Georgette

Dans ce dancing des année 60, juste avant la vague yé-yé, je rencontrais une fille qui me plaisais. Nous dansions souvent ensemble, surtout les tangos ou slows, tous déplacements en couple serrés. La première fois que je l'invite, elle accepte en souriant. Nous avons passé pratiquement le soirée seuls au monde. Puis, tout à une fin  : la soirée terminée, elle part chez elle avec ses copines. A l'époque il était inimaginable qu'une jeune fille bien élevée sortent la nuit seule surtout dans un endroit de perdition comme un dancing. Je l'ai rencontré le lendemain vers 18 heure 30 là où se retrouve la jeunesse. Nous nous sommes pas promenés longtemps. J'étais nouveau dans la ville, je ne connaissais pas encore les lieux propices aux amoureux.
Elle connais tout les endroits, ce qui montre qu'elle n'est pas si innocente que ça. En nous promenant nous allons nous asseoir sur un banc dans un jardin public. Elle me donne son prénom, Georgette. Nous ne bavardons pas plus de 5 minutes pour que je l'embrasse. Visiblement elle n'attend que ça, sa bouche prometteuse tienne bien quand nos langues jouent longuement ensemble. Elle n'accepte pas que mes mains se promènent sur son corps. Ce n'est que la lendemain que je peux caresser un peu sa poitrine. J'ai fais cela simplement en passant une main par l'ouverture que je provoque d'un seul bouton de son corsage. Le tissu de soutien gorge est presque aussi doux que sa peau. Je peux exciter le téton que je sens durcir.
En patientant une bonne quinzaine, je peux enfin passer ma main sous sa jupe. Elle se lâche en me laissant faire un peu ce que je veux. Attention, je peux arriver non pas à son sexe, mais déjà un plus à sa culotte. Je la sens bien humide quand je caresse la chatte à travers le tissu. Je ne peux savoir jusqu'où aura été son plaisir. Par contre le lendemain en recommençant mon excursion j'arrive enfin à passer un doigt pour aller sur son paradis. Je peux la branler enfin : elle ferme les yeux, se laisse complètement aller : je la sens jouir.


Sa reconnaissance est de me toucher la bite à travers le pantalon. Elle me masse sans chercher à me masturber, j'aimerais bien sentir sa main directement sur mon manche. Il me faut attendre encore. De moi même je sors mon oiseau pour le lui coller dans la main. Elle se trouve ignorante de la façon de me donner du plaisir.
Heureuse époque où il fallait tout montrer aux filles. Elle me branle avec plaisir, s'étonne de la quantité de liquide qui sort de ma queue. J'arrive à le lui faire goûter. Ça lui plaît. Comme sa cyprine nous plaît.
J'arrive à la convaincre d'aller à la plage, à moins de ¾ d'heure en bus de la ville. Nous trouvons très facilement l'endroit idéal pour des amoureux, dans un angle de rocher isolé et du vent et des curieux. Nous étalons les serviettes, j'enlève mon pantalon pour ne garder que le maillot de bain. Georgette se tourne, pleine de pudeur pour que je la vois pas nue alors que je regarde posément ses fesses et son dos, pendant qu'elle se change. Le peu que je vois, ma tenue font que je commence à bander. Son bikini n'est pas très découvert, je vois assez pour avoir envie d'elle.
Elle tient absolument à plonger. C'est une vraie naïade qui part vers le large. Je ne peux pas la suivre, aussi je reste presque au bord. J'en profite pour enlever le maillot. Elle n'est qu'à moitié étonnée quand elle me voit nu devant elle. Nous filons vite vers les serviettes. Je l'essuie en la caressant quand même. Quand elle est allongée je pose directement une main sur sa chatte. Je la branle à peine, je cherche les autres endroits plus jouissif pour moi. Elle me laissa faire ce que je veux du moment qu'elle y prend du plaisir. J'entre un doigt dans son vagin, elle aime ça. Je caresse le périnée, elle aime. J'ai un doute sur la suite quand je passe juste un effleurement d'un doigt sur l'anus. Je un peu, à peine à dire vrai, suis surpris de la réaction positive. Puisqu'elle ne déteste pas, c'est qu'elle aime, alors je remets directement le doigt sur son entrée secrète.
J'entre à peine une phalange pour l'exciter : je la fais jouir.
J'ai donc l'espoir de pousser plus tard mes pénétrations qu'elle refuse par principe, même devant. Je la pousse verbalement en lui disant tout ce que je lui ferais plus tard quand nous serons amants. Je vais jusqu'à lui dire que j'aimerais la baiser avec une de ses copines, celle qu'elle voudra et que j'aimerais la voir dans les bras d'un autre amant. Je décris le tout avec une foule de détails qui font qu'à la fin quand elle me demande de la branler je trouve sa chatte noyée de cyprine.
