Suite De Mon Aventure Avec Marjorie

Il était dix heures quand mon réveil retentis et je me levais en ayant encore plein la tête de ma chaude soirée de la veille au soir avec Marjo. J’avais hâte d’être quatorze heures pour me rendre chez elle.
Juste avant de me rendre chez elle, ma voiture passa au lavage auto pour effacer les traces présentes sur la carrosserie.
L’heure tant attendu arriva et je sonnai à la porte de son appartement. Marjorie m’ouvrit la porte, vêtue d’une nuisette marron tacheté de petites tâches blanches qui lui sciait à merveilles ses seins et son cul bombé. A peine la porte fermé elle se jeta sur moi et m’embrassa avec fougue comme si elle était en manque d’hommes depuis plusieurs années.
Nos langues s’entrecroisèrent et j’étais plaqué contre le mur de la pièce d’entrée, tout en m’embrassant sa main descendis me saisir au travers de mon pantalon mon sexe et mes boules qu’elle malaxa. La réaction ne se fit pas attendre mon sexe entra rapidement en érection et j’entrepris également de faire tomber tant bien que mal les brassières de sa nuisette qui tomba sur le sol. Je la voyais la nue devant moi, complètement offerte. Ses têtons étaient déjà dressé de désir et je pris entre mes doigts son téton droit que je fis roulé entre mes doigts fermement, elle gémit sur le coup et j’approchais ma bouche de celui-ci pour le gober et le mordiller délicatement, je le sentais encore plus se dresser dans ma bouche tant j’accentuais son désir.
Soudain Marjo se mis à genoux et m’englouti la bite à pleine bouche jusqu’à la hampe de mes couilles. Je gémissais de plaisir et je sentais mon sexe encore plus grossir dans la profondeur de sa bouche, elle prenait un malin plaisir à attiser mon désir pour elle.
Ses lèvres enserraient ma verge et par moment je voyais mon gland rouge d’envie et aussitôt ravaler. Sa main gauche me branlait en même temps alors que sa ma droite palpait mes couilles bien dures. Soudain elle me dit « viens on sera mieux dans ma chambre », je me dévêtis et m’allonge sur son lit alors qu’elle à déjà pris position entre mes cuisses et me suce de nouveau à pleines bouche.

Je sens de nouveau sa main droite mais celle-ci descend progressivement vers mes fesses et je sens son index effleuré mon anus. Lâchant ma bite, et enfournant ce même index dans sa bouche pour l’humidifié avec sa salive, je me laisse faire à cette nouvelle sensation inconnue. Sa langue vient me téter la verge tandis que son doigt se fais de plus en plus pressant autour de mon anneau, soudain celui-ci entre délicatement en moi tandis que la fellation prodigué m’emmène de plus en plus sur les pentes de la jouissance. Je me laisse aller à ce plaisir pipe doigtage sentant l’orgasme arrivé violement. Son doigt fais des petits aller retour en moi tandis que sa bouche enserre de plus en plus ma bite et sentant l’orgasme arrivé je lui fis signe mais celle-ci continua de plus belle sa besogne et d’un coup de longs jets fussent de ma verge, n’arrivant pas à tout avaler du sperme s’échappe le long de mes cuisses et je sens toujours son doigt me doigter, j’ai l’impression que ma bite ne vas pas arrêter de se vider tellement la sensation est agréable.
Je suis à moitié ko que subitement Marjo viens placer au dessus de mon visage son intimité, je vois ses grandes lèvres toutes ouvertes et ruisselantes de mouille que je m’empresse de lécher pour ne pas en perdre une goutte. Sa cyprine à un gout délicieux et je me fais un malin plaisir à pousser ma langue en elle comme si c’était une bite qui la pénétrait pour récolter ce doux nectar. J’alterne le léchage de son vagin et de son clito lui arrachant des petits gémissements tant elle semble aimer cela. Je passe mes mains derrière ses fesses ce qui me permet de les lui écarter et avoir un accès total à son anus. Tout en récoltant de la mouille s’échappant de sa chatte je commence à lui masser la pastille délicatement, celle-ci s’ouvre progressivement et Marjorie me dit « bouffe-moi le cul » chose que je fais en remontant ma langue sur sa rondelle que je lèche minutieusement, par moment je tente de faire rentrer ma langue qui se fraie un passage sans problème.
J’alterne les deux trous pendant de longues minutes avec l’espoir de lui arracher un orgasme, ayant un peu de mal, je la fis se tourner et celle-ci vient s’empaler d’un coup sec sur ma bite tendue à son maximum. Toute ma longueur avait pris possession de son vagin détrempée d’excitation, elle faisait de long et doux va et vient tout en accélérant par moment la cadence. A ma gauche se trouvait un miroir et je voyais mon sexe coulisser en elle de tout son long, avec ma main droite je vins lui glisser mon majeur dans son deuxième trou ce qui la fis à nouveau gémir de plaisir. Subitement elle accéléra le mouvement et me chevauchait de plus en plus vite, elle prenait un plaisir fou et soudain je vis ses yeux se révulser et un cri de bonheur s’échappa de sa bouche, sa jouissance était atteinte alors que moi j’étais encore bander à mon maximum et j’avais une envie folle de ses trous.
Je la fis mettre à quatre pattes et j’’approchis mon gros gland à l’orée de son anus qui était luisant de son précédent orgasme. Je la maintenais fermement par les hanches sur le lit et je poussai d’un coup ma bite en elle ce qui lui arracha un cri fort et aigu. Je m’immobilisai au fond de son cul tandis qu’elle pouvait sentir contre ses fesses mes couilles. Tout en la tenant je commençais à la pistonner lentement pour débuter et j’accélérais progressivement ma vitesse. Par moment je déculais complètement ma bite ce qui me donnais une vision 360 de son trou de balle entièrement ouvert et écarte par ma queue. De nouveau mon gland entra en elle et mes mains prirent possession de ses seins et têtons que je palpais tout en la sodomisant. Je pouvais entendre son souffle haletant et je la sentais complètement offerte et soumise à moi. Mes mouvements se firent de plus en plus brutaux et soudain je sentis les premiers soubresauts de l’éjaculation salvatrice qui se libéra au plus profond de ses entrailles. Ma bite débanda lentement et sortis progressivement de son anus qui laissa échapper de longs flots de sperme entre ses cuisses et sur le lit.
Marjorie s’écrasa sur le ventre tant elle semblait repue par la jouissance procurée.
Nos ébats continuèrent quelques semaines mais cessèrent le jour ou elle me dit qu’elle voulait une relation sérieuse. Pour ma part je ne me sentais pas encore prêt à cela et je perdis ce jour là une fille qui avait le rythme du sexe en elle.

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