Le Colocataire
Miguel était un étudiant en master de droit international à Strasbourg. Il partageait avec Eric et Guillaume la collocation dans l'appart de la porte de lhôpital depuis son arrivée en France il y avait un an, après qu'il ait obtenu sa licence à Madrid. D'un naturel réservé et poli, il vivait en bonne entente avec les deux jeunes hommes qui partageaient son logement. Mon arrivée dans l'appart avait un peu changé sa tranquille et studieuse petite vie. Jusque là, il observait de loin les occasionnelles aventures féminines d'Eric ou de Guillaume, mais semblait lui-même assez détaché de ces préoccupations. En partie en raison de sa timidité naturelle, et d'autre part parce qu'il consacrait l'essentiel de son temps à ses études. Sa vie sociale se limitait à ses colocataires, aux quelques étudiants qu'il croisait de loin en loin à la faculté de droit, et à sa famille et ses amis espagnols avec qui il communiquait régulièrement par l'intermédiaire de skype ou des réseaux sociaux. Mais il devait compter désormais avec ma présence dans son environnement.
Eric et moi n'étions pas très discrets dans l'expression de notre vie de couple, et nous copulions sans vergogne dans toutes les pièces de l'appartement, souvent en ne faisant pas grand cas de la présence de l'étudiant espagnol dans les parages. Cela ne semblait pas l'importuner, mais le rouge qui lui montait occasionnellement aux joues m'avait fait comprendre que la situation ne l'indifférait pas totalement. Je trouvais Miguel assez touchant, tout en retenue et discrétion, avec son petit accent hispanique. Il n'était pas grand, mais me dépassait en taille néanmoins. Il avait le teint halé typique des méditerranéens, des cheveux bruns assez fournis qui bouclaient quand il les laissait pousser, et des yeux marrons expressifs. Il laissait une barbe de trois jours s'épanouir sur son visage mais il la taillait toujours avant qu'elle ne prenne de l'envergure. Pas vilain, le garçon. Du tout.
Le pacte auquel Eric et moi adhérions nous autorisait les incartades. Mon compagnon m'avait clairement fait comprendre qu'il m'encourageait à dévergonder Miguel, et je n'allais donc pas me priver. Ce genre d'aventure m'aurait paru totalement invraisemblable il y a quelques années, mais mon esprit s'était grandement libéré depuis et j'assumais désormais avec beaucoup plus d'enthousiasme ma nature de femme gourmande. Une des premières étapes consistait donc à m'assurer que Miguel sintéressait bien aux femmes, et à moi en particulier. Dans le cas contraire, je crois que cela m'aurait bien plu de le voir à luvre avec Eric. Mes pensées vagabondaient déjà, imaginant des histoires dignes des mangas yaoi qu'il m'arrivait de bouquiner à l'occasion.
Je profitais de l'occasion un dimanche de novembre où Guillaume était absent, probablement en compagnie de sa copine -qui était aussi mon amie- Isabelle. Installé sur son petit bureau, Eric travaillait ses cours d'école d'ingénieur sur son ordinateur. Une enceinte diffusait dans la pièce la musique d'une playlist dont les titres calmes étaient compatibles avec le travail et la concentration : mélange de ballades de groupes de rock, des Cranberries ou de David Bowie. Miguel faisait de même de l'autre coté de la pièce à vivre, attablé dans l'espace qui servait de salle à manger. Il avait l'habitude de me voir habillée dans des tenues que je trouvais assez sexy. Je ne m'étais pas toujours habillée ainsi, mais j'avais adopté ce style initialement grâce aux conseils d'Isa qui considérait comme un crime d'avoir un corps comme le miens et de ne pas le mettre en valeur. Ma rencontre avec Eric m'avait fait encore franchir une étape supplémentaire, m'aidant à assumer pleinement mon sex-appeal en montrant un enthousiasme certain à me voir revêtir les tenues les plus provocantes. J'adaptais mon niveau de sexytude aux occasions bien entendu, et je n'allais pas en cours comme je m'habillais pour sortir faire la fête ou dans un restaurant en amoureux.
