Découverte Inattendue (2) - Sainte-Nitouche, Vraiment ?

Découverte improbable 2 – Sainte-nitouche, vraiment ?

Alors que l’automobile noire roule le long du principal boulevard de la ville, que les lumières des réverbères et des commerces défilent de l’autre côté de la vitre, j’ai l’impression qu’elles appartiennent désormais à un autre monde que le mien. Moi qui étais jusqu’à maintenant exclusivement attiré par les filles de mon âge et qui avait eu tout de même quelques expériences tout à fait plaisantes avec elles, je me trouve pourtant en ce moment à moitié nu dans la voiture d’un homme que je ne connaissais pas une heure plus tôt et qui a presque l’âge de mon père.

En plus, j’ai les mâchoires engourdies, un arrière-goût âcre et salé de sperme dans la gorge et mon anus palpite obstinément entre mes fesses, comme il cherchait à aspirer de l’air qu’il ne trouvait pas. Cet homme à la fin de la quarantaine à ma gauche, mâchoire carrée, barbe courte, cheveux poivre et sel, vêtu d’un complet-veston, cet homme qui conduit et semble se soucier assez peu de moi, je viens tout juste de le branler et de le sucer simplement parce qu’il m’a demandé de le faire, j’ai même bu sa semence et accueilli dans mon cul trois de ses doigts, le tout sans faire preuve de résistance notable. J’y ai même pris du plaisir ! Ce n’est pourtant pas dans ma nature d’obéir comme ça sans me poser de questions. À l’école, je suis plutôt celui qui remet constamment en doute les propos du professeur, au point que cela m’a parfois valu quelques ennuis. Sauf que, j’ignore comment l’expliquer, en présence de cet homme, on dirait que je perds toute volonté, qu’en lui déléguant l’initiative, je lui délègue aussi le contrôle sur moi. C’est à la fois agréable et terrifiant de donner – consciemment ou non, sur le moment – autant de pouvoir à un autre, de surcroît à un inconnu, et de penser à tout ce qu’il pourrait vous faire ou vous pousser à faire. D’ailleurs, je réalise à ce moment que je ne connais même pas son nom, pas plus que lui le mien.

Mais ça n’a pas l’air d’être le premier de ses soucis…

– Enlève le reste de tes vêtements.

– Quoi, maintenant ? Ici ?

– Oui, maintenant, ne discute pas. Sinon, tu peux te rhabiller et descendre ici.

Dans un état second, je retire alors mes chaussettes et enlève mes pantalons que j’avais remontés sur mon sexe et mes fesses lorsque nous avions commencé à rouler dans le centre-ville. Heureusement que les vitres de la voitures sont teintées. Me voilà maintenant flambant nu à côté de lui, qui porte toujours son costume sombre par-dessus une chemise pâle. Je bande toujours, quoique moins durement qu’avant. Je n’arrive pas à dire laquelle, de la crainte ou de l’excitation, est en voie de remporter le combat violent qui se déroule en moi…

– Deux ou trois trucs que tu dois savoir avant d’entrer chez moi. Premièrement, je suis marié, j’ai deux s et je veux que ça reste comme ça. J’aime ma femme, mais j’ai des envies assez fortes et particulières qu’elle n’est pas toujours en mesure de satisfaire. C’est là que tu entres en jeu. Tu me comprends ?

– Oui, oui…

– Pardon ?

– Oui, Monsieur, je comprends.

– Évidemment, ils ne seront pas là ce soir. Ma femme est partie avec nos s visiter sa famille pour toute la fin de semaine, j’ai prétexté une surcharge de travail pour rester ici.

– D’accord, Monsieur.

– Deuxièmement, en venant chez moi, tu acceptes dès maintenant de faire ce que je te dis, et seulement ça. Si à un moment ou à un autre, quelque chose te déplaît, tu le fais quand même pour me faire plaisir. Si quelque chose te déplaît VRAIMENT, tu peux me le dire et j’essaierai d’en tenir compte. Tu as un problème avec ça ?

