La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 343)
Suite de l'épisode N°339 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -
Monsieur le Marquis Edouard dEvans vient de laisser Madame la Présidente, lépouse de Monsieur le Député-maire en compagnie de son fidèle Majordome Walter, avec à ses pieds la chienne-femelle 3 et le chien-esclave 17 sur les croupes desquels elle doit poursuivre son apprentissage du maniement du paddle, car bien que Domina dans lâme, elle navait jusqualors peu utilisé ce type dinstruments sur leur petite chienne-esclave Aliz, laissant la plupart du temps ce plaisir à son époux et y préférant des jeux plus de pouvoirs et de sensualité, résolument très saphiques à deux ou sexuels à trois, appréciant particulièrement que la langue de sa petite chienne vienne se perdre dans ses plis intimes humides pour lui permettre datteindre un degré dexcitation extrême pour de réjouissants préliminaires. Tandis que le Châtelain séloigne pour aller à la rencontre dautres invités, il na pas fallu longtemps à cette Maîtresse, belle femme à lallure très altière pour prendre en mains linstrument D/s sur les précieux conseils du Noble et lil avisé du Majordome qui la regarde officier avec délectation, voyant peu à peu les deux fessiers sempourprer et séchauffer, qui se permet dintervenir à un moment.
- Madame la Député-maire, si vous me le permettez. Je pense que vos coups mériteraient dêtre encore plus affirmés et réguliers ou non, mais prenant chaque fois le temps de laisser la chaleur de limpact irradier dans ces deux belles croupes exposées. Cela vous laissera aussi le temps de reposer votre bras entre deux coups, sinon vous allez très vite vous épuiser à la tâche au lieu dy prendre plaisir. Nhésitez surtout à frapper la couenne endurcie de ce cabot qui a eu limpertinence doffenser Monsieur le Marquis dEvans, il ne mérite pas de pouvoir prendre du plaisir aussi facilement. La chienne 3 semble particulièrement excitée, on voit sa cyprine qui coule entre ses cuisses et sur le parquet.
- Walter, si je puis me permettre de vous appeler ainsi depuis le temps que je vous connais, vous êtes un parfait serviteur loyal pour notre cher Marquis. Je nai pas encore pris le temps de vous dire à quel point nous avons apprécié cette merveilleuse soirée, avec tant de surprises et dévénements extraordinaires de qualité. Dautant plus que jai cru comprendre que cest vous qui vous êtes chargé de toute lorganisation. Je ne voudrais pas vous retenir plus longtemps à mes côtés, car je suppose que vous devez avoir encore fort à faire ailleurs. Je pense dailleurs que je vais moctroyer une petite pause bien plus « ré-jouissante mais sans ré si je puis dire ». Cette femelle ma également excitée et il me tarde de la voir se faufiler entre mes cuisses. Je vous laisse donc à vos occupations et je vous remercie beaucoup de vos conseils avisés.
Madame la Député-maire pose sans plus attendre le paddle, considérant quelle sest assez entrainée pour la soirée. Elle se penche pour glisser sa main dans la fente ruisselante de la chienne-femelle 3 qui spontanément écarte encore plus ses cuisses toutes frémissantes. Elle ressort une main trempée quelle promène sur le fessier rougi de lesclave, en véritable caresse calmante qui contraste avec la chaleur du postérieur irradié de ses plus belles couleurs dans des tons rougeâtres. Elle fait le tour de la chienne-esclave et se positionnant devant cette dernière toujours à quatre pattes, lui att le menton.
- Walter, na pas menti, tu es une vraie chienne en chaleur humide. Tu sembles avoir apprécié ce que tu as reçu, nest-ce pas ? Je tautorise à me répondre.
- Madame ou Madame la Député-maire, je ne sais si jai lautorisation de vous nommer ainsi, car je ne suis quune simple chienne-esclave au service de Monsieur le Marquis dEvans Le Maître Vénéré, je vous remercie de mavoir autorisée à parler et je vous remercie aussi infiniment de mavoir gardé à vos pieds pour la soirée pour tant de plaisirs délicieux.