Je m'installais donc à table, en face de Miguel, un livre de chimie en mains. Il avisa ma présence d'un bref regard dans ma direction. Je faisais mine de consulter mon ouvrage et observais du coin de lil l'étudiant espagnol. Je voyais que ses yeux quittaient régulièrement son écran pour regarder dans ma direction. J'attrapai soudainement son regard et lui sourit. Je posais mon livre ouvert, pages contre la table, et me jetais à l'eau. ''Miguel ?
-Oui ? Fit-il, hésitant. Il se sentait pris la mains dans le sac.
-Est-ce que je te plais ? Physiquement je veux dire. J'y allais franco.
-Euh... Oui, oui... tu es très jolie, bien sûr...
-Toi aussi tu es mignon. Je le coupais avant qu'il ne continue. Je voyais qu'il essayait de me regarder dans les yeux plutôt que de laisser son regard dévier sur ma poitrine. Il se mit à rougir.
-Euh, merci...
-Tu n'as pas de copine je crois ?
-Non, c'est vrai. Mais j'ai le temps, c'est pas grave. C'est pas important ça. Miguel était intrigué par mes questions. Il se demandais sans doute où je voulais en venir.
-Est-ce que tu aimes mes seins ? Je l'interrogeais sans lui laisser trop le temps de se ressaisir. A l'évocation de mes seins, par réflexe, son regard plongea directement sur ma poitrine comme sur invitation, pour vérifier l'objet dont il était sujet.
-Euh oui... tu as un très belle poitrine, Diane. Il tourna la tête en direction d'Eric de l'autre côté de la pièce.
Miguel ne voulait surtout pas paraître inconvenant avec la copine de son coloc. Il observait la réaction de mon compagnon, ne souhaitant pas créer d'incident fâcheux.
-Oui, Diane est très belle, je suis d'accord avec toi.''
Sous les yeux ébahis de Miguel, Eric entreprit de défaire les boutons sur le devant de mon top, commençant pas ceux du haut. A chaque bouton qui s'ouvrait, le tissu blanc s'écartait en formant un V de plus en plus grand, laissant apparaître la carnation de mes deux seins, dévoilant le sillon qui les séparait. Je trouvais la situation excitante et mes mamelons n'en pointaient que davantage. Les auréoles de mes seins commençaient à se montrer à la lisière du tissu à mesure qu'Eric approchait des derniers boutons. Je me laissais faire docilement tandis que Miguel semblait pétrifié, les yeux figés sur ce spectacle insolite, comme hypnotisé. Puis d'un coup, la dernière boutonnière fut libérée. Mes seins jaillirent subitement, retrouvant leur position naturelle, soumis aux lois de la gravité, fermes, orgueilleux, légèrement affaissés sous leur poids et leur volume. Les tétons tout pointus au centre des cercles sombres et larges de mes auréoles. Ma poitrine était magnifique. Je le savais. Miguel et Eric me l'avaient dit.
Aussitôt mon top défait, les mains de mon compagnon se posèrent sur mes épaules et glissèrent vers ma poitrine en dévalant la pente de mon buste. Il empauma mes deux seins, je sentais mes mamelons aux creux de ses mains, et les malaxa avec hardiesse sous le regard médusé de Miguel.
''Ils sont beaux, hein ? Fit Eric.
-Oui... oui, c'est vrai. Très beaux, répondit l'étudiant espagnol, un peu hébété.''
Mon compagnon abandonna alors ma poitrine et passa sa main sur ma nuque pour me caresser affectueusement. Je me mordis le coin de la lèvre. J'aimais qu'on me pelote les seins et l'abandon des mains d'Eric provoquait en moi un petite frustration. Eric fit un pas de côté et s'éloigna tout en s'adressant à son coloc' d'une voix chaleureuse et rassurante. ''Miguel, Si Diane a envie de passer du bon temps avec toi, ça me fait plaisir que vous en profitiez ensemble. Je n'ai pas de soucis avec ça. On en avait déjà parlé ensemble, et on est d'accord avec ça.'' Il fit un clin dil à son ami et retourna s'asseoir, cette fois dans le canapé non loin de nous.
