L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 2) -

L'Odyssée de la Belle Hélène : Hélène et les villageois -

Hyppodémée avait la fierté de tous les Centaures, cette race noble et farouche... et elle n'avait qu'une parole, qui chez les Centaures était plus que sacrée. Vaincue par Hélène, elle s'était soumise et ne résista pas à Celle qui serait, à vie, désormais sa Maîtresse. C'est donc docilement, dirigée par une corde en guise de longe, qu'elle se laissa mener par Hélène jusqu'au campement où Clytia attendait avec angoisse, réfugiée dans un recoin de la grotte qui leur avait servi d'abri. L'esclave au crane rasée fut abasourdie en voyant arriver l'étrange équipage, sa si Belle Maîtresse menant une centauresse en laisse à Sa suite... Presque apeurée, elle se leva et vint accueillir sa Maîtresse avec une humble déférence... Hélène attacha la centauresse à une branche, sans lui accorder plus d'attention qu'à n'importe quelle monture. Clytia s'était agenouillée, Hélène s'approcha et caressa la peau du crane où commençaient à pointer quelques repousses de cheveux châtain clair.

- Il faudra raser cela, dit Hélène sur un ton détaché tout en regagnant la grotte, où elle s'installa, laissant Clytia interdite, encore à genoux... - oh ! Et va donc brosser ma nouvelle monture, ordonna Hélène.

La centauresse, attendait sans rien dire. Elle frémit cependant quand elle vit Clytia s'approcher... du sabot, elle commença à gratter le sol, son regard clair se faisant soudain sombre et menaçant. Clytia hésitait... Elle sentait toute l'agressivité de cette formidable créature dont elle ignorait comment la Belle et Divine Hélène avait pu la capturer et la soumettre. Elle, la douce et humble Clytia avait été une proie facile, de nature docile et délicate, elle avait succombé au charme irréel de la Plus Belle Femme de toute la Grèce et de la terre. Mais cette femme-cheval, si grande et musclée, puissante et pourtant humblement attachée à un arbre, manifestement domptée et asservie à son tour.

.. La jeune esclave ne bougeait pas, admirant immobile la centauresse qui la fixait de son regard sévère et semblait lui signifier que tout geste serait suivie d'une réaction violente... Toutes deux, la grande centauresse à la crinière mi blonde mi rousse et la jeune spartiate se faisaient face, sans un mot, sans un mouvement... dans ce face à face muet, nulle ne semblait savoir quoi faire pour débloquer la situation. Un claquement sec vint mettre fin à leurs hésitations... le fouet avait frappé la large croupe chevaline de Hyppodémée qui eut un sursaut...

- Clytia est mon esclave ! Tout comme toi ! Si je l'envoie te bouchonner, tu la laisses faire !, ordonna d'un ton sans réplique la voix de Hélène.

La centauresse baissa la tête tandis que sa Maîtresse approchait d'un pas décidé... Hélène se tenait tout près d'Hyppodémée et celle-ci baissa encore les yeux

- Pardon Maîtresse, dit avec quelque difficulté la centauresse, (Hélène fit glisser le fouet le long de son échine) pardon... je n'ai pas encore l'habitude mais ma vie vous appartient et je ferai tout ainsi que Vous le décidez... Maîtresse....
- Bien, dit Hélène en lui flattant la nuque, n'oublie plus jamais ce que tu es... et je veux que ma monture soit propre... Clytia, au travail !

