Marc Et Kate
A cette époque là, je travaillais lété à la station service dun petit supermarché de campagne. Trois mois enfermée dans une cabane vitrée exigüe, en plein soleil, sentant le gasoil avec pour seule distraction une petite radio. Trois mois à porter des bouteilles de gaz, à encaisser les paiements et à se faire engueuler à chaque augmentation des prix. Trois mois à regarder passer les différents véhicules et à essayer dimaginer une histoire aux différents conducteurs en observant leur façon de se vêtir, de se déplacer
bref, je mennuyais.
Ce jour là, je vis arriver un petit groupe de motards. Pas le genre Hells Angels avec des barbes et des Harley. Non, cétait des motos japonaises. Ils étaient trois et lun deux avait un des derniers modèles de 1300cm3 réputée pour dépasser les 300km/h sur circuit. Une moto de luxe, avec une assurance de luxe à moins dêtre un pilote expérimenté, car la plupart des assureurs aurait refusé de prendre pour client une tête brûlée. Jimagine quelle devait appartenir à un homme dun certain âge avec une assez grande expérience de ces engins mais navait aucun moyen de le vérifier à cause du casque intégral quil nest pas nécessaire denlever pour faire le plein. Jétais très curieuse de voir à quelle genre de personne pouvait appartenir la moto et cela du se voir car lorsquil vint payer, il me parla. Il me demanda si jaimais les motos. Je lui dis que jaimais bien regarder effectivement et que la sienne était un modèle assez rare dans la région, quen plus dêtre récente, elle était réputée pour être très rapide. Il paru impressionné par mes connaissances et me demanda si jétais déjà monté sur une moto. Une seule fois, lui répondis-je, un 125, on ne peut pas vraiment dire que çà compte. Cela le fit sourire, cela se voyait aux petites rides qui se sont formées autour de ses yeux bleux.
- «Vous finissez à quelle heure » me demanda-t-il.
- « Dans une demi heure.
- « Si cela vous intéresse, nous allons manger à la brasserie du magasin.
Je hochai la tête sans mengager plus avant et je le regardais séloigner vers le magasin. Irais-je ou non ? Quest-ce que je risquais ? je navais certainement pas du le séduire en blouse, en sueur et je devais avoir lâge dêtre sa fille. De plus il avait lair assez sympathique. Cétait une occasion qui ne se représenterait surement jamais, le nombre dhayabusa circulant dans le département devant être de quatre ou cinq, je nen reverrais peut être jamais.
A la fin de mon service, je me dépêchais de rapporter ma caisse à la comptable et je passais au vestiaire me rafraichir du mieux que je le pouvais. Jétais en jeans, il était obligatoire de porter un pantalon pour travailler à la station, question de sécurité, et cela était parfaitement adapté à une virée à moto impromptue. Dès que je me jugeais présentable, je filais à la brasserie et les cherchais du regard. Je finis par les repérer à une table dans un angle. Une pile de casques, sacs à dos et blousons de cuir sempilaient sur la table du coin, ils occupaient trois places et une me paraissait réservée. Ils discutaient entre eux et ne paraissaient pas mavoir remarqué. Ils étaient plus jeunes que je ne le pensais, ils avait plus de 30 ans mais ne paraissaient pas avoir dépassé 40. Je pris mon courage à deux mains, refoulait ma timidité, accrochait un sourire à mon visage et mapprochait. Lorsquun deux leva la tête et me vit, il me fit un sourire et me fit signe de massoir à ses côtés. Ce devait être celui qui mavait invité. Apres sêtre présenté et avoir présenté ses amis il me proposa de manger quelque chose avec eux avant de partir. Ils commencèrent à me poser des questions sur ce que je faisais, si cétait mon métier ou un job dété, quel genre détudes je suivais, si personne ne mattendait. Mes parents travaillant, je navais personne qui sinquièterait avant quelques heures.
