Le Pari 6 Fin
Le pari 6
A seize heures mes élèves sont les premiers à s'envoler, je suis le premier instituteur à quitter l'école. A grandes enjambées je rejoins ma chambre, poussé par la curiosité. Qui est Alain, que veut lui raconter Cathy ? Elle me croit enfermé dans ma classe à préparer mes tableaux. Apparemment elle parlera de moi en toute liberté avec son ami. Ils arrivent en voiture, elle est exubérante, parle haut et fort, rit, chahute.
- Mais arrête de me tripoter, sois patient. Tiens, je vérifie que nous sommes seuls.
-Ah ! vous et votre bonne renommée. Comme si tes voisines n'avaient jamais eu une main au cul. Comment, il serait là ?
J'ai juste le temps de me cacher derrière la porte de ma chambre qui s'ouvre un instant. Personne ne me voit, Ils en tirent une conclusion erronée qui va favoriser l'écoute recherchée. Une voix d'homme ricane et commente:
-C'est plutôt sobrechez ton zèbre. Jeune instit mal payé, ton coloc vit comme un moine. Il se contente de peu. Tu n'es pas sur le point de gagner ton pari avec un oiseau pareil, Jamais ton ermite ne succombera à tes charmes. Tu es trop belle pour lui. Ou bien il cache bien son jeu.
- Tatata ! Sans ton malencontreux coup de téléphone, l'affaire était réglée mardi soir. Mon moine a un joli moineau et ce moineau a failli trouver son nid. Mais tu perdras ton pari, tu paieras le champagne samedi au bal, tu auras les preuves de ma victoire. L'habit ne fait pas le moine. Le gaillard est prêt à flamber, je l'ai bien allumé mardi, il suffira d'une étincelle et il me sautera dessus : ce sera pari gagné pour moi. Si tu insistes, il te racontera lui-même pendant le bal à quel point il est fou de moi et comme il aura été heureux de m'avoir fait l'amour. Avec ta permission je vais passer un bon moment avec Jean. Te souviens-tu de l'ardeur de nos débuts ? Ce brave garçon mis en condition saura me baiser aussi bien que toi. J'ai vu le goupillon de ce moine timide, je ne doute pas de sa vigueur quand de son foutre il m'aspergera le vagin.
Ils entrent dans la pièce commune, ne jugent pas nécessaire d'en fermer la porte pusqu'ils se croient seuls dans l'appartement. C'est aussi pour m'entendre entrer au cas où je reviendrais plus tôt que prévu, contrairement à mes habitudes. Cathy est prudente à l'excès. J'entrouvre ma porte et je tends l'oreille. Cathy raconte crûment nos soirées du lundi et du mardi : comment elle m'a appris à embrasser une fille et comment après un rapide échauffement elle a su m'attirer dans sa chambre, comment nous nous sommes dénudés, comment elle a décidé de passer à l'essentiel lorsqu'elle a constaté que le puceau bandait et pouvait se passer de préliminaires. Enfin elle accuse Alain de lui avoir gâché le coup. Aussi ne serait-elle pas fâchée d'obtenir un délai supplémentaire, car il convient de réparer les dégâts consécutifs à ce coup de téléphone avant de me mettre dans son lit: Elle argumente :
-Jean a été déçu, il m'en veut de l'avoir planté alors qu'il se croyait dans la place. Représente-toi la déconvenue, sa queue touchait mon vestibule, nos chaleurs se rapprochaient, gland contre nymphes, contre mon lubrifiant naturel. Et vlan, nous sursautons quand retentit la sonnerie du téléphone. L'acte est interrompu brusquement. J'aurais dû l'attr aux hanches, le tirer vers moi, en moi, le mettre bien au chaud dans mon ventre, j'aurais dû le bercer en moi, l'entraîner dans une longue chevauchée, j'aurais dû le rendre fou de volupté, le serrer sur moi, en moi. Il m'aurait montée comme une cavale en chaleur. Son premier accouplement lui aurait laissé un souvenir impérissable. Je voulais le marquer à vie, le rendre heureux et tirer de lui un maximum de plaisir. Tu m'avais provoquée avec ton pari, je devais savoir en profiter pleinement.Je n'aurais pas dû répondre au téléphone. Je savais que c'était toi, j'aurais pu te rappeler plus tard.
- Hé ! On dirait que tu es tombée amoureuse de ton collègue. Ce n'est pas l'objet de notre pari. Vous devez baiser, vous tirez un coup et basta. Tu me tromperais? Viens ici sur mes genoux que je te rappelle à qui tu appartiens!