- Alors la belle chienne, tu vas pouvoir te délecter de mes sucs intimes. Suis-moi, je vais aller métendre sur ce canapé, cuisses ouvertes et tu pourras venir te vautrer à lintérieur. Lorsque je tai vu sucer mon époux avec beaucoup de docilité et une véritable pratique de bonne salope-suceuse, je me suis dit que ta langue devait être magique et que je limaginais bien se faufiler entre mes lèvres intimes, et même toutes mes lèvres...
La Domina tire sur le menton de la chienne-esclave 3, lobligeant à se redresser pratiquement et se tenir bien droite tendue tout en restant à genoux et elle lembrasse voluptueusement, prémices à dautres baisers plus savoureux, aspirant la langue de la chienne-esclave pour la forcer à pénétrer profondément dans sa bouche, de manière à lui faire comprendre ce quelle attend delle mais sur une autre partie encore plus érogène de son anatomie. Elle att la laisse de la chienne qui se remet à quatre pattes pour la suivre dans une marche gracieuse ondulant de ses fesses encore bien rouges, tout en laissant sa cyprine couler sur ses jambes, dautant plus excitée quelle sait que la suite de la soirée sera pour elle dune sensualité saphique qui nest pas pour lui déplaire, espérant pouvoir apporter beaucoup de jouissance à celle entre les mains de qui elle a été remise pour toute la nuitée. Madame la Député-maire, dun ton beaucoup plus dédaigneux, et sans même tourner la tête ajoute :
- Quand à toi le sale cabot, je ne sais même pas si jai envie de tappeler chien 17. Je dois avouer que le fait de savoir que tu as osé manquer de reconnaissance pour le Maître à qui tu appartiens nest pas à ton avantage, dautant plus que je pense que Monsieur le Marquis dEvans est sans conteste, et de loin, le meilleur Maître que je connaisse, qui prend grand soin de tous les esclaves qui lui ont prêté allégeance et sont venus se mettre sous Son joug et Sa protection.
Le trio, composé de la Domina tenant en laisse lesclave-femelle 3 très excitée et très chienne et suivi à moins dun mètre par le chien-mâle 17 mordant sa laisse coincée entre ses dents et avançant tête basse, se dirige vers un angle de la pièce dans lequel se trouve un grand sofa libre. Pendant ce temps-là, Monsieur le Marquis dEvans a repris le tour quIL avait lintention de faire dans toute la pièce transformée en donjon D/s et lieu orgiaque mais aussi à cette heure tardive en lupanar de luxe tant les râles de jouissance se mêlent aux divers bruits D/s plus cinglants. IL croise sur sa route quelques groupes bien affairés dans des échanges pluriels ne voulant pas interrompre leurs ébats orgiaques à un moment inopportun et fini par sapprocher de lun de ses derniers amis en date, le Seigneur Bedwyr qui a la particularité de toujours se déplacer dans les grandes soirées intimes ou D/s, en tenue dapparat moyenâgeuse portant à la ceinture une authentique épée ancienne dun métal luisant, en relation avec la légende associée au prénom quil porte, puisque dans les aventures arthuriennes, il est cité comme étant celui qui restitua la fameuse épée légendaire « Excalibur » à la Dame du Lac.
Le Seigneur Bedwyr est toujours accompagné dans les soirées D/s de son esclave « captive », car cest le nom quil lui a attribué, nom dautant mieux porté quelle est entravée par des chaines qui relient à la fois ses deux pieds et ses deux mains, mais aussi dune longue chaine qui part de son cou et sur laquelle vient se greffer les deux chaines horizontales des bras et des jambes.
