Tantine
Ma tante m'accueille pour une fois seule. Elle a mauvaise réputation dans la famille, elle aime les relations suivies avec des femmes. Je rentre dans ce cadre. Il me tarde qu'elle me fasse tout ce qu'elle fait avec les autres.
J'aime me masturber, j'aime me caresser, même aux toilettes, même si on peut me voir. Je ne parle même pas des moment formidable que je passe avec mon gode, le soir avant de dormir. me baise sans remord .
Ma tantine, comme je l'appelle connais mes envies. Le premier soir elle me demande de venir nue dans sa chambre. Nue, déjà !
Elle m'attend, elle aussi presque nue, disons avec le principal de son anatomie à peine cachée par des petits vêtements en dentelles qui me font presque tout voir.
Elle est belle, attirante, même pour les femmes qui pourraient la voir.
Ses bras me sont tendus. Elle me veut près d'elle, contre elle.
Je me coule sur son corps, je profite de sa douceur, de sa chaleur, de son envie.
Pourtant c'est elle qui me touche à peine, un soupçon de caresse sur une épaule. Elle frôle mon cou avec sa langue.
La connaissant par ouïe dire, je m'attends au pire, sans savoir à quoi exactement.
Elle descend se bouche vers mes seins tendus.
Sa langue seule me lèche, tourne autour de mes mamelons. Elle ajoute une main qui tient mon sein par le dessous. Je sens toute d'elle. C'est agréable.
Elle arrête avec sa langue, elle m'embrasse sur la bouche, me touche vers le ventre. Mon nombril a droit aussi à un doigt. Elle peigne presque ma fourrure. Je me tend ouverte.
Comme pour me calmer elle pose sa main ouverte sur la chatte. Je voudrais qu'elle fasse plus ;
Elle le fait en mettant un doigt, un seul sur mon intimité. Je me laisse faire comme si jétais habituée à ce genre de caresses.
Quand enfin elle me donne son doigt dans la fente, je la sens chercher à peine le clitoris qui bande un peu.
Elle veut me masturber, j'y suis prête.
Elle me caresse doucement : c'est à peine si je la sens sur mon con. Elle va plus vite et là, je suis mieux que quand je me touche. Elle sait « parler » aux filles.
Elle comprends mon besoins, elle membrasse sans cesse. Nos langues jouent ensemble dans nos bouches. Elle met la sienne la plus profondément dans ma bouche. Je la lui mordille.
J'en oublie presque sa main, sa douce main qui commence à me faire partir vers je ne sais pas encore quoi. C'est en tout cas plus doux qu'avec un porteur de bite qui ne pense qu'à me la mettre.
Ses doigts sont sur moi, en moi. Elle me doigte le vagin avec je en sais combien de doigts, plusieurs en tout cas.
Je suis tendue, je vais jouir grâce à elle, sans la toucher, pour le moment.
Je pars dans un orgasme attendu. Elle ne s'arrête qu'un instant, elle recommence encore et encore. J'ai une tantine formidable. Je ne pensais jamais qu'elle me fasse connaître son paradis.
Elle viens sur moi, sur mon corps, je sens ses seins contre les miens, sa langue dans ma bouche. Nous nous frottons ensemble. Elle est douce, elle m'embrasse toujours.
J'ose à mon tour lui caresser à peine les seins, mais je vais vite sur sa fente quelle me donne. Mon Dieu qu'elle est mouillée.
Je glisse un seul doigt en elle, je vais sur son vagin, directement. Je le rentre, elle me le donne. Je le fais entrer et sor.tir, je la fait jouir trop vite à mon sens, je recommence comme elle ma fait, : elle jouit encore plus.
- Viens me lécher le con, me demande-t-elle.
Ce n'est plus la même chose de la masturber et la lécher. Enfin elle le veut, pourquoi pas.
Elle accueille ma tête dans ses cuisses. Je vois tout son sexe. Je tend ma langue puisqu'elle le veut. Son goût maintenant envahit ma bouche entière.
Je laisse traîner le bout de la langue. C'est finalement agréable se la manger ainsi. Je commence le « travail de sape » avec le bout de la langue, puis, je me prend pour un chien, je la lèche en entier, en débordant beaucoup sur son périnée et dérivant doucement vers son anus qui mattire.
Je n'embrasse pas son cul, ma langue le nettoie, comme s'il était dégouttant alors qu'il reluit de propreté. Elle ouvre bien ses fesses.
Je vais passer ma langue sur le cul de Tantine. Elle appuie sur ma tête pour que j'aille bien sur son anus. Ma langue lèche à peine avant de la durcir pour la lui mettre comme une bite.
Je ne pensais jamais trouver de tels muscles autour de son cul. Elle les ferme et le ouvre comme elle veut. J'entends ses gémissements aux grands moment de mes enfoncements. Je suis à avec la langue en totalité dans son cul ouvert.
Je fais comme si je l'enculais. Elle ne subit pas, elle déguste.
Je sens ses spasmes plusieurs fois autour de ma langue, je continue presque trop, jusqu'au moment où elle n'en peut plus.
- Mets moi la en 69.
Je me tourne complètement je passe ma tête entre ses jambes, comme elle me fait. La vache quelle sait bien lécher un con puis un cul. Je ne m'en lasse pas.
- Si tu veux que je te mette le gode, n'hésites pas.
- J'en veux un dans le con.
Elle me lèche toujours le cul, je lui lèche le sien. Je sens d'un seul coup la gode venir dans mon vagin. Elle me baise en me donnant plusieurs orgasmes.
Je suis morte de plaisir en sortant de sa chambre, mais prête à recommencer. Tout mon séjour se partage entre son cul ou son sexe.
Quand je rente chez moi, je suis privée de ses caresses, de ses léchage, se son goût de sa cyprine.
Il me tarde de revenir chez elle.
Ma mère sait de quoi il s'agit : avec elle pas de risque de grossesse indésirable. Je pense aussi qu'elle ont du faire comme nous il y a longtemps
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