Et Hélène regagna l'abri de la grotte, tandis que Clytia timidement commençait à nettoyer le corps de cheval de la nouvelle compagne de leur Odyssée loin de Sparte et de son roi humilié. Ce n'est que le lendemain qu'elles reprirent la route, Hélène montée à cru sur Hyppodémée, Clytia chevauchant leur jument volée dans le palais de Sparte. Elles cheminèrent longtemps en silence... Hyppodémée apprenant à se comporter avec l'obéissance nécessaire à son nouvel état, ce qui n'alla pas sans quelques rappels à l'ordre ponctués du claquement sec d'une lanière de cuir tressée sur la croupe de la centauresse. Cette dernière ressentait à chaque fois comme une décharge qui n'avait aucune commune mesure avec la douleur fort mesurée.
.. Mais Hyppodémée devait lutter à chaque instant pour ne pas se révolter, lutter contre son instinct primaire de fougue sauvage et rebelle, lutter car trop soucieuse de respecter sa parole sacrée et d'accepter désormais son statut de monture soumise à Celle qui l'avait vaincue et réduite à cet état... Elle observait aussi la jeune femme au crâne lisse qui chevauchait un peu en retrait... Elle était jolie, timide, parfaitement docile... Mais Hyppodéme devait bien reconnaître que leur Maîtresse était si fascinante qu'on pouvait difficilement ne pas succomber à son charme parfois sulfureux, à sa Beauté hors norme, à sa détermination inflexible. Au-delà de l'humiliante situation qui était la sienne, Hyppodémée ressentait une forme de fierté à être devenue la propriété d'Une Telle Femme ! Elle ressentait et soupçonnait, sans pouvoir l’expliquer, quelque chose qui n’était pas humain chez sa Maîtresse, quelque chose de plus profondément Divin, de surnaturel. La rayonnante Hélène fascinait, subjuguait, charmait d’une inexplicable et fantastique aura, mais ce que la femme cheval ne pouvait deviner c’est que cette lumineuse aura était initiée par la Seule Volonté Divine…

Et puis la femme-cheval comprenait mieux pourquoi lorsque les Centaures asservissaient des humains, ceux-ci se sentaient différents des autres esclaves, de ceux qui travaillaient dans les champs pour des propriétaires humains. Etre l'esclave d'un clan de puissants Centaures était un honneur pour une insignifiante créature servile... tout comme Hyppodémée se sentait honorée par le poids d'Hélène pesant sur son dos, par les coups de fouet qu'elle lui administrait lorsqu'elle ne respectait pas le rythme qui lui avait été ordonné. La centauresse se tenait le buste droit, dressant avec fierté sa ferme et plantureuse poitrine, Hélène ayant tiré sa chevelure en arrière afin de bien dégager les seins aux tétons dressés... Et Clytia suivait au pas imposé par sa Maîtresse. Leur arrivée dans un petit village proche de la rivière Alfios fit sensation ! Les quelques habitants abandonnèrent tous leurs travaux dans les champs pour venir admirer l’incroyable scène de la mythique créature à buste de femme et corps de cheval qui arrivait, montée par une femme à la Beauté Irréelle, accompagnées d'une jeune femme au crâne rasé chevauchant une jument ! Pour ces paysans incultes, un tel équipage ne pouvait être que magique.
Et leur curiosité se disputait à la crainte. Mais la centauresse était manifestement domptée... Hélène ne fit stopper Hyppodémée qu'au centre du village. Clytia descendit de la jument et l’esclave femelle vint se mettre à quatre pattes au côté de la centauresse, afin que la Belle Hélène puis se servir d'elle comme d'un marchepied pour descendre de sa fantastique monture. Les positions de chacune étaient ainsi parfaitement définies aux yeux des villageois, et c'est naturellement vers Hélène que s'avança un vieillard chenu qui s'inclina respectueusement étant déjà fasciné par La Beauté surnaturelle de La Divine Hélène qui n’avait pas échappé à son premier regard.

- Soyez la bienvenue dans notre humble village, je ne sais ce qui nous vaut l'honneur d'une si merveilleuse Visiteuse, mais les Dieux en soient loués. Nous ferons tout notre possible pour assurer Votre confort Noble Dame dit-il. (Hélène sourit)
- Je ne doute pas de ta bonne foi vieil homme. Je me contenterai de peu et il y aura même du plaisir pour marquer ma reconnaissance à ton accueil...

