La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 348)
Suite de l'épisode N°340 - Mary au Château
- Et bien mon ami, j'étais en bas des escaliers qui mènent aux cachots et il m'a semblé entendre une voix que je ne reconnaissais pas. Ne serais-tu pas en compagnie d'une nouvelle recrue ?
- Ah Marie, répondit Walter, tu tombes bien. En te voyant, je viens d'avoir une idée pour corriger cette petite chienne qui ose riposter en criant pour seulement deux malheureux coups de cravache. Monsieur le Marquis, s'est pris la peine d'aller la chercher, comme c'était prévu, en début de soirée, à la fête des Sarmentelles de Beaujeu. La nouvelle petite recrue, comme tu dis si bien, a fait une entrée au château un peu remarquée. En effet, mariée, il a fallu calmer son mari récalcitrant qui ignorait jusqu'à présent sa soumission. Mais Monsieur le Marquis a trouvé avec l'aide de cette femelle, les bons arguments pour le convaincre. Maintenant, tous les deux sont montés dans la petite salle-à-manger pour faire plus ample connaissance, en attendant cette souillon maculée de cire et de chocolat laquelle j'ai le devoir de la rendre plus présentable pour le dîner que tu as dû leur préparer ainsi que pour une petite cérémonie de bienvenue.
Mary (à ne pas confondre avec Marie) est surprise des propos de Walter et du Marquis d'Evans précédemment. Elle était venue avec Hervé, son époux, à la fête du "Beaujolais nouveau" avec l'incertitude de rencontrer vraiment son Maître. Elle l'avait averti qu'elle serait présente à cette soirée, mais n'avait pas eu de réponse précise quant à son intention de venir. Elle avait réservé une des chambres d'hôte, appartenant au Noble, pour être non loin du Château, et aussi avoir peut-être une chance de le croiser, le reste du week-end. Elle avait fini par croire, alors que la journée se finissait et que la soirée commençait à peine, que son Maître ne voulait pas finalement saisir l'occasion de sa venue, afin de la faire venir au Château et ainsi tester réellement ses capacités à être soumise.
Pendant ce temps, la belle Mary ne remarqua pas Marie tournait autour d'elle, l'observait sous tous les angles, prit la laisse des mains du Majordome, puis se penchait et décida de se saisir de son collier. Les pensées de Mary s'évanouirent quand la cuisinière tira sèchement sur celui-ci afin de faire lever la tête à la soumise pour que son regard croisa le sien.
- Bien sûr, petite chienne, tu es la nouvelle esclave qui viendra en pension périodiquement selon le bon vouloir du Maître, certes, mais aussi en fonction de ta vie familiale et professionnelle ?
C'était la première fois qu'une femme Domina telle que Marie la Cuisinière, réputée au Château pour sa perversité et son côté sadique, toisa ainsi Mary. Elle se sentit déstabilisée par ce regard qui imposait plus que le physique et la tenue vestimentaire qui montrait, sans ambigüité, son goût (autre que de préparer des mets délicieux) à la Domination et à la perversion évidente. Marie, par sa grande taille, ses formes harmonieuses et fermes, les cheveux longs et brun attachés en queue de cheval, le teint mat, ressemblait à celui de la soumise. Elle portait une jupe en cuir noir courte avec une guêpière en fines dentelles bleues foncées et des bottes noires à hauts talons fins. Ses hanches étaient entourées d'une large ceinture où était coincée une cravache. Traversée par un sentiment de gêne, mais aussi par un frisson à la fois de crainte et de plaisir naissant, la belle soumise ferma instinctivement les yeux pour mieux ressentir ce mélange de sensations. Mais tout à coup, une gifle sur sa joue droite lui les fit rouvrir immédiatement.