- Quoi, tu oses te montrer jaloux ! D'abord c'était ton idée, ne la ramène pas Quand je m'envoie en l'air, je ne fais pas semblant. Si le coup est bon à tirer, j'en cueille tous les fruits. La tiédeur n'est pas de mise, je refuse de simuler la jouissance, tu le sais. Pour Jean, pour prix de son pucelage, j'étais décidée à bouger, à lui fabriquer des instants de rêve. Toi, au déduits tu simules ? Tu viens faire le jaloux ? Comme si tu te gênais avec les filles de ta basse-cour. Non, ne commence pas à fouiller ma culotte, attends, l'eau bout. Oh ! non. Ca fait mal, arrête de me pincer la cuisse. .. Alain !
-Bon, reconnais que tu t'y es mal prise. Tu l'as brusqué ce malheureux. Il n'a même pas eu droit à une pipe, il ne connaît même pas l'odeur de ton sexe. Il aurait fallu attirer sa bouche, lui faire goûter ta cyprine pour qu'il ait envie de retourner en boire à la source. Ne rejette pas sur moi la conséquence de ta précipitation. S'il avait en bouche les saveurs de ton petit con, il en réclamerait une rasade Je sais de quoi je parle je suis accro à ton jus de femelle. Tu vas le constater bientôt ! Bon je peux t'accorder deux ou trois jours de plus et je repasserai mardi. Ce qui va me faire un déplacement de plus; ne pourrais-tu pas me payer un plein d'essence, mon bolide me coûte une fortune.
Le fauché ou le gigolo n'a pas peur de mendier.
-Tiens, prends ça, mais ce n'est pas pour la gaudriole. Tu reviens un peu souvent, Qu'est-ce qui te plaît en moi, ça ou mon argent. Il fallait acheter un modèle plus modeste. Ah, la vanité te coûte cher.
-Mais ton cul vaut de l'or, ma chérie ! Un billet pour m'y arrimer ne doit pas faire problème.
Où a-t-elle trouvé de l'argent dans le séjour ? ment dans le pot commun constitué mardi. Je vérifierai.
Me voilà bien renseigné sur les intentions de ces deux complices. Je fais l'objet d'un pari. Cathy joue mon pucelage contre du champagne. Elle se met le doigt dans l'oeil si elle pense me séduire puis m'exhiber. Elle vient de m'offrir deux motifs de rupture du contrat de colocation et presque trois. En infraction au règlement écrit de sa main, elle fait entrer un étranger dans l'appartement et elle lui a ouvert la porte de ma chambre. Quand je voudrai et sans lui verser d'indemnités je pourrai quitter ce piège. Alors je peux prendre des risques, éventuellement être vu en train de les observer. Je m'avance dans le couloir et je jette un oeil dans le séjour.
Cathy verse deux tasses de café. Alain, le cavalier de Cathy au bal de samedi renifle une petite culotte. et garde une main sous sa robe. Bizarrement dans l'attente de son ami elle ne porte pas son jeans délavé, S'est-elle changée dans sa salle de classe ? J'ai vu la même petite culotte mardi, Cathy doit en avoir plusieurs de même couleur et de même modèle. Alain agite le tissu humide de la journée passée en service et rigole. De gustibuset coloribus non disputatur !
- Hum, tu sens fort, comme j'aime. Dis-moi, Cat, tu n'as pas répondu à ma question. Je répète, es-tu amoureuse de Jean ?
- Bof, que vas-tu imaginer ? C'est un brave garçon, mais ...
-Oh ! oh ! Tu as l'air de beaucoup tenir à coucher avec lui.
- C'est compréhensible. Un je n'aime pas perdre mes paris, deux c'est un service à rendre à ce naïf, trois ce sera mon premier puceau et l'expérience en vaut la peine, quatre il est peut-être plus affectueux et meilleur que toi au lit, conclut-elle dans un éclat de rire.
-Salope, tu vas me payer ça. Mais es-tu, oui ou non, amoureuse de lui ?
- Mon seul but, en réalité est de le piquer à Mathilde. Tu as vu comme elle avait mis ses griffes sur lui au bal. Depuis elle ne le lâche plus, elle l'invite chez elle, à sa table pour le repas de midi ou à seize heures pour du bricolage. Elle s'installe dans sa classe pour me supplanter et elle le cotoie au foyer des jeunes. Je ne supporte pas qu'elle se conduise en propriétaire, qu'elle tente de m'évincer et de s'imposer. Je veux lui rabattre le caquet., un point c'est tout et je me moque de Jean comme de ma première culotte.
- Tu es jalouse, ma chère. Cela prouve que tu es tombée sous le charme du garçon. Mais je te l'interdis.
-Est-ce que je te demande si tu es amoureux de toutes les filles que tu t'envoies?Toi, tu es fou d'être jaloux d'un puceau timide et inexpérimenté. Idiot, arrête de me provoquer. Non, je le drague pour gagner le pari, et pour les raisons que tu connais, c'est tout. Et puis, souviens-toi, qui a lancé ce pari stupide ? C'est toi, donc ça suffit,
- Pourquoi "pari stupide" ? C'est grâce à un pari stupide que j'ai eu le bonheur de te sauter.
