Ulysse 02
ULYSSE 02
Je ne vous dis pas mais on ne s'attendait pas à ça. Richard avait passé une partie de la soirée à matter Ulysse s'enfiler les filles une par une. Il a une sacrée santé le bonhomme en plus d'avoir un outillage de belle taille !
Moi j'avais passé une bonne partie de la soirée à montrer à une fille que je ne connaissais pas comment on fait pour sucer proprement un mec. On avait bien sûr préféré la pratique à la théorie et on s'était entraîné sur un mec que je ne connaissais pas non plus mais qui était ravi !
Moi qui pensais que ce serait une soirée un peu plus réservée, ou on se limiterait à du pelotage et du flirt ... Et bien non ! Là on est entré dans le vif du sujet ! Oh comment je dis ça moi ? '' Entrer dans le ... '' . Ouai bon passon, j'avais la tête dans le pathé, et j'entendais pousser mes cheveux ...
Allongé sur un coussin, j'ai vérifié c'était pas quelqu'un c'était bien un coussin, j'étais terrifié de voir comment notre ami Ulysse savait organiser ce genre de soirée.Toutes les filles qui étaient venues la veille se livrait à une séance de nettoyage sommaire. Elles partaient d'un coin de l'appartement, avançaient en un front faisaient le tri de tout ce qui traînait, les vêtements se retrouvaient empilés par catégories, et les propriétaires n'avaient plus qu'à récupérer leur affaires un peu plus tard. C'était rapide mais terriblement efficace.
Et tout ça juste pour faire plaisir à Ulysse.
L'un après l'autre les mecs se réveillaient et s'habillaient. Je n'ai pas réagi tout de suite, sans doute à cause du bruit que mes cheveux faisaient en poussant, mais ... Tout le monde était à poil ! J'avais du louper plusieurs épisodes moi la veille au soir. Il faut dire aussi que les derniers whisky-coca avaient été durs à avaler, sans coca. Pourtant il restait du coca !
Un peu avant midi presque tout le monde était parti, on n'avait pas encore retrouvé Richard, l'appartement avait à nouveau un aspect civilisé, il n'y avait presque plus de traces de la petite sauterie de la veille et moi je terminait ma nuit dans mon lit.
C'est donc vers le millieu de la matinée un peu avant seize heures que je réagissais. Une main me caressait tout le corps, le me retournais lentement . Je voulais parler dire quelque chose du genre ... '' Richard, tu sais comment j'adore ce genre de réveil, tu es un amour ... '' mais je n'arrivais pas à articuler.
Sa bouche se refermait sur ma queue et il me sucait avec douceur. Il me fait ça mieux d'habitude mais il devait être fatigué de la veille. Je posais ma main sur ses longs et doux cheveux, et là je me réveillait instantément. Richard à les cheveux courts !
Je relevais la tête et hurlais.
Mais qui t'es toi ? Et tu fais quoi dans mon lit ?
Elle relevait la tête, me souriait.
Je m'en sorts mieux qu'hier soir ? Et c'est grâce à tes conseils.
Elle s'en sortait mieux que le veille c'est sûr. Mais le reflexe prenait le dessus, je me ratatinais en repliant les jambes, je débandais intantanément.
Mais enfin mademoiselle ! Mais vous vous rendez-compte ?
Bon d'accord, je vois le genre, c'est pire que ce que je pensais !
Elle sortait de ma chambre en se dandinant du cul, juste par provocation. Je crois qu'elle avait compris pour moi et qu'elle savait parfaitement que ça ne m'allumait pas. Je me levais un peu plus tard, passait un pantalon et me retrouvait dans le salon.
Il y avait Ulysse, il avait passé un pantalon. Autour de lui trois filles se collaient à lui, le caressaient. Il y avait bien sûr la fille que je venais de virer de mon lit, et celle-là me regardait de travers. J'avais du la vexer.
Quelqu'un a vu Richard ? Demandais-je, je commence à m'inquiéter !
Vous avez un chien ? Demandait une des filles qui était accrochée à Ulysse.
Je vois pas le rapport avec richard ? Lui répondais-je.
Si vous n'avez pas de chien, il y a un gros truc en train de dormir sous le lit de la chambre au fond du couloir à droite !
Sans trop comprendre, j'allais voir de quoi elle parlait.
