Paris Perdu 2
« Monte les escaliers, petite salope, on va te préparer »
Je me suis empressé de monter les escaliers à 4 pattes, imaginant le spectacle que je devais leur donner. Arrivé au dessus, je marquai un temps darrêt et je reçu une violente claque sur les fesses.
« Prends la porte à droite et installe toi le nez au sol » lentendis-je de sa voix grave.
Une fois installé, je senti une main parcourir mes fesses.
« Tu as raison, il a vraiment un petit cul de salope, une raie du cul ouverte avec quelques poils ».
Mathilde reprit aussitôt :
« tu sais pourquoi tu es là. Tu as perdu ton pari et Virginie et Caroline nous ont demandé de te préparer pour la soirée. Tu vas être un gentil toutou et obéir à tout ce qui te sera demandé. Ce soir, tu devras faire le service et elles ont demandé que tu nouvres pas ta petite gueule. Tu as compris »
« Oui, Mathilde »
« Bon, Serge, va chercher le nécessaire pour le faire le plus beau possible ».
Quelques minutes passées, un aller retour de Serge et je sens un liquide froid couler entre mes fesses, puis 2 mains les écarter.
« Regarde son petit trou de pucelle » dit Mathilde à Serge, « regarde comme il va aimer être honoré ».
Je sentis un objet froid se poser sur ma rondelle et forcer mon anus vierge. Je voulus faire un effort pour résister, mais ma résistance fut veine, lobjet eut raison de ma rondelle et senfonça.
Il fut retiré et réenfoncé de nombreuses fois jusquà être enfoncé jusquà la garde.
« Te voilà avec une jolie queue de chienne ; relève-toi et regarde toi dans la glace ».
Je me relevai et me tourner fesse à la glace. Jétais affublé dune jolie queue de pouliche.
« Mets ce tablier, il te sera utile pour faire le service ».
Mathilde me fit enfiler un petit tablier qui marrivait au dessus du nombril, laissant voir mon sexe.
« Tu es superbe, ainsi, mais je crois quil manque encore quelque chose, je préfèrerais te voir avec le cul bien rouge.
Je me suis retrouvé illico presto en travers de ses genoux à me faire fesser comme un vulgaire gamin puni. Je nimaginais pas que des claques sur le cul puissent faire aussi mal. Javais le cul en feu lorsque je me suis relevé.
« Garde les yeux baissés, et tu resteras ainsi toute la soirée. Personne ne veut voir ton regard de salope. Compris ? »
« Oui, Mathilde »
Et, nous sommes repartis. Ils mont fait monter dans le coffre de la voiture. Le trajet na pas été très long même si la notion de temps dans cet endroit nétait pas facile à réaliser. Le moteur sest arrêté et le coffre sest ouvert.
« Dehors, petite salope »
Jétais sur le parking dun immeuble et je nosais sortir. Je reçu alors une grande claque de Serge.
« Dépêche toi, conasse, on na pas que ça à faire »
Je suis donc descendu du coffre les mains devant le sexe et je les ai suivis. Arrivé devant la porte de limmeuble, Mathilde a appuyé sur linterphone et quand elle a pu parler :
Cest Mathilde et Serge, avec la petite salope ».
Dring. La porte sest ouverte. Mais plutôt que de prendre lascenseur, nous avons monté les 2 étages à pieds. Javis peur de rencontrer quelquun. Heureusement, vu lheure, il nen fut rien. La porte du deuxième était entrouverte et nous sommes rentrés. Je fus emmené par Mathilde jusquà la cuisine.
« Voilà, tu es arrivé. Tu prendras le plateau sur la table, tu y prendras les 5 verres ainsi que les bouteilles. Tu attendras quon tappelle et tu viendras nous servir lapéro. Au fait, branle toi un petit coup pour donner un peu de taille a ta petite bite ».
Et elle me quitta, me laissant préparer le plateau, penaud. Je sentais mes genoux trembler. Comment pourrais-je me présenter devant Virginie et Caroline ainsi ? Et soudain :
« Petite salope, viens nous servir lapéro ».
Je me dépêchai de me branler pour donner un peu de vigueur à ma bite et pris le plateau pour me diriger vers le salon.
La porte passée, stupeur, il ny avait pas 4 personnes comme je lattendais mais 5.
« Baisse les yeux, salope, tu nes pas autorisé à regarder ».
