Simplement - Chapitre 2

Nous attendions Clothilde dans un taxi en bas de chez elle, en échangeant des commentaires gaillards et encore emprunts de l’alcool de la veille. Lorsqu’elle sortit de son immeuble, elle portait une robe à fleurs légère mais plutôt sage. Après avoir donné sa valise au chauffeur, elle vient prendre place à ma droite, avant d'enchaîner d’un air mutin:
“Alors les garçons, qu’est-ce que vous me réservez ?
- Une série inoubliable de musées hongrois ! plaisanta Loic
- J’attends ca avec impatience”, répondit-elle en plaçant sa main sur mon genoux
Ma main collée contre sa hanche, et sa robe étant légère, il me semblait bien qu’elle ne portait pas de culotte, mais impossible d’en être sûr…
Après avoir réglé le check-in et passé la sécurité à l’aéroport de Roissy (ou bien était-ce Orly?), nous arrivâmes devant la porte d’embarquement avec pas mal d’avance. Je pris alors les devant :
“Clo (j’avais décidé que notre intimité de la veille me permettait bien d’utiliser un diminutif), est-ce que tu es plutôt du genre matinale ?”
- Très ! Pourquoi ?”
Je prix alors sa main et parti en direction des toilettes, suivi par Loïc. Par chance, les toilettes handicapés, mixtes et plus spacieuses, étaient inoccupées et nous nous engouffrâmes alors dedans. Après avoir verrouillé la porte et déposé ma valisa dans un coin, je m’approchait de Clothilde et relevait quasi complètement sa robe. Elle était intégralement nue dessous. Elle finit de retirer complètement sa robe en nous regardant d’un air effronté. Pendant ce temps, Loic avait sorti son sexe déjà à moitié en érection. Il plaqua Clothilde contre le mur tout en plaçant un doigt dans sa chatte. Elle commençait à mouiller, et soupirait en se sentant coincée ainsi contre le mur, ses seins pressés contre le carrelage froid. Après quelques minutes passées à masser son clitoris, elle eut quelques spasmes. Pendant ce temps, j’avais commencé à me masturber. Après ce premier orgasme (“petit” comme elle nous le confia par la suite), elle tira Loic par les cheveux avant de lui glisser dans l’oreille
“Baise moi comme ta pute!
- T'inquiètes pas pour ça!”
Il la saisi à son tour par ses long cheveux bruns pour la pencher en avant, à l’écart du mur, dans ma direction.

Il la pénétra sans ménagement, pendant qu’elle saisissait ma bite et l’enfournait dans sa bouche.
Elle me fixait de ses yeux bleux pendant qu’elle me taillait une pipe incroyable. Loic l’avait saisi par les hanches et la besognait aussi fort que la discrétion nécessaire nous le permettait. Après quelques minutes à ce rythme, elle jouit à nouveau sensiblement au moment où j’éjaculais dans sa bouche. Excité au plus haut point par les mouvements des fesses de Clothilde, Loic voulu en profiter pour glisser un doigt dans son anus, mais Clothilde le retira prestement. Quelques minutes plus tard, il finit par jouir également.

Clothilde se rhabilla rapidement et se rinça rapidement le visage et le reste. Avant de sortir, elle saisi Loici par les joues et lui dit “T'inquiètes pas, tu auras droit à mon petit cul, mais sois patient !”, avant de le gratifier d’une petit claque amicale.
Une fois dans l’avion (Clothilde étant, bien entendue placée entre nous deux), nous échangions des plaisanteries et apprenions à connaître Clothilde. Elle exerçait des fonctions d’audit dans une banque et était originaire de la banlieue parisienne. Elle était très directe, aimait faire la fête, bref, elle n’était pas compliquée et remplissait parfaitement le rôle du troisième larron pour le week end qui s'annonçait. Mais un larron avec des courbes appétissantes et un appétit prononcé !
Elle était très joueuse et fit sans arrêt des commentaires sur le physique des hôtesses, à mon oreille ou à celle de Loic: “Tu adores son petit cul, non ?”, “Tu rêves de mater ses seins ?” ou autre “Ça vous fantasmer les hôtesses, non ?”. Elle fit revenir la plus jolie à plusieurs reprises pour reprendre du vin, tout en passant sa main sur nos braguettes. Bien que les tablettes aient été abaissés, cela ne camouflait que très modérément son manège, mais tout cela fit au final sourire la demoiselle qui nous servait.

Passablement éméchés, une fois sortis de l'aéroport, nous priment un taxi en direction de l'hôtel.