A mon tour je me levais. Je contournais la table, toujours dépoitraillée, pour rejoindre Miguel qui entre temps avait fermé son ordinateur. Il recula sur sa chaise et se leva. La situation le déconcertait un peu, mais la rougeur de ses joues et son regard sombre et brillant qui passait sans cesse de mes seins à mes yeux ne laissait que peu de doute quand à son émoi. Debout face à lui, je posais mes mains sur ses épaules et commençais doucement à onduler du bassin dans un slow tranquille, au son de Roxanne de Sting qui passait à ce moment là sur la playlist. Il portait un jean bleu sombre et une chemise à carreaux dans un style simple et décontracté. Entrainé par mes mouvements sinueux, il m'accompagna et posa timidement ses mains sur mes hanches. Derrière nous, Eric monta un peu le son de la musique pour nous accompagner.
''Miguel, j'ai envie de t'embrasser. Je peux t'embrasser ?'' Le fait de verbaliser ma demande m'excitait étrangement. Je lui demandais son autorisation pour ne pas le brusquer, la situation semblait assez inédite pour lui. Et j'avais l'impression de jouer avec lui. Je voulais savoir jusqu'où pouvait aller le jeu. Jusqu'où il irait. Pour ma part, je ne m'étais pas fixé de limite. Je sentais abonder la moiteur dans mon entrecuisse. ''Oui bien sûr...'' répondit-il. Je crois que cela le rassurait et le détendait que je parle ainsi avec lui plutôt que de me jeter sur ses lèvres sans crier gare. Je nouais donc mes mains derrière son cou et approchais mon visage en entrouvrant ma bouche, laissant apparaître entre mes dents blanches ma langue alanguie. Nos lèvres entrèrent en contact. Le baiser fut d'abord timide, tout en retenue. Puis je mengouffrais dans sa bouche et il me suivit avec une certaine fougue. Il n'était pas si maladroit. Nos langues se mêlèrent et entamèrent un ballet humide et sensuel. Son baiser était à la fois doux et plein d'enthousiasme. Il sa lâchait un peu et derrière le masque de la timidité je devinais un tempérament plus ardant.
Je me serrais contre lui pour l'enlacer, et devinais sous son pantalon la bosse que formait son sexe. Celà ne fit qu'encourager mes dispositions. Je constatais avec satisfaction que j'étais loin de le laisser indifférent malgré toute la retenue polie qu'il appliquait lorsqu'il interagissait au quotidien avec moi. Ma poitrine plaquée contre son torse, il ne pouvait ignorer les deux pointes de mes mamelons qui senfonçaient dans sa chemise. Lentement, je quittais sa bouche pour lui parler. ''Caresse-moi, Miguel.'' Je reculais légèrement et attrapais sa main pour l'amener sur un de mes seins. Elle était chaude et douce. Il ne se fit guère prier et empoigna mon nichon qu'il se mit à malaxer, m'emportant dans un frisson d'aise. ''Mmmmh... caresse-moi les fesses aussi, s'il te plait...''. Aussitôt je sentais son autre main s'aventurer à tâtons sur l'arrière de ma cuisse et s'engouffrer sous ma mini-jupe en jean pour empaumer le globe d'une fesse. ''Oui, comme ça Miguel, continue...''
Je mouillais franchement désormais. J'étais du genre abondante et je sentais la cyprine baigner l'intérieur de mes cuisses tandis qu'un filet de liquide intime s'écoulait le long de ma jambe. Je guidais sa main pour qu'elle descende encore vers le sillon de mes fesses et qu'il se rendre compte de mon état. Il s'était mis à m'embrasser dans le cou, je sentais qu'il se laissait aller de plus en plus à sa gourmandise. Je basculais la tête en arrière pour lui offrir mes seins et ses baiser dévalèrent ma gorge jusqu'à ma poitrine qu'il se mit à gober avec enthousiasme. Il suçota le bout de mes seins et j'exprimais mon plaisir dans des soupirs de satisfaction. Il se mit à me téter puis à me mordiller, explorant les possibilités qu'offrait mon anatomie. ''Caresse-moi la chatte !'' Lui demandai-je entre deux gémissements.
