Pari Perdu 3

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’ai attendu quelques jours avant de me décider de rentrer à la maison. J’ai choisi un après midi, sachant que les s étaient à l’école. Mon cœur battait fort quand je suis arrivé devant la porte d’entrée. Mais je suis rentré comme je l’ai toujours fait, comme si rien ne s’était passé. J’ai déposé mon manteau dans l’entrée et me suis dirigé vers le salon. A mon arrivée, Sylvie s’est levée en claquant un « mon chéri » et s’est précipitée vers moi. Une grande claque l’a fait retomber sur le canapé où elle était en train de lire une de ses conneries de magazine.
« Ecoute moi bien, Salope, j’ai décidé de demander le divorce, ce que tu m’as fait subir est ignoble. Tu as toujours eu à bouffer ici, tu n’as manqué de rien et tu m’as vraiment humilié. Fais tes valises et casse-toi. »
Et je la vis fondre en larmes, se tenant la tête entre les mains.
« Pardonne-moi, mon chéri, elles m’ont contactée, m’ont parlé de ton pari perdu, m’ont dit ce que je devais faire. Je n’ai pas réfléchi, je ne comprends pas pourquoi j’ai accepté. Ne me quitte pas, tu sais que je ne peux rien faire seule »
« Tu n’es qu’une salope. Mais je veux bien que tu me montres ta bonne volonté. Fous toi à poil, mets toi à 4 pattes, écarte tes fesses et demande moi de t’enculer, de te fourrer comme une salope. Tu as pris plaisir à m’enculer, à mon tour de prendre ton petit trou »
Je ne savais pas trop comment elle allait réagir mais je l’ai vue se lever, se déshabiller et prendre la position que je lui avais demandée.
« Pardonne-moi, mon chéri, encule moi, prends moi comme une salope »
J’avais ma femme, le cul en l’air et écarté. Je suis allé chercher l’appareil photo et je me suis fait un grand plaisir d’immortaliser ce moment.
« Je vais t’enculer, salope, à sec pour que tu te rappelles ce que tu m’as fait subir. Dorénavant, tu m’appelleras Monsieur sauf en présence des s et de la famille.

Tous les autres doivent savoir que tu es ma chienne, une salope qui vit de son cul »
Pour la faire réagir plus vite, je lui donnai une grande tape sur le cul.
« Doigte toi le cul, ce sera ton seul préliminaire et tu verras ainsi ce que vaut une petite bite »
Une des mains a quitté une de ses fesses pour glisser vers son petit trou et un doigt a essayé de le forcer. Je voyais qu’elle avait du mal à se lâcher. Il lui fallu quelques minutes avant de pouvoir y enfoncer un doigt.
« Met-y 2 doigts, même pour une petite bite, il faut un peu de place »
Et la voilà à s’enfoncer 2 doigts. J’ai bien vu qu’elle n’y prenait pas trop de plaisirs et je l’ai trouvée très vénale. Elle est prête à tout pour garder un peu de confort, quelle salope. J’ai ouvert ma braguette, sorti ma bite et l’ai posé sur son petit trou.
« Enlève tes doigts, connasse »
A peine fait, je me suis enfoncé en elle, qu’elle réprima par un grand cri de douleur.
« Tu l’aimes ma queue dans ton trou du cul ? »
« Non, oui, j’ai mal »
« Ce n’est pas ce que je veux entendre, connasse » lui répondis-je avec une grande claque sur le cul, qui lui fit tourner au rouge vif une fesse.
« Oui, monsieur, j’aime votre bite dans mon cul »
« C’est bien tu apprends vite ». J’accélérai mon rythme dans son cul et quelques minutes plus tard, j’éjaculais dans son fondement. Je quittai son cul pour présenter ma bite pour la présenter à sa bouche.
« Nettoie-moi, salope, je ne veux pas l’odeur de ton cul sur ma bite. Ce sera ainsi à chaque fois que je me viderai les couilles, tu devras me nettoyer »
Et elle a ouvert sa bouche, m’a prise entre ses lèvres. Jamais elle ne m’avait sucé ainsi, creusant ses joues. Quand j’en ai eu marre, je l’ai prise parles cheveux et lui ai dit :
« Pour vendredi soir, invite ta salope de Caroline à venir jouer encore un petit peu avec moi. Je sais que tu sauras être persuasive et qu’elle pourra te faire confiance »
« Oui, monsieur »
« Va me préparer à bouffer, puis tu feras la vaisselle et tu dormiras dans le salon.
Tu feras en sorte que les gamins ne se doutent de rien, je n’ai pas envie qu’ils voient en toi la salope que tu es »
Je suis allé prendre une douche, en imaginant déjà ce qui allait se passer le vendredi suivant, avec l’arrivée de Caroline.

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