– Euh, je… Je… Non, non, Monsieur…

– Troisièmement, et c’est très important que tu le comprennes, mon plaisir compte avant tout. Et quand tu joues avec ta queue, je ne prends aucun plaisir. Alors, interdiction de te branler sauf si je te le demande.
Crois-moi, si tu fais ce que je te dis, tu vas quand même jouir comme jamais. Et tu vas en redemander. Des questions ? C’est le moment ou jamais.

– Non, non, Monsieur, pas de questions. C’est un peu effrayant, mais je n’ai pas de questions…

– Bien. Abaisse le dossier du siège et caresse-toi. Joue avec tes seins et ton cul comme une fille, mais ne jouis pas. Je veux juste que tu restes excité pour la suite. Je n’en ai pas fini avec toi.

Obéissant, je commence à me caresser la poitrine. En un instant, ma queue redevient dure comme du bois. Je ne peux m’empêcher de penser à celle, si belle et imposante, que j’ai sucée quelques minutes plus tôt, aux doigts qui m’ont fouillé l’anus et m’ont fait découvrir cette partie de mon corps ô combien sensible. Impatient de retrouver cette sensation, désinhibé comme je ne l’ai jamais été auparavant, je lèche deux de mes doigts pour d’abord masser mon petit trou, puis les plonger dans mon fondement et tester moi-même le passage entre mes fesses. Il faut dire que ça entre assez facilement. J’imagine que j’étais encore dilaté après que l’homme m’ait bien élargi de ses trois doigts bien plus gros que les miens. Il me jette d’ailleurs de fréquents coups d’œil, dès que la route le lui permet. Lorsque je sens son regard posé sur moi, cela décuple mon excitation et je prends soin d’exprimer mon plaisir par des soupirs et des gémissements à peine exagérés. J’ai à peine conscience – et surtout pas du tout honte – de me dévoiler dans toute mon intimité à un parfait inconnu, mais le plaisir intense et inattendu que je ressens m’empêche de m’inquiéter outre mesure à ce sujet.

Soudain, je réalise que nous sommes arrêtés à une intersection en plein cœur de la ville. Dans la voie d’à côté se trouve un VUS (un SUV). Je ne sais pas à quel point le chauffeur peut voir à travers les vitres de la voiture dans laquelle je me trouve, mais il est certain qu’il dispose d’un angle parfait pour voir un jeune homme de vingt-deux ans complètement nu affalé dans une voiture de luxe, en train de se doigter sans vergogne d’un main et de pincer ses tétons érigés de l’autre.
En plus de l’excitation que je ressens de me savoir peut-être à la merci du regard de cet inconnu, le traitement conjugué que je m’inflige avec maintenant trois doigts est extrêmement agréable et je sens rapidement une jouissance diffuse monter en moi, et ce, même si je n’ai pas touché une seule fois à ma queue. Le feu passe alors au vert et cela me rappelle à temps l’ordre qui m’a été donné de ne pas jouir. À regret, je ralentis donc la cadence de mes doigts en moi, mais ne cesse pas de cajoler ma poitrine, une caresse qui me fait un bien fou.

D’un simple coup d’œil, je constate que mon petit jeu ne laisse pas l’homme à ma gauche indifférent : une bosse appétissante est de retour dans ses pantalons. Aussitôt, mû par un réflexe qui suggère que les gestes du parking n’étaient pas qu’une étourderie passagère et s’inscrivent dans une envie véritable et durable, je cesse de me caresser et me précipite vers la braguette de l’homme pour la descendre à nouveau. Cependant, à peine ai-je le temps d’approcher mes mains de la proéminence tant convoitée qu’une baffe magistrale me repousse brutalement sur mon siège.

– Qui t’as donné la permission de faire ça ?

– Euh, personne... Je veux dire : personne, Monsieur, mais…

– Mais quoi ?