Ils avaient un casque supplémentaire quils me prêtèrent. Et jenfourchais la moto à larrière de mon nouvel ami. Nayant pas lhabitude de ce genre dexercice, il me recommanda de maccrocher à sa taille plutôt quà la poignée à larrière. Il massura que je navais rien à craindre et quil ne prendrait pas de risque. Si quelque chose me faisait peur, il me suffirait de lui tapoter la cuisse pour quil ralentisse. Je me trouvais ainsi en confiance et la ballade commença. Il démarra doucement et accéléra petit à petit afin de ne pas me surprendre je suppose. Nous fîmes un grand tour avec quelques pointes daccélération. Je trouvais cela grisant et même si javais parfois un peu peur, lexcitation lemportait sur tout le reste. La machine était particulièrement confortable, même à grande vitesse et jappréciais la sensation grisante de voler. Ils prenaient des routes peu fréquentées ce qui leur permettaient quelques petites pointes de vitesse. Au bout dun moment, ils sarrêtèrent sur une petite aire de pique-nique à lorée dune forêt. Les deux compagnons de mon chauffeur sattablèrent à lombre et sortirent des canettes de coca. Lorsque je descendis jeu un peu de mal à me réhabi au sol stable, je sentais encore les vibrations de la machine entre mes jambes et dans mon ventre. Mes jambes tremblaient un peu et il me retient de peur que je ne tombe. Il me proposa daller marcher un peu afin de me détendre et de me réhabi au plancher des vaches. Maidant à marcher, nous nous enfonçâmes dans la forêt.
Au bout de quelques minutes nous arrivâmes dans une clairière assez agréable et il sadossa à un tronc darbre. Il me prit alors dans ses bras et me massa le dos pour faire disparaitre les dernières gênes. Il me demanda alors si javais apprécié la ballade, si çà mavait plus, si je navais pas eu trop peur.
-« Tu aimes faire de nouvelles expériences ? »; me demanda-t-il.
-« Eh bien, vous savez, ça dépend un peu de quelles expériences mais je pense que pour certaines choses, il faut au moins avoir essayé une fois afin de savoir comment se si.» à cause de son âge, peut-être, ou du fait que je le connaissais que depuis moins dune heure, je ne pouvais mempêcher de le vouvoyer alors que je pris conscience que lui me tutoyais depuis longtemps déjà.
Encore une fois, il sourit, puis il se pencha vers moi et membrassa. Ce nétait pas un baiser comme jen avais déjà connu, il navait rien de tendre, au contraire, il était impérieux, exigent. Il me prenait la bouche et moi je ne pouvais résister à rien, je me laissais entrainer dans cette furie où je finis par mabandonner. Ses mains se mirent à pétrir mes seins sans douceur. Il les pinçait à travers le tissus, les serraient de plus en plus fort, ne sarrêtant que lorsque mes gémissements laissaient passer plus de douleur que de plaisir.
-« Enlève-çà ! » mordonna-t-il. Jobéis sans réfléchir et fit passer le vêtement par dessus ma tête. Il profita que javais les bras coincé dans létoffe pour faire jaillir mes petits seins du soutien-gorge et pour pincer violemment les tétons. Je ne pus retenir un petit cri de douleur.
-« Tais-toi si tu ne veux pas voir quelquun arriver ! » me prévint-il dun murmure. Jacquiesçais dun hochement de tête et me mordis les lèvres.
-« Raconte-moi un peu comment çà se passait avec ton copain, cétait le premier ou tu as eu dautres amants ?
-Cétait le premier et le seul, nous sommes restés huit ans ensembles, nous nous sommes connus trop jeunes et jai eu limpression que lui navais pas grandi !
-Et sexuellement çà se passait bien ? »
Tout en parlant, il me dénouait les cheveux que je portais en natte serrée pour aller travailler ; quand il eut terminé mes cheveux ondulaient doucement jusquen dessous de ma taille avec des reflets roux quand un rayon de soleil perçait les branchages.
-« Oui cétais pas mal mais il manquait de fantaisie, chaque fois que javais envie dessayer quelque chose de nouveau il fallait le convaincre et lui était plutôt pépère de se côté-là.
-Décidément tu aimes les expériences
-Oh vous savez cétait plutôt des trucs courants, je ne pense pas que jai eu des exigences particulièrement tordues.
-Voyons çà, montre-moi ce que tu aimais bien faire. »
Je le regardais une seconde me demandant si joserai puis je me suis laissée tomber à ses genoux et jai commencé à déboutonner son pantalon. Jai extrait délicatement son sexe qui sétait raidit durant les caresses quil mavait prodiguées et jai commencé à le lécher. Ma langue courait autour de son gland, le long de sa hampe en insistant sur son frein, lorsque je lai avalé et que jai commencé à le sucer, à aspirer et à mordiller délicatement le bout, il a laisser échapper un soupir de satisfaction et a fait glisser son pantalon et son slip jusquà ses genoux. Je mappliquait à ma tâche et il glissa ses mains dans mes cheveux et commença à jouer avec.