"Alors, quel est la suite du programme ? demanda Clo
- on pique une tête à la piscine de l'hôtel avant d'aller déjeuner, répondit Loic
Une fois installés dans nos chambres respectives (nous avions prévu une chambre à part pour Clo mais espérions bien sûr qu'elle reste inutilisée), nous nous retrouvâmes à la piscine de l'hôtel, en sous sol. Nous jetâmes des regards gourmand à Clo lorsqu'elle nous rejoignit : elle portait un joli deux pièces noir, le bas étant retenus par deux nœuds sophistiqués. Il était à peine échancré mais soulignait le joli cul de Clo...
Évidemment, à peine eut-elle posé ses affaires que nous la saisirent pour la jeter à l'eau. Elle se débâtit et fit même mine de nous mordre gentiment. Nous finîmes par nous jeter à l'eau avec elle. Clo poussa un petit cri: elle était plutôt fraîche. Bien sûr, nous ne nous privions pas de frôler ses fesses sous l'eau et ses mains s'égaraient également parfois. La piscine fut bientôt déserte et nous décidâmes de remonter aussi dans nos chambres. Nous échangeâmes un regard avec Loic au moment de pénétrer dans les vestiaires : avant même d'avoir fermé la porte nous avions chacun tiré sur un bout du maillot de Clo qui se défit et glissa sur ses cuisses qu'elle referma par réflexe en se penchant en avant et en poussant un petit cri. La vue de sa jolie chute de rein cambrée nous émoustilla immédiatement et une bosse marquait nos maillots. Loic arracha le haut de Clo qui nous jeta un regard mi-assassin, mi-impatient. Je saisissais les mains de Clo et les maintenait dans son dos, plaquant mon bassin contre son cul pendant que Loic baissait son maillot et plaquait la bouche de Clo sur sa bite en la tenant par les cheveux.
"Suce moi bien, ça n'est que le début du séjour, on a pas fini de mater ton petit cul!"
Tout en maintenant les mains de Clo dans son dos avec une main, je donnai une claque sur sa croupe et sortait ma queue avant de la pénétrer. Elle émit un cri étouffé au moment où je pris possession de son vagin et commençait à la baiser.
Elle mouillait beaucoup et faisait des mouvement de son bassin pour que j accélère le rythme et que m'empale à fond dans sa chatte. Libérant une de ses mains, elle saisit la queue de Loic pour la retirer de sa bouche et cracher dessus, avant de reprendre sa fellation de plus belle, tout en regardant Loic droit dans les yeux.
J'adorais aller et venir en elle, sentir mon membre enserré dans sa chatte humide. Je sentais monter mon envie d'exploser, j'étais de plus en plus excité de la voir avaler le membre de Loic, de voir sa salive s'écouler sur la bite qu'elle avait dans la bouche avant de couler sur ses joues et sur ses seins. Je sentais qu'elle était pas loin de jouir aussi : ses mouvements s'accéléraient, elle avait passé une main derrière mes fesses pour m'imposer son rythme et s'était cambrée au maximum, m'offrant une vue plongeante sur son anus...
N'y tenant plus j'explosais, bientôt suivi par Clo. Loic sortit son sexe de la bouche de Clo quelques secondes plus tard, maintenant sa tête en la tenant par les cheveux, se faisant jouir sur son visage...
Clo, le regard hagard, s'assit sur le banc du vestiaire, passant sa langue sur ses lèvres engluées de sperme.
Après s'être reposés quelques instants, nous rentrons sous les douches du vestiaire, bandant à nouveau à moitié, et observant le regard lubrique de Clo. On fait couler l'eau - très chaude, par chance - et Clo s'agenouille naturellement entre nous deux, l'eau nettoyant son visage souillée pour s'écouler sur ses seins et dans le creux de ses reins.

Elle prend alors tout son temps, écartant ses cuisses pour ne pas que ses genoux souffrent trop sur le carrelage et entreprend de nous branler et de nous sucer, alternativement.

Nous bandons maintenant comme des taureaux. Elle continue quelques instants de nous caresser les cuisses, de nous sucer les bourses et de lécher de haut en bas nos queues... Elle se lève, me susurre à l oreille "ça peut aller, vous êtes encore jeunes" avant de glousser un brin vulgairement, de se tourner vers le mur, de coller sa poitrine contre le carrelage, l'eau coulant sur son dos, ses fesses, ses cuisses écartées .
..

Loic ne se fait pas prier et la saisit à nouveau par les hanches, enfonçant sa queue facilement et commençant à la baiser. Clo le regarde d'un air provocateur - il la saisit par les cheveux et plaque son visage contre le carrelage, tout en lui adressant une fessée et en continuant à la baiser. Après quelques minutes (pendant lesquelles je me branle en observant la scène), il s'arrête un instant pour rapprocher son visage du sien et lui dire distinctement, à voix haute en la regardant dans les yeux :"tu es une belle petite salope qui kiffe être soumise, hein ?".

Clo lâche un soupir avant de répondre "oui, traitez moi comme la dernière des putes, je kiffe sentir vos queues dans ma petite chatte! Défoncez moi !"

Cela excite Loic dont les coups de rein redoublent d'intensité pendant que Clo pousse des soupirs bruyants. Elle finit par jouir en poussant des petits cris étouffés et en se mordant les lèvres....
Tandis que Loic continue, elle saisit ses fesses pour bien les écarter et lui donner une vue imprenable sur son petit trou, avant d'y enfoncer un doigt en regardant Loic du coin de l'œil. Loic n y tiens plus et se décharge bruyamment en elle....

De mon côté, leur manège m'ayant passablement excité je me finis en éjaculant sur le dos de Clo peu après.

Nous nous retrouvons tous les trois assis par terre, l'eau de la douche continuant à couler sur nous, reprenant lentement nos esprits...

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