Je sentis sa main contourner ma jambe pour soulever le devant de ma jupe et découvrir mon pubis aux poils ras et ciselés. C'était l'inondation là en bas ! ''Oui...'' sussurai-je alors que ses doigts approchaient du but. Cela l'encouragea et il trouva le chemin de ma fente charnue, y glissant sans difficulté un majeur inquisiteur. Son doigt pénétra dans mon vagin comme guidé par un toboggan glissant, m'arrachant un petit soupir de contentement. ''Mmmmmh, oh ouiii...'' Il fouailla mon intérieur pour explorer son exiguïté puis commença un mouvement coulissant qui m'arracha de petits hoquets de plaisir. ''C'est bon, ça, Miguel !''
Pendant qu'il me besognait, je déboutonnais sa chemise et découvrais un torse jeune et bien dessiné à la pilosité sombre et élégamment répartie. Mes doigts caressaient son buste et son abdomen, cheminant sur sa peau mate et chaude. Un bel hidalgo dont j'avais envie de prendre beaucoup de plaisir. Je croisais son regard, il était mignon avec ses iris sombres et son air gentil. Je savourais ses caresses intimes et lui lançais un sourire concupiscent. Je me mis à saupoudrer ses pectoraux de petits coups de langues, retenant mon souffle en gémissant à chacune de ses pénétrations digitale. Puis je reculais doucement et m'orientais de façon à caler mes fesses contre la table. L'étudiant espagnol accompagna mon mouvement tout en continuant à me doigter et à se régaler de mes nichons.
''Aide-moi à m'asseoir sur la table,'' lui-demandais-je dans un soupir entre deux déglutitions. Par dessus l'épaule de Miguel j'observais Eric dans le canapé qui n'en perdait pas un miette. Il me souriait largement, le menton posé sur son poing. Mon cavalier madrilène abandonna mon entrejambe pour me soulever par la taille alors que j'effectuais un petit bond et me hissais sur la table. Jupe largement retroussée sur les hanches, cul nu sur le bois poli, j'écartais largement les jambes et entrepris de déboutonner le pantalon de ce garçon auparavant si timide. ''Miguel, tu as envie de me prendre ? J'aimerais que tu me prennes...''
Je prenais plaisir à m'exprimer, à observer ses réaction, à l'entendre dire qu'il voulait de moi, que je lui faisais envie, à lui exprimer mes envies, à le guider. ''Oui... j'en ai très envie... tu es très belle...'' Il était fébrile. Il m'aida à ouvrir les boutons de son jean et libérer son sexe tendu de son boxer qu'il baissa. Sa verge était au garde à vous, un bel engin d'une taille convenable. Je l'attrapais de la main et commença à le branler légèrement tout en l'amenant face à ma grotte. Je me mordis la lèvre et interrompis le mouvement. ''Attends, Miguel.'' Je m'adressais à Eric. ''S'il te plait, passe-nous une capote !''. Mon compagnon avait anticipé la situation et était allé chercher les protections d'usages au moment où nous l'étudiant espagnol et moi avions commencé notre manège. Eric posa les préservatifs sur la table et j'en attrapais prestement un, défis l'emballage avec les dents avant de le dérouler sur la verge tendue de mon partenaire. Nous reprenions donc. ''Vas-y Miguel, enfile-moi, j'en ai envie !''
Miguel ne se le fit pas dire deux fois. Prestement, d'un petit coup de reins, il projeta en avant son vit chapeauté que je guidais d'une main vers ma chatte détrempée. Dans un petit bruit de succion, Il s'enfonça comme dans du beurre dans mon vagin. Il glissa en moi jusqu'à s'y enfourner totalement et j'exprimais un feulement d'aise tendis que je sentais ce sexe gonflé m'investir. ''Oh ouiiiii....'' Délicieuse sensation. Assise sur la table, jambes ouvertes au maximum, je l'invites à me pilonner. ''Prends-moi, oui, défonce-moi !''. Il se lance dans une série de coup de boutoir de plus en plus énergiques, sans retenue, me tenant par la taille et me regardant avec des yeux extatiques. Mes seins rebondissent à chaque secousse, mes tétons érigés dessinent des courbes invisibles dans les airs. Je sens la jouissance monter à mesure qu'il se déchaine en labourant ma vulve dégoulinante de mouille. Chacun de ses assauts m'électrise et fait monter la tension en moi. Je me lâche, je cris. ''Ouiii ! Vas-y ! Oh Oui ! Oh oui !''