-« Cest ainsi quil aimait que tu fasses ? Ne tarrête pas pour me dire oui, seulement pour me dire non. Tu aimes ce que tu fais ? Oui, bien, et tu vas jusquoù ? Est-ce que tu avales le sperme à la fin ? Oui, cest bien ! Est-ce que tu voudrais apprendre une autre façon de faire ? »
Comme je ne répondais rien mais continuait de le sucer avidement il prit cela pour une acceptation et mattrapa la tête à deux mains et tout en mencourageant doucement de la parole, il fit pénétrer son sexe jusquau fond de ma gorge et maintint la tête bloquée, mobligeant à le garder en place. Je salivais énormément, je luttais pour repousser le sexe de la langue, des larmes me venaient aux yeux mais il ne me laissa aucun répits jusquà ce quun réflexe plus violent me fasse rejeter la tête en arrière pour éviter le vomissement. Il maccorda à peine le temps de reprendre haleine et se réintroduit dans ma bouche que je navais pas eu le temps de refermer, agrippé des deux mains à mes cheveux il mobligeait à lavaler jusquà la garde. Je suffoquais, à nouveau les larmes vinrent, puis la bile au fond de ma gorge, le réflexe de nouveau mais il me maintenait plus serré et je pus à peine reculer assez pour éviter de vomir que tout de suite il reprit place. Je sentais son gland qui touchait mes amygdales et la sensation dêtre totalement à sa merci mexcitait au plus au point. Je navais aucune intention de me rebeller et je prenais bien garde à ouvrir le plus possible ma bouche afin de ne pas le blesser. Quand les réflexes de vomissements commencèrent à devenir plus fréquent, il desserra un peu son emprise et se mit à faire des mouvements de va et vient amenant son gland jusquau bord de mes lèvres avant de se renfoncer à nouveau jusquau fond. Il me maintenait toujours prisonnière afin de pouvoir effec ses mouvements à sa guise et je me laissais docilement baiser la bouche tout en jouissant secrètement dêtre ainsi utilisée. La salive me dégoulinait de la bouche à chaque mouvement et ruisselait jusquà mes seins mais je nen avais que faire attentive au plaisir que je donnais ce qui me rendait fière davoir cet effet. A un moment, il se raidit et me prévint de faire attention. Tout en me maintenant toujours mais sans atteindre la gorge cette fois il commença à se déverser en moi. Il me demanda de ne pas avaler mais de tout garder dans ma bouche. Je du faire un effort pour cela, jusquà présent javais toujours dégluti au fur et à mesure afin de garder le liquide et le gout âcre le moins longtemps en bouche.
Quand enfin il se fut soulagé, il se retira et me demanda de le regarder avec la bouche ouverte. Quel spectacle je pouvais bien donner, à genoux devant lui, nue jusquà la taille, les cheveux en bataille, les yeux pleins de larmes avec le maquillage qui avait certainement dû couler, de la bave qui me dégoulinait de partout et du sperme plein la bouche. Heureusement, il ne pouvait voir à quel point cela mavait excitée. Il parut satisfait de ce quil voyait, souriait et me dit que je pouvais avaler à condition de toujours le regarder dans les yeux, ce que je fis.
-« cest bien, tu es une bonne fille. » me dit-il « relève toi et enlève le reste de tes vêtements. »
Il prit son sac à dos et en extirpa un plaid quil étendit au pied de larbre. Il sétendit dessus et me fit signe de le rejoindre. Je minstallais à côté de lui et il glissa la main entre mes cuisse, il eu ainsi la preuve que ce quil mavait obligé à faire mavais non seulement plu mais aussi excité au plus au point. Je ne savais comment cacher ma honte.
-« Ma parole, je ne tai portant pas épargné mais on dirait que ça ta fait de leffet, tu ruisselles. Il va falloir que je moccupe de toi, tu dois être frustrée au plus au point.
-Vous savez, je prends beaucoup de plaisir à faire jouir quelquun avec ma bouche », dis-je en rougissant, « et là cétait clairement exceptionnel.
-« Mais tu rougis et tu continues de me vouvoyer malgré tout, cest trop bon, surtout ne change rien et ne me dis pas que tu nas pas envie de jouir.
-Mais jai déjà jouis », protestai-je.
Il ma regardé dun air songeur et après mavoir dit quil allait me montrer à quel point je me trompais, il écartât mes cuisses et partit explorer mon intimité. Dabord de ses doigts, il caressât mes grandes lèvres puis dégageât mon clitoris et se mit à le masser délicatement marrachant des gémissements que je tentais désespérément dassourdir. Il glissât ensuite un doigt dans mon sexe, caressant profondément et doucement. Je sentais un plaisir doux et agréable et je soupirais daise. Il me regardait me détendre et sourire tout en retirant sa main.
-« Bien, tu te laisses aller, maintenant, nous allons passer aux choses sérieuses, dabord allons voir cette petite chatte de plus près et montre moi comment tu te caresses ! » et joignant le geste à la parole il me prît la main quil posât sur mon pubis tout en sinstallant, le visage entre mes cuisses afin davoir une vision en gros plan de ce que jallais faire.