Tu veux que je te prenne ?
Oui, baises moi.
Il ne faut pas me répéter ce genre de prières. Pour la première fois j'embrasse ses seins, je les suce. Ma bouche embrasse son ventre, son nombril. Au passage mon nez coiffe ses poils. Il renifle surtout l'odeur de sa chatte. Enfin mes lèvres emprisonnent son clitoris. Ma langue le barbouille de salive. Elle commence à gémir de plaisir. J'entre un doigt dans son trésor avec d'en mettre un autre en entier dans l'anus. Je les fais aller et venir : elle accompagne les mouvements.
Je l'envoie au 7° ciel deux ou trois fois. Je prévois un bon avenir pour nos futures étreintes. Je bande depuis le début, ma queue me fait mal dans l'attente de la pénétration.
- Vite, baises moi maintenant, je te veux.
- Non, avant je veux t'enculer.
- Non, pas pour notre première fois, baises moi s'il te plais.
Cette fois je ne recule plus, je vais entre ses jambes qu'elle resserre autour de moi. Je sens son corps nu contre le mien. Ses seins durcis pas le désir sont contre ma poitrine. Je ne cherche pas du tout pour la baiser, elle est tellement ouverte que c'est facile pour ma queue d'aller en elle. Je fais gaffe de ne pas la massacrer : elle est vierge. Mon gland entre doucement, très doucement jusqu'au moment où je sens uns résistance.
J'arrête pour l'embrasser profondément comme elle aime, ma pine durcit encore un peu et là, vlan, j'entre vite dans son intimité.
Elle pousse un petit ho de surprise avant d'accepter toute ma queue. Ma longueur est suffisamment forte pour la combler. Je sens que je touche le fond de son con. Ses cuisses me serrent un peu plus. Ses bras m'entourent comme si je la sauvais d'un naufrage. Nous ne formons plus qu'un seul corps réuni par le plaisir. Je lime comme je peux, elle répond, je la sens jouir pour sa première fois pendant une baise. Ses spasmes sont irréguliers, sa respiration est presque arrêtée. En fin de jouissance, elle respire une seule fois :
- Je ne pensais jamais que ce soit si bon, recommence.
- Non, je vais te la mettre au cul.
- Puisque tu y tiens.
- Détends toi complètement.Mets toi à quatre pattes.
Maintenant qu'elle est en levrette, je peux me permette des fantaisies. Je me mets sous elle, lui donne ma bite dans la bouche et prends encore son bouton. Avec mes doigts je prépare son cul. Je sens sa langue s'affairer sur le gland, une main caresse mes couilles, martyrise un peu mon anus. Quand je vois que le sien est assez ouvert je me remets derrière elle. Je la caresse avec ma queue. Pour elle ce n'est qu'une demi surprise quand je pose le gland sur l'anus.
Je le vois presque ouvert. J'entre doucement dans son ventre sans qu'elle ne se plaigne trop. Le plus dur pour elle est le passage de mon gland, pour moi c'est le meilleur moment. Un fois passé l'obstacle, ma queue entre vite au fond de son cul. Elle commence à ronronner. Je caresse ses seins qui ballottent un peu. Elle me laisse faire la sodomie avec plaisir. Arrive l'instant où elle jouit.
- Oh, je ne savais pas que c'était si bon.
- Laisses toi aller, jouit sans crainte.
Elle accompagne mes mouvements. Je jouis au même moment qu'elle. Je me retire doucement. Georgette en voudrait encore. Je pourrais bien reprendre ce que je lui faisait ; mais les horaires du bus sont tels que nous sommes obligés de nous rhabiller pour rentrer. Il reste des bricoles sur les serviettes : sa culotte et son soutiens gorge.
Elle met le tout dans le sac.
Nous montons à l'arrière du véhicule, seuls à la dernière rangée. Le retour a été court, trop court pour nous. Elle m'a sorti la queue pour la sucer. Je lui laisse faire ce petit illage. Elle a comprit comment bien sucer. Elle s'est mise de telle façon que je suis obligé de la branler : sa robe est relevée pour me donner à voir un peu plus que ses fesses.J'ai changer ma façon de masturbation, je lui caresse bien sur le bouton, mais j'entre deux doigts dans le trou, celui que j'ai dépucelé en premier : elle aime ça. Je lui dis que je vais jouir.
- Oui, jouis dans ma bouche que je mange ton suc.
Elle finit à peine de lécher que je lui donne une bonne ration de sperme.
Nous arrivons en ville bien tard. Trop tard pour recommencer.
Le lendemain Georgette me dit qu'elle a raconté sa journée à la plage en détail. Contrairement à ce qu'elle craignait, Georgette n'a pas été grondée. Nous savons que maintenant il est admis que nous pouvons baiser quand nous voulons, chez moi au moins.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!