– Rien, Monsieur, c’est juste que je pensais que…

– Tu n’as pas à penser, dit-il de son ton à la fois calme mais dur qui, je commence à le comprendre, ne permet aucun refus. Tu n’as qu’à écouter et obéir, c’est tout. Je t’ai déjà expliqué ça.

– Pardon, Monsieur, je suis désolé.

– Je me fous de tes excuses. Je vais devoir te punir maintenant.

– Me punir ? Mais voyons, Monsieur, je voulais seulement vous…

– Comment crois-tu que tu vas apprendre, sinon ? Des petits cons comme toi, j’en ai connus des tas. Tous pareils. Vous ne pensez qu’à vous. Pour vous éduquer convenablement, il n’y a que la punition et la récompense. Et maintenant, c’est l’heure de la punition.
Descends.

Trop interloqué, je n’ai pas remarqué que nous nous sommes écartés du boulevard et que nous nous roulons désormais dans le stationnement sombre d’une manufacture qui, à cette heure, est évidemment déserte.

– Descends, m’ordonne l’homme lorsque la voiture s’arrête au centre du grand espace de stationnement, à un endroit où heureusement la lumière des réverbères parvient à peine. Descends, insiste-t-il, voyant que je ne bouge pas, paralysé que je suis de sortir de la voiture complètement nu, en plus aussi près du centre-ville. Descends tout de suite, ou rhabille-toi et va-t’en. Je n’ai pas besoin d’une sainte-nitouche.

Un peu vexé par ce dernier commentaire qui me semble bien exagéré étant données les circonstances, et bien que toujours terrifié, je me surprends à poser la main sur la poignée et à ouvrir la portière avec une lueur de défi dans l’œil. À son rictus de satisfaction, je comprends trop tard qu’il cherchait uniquement à me provoquer. Et qu’il a réussit.

– Mains à plat sur le capot, cul relevé, jambes écartées. Allez, je n’ai pas que ça à faire.

Étrangement, une fois hors de la voiture, il me semble que le plus dur est fait. L’air frais de la nuit me fait frissonner, et je sens ma queue rétrécir entre mes jambes, mais les mots « sainte-nitouche » qui résonnent encore dans mon esprit me motivent à prouver à l’homme que je n’en suis justement pas une. C’est donc en tremblant comme une feuille que je vais prendre la position demandée, mains sur le capot avant et cul bien relevé, comme si je me préparais à me faire saillir. J’entends périodiquement une voiture passer dans la rue à ma droite, distante d’une vingtaine de mètres. Nul doute que, si un automobiliste tournait la tête vers moi, il pourrait voir dans une position indécente mon corps pâle se découper dans l’obscurité. Mais qu’est-ce que je fais là ? Une heure et demie plus tôt, j’étais dans un bar avec amis et maintenant je m’exhibe comme une salope au bord de la route, simplement parce qu’un homme avec une grosse queue me l’a demandé ? En si peu de temps, il a pris un tel ascendant sur moi que c’en est vertigineux !

D’ailleurs, j’essaie d’apercevoir son visage devant moi afin de déterminer si ce qu’il voit le satisfait, mais la noirceur ambiante m’empêche de distinguer quoi que ce soit. Tout ce que j’espère à ce moment, c’est qu’il ne m’abandonne pas ici et qu’il me permette de revenir bientôt à l’intérieur de la voiture où se trouvent mes vêtements, mes clés, mon portefeuille... Malheureusement pour moi, il ne l’entend pas de cette oreille et, après deux minutes, il ne s’est toujours rien passé. Seuls des courants d’air froid viennent chatouiller mes couilles et surtout mon anus bien ouvert par ma position.