C'était Richard ! Je l'avais retrouvé. Il s'était enroulé dans une couverture avec un coussin pour poser sa tête, il ouvrait un oeil, me regardait l'air hagar et me demandait.
Elles sont parties ?
Qui ça ?
Les furies qui en voulait à ma chasteté.
Ah parce que tu es chaste toi maintenant ?
Ne change pas de sujet, si elles ne sont pas parties je refuse de sortir.
Mais oui, elles sont parties. Je lui tendais la main. Tu me mords pas surtout, mais ne reste pas là, tu aimes trop ton confort, ne reste pas allongé sur le sol, tu va finir par avoir des courbatures ...
Une fois sorti de dessous son lit, Richard en a fait une jaunisse de voir que les filles n'étaient pas toutes parties mais elles lui ont promis de ne plus essayer d'r de lui, ça l'a un peu calmé, même s'il restait sur la défensive.
...
C'était il y a déjà presque quinze ans tout ça. Une époque dont je me souvenais avec nostalgie. Ulysse était le maître de cérémonie de ces soirées ou il y avait toujours des filles, il y avait aussi des mecs mais ses copains étaient ... Comment dire ... trop hétéros, même si plus d'un se laissait sucer facilement.
Le revoir après toutes ces années me replongeait dans cette époque pleines de frustrations et de plaisirs. Sa queue par exemple on n'a jamais eu le droit de la toucher, on pouvait regarder, on pouvait le regarder baiser, s'enfiler une fille de passage. Elles n'étaient pas trop farouches en général. Mais on n'avait pas le droit de toucher ni sa bitte ni son cul.
Et il était beau son cul. On en rêvait souvent Richard et moi en le regardant, il portait toujours des pantalons qui le mettait en valeur. Et il y avait cette jolie bosse devant, elle n'était pas énorme, pourtant sa bitte, quand il la déployait, prenait beaucoup de place. Très belle taille, pas diforme, bien proportionnée, et très dure ... Enfin c'est ce qu'on concluait, on n'a jamais eu le droit de toucher.
Après cette soirée la glace était brisée, et plus personne ne se gênait de se balader à poil dans l'appartement. Ça le faisait rire quand il nous voyait bander, on bande tout naturellement en présence d'un beau mec alors que lui c'est pas les mecs qui le faisaient bander. On avait toutefois passé un accord. On ne se masturberait pas en sa présence, enfin devant lui je veux dire.
Un soir Richard et moi étions sortis au cinéma, on est rentré relativement tôt. À peine la porte franchie on entendait des gémissements, une voie féminine et une voie masculine qu'on reconnaissait rapidement. C'était Ulysse !
On le trouvait sur le canapé, les jambes allongées, les pieds sur la table basse, il était nu. Il y avait la fille à qui j'avais appris à sucer allongée sur lui, enfin allongée ... Empalée sur lui ...
Salut les gars, il était bien le film. On pensait que vous rentreriez plus tard ! Me disait Ulysse sans même sursauter, il n'était pas non plus farouche Ulysse.
Bonsoir Ulysse, Salut Matilde ! Ça va depuis l'autre jour ?
Salut Charly, tu veux pas être mignon et m'apporter un jus de fruit, je suis trop bien là, j'ai pas envie de bouger et j'ai soif.
Richard restait là, bouche ouverte l'air idiot, il avait souvent cet air en présence d'Ulysse, maintenant que j'y repense ...
Ramène moi une bière, tu seras un amour. Moi c'est pareil, je suis trop bien et j'ai pas envie de bouger ... Rajoutait Ulysse.
Pourtant ils bougeaient, elle se penchait en avant sa poitrine généreuse s'écrasait sur celle d'Ulysse qui était douilletement musclée. J'ai eu comme une violente envie d'attr Mathilde de la jetter et de prendre sa place au moment ou je lui tendais un grand verre de jus de pomme bien frais. Ulysse redressait également son dos.
Elle continuait à remuer son cul, enfin sa chatte contre le bassin d'Ulysse, et je prenais le temps de regarder sa queue disparaître dans le corps de Mathilde .