Le soir, un grand feu avait été allumé au centre des masures composant l'humble hameau. Les habitants avaient tous amené les meilleurs mets dont ils avaient pu disposer afin de faire honneur à cette Divine Beauté de leur Visiteuse. Clytia avait pu se laver dans la rivière et elle se tenait nue, debout à côté d'Hélène, les deux femmes attirant tous les regards... Hyppodémée avait offert aux villageois leurs premiers émois de cette soirée... En effet, Hélène lui avait ordonné de rejoindre dans son enclos un étalon nerveux que le vieillard lui avait avoué ne pas arriver à dompter. Sous tous les regards du village, Hyppodémée était entrée dans l'enclos, ses parfums de femelle équine attirant irrésistiblement l'étalon... Comme le lui avait ordonné Hélène, Hyppodémée s'était offerte à l'étalon qui s'était immédiatement dressé sur ses pattes arrière et avait monté la centauresse comme une vulgaire jument.
.. offrant à tout le village un spectacle d’une saillie époustouflante aussi violente qu'excitante... Hélène savourait l'humiliation qu'elle avait ainsi infligée à Hyppodémée, la traitant comme une simple jument juste bonne à la reproduction et l'offrant en spectacle à des humains que, deux jours plus tôt, la centauresse aurait méprisés et même pourchassés. Lorsque la saillie fut achevée, l'étalon épuisé fut facilement maîtrisé et amené... Hyppodémée vint plier le genou devant sa Maîtresse :

- Etes Vous satisfaite, Maîtresse ? demanda-t-elle humblement
- Tout à fait, sourit Hélène en lui flattant l'encolure... et ce soir tu resteras dans cet enclos comme toutes les montures.

Puis Hélène s'éloigna. Maintenant, le modeste banquet battait son plein. Hélène fit un geste bref et Clytia s'avança vers le centre des tables... Les flammes rayonnaient sur son corps nu enduit d'une huile parfumée, elle semblait enflammée... Sous les yeux concupiscents des hommes et envieux des femmes, la jeune femme au crâne rasé mais au corps magnifique commença à danser sous les ordres de sa Maîtresse... Elle imprimait à ses hanches et son bassin des mouvements de rotation d'une totale impudeur, faisant onduler ses bras comme des serpents ... agitant parfois le buste afin de faire trembler ses seins lourds à un rythme frénétique. Elle ondulait de tout son corps, accentuant toujours un peu plus les mouvements de son bassin, faisant saillir alternativement sa croupe ou l'intérieur de ses cuisses... Par moments, la majeure partie de son corps demeurait immobile, tandis qu'elle agitait frénétiquement la poitrine, les bras, la croupe, ou faisait aller et venir son bassin. La danse n'était pas seulement lascive, elle devenait lubrique ! Peu à peu, la chaleur des flammes faisait naître sur le corps de Clytia des perles de sueur qui scintillaient comme des morceaux d'étoiles brillant sur la masse ondulante de son corps, sous la lueur des flammes. Savourant un morceau de viande de chèvre, bien difficile à mâcher, Hélène appréciait la façon dont son esclave se livrait ainsi au plus licencieux des spectacles sous les yeux ébahis des villageois... Clytia dansait, dansait encore, son corps luisait et ondulait, s'exhibait sans aucune pudeur et s'offrait... Hélène claqua dans ses mains et Clytia s'immobilisa ... Les villageois encore suspendus aux mouvements frénétiques de son corps... Hélène s'était levée et avait rejoint sa servante qui tentait de retrouver son souffle, sa poitrine se soulevant au rythme de sa respiration. Hélène la désigna à tous :

- Comme Ma monture que j'ai livrée à votre étalon, cette créature m'appartient... Pour vous remercier de votre accueil généreux, je vous l'offre pour la nuit. Je vais me retirer dans la cabane que vous m'avez ouverte, et... (elle scruta les hommes autour du feu, s'arrêtant sur un viril et robuste berger à la mâchoire aussi carrée que les épaules) Toi ! Tu vas m'y rejoindre... les autres, je vous laisse mon esclave-femelle, jusqu'au matin, usez-en sans violence, mais ne vous privez d'aucun des plaisirs qu'elle pourra vous inspirer... Jouissez-en à volonté!

