut.
Elle a des gouts simples, une bite devant la passer ensuite derrière et s’il y a encore de la place, dans sa bouche. Faire l’amour est pour elle une chose sérieuse. Elle s’y donne à fond.
- Je te l’avais dit que je savais comment de faire bander.
- En plus c’était bon. Tu la veux où.
- Commence par me la mettre dans la figue. Juste avant tu me suceras un peu.
Je ne suis pas contrariant, elle veut ma bouche sur son abricot, j’aime son gout alors je commence par me mettre à plat ventre juste devant ses jambes écartées. Ma langue fait la coquine sur sa chatte, surtout cette fois sur le cul. Sans le faire exprès pourtant je devais m’en douter, je la fait encore partir loin dans le ciel.
Pour l’instant ma langue arrête
. Je pousse mon corps en avant jusqu’au moment où je sens sa cramouille sur ma tige. J’allais la baiser quand elle passe ses deux jambes sur moi, juste au dessus des reins. Elle s’ouvre un peu plus. Son con est très agréable à baiser. Ma queue s’enfonce trop facilement. D’elle-même elle serre les muscles internes de son sexe. C’est à présent que je la sens bien mieux. Elle entoure ma queue d’un velours entièrement consacré au plaisir. Elle est chaude à l’intérieur. Je la sens jouir autour de ma queue bien plantée. Elle accompagne tous mes aller et venus. J’aime bien sentir son pubis choquer le mien. Nos poils s’accrochent de temps en temps. Elle gémit plus fort en disant des
- Oui, Oui, Encore, baises moi fort, défonce mon con. Je suis une pute, une salope qui aime se faire baiser et enculer. Je te veux partout. Mets-moi deux doigts dans le cul. Si on était trois, avec un autre homme vous me mettriez vos deux queue ensemble dans le con. S’il y en avait un autre il m’enculerait. J’aimerais faire ça à trois. Tu aimes ça toi ?
- Je n’ai jamais essayé. La prochaine fois peut être si tu trouve les autres amants.
- Oui, j’en trouverais.
Elle part encore dans un orgasme qui me laisse pantois. Je ne pensais jamais qu’une fille jouisse autant qu’elle. Ce qu’elle m’a fait comme traitement marche bien, je sens bien la baise et ne jouis pas.
Je sors d’elle qui ne voudrait pas pour la retourner sur le ventre. Je m’affale sur elle, la bite entre ses fesses. Je prends pas mal de salive pour lui mettre sur l’anus.
Je mets juste ma queue contre son cul qu’elle commence déjà à jouir. Pourtant je ne suis même pas entré. Je ne force même pas pour l’enculer. Elle a une bonne habitude de la sodomie. Mon gland passe facilement le barrage de son rectum. Ensuite c’est comme dans du beurre. Mais quel beurre toujours chaud, qui se resserre souvent. C’est drôlement excitant de sentir son cul avoir des spasmes pas ment de jouissance.
Je dois l’enculer une bonne heure avant que je jouisse au fond de ses boyaux. Elle en voudrait encore. Je ne sais plus comment la soulager. Elle se lève pour ouvrir son sac. Il y cache son nécessaire : deux godes de belle facture. En se recouchant, elle me regarde comme si je lui avais interdit de se mettre les godes.
Elle reste sut le dos, commence par s’enfiler un premier gode dans le minou pour le ressortir aussitôt. Elle se le met au cul d’un seul coup. A faire désespérer un acteur de porno. Ensuite après deux ou trois aller-venu, elle se baise.
Elle gémit plus fort. Yan ne tarde pas à jouir bruyamment. Elle sort celui du cul pour le mettre avec l’autre dans le con. Je ne fais que regarder en bandant. Elle prend un drôle de pied.
Je commence à me branler. Elle ne le veut pas, sa bouche doit servir encore. Alors je me mets à cheval sur sa poitrine. Elle me prend dans sa bouche. Sa fellation est encore meilleure que celle du début. Je pensais être vide, il y a une grande quantité de sperme dans sa bouche.
Je regarde l’heure. Il n’est « que » 3 heures. Depuis 20 heures le temps est vite passé. Mais enfin pour moi baiser sans discontinuer depuis 7 heures nous n’avons pas arrêté. Je comprends ma fatigue. Je suis obligé de la mettre dehors après lui avoir promis que nous baiserons encore samedi et dimanche.

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