Seulement je nosais pas, je métais déjà masturbée bien sûre mais seule dans mon lit et parce que je navais aucun autre moyen de me satisfaire mais là, me donner en spectacle devant un homme, je ne savais plus quoi faire. Il mincitât, comprenant très certainement ma gêne. Je commençais donc à caresser mon clito dun doigt, toujours dans le sens des aiguilles dune montre, et à faire monter mon plaisir. Puis il se fit plus dirigiste ; « mets un doigt dans ta chatte, vas-y, mouille-le bien, encore plus, goûte-le, tu aimes ?, recommence, encore, allez-vas-y, mets en un deuxième, utilise ton autre main et écarte-bien tes lèvres que je vois la couleur de ta chatte à lintérieur ! » et je suivais ses indications, lui offrant tout ce quil demandait de bon cur. Le goût de ma mouille me surpris, je craignais de sentir lurine ou un goût proche du sperme mais non, cétais différent mais pas désagréable, et voir ses yeux et son sourire moqueur pendant que je découvrais ce goût était particulièrement érotique. Soudain, il écartât mes mains et posât sa bouche à leur place. Je voulus le repousser et protestais ayant toujours détesté cette caresse mais il retint mes mains et continuât. Sa langue qui senroulait dans les replis les plus sensibles, sa bouche qui aspirait mes parties les plus intimes avec une science parfaite eurent bientôt raison de ma résistance et au lieu de le repousser, je lattirais. Il profitât de la liberté de ses mains pour saider de ses doigts, explorant lintérieur de mon ventre, ouvrant mes chairs pour que sa langue saventure plus profondément. Jétais totalement subjugué par cette pratique qui me révulsait encore quelques minutes plus tôt. De nouveau, le plaisir montait, ce nétais plus des gémissements que je retenais désormais mais de petits cris auxquels je faisais barrage en me mordant les lèvres. Sa langue saventurât dans un endroit encore plus reculé me faisant découvrir un nouveau monde de sensations dont jignorais lexistence. Lorsquil jugeât à mes gémissements que jétais mûre pour la suite, il interrompit ses caresses et se débarrassât de ses vêtements, puis sinstallât entre mes cuisses. Jétais tellement excitée quil me pénétrât dun seul coup, tout en membrassant. Je sentis mon ventre souvrir pour laccueillir et chaque cellule sensible ayant été stimulée de multiples façons, je ressentais pleinement ses mouvements de va-et viens. Il pénétrait de plus en plus loin à chaque fois, marrachant de nouveaux cris de plaisirs qui se mêlaient à ses gémissements rauques. Je commençais à comprendre ce quil voulait dire quand il affirmait que je me trompais. Je navais jamais ressenti le plaisir aussi intensément, dans mon ventre qui brûlait littéralement à chacun de ses coups de butoirs, dans mes seins restés sensibles après le traitement quils leur avaient infligés et qui durcissaient encore plus à chaque fois que son torse se frottait contre eux ; dans mon clitoris quil percutait à chaque fois quil senfonçait en moi. Toutes mes zones érogènes étaient saturées de sensations et à chaque fois la sensation montait encore plus haut. Comme je croyais que jamais rien ne pourrais être mieux, il sinterrompit et me fit basculer sur le ventre, jétais tellement submergée que je me laissais faire passivement. Il eût vite fait de me mettre à quatre pattes et se réintroduisît en moi en position de levrette. Uns de ses mains dans mes cheveux me tirait la tête en arrière et mobligeait à me cambrer encore plus à chaque fois. Mes seins tressaillaient quand il défonçait mon sexe de ses coups. Je ne pus un râle de plaisir quand je sentis venir lorgasme et que mon corps se tendit sous leffet de la décharge électrique qui prenait naissance dans mon ventre. Il continuait à me donner du plaisir tandis que je jouissais, ma chatte se serrait convulsivement sur son sexe et je crus que jallais mourir de plaisir. Lorsque je meffondrais sur le plaid, le dégageant de moi, je me rendis vaguement compte que lui navais pas encore joui. Il continuait à me caresser lentrejambe doucement. Comme je ne manifestais aucune envie de bouger toute à mon bien être, il reprit la conversation :
- « Tu vois ce que je tavais dit, il y a toujours mieux, ce nest pas toujours facile mais on peut toujours faire mieux.