Ceci dit, Hélène s'éloigna vers la cabane qui avait été arrangée à la hâte pour la recevoir au mieux. Elle s'y dévêtit promptement, se laissant couler avec volupté sur la couche pourtant douteuse... Elle vit le berger entrer, timidement, à son tour. Elle s'amusa de la timidité maladroite de ce colosse que la nature avait doté d’une impressionnante carrure ... C'était parfait ! Elle ne voulait rien de compliqué, juste une grosse queue robuste et vigoureuse pour venir se planter entre ses cuisses, de la plus simple, la plus banale des façons... Pour une fois ! Elle fit un signe à l'homme qui comprit et se dévêtit maladroitement à son tour, se tenant ensuite gauchement nu devant elle, avec ce corps épais, robuste, poilu, vulgaire qui devait mesurer pas très loin des 2 mètres mais tellement naturel ! Elle lui sourit et lui fit signe d'approcher, le brave colosse fit un pas, puis un autre, jusqu'à Elle. Lorsqu'il fut à portée, elle se saisit de son sexe et l'attira vers elle pour le prendre en bouche. Au bout de longues minutes d’une Divine fellation, elle se recula, il tomba sur la couche et elle le fit s'installer sur le dos, venant le chevaucher, s'empalant sur la verge tendue, dure et raide, épaisse, turgescente... Usant de l'homme comme d'un simple objet, le cantonnant au rôle muet d'un olisbos de chair, elle trouvait la plus agréable des détentes en lui ouvrant ses cuisses, en glissant sur lui, en le sentant s'enfoncer en elle... Les yeux perdus dans le vague, les lèvres frémissantes, la langue humide, le sexe trempé, elle ne pensait plus à rien, ou plutôt juste aux sensations physiques, juste au plaisir de chevaucher une bonne verge en elle, s'abandonnant ainsi aux délices de cette grosse queue qui la pénétrait et dont Elle domptait la cadence selon ses propres vas-et-viens qu’Elle seule décidait. Oui c’était Elle et uniquement Elle qui menait la danse, loin de subir, elle décidait, elle maîtrisait, elle dominait la copulation !

Dehors, d'abord timides eux aussi, les autres hommes du village s'étaient tous approchés de Clytia, admirant les formes pures et rondes de son corps, caressant son crâne lisse, ses seins lourds mais fermes, sa croupe rebondie... Timides, ils ne l'étaient pas restés longtemps, contraignant la jeune femme à s'allonger sur le dos, se bousculant pour venir entre ses cuisses planter leur virilité soudainement réveillée. Certains lui maintenaient les poignets bien qu'elle fut la plus consentante des femmes, car pour l’esclave-femelle, rien ne comptait plus au monde que d’obéir à sa Maîtresse. Et donc le simple fait d’obtempérer à s’offrir aux villageois sans retenue, l’excitait fortement, du moment où l’ordre fut lancé par sa Divine Maîtresse, de donner du plaisir à ces hommes... Et ceux-ci semblaient jouir du plaisir d'éprouver la sensation de la contraindre. Elle se livrait docilement à ces jeux innocents, gémissant avec conviction à chacun de leurs coups de boutoir. L'un d'eux s'était assis sur son visage et lui avait donné pour instruction de lui lécher le cul, faisant bien glisser sa langue tout au long de la raie hirsute. Puis d'autres vinrent se faire sucer, éclabousser son visage de leur semence odorante, pendant que d'autres plantaient leurs dards dans son sexe humide et largement ouvert qui les happaient l'un après l'autre, à la chaîne ! Durant toute la nuit, les hommes usèrent ainsi de Clytia, longtemps après que les ultimes braises du grand feu devant lequel elle avait dansé sur furent éteintes. L'esclave était épuisée, son corps brillant du mélange des transpirations mêlées et de la semence accumulée... Clytia gisait dans la terre, épuisée, remplie, brisée... des hommes allongés un peu partout alentour…

Au matin, Hélène chassa le berger et lui ordonna d'aller lui chercher du lait frais de ses chèvres, tandis que des villageoises devaient venir avec un bac d'eau pour sa toilette...

(A suivre…)

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