Soudain, une forte lumière m’aveugle. Non ! Il a allumé les phares de la voiture, le salaud ! Me voilà maintenant éclairé comme en plein jour, et ma nudité ainsi exposée n’en est que plus complète. Une force que je ne me soupçonnais pas avoir me pousse néanmoins à garder coûte que coûte ma position. Les mots « sainte-nitouche, sainte-nitouche » me narguent toujours, mais une voix intérieure qui prend de plus en plus de place me rappelle que je dois obéir si je veux avoir le privilège de revoir le magnifique sexe de l’inconnu. Ma seule motivation est que sa portière s’ouvre et qu’il en sorte finalement, pour mettre fin à mon supplice.

Après un temps qui me semble interminable, seulement ponctué par quelques coups de klaxon qui sans doute m’étaient destinés, l’homme finit par émerger de sa voiture noire avec une prestance certaine, ce qui contraste fortement avec ma position obscène. Avec son regard décidé, ses souliers cirés, sa cravate bourgogne et son complet-veston boutonné, il a l’air de se rendre à une réunion d’affaires. Il s’approche d’un pas lent, tournant autour de moi comme un acheteur tourne autour d’une voiture neuve, ou comme un prédateur examine sa proie blessée. Je ne perçois que sa silhouette sombre à côté de moi dans lumière éclatante des phares, ce qui rend le moment encore plus surréel. Il fait ensuite glisser ses doigts sur mes bras, mes épaules, mon dos, mes fesses, mes cuisses, de la même qu’il jugerait de la qualité d’une étoffe. À l’occasion, il pince durement ma peau pour en mesurer l’élasticité, il me donne des pichenettes (des chiquenaudes) pour voir comment elle réagit à la stimulation, il me tâte avec brusquerie comme s’il pétrissait un pain; à d’autres endroits il me caresse avec une si grande douceur que tout mon corps en tressaille. En fait, même si c’est impossible, j’ai l’impression qu’avec ses doigts il me déshabille encore davantage, comme si en prenant la mesure de mon corps il évaluait ce que je suis au plus profond de moi…

Brusquement, une puissante claque s’abat sur une de mes fesses. Dans le stationnement retentit le claquement de sa main contre ma peau et le cri de surprise et de douleur que je pousse aussitôt, en même temps qu’une onde de chaleur part de mon derrière et irradie l’ensemble de mon corps. J’ai été projeté vers l’avant sous la force de l’impact (ou bien est-ce à cause de la surprise ?).

– Tu veux réveiller tout le quartier ou quoi ? Compte au lieu de crier. Je ne suis pas un sadique, je veux seulement que tu apprennes. Et te montrer qui tu es vraiment.

– Pardon, Monsieur. Un…

CLAC !

– Deux…

Les claques suivantes me semblent moins fortes, mais peut-être est-ce juste parce que l’effet de surprise a disparu. Après que j’ai compté le dixième coup, il prend une pause bienvenue. Mes fesses sont maintenant hypersensibles et je me hérisse à la moindre brise. J’ai à la fois très chaud et je frissonne, mon corps est traversé de sensations contradictoires. Je me sens profondément humilié, certes par la situation, mais surtout par le fait que je ne fais absolument rien pour y mettre fin. Je pourrais très bien prendre mes vêtements, appeler un taxi et retourner à mon appartement, mais on dirait que j’accepte ce qui m’arrive. Je ne sais pas trop si je l’apprécie, mais je l’accepte, comme si c’était dans l’ordre des choses.

Quand il appuie d’un coup son bassin contre mon derrière nu, le simple contact du tissu de ses pantalons contre ma peau me fait gémir d’un mélange de souffrance et de plaisir, ce dernier étant pour beaucoup causé par la grosse bosse qui vient se loger entre mes fesses sans doute écarlates, moi qui, avec ma peau fragile de blond (même si j’ai les cheveux plus foncés, maintenant), rougit à la moindre émotion ou au moindre rayon de soleil.

– Comprends-tu pourquoi je te punis ?

– Oui, Monsieur. J’ai agi sans que vous m’en donniez l’ordre.

