Le Vieil Homme Et La Jeune Infirmiere
Cest une histoire qui sest passée il a y deux mois, pour commencer je vais me présenter : Aline, jeune infirmière, juste diplômée, a mon compte, cest plutôt dur pour se faire une clientèle attitrée, je viens dacheter une vieille guimbarde pour me déplacer chez les patients, si vieille que peu de temps après son acquisition lembrayage ma lâché , je me suis souvenue dun copain a papa qui était mécano et tout juste a la retraite
- Bien sûr que je vais te dépanner ma petite Aline
- Ça me coutera combien ?
- Pas un sou, jai encore de prix sur les pièces, cest laffaire dune journée, à toi de torganiser
- Pour une journée, je vais me débrouiller, cest très gentil a toi papy André, je te récompenserais autrement
- Tes visites régulières me suffisent
Je le tutoie, et, papy André, cest ainsi que je lai toujours appelé, bien quil ne ressemble pas encore a un vieillard ! Lui-même mappelle familièrement sa petite fille préférée
Ma voiture a été réparée aussitôt, mais, une semaine plus tard papy André mappelle
- Ma petite fille je vais avoir besoin de tes services
- Que tarrive-t-il ?
- Je viens de me casser connement la malléole en chutant dune échelle, jai la jambe droite immobilisée pour deux mois
- Ah ! quel tu fais, a ton âge on ne monte plus sur une échelle voyons ! je plaisante ! donc tu dois avoir des piqures tant que tu ne seras pas sur pieds à cause de la phlébite
- Exact, soixante jours de piqures dans le ventre !
- Rassure-toi douillet, ça ne fait pas mal, et comme ça je vais me déculpabiliser de ma dette dembrayage !
- Ny pense même pas ! je suis remboursé, tu dois gagner ta vie que diable
- Je trouverais bien un moyen
- Oublie ça, et puis je ne suis pas douillet ! mais jespère que tu sais faire ces injections ?
- Tu va souffrir ! a demain matin, je commence ma tournée par toi
Jusque là rien dexcitant me direz vous ? Patience, ça vient, lorsque je suis arrivée chez André à sept heures et demie, il était assis, encore en robe de chambre, la jambe accidentée sur un tabouret
- Tu mexcuseras, mais durant ces deux mois je ne vais pas faire de frais de toilettes, cest tout un cirque pour enfiler un short et impossible de mettre un pantalon avec cette gouttière qui monte jusquau genou
- Je le comprends, soit patient papy, bon, ouvre ta robe de chambre que je te pique
- Holà ! ne va pas trop bas sinon tu va voir le monstre
- Bouuuh, ça ne fait pas peur et il doit être inoffensif à présent
- Je ne peux pas répondre à une gamine comme toi, mais la mère Henriette ne sen plait pas !
- Tu te fais Henriette ? ta voisine ?
- Elle me fait la lessive et quelques heures de ménage il faut bien que je la récompense !
- Quel vieux machin tu fais ! et voilà ça y est ? tu as sentis quelque chose ?
- Cest fait ?? tu es douée
- A demain même heure ?
- Ça me va
quelle joie de se faire dorloter par une infirmière aussi jolie
- Et par une infirmière en tenue sexy ? comme dans les films ?
- Aaaahh jaimerais bien, mais je te connais trop !