Bientôt, rapidement, le point de non retour est atteint. Sans doute grisée par la candeur de mon partenaire, je me laisse emporter tout d'un coup. Je suis saisie par une crispation soudaine alors que l'orgasme déferle en moi. Je jouis. Je hurle. ''Oh ouiiiiiiiii !'' Je me tends, je m'agrippe à la table. Me voyant exulter sous ses yeux, l'orgasme s'empare également de Miguel qui se lâche totalement, hors de contrôle. Il se cabre et son sexe est pris de spasmes successifs. Il grogne, il gronde, c'est beau à voir. Il se vide, il éructe. Cela dure quelques instants. Nous jouissons ensemble. Puis la vague reflue. Il se détend, se relâche. La fureur qui s'était emparée de lui s'évapore. Je me calme, maffaissant doucement sur la table.
Miguel se retira doucement, l'air un peu égaré. Eric s'était levé, il s'approcha de moi. Je posai pied à terre, un peu flageolante. Je m'agrippai à son épaule. Il m'embrassa sur la joue. ''Bravo, Diane, je suis fier de toi ! Tu es si belle quand tu jouis.'' Je lui adressai un sourire hagard et je l'embrassai. Collée contre lui, je caressai son entrejambe par dessus son pantalon. Comme ça, parce que j'en avais envie. Juste pour vérifier. Il bandait. J'étais contente ! Je me tournai ensuite vers Miguel qui venait de reboutonner son jean. Je l'embrassai aussi. Je le remerciai . ''Merci Miguel ! C'était vraiment cool !'' Eric lui tapa amicalement sur l'épaule. ''Merci à toi, mec.'' Puis il revint vers moi pour m'embrasser à nouveau. Il posa ses mains sur mes seins nus et mon cul pour me caresser. Lui aussi avait envie de s'occuper de moi à présent. Et moi j'avais bien envie de me laisser faire. La situation m'avait excité et je n'avais rien contre des prolongations avec mon amant, bien au contraire.
Eric me guida par la main et me fit asseoir sur le canapé tout proche. Je me laissais faire tranquillement. Il s'accroupit devant moi et écarta mes jambes. Mais quelle belle initiative ! Songeais-je avec délice alors que sa tête s'engouffrait entre mes cuisses pour me brouter la chatte. Encore tout dégoulinant de cyprine, mon sexe accueillit avec délectation cette langue douce et agile qui sinuait le long de ma vulve et glissait entre mes lèvres pour s'attarder sur mon clitoris. Miam miam ! C'était bon ! Je basculais la tête en arrière sur le dossier du canapé, ma chevelure châtain tombant dans le vide derrière le sofa. Je posais ma main gauche sur la tête d'Eric pour le guider, pour l'appuyer à mon gré contre mon minou comme je l'aurais fait d'un sexe toy. Celui-ci était particulièrement efficace et je me laissait aller à des gémissement extatiques sous les yeux de Miguel. Je regardais dans sa direction et lui tendis ma main droite pour qu'il approche. ''Viens, Miguel, viens ! Mmmmh... oui... embrasse-moi, s'il te plait !''
L'étudiant espagnol s'approcha de moi tandis que mon compagnon me besognait dans l'entrecuisse. Miguel se pencha vers moi et je captais sa tête de ma main pour approcher ses lèvres des miennes. Nous nous livrâmes à un baiser langoureux et humide lorsque je sentis sa main venir explorer les monts et les vallées de ma poitrine. Mes tétons érigés subirent les délicieux tiraillements qu'il m'infligeait de ses doigts et bientôt, rapidement même, je sentis un nouvel orgasme s'emparer de moi.