– Exactement, c’est comme si tu m’avais désobéi.

– Mais je voulais simplement vous faire plaisir, Monsieur.

– Non, j’ai bien vu ton regard quand tu as remarqué que je bandais. Tu as pensé à ton propre plaisir. Tu as eu envie de revoir ma grosse queue et de la sucer à nouveau comme une petite salope, n’est-ce pas ?

Placé devant le fait accompli, je ne peux qu’admettre qu’il a raison : je n’ai considéré sa queue que comme un outil pour attiser mon propre plaisir et me procurer du plaisir.

– Vous avez raison, Monsieur, j’ai été égoïste et je m’en excuse. Ça n’arrivera plus.

– Tu promets de faire ce que je te dis et seulement ce que je te dis ? De penser à mon plaisir avant le tien ?

– Oui, Monsieur, je promets de faire tout ce que vous me demanderez, car je veux avant tout vous satisfaire.

En mon for intérieur, je me maudis d’avoir prononcé cette phrase sans avoir réfléchi, concentré à lui répondre ce qu’il voulait entendre. Je sais bien que je ne suis pas prêt à faire TOUT ce qu’il veut. Seulement, il faut l’admettre, je suis tellement excité en ce moment que je suis prêt à en faire beaucoup…

– Autrement dit, tu me promets d’être une bonne salope pour le reste de la soirée, c’est ça ? Allez, je veux te l’entendre dire.

– Oui, Monsieur, je vous le promets. Je vais être une bonne… une… une bonne salope…

Moi qui de toute ma vie n’ai jamais considéré quelque fille que ce soit comme une « salope », malgré ce que disaient parfois mes amis (et amies) de certaines filles de l’école secondaire, entre autres, je n’arrive pas à croire que j’ai pu me désigner moi-même comme ça. En plus de me dévergonder, cet homme réussit même, sans effort apparent, à me faire renier certains de mes principes. Je comprends confusément qu’en me rabaissant moi-même de la sorte, je renforce le pouvoir qu’il détient sur moi, comme si en me traitant de future « bonne salope », je lui demandais implicitement de m’éduquer, de me façonner selon ses désirs ou ses perversions…

– Parfait, c’est ce que je voulais entendre. Il te reste encore à recevoir la moitié de ta punition. En plus de compter, je veux que tu me remercies à chaque claque que je te donne. Je prends le temps de t’enseigner les bonnes manières, tu dois donc te montrer reconnaissant envers moi.

– Bien, Monsieur. Aïe, onze ! Merci Monsieur…

Entre deux claques, je me fais une réflexion improbable : aussi irréelle que soit ma situation, je me sens bien; je suis à ma place, soumis comme ça à un homme qui, je m’en rends compte, est tellement plus un homme que moi. Cette fessée semi-publique n’a pas pour objectif de m’humilier. Non, l’humiliation n’est qu’un moyen comme un autre destiné à me révéler à moi-même. Dans la lumière pourtant aveuglante des phares, je me vois comme je ne suis jamais vu. Cet homme derrière moi qui maltraite mon cul fait plus que me fesser : il me marque et me transforme. Il me fait sien, véritablement, et, c’est de plus en plus évident, cela me plaît…

– Allez, retourne dans la voiture. On va chez moi maintenant. Si tu es sage, bien sûr.

Mes bras et mes jambes flageolent tellement l’expérience a été éprouvante, mais le sentiment qui domine en moi, c’est la fierté. Cela n’est pas normal, je sais bien. C’est la honte qui devrait me tirailler, mais je n’y peux rien : je suis fier d’avoir été à la hauteur et d’avoir dépassé mes limites. L’homme a raison sur toute la ligne : les petits cons comme moi, il n’y a qu’avec la punition et la récompense qu’ils finissent par comprendre. D’ailleurs, il y a de plus de plus d’excitation et de moins en moins d’appréhension quand je pense à ce qui m’attend pour le reste de la soirée…

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