- Je ne t'ai pas dit de fermer tes mirettes petite chienne, lui dit Marie sur un ton ferme et directif. Je veux lire le plaisir que tu as de te laisser admirer, observer ainsi sans pudeur et avec humilité. Tu as un regard qui en dit long sur ta motivation et ton désir à te soumettre. Ici, entre les quatre murs de cette grande Demeure Ancestrale et même jusqu'aux limites de l'immense propriété, et sois sans crainte, ici, tu n'as pas à cacher ce que tu es
Face à cette relation de confiance que cherchait à instaurer la cuisinière sur un ton ferme empli dautorité qui incitait à l'obéissance, la belle soumise accepta avec une excitation non feinte, de se laisser apprivoiser telle une petite chienne craintive faisant connaissance avec sa Maîtresse adoptive, par cette domestique perverse, aux allures de Domina qui lui accordait toute son intention. Marie et Mary se regardèrent dans le blanc des yeux encore quelques secondes, avant que la première ne se redresse et toujours laisse en main continue son inspection autour de la soumise. Mary (qui n'avait pas reçu d'ordre précis), resta à quatre pattes, la tête levée, le regard droit et le dos cambré. Elle ne vit pas ainsi que Marie avait sorti sa cravache de sa ceinture, et continua d'admirer la belle soumise en promenant la partie plate de l'instrument doucement sur les courbes de son corps. Toute son anatomie était passée au peigne fin : ses épaules, ses bras, ses jambes, son ventre. Les parties plus érogènes n'étaient pas épargnées. Elle s'attardait sur ses seins fermes, en prenant un malin plaisir de caresser et faire dresser ses tétons, et aussi faisait passer la cravache sur le sillon séparant ses fesses allant jusqu'à lui chatouiller le clitoris et l'entrée de son sexe. Mary ne put réprimer de légers gémissements qui montraient combien elle était excitée par la situation. Elle ondulait même du bassin, de la croupe. Elle se surprenait de se laisser aller ainsi facilement.
Son attitude n'échappa pas à la Cuisinière qui lui dit, tout en continuant :
- Profite et soit reconnaissante, petite chienne, de l'intention que je te porte.
Marie, du plat de sa cravache, appuya fermement sur la tête de la soumise qui baissa spontanément la tête. Puis face à elle, elle lui présenta une de ses bottes sous son regard. Mary, n'étant pas sûre de l'ordre que la Cuisinière lui dictait implicitement, pourrait relever la tête et lui demander respectueusement, ce qu'elle attendait d'elle, au risque de se faire réprimander et même punir d'avoir parlé sans autorisation, la tête haute, mais également, pour ne pas avoir compris le geste de la Domina. Mais c'est immédiatement, et instinctivement, que la belle soumise brune se pencha en avant, afin d'approcher son visage de la botte, ce qui lui fit délicieusement cambrer sa croupe et ainsi exhiber ses fesses. Puis, elle commença à lécher, du bout de la langue, la pointe de la chaussure. Elle donna, au début, des petits coups de langue un peu hésitants car elle n'était pas certaine de satisfaire la Cuisinière. La réponse ne se fit pas attendre :
- C'est bien la chienne, mais mets-y plus d'ardeur, lui dit-elle sur un ton ferme.
La belle obéit et rassurée la lécha plus franchement. Marie reprit :
- Ton Maître a raison, tu comprendras et exécuteras vite nos exigences. C'est sûr, que tu auras encore beaucoup de choses à apprendre, et surtout à mettre en pratique réellement ce que le Maître de ces lieux exige de toi seule. Passer du virtuel au réel demande une certaine adaptation et montre vraiment ta motivation, ta détermination à être soumise. Sans écran, les masques tombent, plus rien n'est caché, c'est une vrai mise à nue et il va falloir montrer une obéissance absolue à nous satisfaire
Moi, Monsieur Walter mais et avant tout Le Maître Vénéré
Tout en écoutant la Cuisinière, Mary continua de lécher consciencieusement la botte dans ses moindres recoins.
(A suivre...)
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