Le Seigneur Bedwyr a choisi pour la soirée de tirer une boule argentée lui donnant droit à un chien-mâle portant le numéro 15. Son épouse et esclave est parfaitement soumise mais il la sait aussi particulièrement sensible et jalouse, ne montrant jamais le grand désarroi dans lequel elle plonge lorsquelle sent que quelquun pourrait venir ravir sa place aux côtés de son époux et aux pieds de son Seigneur, mais elle ne peut pas sempêcher de se ronger les sens de lintérieur, bien quil ne cesse de lui répéter quelle seule est lAmour de sa vie, qui le comble dans sa vie de tous les jours en tant quHomme et aussi dans sa vie D/s, grâce aux fantasmes quils partagent et vivent à deux, lui en tant que Seigneur et Maître Absolu, elle en tant que captive et esclave. Son respect pour son épouse nexcluant pas la ferme Domination et le pouvoir quil exerce en tant que Seigneur sur lesclave qui sest offerte à lui, le conduit cependant à veiller à préserver lharmonie du couple civil dune part et du couple D/s dautre part, étant à la fois très exigeant mais aussi très amoureux de celle qui se donne à lui de la plus belle manière qui soit, c'est-à-dire entièrement et sans la moindre retenue.
Au moment où Monsieur le Marquis Edouard dEvans approche, le Seigneur Bedwyr qui était en train de saffairer à vouloir détacher le chien-esclave qui lui a été confié pour la soirée, se redresse et se retourne pour saluer comme il se doit son Hôte.
- Cher Marquis, je vous salue très courtoisement, votre réception est encore une fois un délice, comme pour chaque occasion lesquelles jai limmense plaisir y être invité. Je suis particulièrement ravi davoir pu participer à ces festivités. Il nest plus lheure pour Vous souhaiter un bon anniversaire, car minuit a sonné depuis longtemps, mais disons que je Vous souhaite alors de continuer à pouvoir profiter de tout le bonheur du monde. Votre cheptel desclaves fait Votre Renommée dans toute la communauté et Vos soirées sont dun tel raffinement que chaque fois je reste émerveillé de ces moments que vous nous permettez de vivre, temps de rencontres et déchanges avec dautres Dominants, tout autant que temps de jeux et plaisirs D/s partagés.
- Cher Seigneur, je vous sais gré de vos compliments qui me touchent profondément.
- Monsieur le Marquis, permettez-moi de Vous faire remarquez ce que Vous ne pouvez ignorer de par Vos Nobles origines. Le titre de Seigneur, dont je me suis paré dans ma démarche de Domination, nest pas un vrai titre nobiliaire à linverse du Vôtre et de Votre droite et noble lignée aristocratique des Marquis. Les Seigneurs du moyen-âge étaient avant tout ceux qui étaient propriétaires dune terre, de grande ou petite taille, et ils étaient alors « sieur de
. ». Mais seuls les propriétaires nobles portaient leur titre attaché à la seigneurie. Pour ma part, je ne prétends à aucun titre réel, ni à aucune particule. Je ne reste « Seigneur » que pour ma douce et tendre esclave « captive » qui porte bien son nom, bien que parfois je me demande quel est le plus captif des deux dans notre relation ou nous sommes si intimement liés lun à lautre. Je ne devrais pas dire cela devant elle et en sa présence, car elle risquerait den tirer profit, mais jai toute confiance dans la dévotion sans faille de celle qui est sans la moindre contestation à moi, toute à moi et rien quà moi...
Avec un petit hochement de tête pour marquer son respect à lHôte de ces lieux, le fier chevalier en tenue de velours brodé à fil dor, veste bustier à larges manches et chausses moulantes avec de hauts brodequins, ajoute :
- Alors je vous en prie, très cher Marquis, appelez-moi tout simplement Bedwyr. Je suis déjà particulièrement honoré de pouvoir espérer être compté parmi Vos amis, car je ne cesse de men réjouir depuis que nous avons fait connaissance lors de cette autre agréable soirée organisée par « La Dame du Lac », une Dominante de très grande stature qui ma beaucoup appris sur la relation D/s mais de son côté féminin dominant. Je vous sais gré dailleurs de tous les mails que nous avons pu échanger, Votre savoir et Votre fine perception de tout ce qui touche à la Domination/soumission fait que cest toujours un plaisir pour moi de Vous lire et que japprends beaucoup de Votre Maîtrise et de Votre sagesse
(A suivre
)
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