Il lui caressait une cuisse, elle lui caressait le torse. Ils prenaient tout le temps de se raffraîchir, rien ne les troublait. Là j'ai préféré me servir un verre, une double dose de whisky, j'en ai préparé un aussi pour Richard, lui il avait buggé et était resté immobile, la bouche ouverte et ne pouvait pas détacher ses yeux du corps d'Ulysse en action. Je devinais qu'il aurait vendu son âme au diable pour pouvoir prendre la place de la fille. Remarquez, j'aurais fait pareil.
On s'est installé, Richard et moi sur un fauteuil, chacun le sien bien sûr et on continuait à regarder la scène. On parlait du film, par moment Ulysse faisait un commentaire, Mathilde aussi avait son mot à dire ... Mais le plus souvent ils ne disaient rien, ou alors c'étaient des gémissements du genre ''Hooooo ! OUI !'' ... '' Vas y c'est bon ... '' ... '' Encore '' ... Enfin vous voyez le genre !
Le reste du temps ils avaient la bouche pleine de la langue de l'autre.
Mais comment il peut faire ça avec une fille ? Me demandais-je .
Il lui caressait le dos, appuyait sur ses fesses, sa queue s'enfonçait puis ressortait. Nous étions aux premières loges. Elle s'est retournée, s'est allongé sur Ulysse que ça ne semblait pas déranger puis lentement elle enfonçais la queue d'Ulysse, que ça ne semblait pas déranger, dans sa chatte. Ensuite elle se soulevait et se laissait retomber sur les genoux d'Ulysse, que ça ne semblait pas déranger ...
Mais comment il fait pour supporter ça lui ? Je vous jure que si une fille essaye de me faire un truc pareil, je hurle '' AU VIOL ! '' et je ne vous promet pas d'avoir l'air viril en disant ça ...
Lui il aimait, il en redemandait, il y a des mecs je vous jure ... C'est à n'y rien comprendre !
Ulysse passait ses mains sur la poitrine de Mathilde, la caressait avec autant de douceur que de force, il soulevait son bassin et la faisait sauter sur ses genoux, elle gémissait de plaisir et ses seins se balançaient de haut en bas lourdement. Ça me donnait le tourni cette histoire, je préférais regarder Richard.
Lui il continuait à boire gorgée par gorgée son verre qui était vide depuis un moment, mais apparemment il ne s'en rendait pas compte. Je me levais, je bandais, on avait beau parler de cinéma, ça me faisait bander cette affaire. Je prenais le verre dans la main de Richard et le remplaçait par un verre bien dosé. Il continuait à boire gorgée par gorgée et je ne suis pas sûr qu'il ai remarqué quelque chose.
Il avait les yeux rivés sur la queue d'Ulysse qui s'enfonçait avec violence dans le ventre de Mathilde, par les couilles d'Ulysse qui se balançaient au même rythme que la poitrine de Mathilde. Il y avait des moments ou on en arrivait à haïr les copines d'Ulysse, des moments comme ça ou on aurait tellement voulu prendre leur place ...
Ulysse se relevait, ses mouvements, ses coups de bassin contre les fesse de Mathilde devenaient plus violents, plus rapides. Elle se redressait également, le dos bien droit. Il la poussait en avant, elle se retrouvait à genoux penchée sur la table basse du salon et lui a genoux également derrière elle avant de relever un peu plus les jambes.
Elle s'alongeait sur la table basse, j'avais le reflexe de retirer le verre et la canette, il s'alongeait sur elle et la pilonnait de toutes ses forces. La poitrine de Mathilde s'écrasait sur la table, Ulysse s'écrasait sur Mathilde ...
Vous savez que ça nous arrive de manger sur cette table ... Bon j'ai rien dit, avec Richard on a fait pire ...
leurs souffles étaient forts, violents et totalement irréguliers. A chaque respiration c'était un râle de plaisir ou d'effort puis un cri et pour finir un hurlement. Elle jouissait, ou alors elle simulait bien, je sais pas, c'est que je ne sais pas comment ça marche moi une fille ... Il jouissait et il hurlait avec force, lui par contre il ne simulait pas, la je sais faire la différence !
Ulysse restait immobile quelques instants, son corps allongé sur celui de Mathilde, ses bras refermés sur elle, sa queue toujours bien instalé puis reprenait doucement, lentement de nouveau les même mouvements mais plus retenus. Il n'avait pas débandé.