En sortant de chez lui je me suis garée pour méditer
jai eu le temps de voir son ventre plat aux tablettes de chocolats encore visibles, certains jeunes ne peuvent pas se comparer a cet homme encore en pleine santé, et ses poils ? Je mattendais à les voir gris, hé bien non, ils sont aussi noir que les miens du torse a la naissance du pubis que jai entrçu ! Par pudeur je névoque pas le monstre auquel il faisait allusion, mais il ne doit pas mentir
la bosse quil maintenait coincée sous sa robe de chambre pourrait bien être un sexe hors norme
Jai beau me dire qu'il est comme un parent, ça me trouble, le lendemain et les jours suivants jessayais den voir plus, mais il était vigilant, un matin je lui ais dit que ses ongles de pieds avaient besoin dêtre raccourcis
- Si tu pouvais me les couper ce serait chouette, je ny arrive pas et Henriette ne veux pas y toucher
Cest là quil sest aperçu que la petite fille quil connaissait était devenue femme
jai ouvert un peu plus mon décolleté, ma jupe dévoilait à demi mes cuisses, jai décidé de porter un coup décisif en enjambant sa jambe malade pour couper les ongles, je devais donc me pencher
papy reste muet, pourtant il doit voir très haut sous ma jupe, pas un reproche, pas une réflexion sur ma tenue, je serre les cuisses sur son genou , ma chatte a des fourmillements, une fois finis , pour le taquiner je lui chatouille la plante du pied , je men suis mordue les doigts ! Par réflexe il a remonté sa jambe dun coup sec, son genou a percuté violemment ma vulve, il sest rendu compte de son geste maladroit
- OOOH ma petite fille ! je sais ce que ça fait chez un homme, excuse moi jai dus te faire mal ?
- Ça oui ! il faut que je masseye sinon je vais tourner de lil
- Tu veux que je te masse ?
- Tu le ferais vraiment ?
- Ah, suis-je bête, cest entre tes jambes
- Pour me sauver la vie tu nhésiterais pas ?
- Évidement !
- Alors considère que je vais mourir si tu ne frotte pas lendroit où jai mal, je garde ma culotte bien sûr !
- Tu y tiens vraiment ?
- Je lexige
- Approche
assied toi sur ma cuisse, ne regarde pas ce que je vais faire, jai honte
- Je tourne la tête papy
Devinez ou je tourne la tête ? Vers la bosse qui ne va pas tarder à se former
, mes cuisses sont ouvertes afin que sa main tremblante accède a mon entrejambes, ses doigts hésitent puis il prend de lassurance, par-dessus le slip il palpe délicatement mes lèvres en longueur puis en largeur, ce qui a pour effet de faire ouvrir ma chatte et dengluer ma petite culotte qui a tendance a pénétrer a lintérieur de ma moule, ses doigt ont débusqués mon clito et sy attardent, est-ce volontaire ? sa robe de chambre monte
monte, et soudain le monstre jaillit, trapu, épais, raide, un gland congestionné entièrement décalotté, coiffé dune énorme goutte translucide, cest trop tentant, je mempare du membre dont mes doigts ne font pas le tour, papy rugit tel un lion mais ne se soustrait pas, et comme a force dêtre manipulé mon slip est repoussé, il enfonce deux doigts dans mon vagin aussi loin quil le peux, je le masturbe au rythme quil me branle , son sperme jaillit rapidement dans ma main, aussi abondant que la mouille qui gicle entre ses doigts, je me suis relevée et sans un mot je suis repartie, abasourdie par notre comportement incontrôlable
Il me fallait bien revenir le lendemain
- Bonjour papy André
.
- Bonjour ma petite fille chérie, ça va très bien merci, cest la dernière injection ? cet après midi je vais faire retirer ce carcan !
- Tu dois être content non ?
- Ça oui
mais... je ne te verrais plus...
- Moins souvent, mais je viendrais te voir, soit rassuré
- Je voulais tinviter pour te remercier
- Me remercier de quoi ?
- Ne me met pas mal à laise...
- Ah oui je devine ! pour tavoir coupé les ongles ?
- Entre-autre, et aussi pour te faire le chèque
- Je viendrais le chercher demain soir, tu seras sur pieds et tu auras une belle surprise
Le lendemain, lorsquil ma vu retirer mon manteau jai cru quil allait avoir une attaque
- Bé
. Bé
bé ? Quest-ce que cest que cette tenue ?
- Tu ne voulais pas voir une infirmière en tenue de travail ? me voilà !
- Cette blouse trois quart ne couvre pas tes cuisses ! et ces bas et porte-jarretelles blancs ? tu na pas de soutient gorge ?
- Et tu ne vois pas encore le string assorti aux bas
- Je ne veux pas le voir
- De quels soins as-tu besoins ?