Virginie, Caroline, Mathilde, Serge et,
. Ma femme Sylvie. Mon entrée fut accueillie par des éclats de rire et des commentaires.
« Salut, petite bite, nous avons soif, fais le service »
Je reconnus la voix de Virginie. Lun après lautre, je leur demandai ce quil voulait et fis attention de ne rien renverser. Une fois le service terminé, jentendis Caroline me dire :
« Pose le plateau sur la table et viens te mettre à 4 pattes, le cul en lair devant nous. Nous préférons ton petit cul à ta petite bite de gamin ».
Je me perdis rapidement dans mes pensées, comment se faisait-il que ma femme soit là ? Que devait-elle penser de moi ? Je fus réveillé de mes pensées par la voix de Caroline :
« Ta femme nous a avoué que tu lui avais proposé plusieurs fois que tu désirais lenculer et elle te la toujours refusé. Aujourdhui, cest elle qui en éprouve le désir. Demande de lui de te dépuceler ton petit cul de lopette »
« Euh ! »
« Allez, écarte tes fesses avec tes 2 mains et dépêche toi de demander si tu ne veux pas être puni. De toute façon, tu nas pas le choix, tu te rappelles que tu dois faire tout ce quon veut »
« Prends mon pucelage, ma chérie, si cela te fait plaisir » répondis-je en écartant les fesses.
Jai senti ma femme se lever, a retiré de mon cul la queue qui pendait dans un bruit de succion, puis jai senti un objet se poser sur mon petit trou. Jai tourné la tête et jai vu ma femme avec un gode de bonne taille, derrière mon dos. Jai crié de douleur quand elle a commencé à senfoncer.
« Tu vois, mon chéri, ce nest pas la mer à boire. Tu te rappelles quand tu mexpliquais que jy trouverais mon plaisir. Alors goûte au plaisir que tu voulais moffrir ».
Après mavoir enfilé le gode à fond, elle entreprit des allers retours de plus en plus rapide.
« Regardez, la petite salope est aussi pédé, sa petite bite se tend . Allez Sylvie, un peu plus de rythme, je suis sûre quil va bientôt gicler ».
Effectivement, je ne sus pas me retenir et une bonne giclée séchappa de ma bite. Et ce fut au tour de Virginie de reprendre la parole :
« Dis Serge, donne lui ta bite à sucer à ce petit pédé, je suis sûre quil va adorer »
Aussitôt dit que Serge place sa bite devant moi, me prend par les cheveux pour approcher ma bouche. Comme je ne louvre pas assez vite à son goût, il gifle violemment ce qui me fait ouvrir la bouche, où il senfourne brutalement. Je ressens un gros haut le cur lorsquil senfonce au fond de ma gorge. Pendant 10 minutes, il fit des va et vient dans ma bouche avant de senfoncer à fond et déjaculer dans ma gorge.
« Avale salope, goûte mon jus avant que je ne baise ta femme »
Malgré le dégoût, javalai tout. En même temps ma femme sest retiré laissant mon trou béant ; à la vue de tous les spectatrices.
« On sait maintenant comment tu as réussi à obtenir ta promo » dit Virginie. « Et maintenant, tu vas pouvoir regarder ta femme se faire mettre par une vrai bite. Mets toi à genoux, les mains dans le dos et regarde comment un mec sy prend ».
Je me mis à genoux, les mains derrière le dos. Ma femme était maintenant nue et Serge lembrassait à pleine bouche. Puis il lui demanda de le sucer ce quelle fit sans se faire prier. Elle lembouchait goulument comme javais limpression quelle ne lavait jamais fait avec moi.
Puis, il lui a demandé de prendre appui sur la table basse et jai eu pendant quelques instants une vue superbe, sa chatte et son cul offert. Serge sest approché et a enfoncer sa bite dun seul coup et jai entendu Sylvie râler de plaisir. Il la besogné pendant un bon moment et la achevée dans un formidable orgasme.
« Voilà comment on fait lamour à une femme, lopette. Rhabille toi, prends tes affaires et casse-toi, tu nes quun misérable petit pédé non assumé » dirent en chur Virginie et Caroline.
Je me suis levé, sans un regard, suis allé cherché mes affaires qui traînaient au sol dans la cuisine, me suis rhabillé et suis parti, la queue entre les jambes en pensant déjà à ma vengeance. Je navais pas envie de rentrer à la maison et suis allé minstallé quelques jours à lhôtel, histoire de faire le point et réfléchir à ce qui métait arrivé.
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