-Je ne crois pas quon puisse faire mieux que ce que vous venez de me faire cette fois. »
Il se mit à rire à gorge déployée et je le regardais sans comprendre alors il mexpliquât :
-« il y a deux façons de prendre ce que tu viens de me dire : soit cest un compliment et jen suis très flatté ; soit cest un défi et je relève toujours ce genre de défi
et comme tu aimes les nouveautés attends-toi à tout ! »
Et il me remit à quatre pattes, mais comme jétais épuisée je minstallais le buste bien calé au sol et les fesses en hauteur, il se positionna derrière moi et repris ses caresses mais cette fois, les doigts dans ma chatte ne cherchaient plus à me faire jouir et je me demandais où il voulait en venir quand il commençât à caresser mon anus avec ses doigts mouillés. Je mexclamais de surprise quand il crachat sur mon derrière et commençât à tenter dintroduire un doigt dans cet endroit trop serré.
-« Tu nas jamais fait çà ? tu es bien étroite ! Détends-toi !
- Jai voulu essayé une fois mais il ma fait tellement mal que jai abandonné lidée et là jai peur davoir mal alors jai du mal à me détendre.
- Ne tinquiète pas, pense à tout ce que tu as déjà essayé cet après-midi, je ne pense pas tavoir blessée ou déçue, alors laisse-moi faire et si çà ne va pas, il suffit de me le dire et jarrêterai tout de suite, cest promis. »
Je pus juste souffler un OK hésitant et il reprit son travail de préparation. Petit à petit, il lubrifiait mon anus et son doigt parvint enfin à entrer. La sensation nétait pas désagréable et je commençais à me détendre. Il continuait son manège et au bout dun petit moment, il réussit à introduire un second doigt. Le tiraillement se faisait ressentir mais un certain plaisir diffus aussi, du coup, je me laissais faire, mefforçant à me laisser aller. Il retirât ses doigts.
-« Fait attention, pendant quelque instants çà va être un peu dur mais après tout ira mieux, je te promets. »
Il posa son gland contre mon anus quil avait pris soin de bien humidifier de salive, et commençât à forcer doucement, me demandant de me détendre. Il procédait lentement, je sentais la douleur et mon cul souvrir millimètre par millimètre, javais la sensation que cet écartèlement ne sarrêterait jamais et les larmes me venaient aux yeux mais je nosais rien dire encore, de peur de le décevoir, et je serrais les dents. La douleur continuait tandis quil senfonçait avec la lenteur, me déchirant, me perforant sans relâche et dun seul coup je sentis mes muscles céder et son gland pénétrât tandis que je poussais un cri de douleur. Il me maintînt alors que jessayais de me dégager, essayant de me rassurer, me disant que la douleur allait passer dès que je serais habituée à sentir sa présence. Curieusement sa voix me rassurait et je me laissais aller à nouveau. Nous restâmes immobiles quelques secondes et quand il sentit que jétais prête, il se mit à faire de petits mouvements, de petite amplitude, très espacés, toujours pour mhabi. La douleur refluait laissant la place à une autre sensation, plus sauvage que le plaisir, plus forte aussi. Je laissais échapper un gémissement quil prit pour un signal et il se déchainât, me coupant le souffle lorsque ses allers-retours se firent plus rapides. Curieusement, je ne ressentais plus la douleur bien que je sache quelle était là à la frontière. Au contraire, le désir et le plaisir semblaient décuplés de ce fait. Je sentais quil manquait quelque chose pour que ce soit parfait et ma main rejoignit mon entrejambe, caressant mon clitoris, deux doigts dans ma chatte. Je sentais sa queue qui me pilonnait à travers la mince paroi de chair et je le caressais en même temps. Je jouis encore plus fort que la fois précédente, peut être parce que je le sentis jouir en même temps dans mon cul. Nous nous sommes effondrés ensemble dans un dernier râle de plaisir.
- « Alors ? » me demandât-il
- « Défi réussit ! » fut tout ce que je pus articuler.
Après quelques minutes, nous nous décidâmes à rejoindre les autres que nous avions abandonnés il y avait déjà plus dune heure. Jappréhendais un peu leur réaction mais mon compagnon me dit de ne pas men faire pour çà, que quoi quils pensent, ils étaient trop bien élevés pour faire la moindre remarque. Et, de fait, ils ne firent pas allusion à notre disparition. Ils me ramenèrent sur le parking du supermarché et nous allions nous séparer quand mon amant me donna sa carte en me disant quà la rentrée, je naurai quà lappeler si je me sentais seule sur le campus. Puis il parti après un dernier baiser.
Perplexe, je regardais sa carte sans la voir, me demandant si joserai lappeler ou non. Cest alors quun détail mattira lil : javais passé laprès-midi à baiser avec un homme et jignorais encore son prénom : Marc !
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