- Je nai besoins de rien
- Et cette monstrueuse érection ? comment vas-tu la faire passer ?
- Cest mon affaire
- Cest la mienne aussi papy
a partir de maintenant, je ne tappelle plus papy mais André chéri, appelle moi chérie tout simplement
- Je vais défaillir
il faut que je massoie
En sasseyant sa robe de chambre se dénoue, le membre est prêt a se dévoiler entre les pans
- Je peux massoir sur tes genoux ?
- Aller, achève moi tant que tu y es
jai trop chaud, cest la fin
- Cest bon de voir rétabli André
- Serre les jambes, je vois ta petite culotte, si on peut appeler ça une petite culotte, ça ne cache pas ton buisson, et je nose pas mattarder sur le reste puisquelle est transparente
- Dégrafe plutôt ma blouse
il ny a que trois boutons, dis moi ce que tu pense de mes seins ? ce nest plus ceux de la petite gamine que tu faisais sauter sur tes genoux ! va-y pose tes mains
- Bon-dieu que cest ferme.
- Moins ferme que ta queue tout de même ! je peux jouer avec ?
tète-moi pendant ce temps
André pose délicatement ses lèvres sur un téton et aspire de plus en plus fort ça me tire jusquentre les jambes, que jouvre au cas où
jai bien fait, une main remonte au dessus du bas, caresse ma peau satinée, joue un instant avec la jarretelle et poursuit sa route vers ma vulve dégoulinante
Une chose chaude et dure cogne contre ma cuisse, je la plaque au creux de ma main, enfin ce qui peut y contenir, comme lautre matin jétale la goutte sur le gland, en retour ses doigts farfouillent dans mon string pour finir douvrir ma fente dans un bruit de sape, je pose ma tête sur lui en signe de soumission, André me masturbe avec une dextérité que jamais un garçon de mon âge ne là fait, je ronronne tout en manuvrant a fond davant en arrière la peau de sa queue, soudain il me soulève sans effort, il faut dire que je suis grosse comme une allumette
- Cen est trop ! Je nen peux plus
- Ou memmènes-tu ?
- Dans mon lit, à mon tour de te faire des piqures, jen ai soixante à te faire payer !
- Avec ta grosse seringue ?
- Oui et tu va souffrir crois moi, je dois faire baisser ma tension
- Je vais te la faire baisser en vidangeant complètement tes bourses
Il me dépose délicatement au milieu de son lit encore chaud de sa nuit, son oreiller sent sont odeur de mâle, je le serre sur ma poitrine et prend une posture volontairement indécente
- Petite dévergondée, tu me montre insolemment ton entrecuisse, tire sur tes lèvres que je vois ton trou a pines
- Regarde André, regarde ma mouille qui suinte pour toi
- Salope ! ça coule entre tes fesses, vais me coucher sur toi et planter ma grosse verge dans ta chatounette
- Oooohhhhhhhooouuuuuuiii !!!!!!! donne là moi, je vais la guider vers ma fente
- Ne men veux pas si je décharge trop vite, je suis tellement excité de prendre une jeune fille comme toi, et mes couilles sont pleines a éclater
- Baise moi autant que te le pourras !
ta bite est dure comme du béton dans ma main ! avance encore, je sens ton gland sur ma motte
Aaaaahhh
AAAAAAHHHHHHHHH !!! Ouuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiii ! enfonce !
- TIENS !! tu las a fond
- Je la sens bouger dans mon ventre, tes couilles sont écrasées sur mon cul
- Je vais décharger Aline
- Surtout ne tarrête pas, pilonne moi le bonbon
aaaaaaaaaaaahhhhhhhooooouuuuuuuiiiiiiii ton foutre jaillit sur mon utérus ! que cest booooooooonnnnnnnnnn
André ma prise deux heures sans sarrêter, épuisés mais heureux, nous nous somment endormis dans les bras lun de lautre, depuis jhabite chez lui, souvent déguisée en infirmière le soir
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