Là elle hurlait, et je pense pourvoir dire que ce n'était que du plaisir. Il remettait ça, il la relevait la retournait la faisait tomber sur le dos sur le canapé, c'est que quelquefois je fais ma scièste sur ce canapé moi ! Il s'allongeait sur elle la caressait, l'embrassait partout sur le corps frénétiquement avant de la pénétrer de nouveau.
Richard avait les yeux tout ronds, j'ai presque cru qu'un des deux allait se décrocher et rouler par terre.
Je me suis levé, j'ai attrapé Richard par la main et je l'ai entraîné avec moi. Il me suivait sans résister mais ne pouvait pas détacher les yeux de la scène.
Arrivé dans ma chambre je le prenais dans mes bras, l'embrassait et lui arrachait ses vêtements. Il finissait par réagir et c'est lui qui me déshabillait. Brusquement on était comme des fous, je me mettais à genous et le suçait goulument. Il appuyait sur ma tête et me donnait tout de suite de violents coups de bite dans la gorge. J'encaissais, j'en voulais plus encore et toujours plus. C'est avec les deux mains qu'il me retenait le visage.
Il me relevait me poussait sur mon lit et me sautait dessus, il me suçait à son tour. Je le laissais faire quelques instant puis changeait de position pour pouvoir le sucer en même temps. Rapidement c'était un doigt qui rentrait dans mon cul, je lui en faisait de même et lui massait la prostate avec force.
Nous faisions des bruits étranges, on avait tous les deux la queue de l'autre dans la bouche et des bruits de succion se mêlaient à des gémissements étouffés. Sans prévenir il se relevait, m'enfonçait vigoureusement sa queue dans la gorge avant de me retourner sur le ventre et de s'allonger sur moi. Il passait un bras autour de mon cou, un peu comme s'il voulait m' mais c'était juste pour se tenir à moi, je tournais la tête vers lui, on s'embrassait, il me lubrifiait le cul et m'enfonçait sa queue bien à fond sans autre préliminaires. J'ai hurlé, j'ai gueulé, il m'a fait mal le con ... J'en ai redemandé encore plus juste après ...
Il me limait sans ménagements, il y allait de bon coeur. Son ventre faisait un bruit sourd quand il frappait mes fesses, mes râles de plaisir, la douleur s'était transformée en plaisir, étaient longs et étouffé, pourtant je n'avais plus rien dans la bouche. J'appuyais mes mains sur le mur pour éviter que, chaque fois qu'il s'enfonçait en moi, je ne m'écrase la tête contre le mur.
On était comme des fous.
Il n'avait pas éjaculé mais je me dégageais et retournais la situation. Je le prenais, il était sur le dos mais il ne résistais pas quand je lui écartais les cuisses et le relevait en plaçant ses chevilles sur mes épaules. A mon tour jelui défonçait le cul sans plus de formalité. A son tour il gueulait de plaisir mais je n'en tenais pas compte.
Je le masturbais en même temps que je le limais, il appuyait les mains contre le mur à son tour ...
Il a juté et joui en premier. Quand je l'ai vu éjaculer, j'ai tremblé et quelques secondes plus tard je jouissais également.
On ne bougeait plus, on se regardait, on était essoufflé. On reprenait notre calme et je me laissais tomber sur lui. Ma queue est ressortie de son cul à ce moment, on s'est pris dans les bras et on s'est fait un long,un très long câlin.
Un peu plus tard, en sueur et encore tremblants on s'est retrouvé sous la douche. Ulysse et Mathilde en sortaient. Ils avaient l'air heureux, un peu comme nous quand on en ressortait quelques minutes plus tard.
Eh les gars. Ulysse nous appelait quand on sortait de la douche. Un dernier petit verre avant d'aller dormir ?
On n'a pas refusé, j'ai fait le service, on était à poil tous les quatre.
Alors il était bien le film ? Nous demandait Ulysse ...
Non mais franchement, vous y croyez à ça ? Après ce qui venait de se passer dans l'appartement c'est tout ce qu'il trouvait à dire. Il était là assis au milieu du canapé, à poil, les jambes écartées, sa copine qui lui faisait encore quelques papouilles dans le dos, une canette de bière à la main et la queue qui pendait lourdement devant lui.
C'était un spectacle étonnant mais c'était aussi ça Ulysse.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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