Happée par l'ascension du plaisir, saisie par la contraction de tous mes muscles, je plaque le museau d'Eric contre ma vulve et la langue de Miguel au fond de ma bouche. Je ne peux pas crier, mais je ne peux pas non plus réprimer un grognement étouffé mais sonore alors que l'orgasme se déverse en moi. ''Mmmmmmmmh !'' Je mouille, je me crispe, je subis la jouissance. Mes doigts s'enroulent dans les cheveux de mes deux besogneux partenaires. Puis la vague reflue. Je me relâche. Je me détends. Je m'avachis dans le canapé. Je libère mes prisonniers qui s'écartent doucement de moi.
Eric recula d'un pas, je le voyais défaire son pantalon. Il ne portait pas de caleçon et sitôt les boutons ouverts, je vis surgir son beau et gros sexe tout raide de désir. Moi jétais là, affalée sur le divan, jambes écartées, jupe bien retroussée, chatte transformée en piscine, top déboutonné sur ma poitrine nue, bras étendus sur le dossier. Il s'approcha de moi et commença à se masturber. Il me regardait, la frimousse toute barbouillée de ma cyprine. Mignon ! Je tendis un main et je l'aidais en massant ses bourses. Il aimait ça, je le savais. ''Enfile-moi, Eric,'' lui sussurai-je. J'aimais bien qu'il m'enfile avec sa grosse queue. Il sexécuta et s'accroupit devant moi pour que son sexe soit à la bonne hauteur. Il guide sa verge jusqu'à l'entrée de mon vagin et d'une poussée, il me pénètre. Je sens cette colonne de chaire chaude et douce s'enfoncer en moi. Ça glisse tout seul. Il att mes jambes et les fait passer par dessus ses épaules. Je lève un peu du cul, la pénétration est facilitée et il s'enfonce plus profondément encore. ''Oh oui... bien à fond, oui, vas-y...'' Je l'encourage par mes gémissements. Il commence à me ramoner, doucement d'abord. J'ai envie que Miguel me masse les seins. ''Miguel, viens, s'il te plait...'' Je lui fait signe pour qu'il vienne derrière le canapé. L'étudiant espagnol se place aussitôt derrière le dossier, et par dessus mes épaules, ses mains commencent à me peloter. ''Mmmmmh...''
Je me sens investie, complétée. On s'occupe de moi de tous les cotés, vraiment très agréable. La verge d'Eric accélère la cadence. Trop bon ! Miguel m'embrasse dans le cou. ''Oh oui... oh oui... oh ouiiiii !'' Les coups de butoir d'Eric se font plus enflammés, je sens qu'il va venir. Ca m'excite terriblement ! Je lâche prise ! Je suis emportée ! Encore ! Je jouis ! Je serre mes muscles, je me cambre ! ''Oh Ouiiiiiiiii !'' L'orgasme est là. Il me secoue. Eric jouit aussi ! Il grogne, il gronde. Il éjacule en moi, il me remplit ! Comme c'est bon ! Comme il est beau quand il jouit. Comme j'adore quand il éjacule en moi, sur moi !
Il se retire. Doucement. Mon sexe dégorge de foutre. Ca coule. Entre ça et ma cyprine, mon entrecuisse ressemble à un vrai bourbier. Miguel recule également, il me laisse souffler. Je suis heureuse. Fière de moi ! Je porte ma main à mon sexe tout chaud, je ramasse du sperme et le porte à ma bouche. J'en étale sur ma poitrine. Je suis au anges. Je vois Eric et Miguel se lancer des regards en souriant. Ils sont contents eux aussi. Le monde est merveilleux !
A partir de cet épisode, beaucoup de choses devenaient possibles dans notre histoire. Je n'ai éprouvé aucune honte ni aucun remord de ce qui s'était passé. J'avais même éprouvé un plaisir certain de me savoir observée par Eric pendant que Miguel s'occupait de moi, et plus intense encore quand les deux hommes se sont occupés de moi ensemble. Cela m'amenait à d'autres idées : je souhaiterais moi aussi voir Eric baiser une autre fille sous mes yeux. Je voulais le voir jouir d'une autre. Tout naturellement, je pensais à Isabelle. Je lui parlerai ce cette perspective.
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