-Auras-tu de quoi payer le champagne ou faudra-t-il que je paie au magasin pour que tu puisses arroser la compagnie quand tu auras perdu? Car je veux gagner et je gagnerai. Le gamin passera à la casserole ce soir peut-être si tu ne t'éternises pas ici. Je le tiens par les couilles et je ne suis pas décidée à le lâcher. Après un baroud d'honneur pour la forme, pour affirmer son honneur de mâle vexé,, il cédera à la tentation, je lui pardonnerai, et en voyage pour le septième ciel. .
- Tu rêves. Tu n'es pas la seule femme sur terre. Il est fier, tu as mal expédié le boulot, rien ne laisse prévoir un retour. S'il est aussi chaud, attends-toi à constater qu'il en préférera une autre, comme Mathilde
- Ha ! ha ! ha ! Elle est trop prude ou trop méfiante, elle est du genre à vouloir la bague au doigt avant de se laisser effleurer la brèche. Tu cherches à me décourager ? Mais le garçon est ferré, il bavait d'envie l'autre soir, avait une perle de mouille au bout de la trique. Ces choses là ne se déroulent pas dans le cerveau mais dans le caleçon. Dans le fond il a un joli paquet, couilles pleines, bite de bonne dimension, comparable à la tienne : la mission n'est pas désagréable, je pourrais même y prendre du plaisir sur ton injonction. Mon plaisir sera encore plus fort quand Mathilde saura et tirera la gueule de dépit. Merci mon cher de m'avoir fixé un objectif aussi alléchant. En attendant j'ai besoin que tu me remontes le moral comme tu sais si bien le faire.
-Bien sûr, ma poule.
Alain bondit de sa chaise, att la fille hilare, la pousse vers la table, lui courbe l'échine, relève la robe sur les reins et dévoile le joli petit cul de la provocatrice pour y appliquer une claque, Les fesses sont évidemment nues. La main quitte la fesse et se plaque dans la raie. Elle se fraie un chemin vers l'anus et remonte sur la vulve en séparant les cuisses .
-Non, Alain, pas maintenant. Le café va refroidir. Après si tu veux, tout ce que tu voudras. Laisse ma chatte, proteste Cathy.
- Il n'y a pas de raison. Je peux très bien vider une tasse de café et te laisser un majeur dans le trou. Je peux même faire bouger mon doigt dans ton sexe sans renverser une goutte de café. Qu'en dis-tu ? D'ailleurs tu n'as pas baisé depuis dimanche, tu dois être en manque. Voilà ce que c'est de ne pas réussir à garder un garçon dans ton lit.
Ils vident lentement leur tasse. Cathy reste crochetée par le majeur de la main droite de son ami. Courbé en deux, il la pousse vers l'évier puis la ramène vers la table. Il la soulève, l'assied sur le plateau, la renverse, dos à l'horizontale. Elle couine et rit. Il prend place à côté des jambes pendantes et se penche sur le ventre dénudé. Sa main tourne en rond sur l'entrejambe,décrit un ovale étendu, du mont de Vénus chauve à la raie du cul. Il frotte, tourne, appuie sur les chairs molles vigoureusement, fait geindre la demoiselle soumise à cette caresse hardie.
Le tourment met Cathy en transe, elle pose ses talons sur le bord de la table et soulève ses fesses, les tape sur le bois, rebondit comme un poisson sorti de l'eau. Quand cesse le manège tournant de la main, elle subit l'attaque de la bouche sur son intimité. Alain s'acharne, elle oublie la possible présence du propriétaire à l'étage et crie le plaisir qui la submerge. Plaisir ou douleur ?, Elle dit "encore" elle hurle "non, stop". Alain se relève, s'essuie les lèvres d'un revers de main et rit à pleines dents
-Alors, ma belle institutrice, voilà ce qui aurait mis l'eau à la bouche de ta victime. Comment as-tu pu oublier l'importance d'un cunni ? Celui qui a été appâté de cette façon ne s'en remet pas, il veut conclure. Tu as oublié les rudiments. Si tu lui avais permis de te mettre le feu, tu n'aurais pas eu envie de décrocher ton téléphone. Et ça, il connaît ?
Ca ? Il vient d'envoyer trois doigts au moins dans "la cramouille de salope". Et le mouvement vif du poignet correspond à un barattage en règle de l'intérieur de "ton con de petite pute".
Je pourrais répondre que je trouve "ça" un peu sauvage. Comme amoureux ou amant Cathy a choisi un personnage vigoureux mais plutôt grossier. Sous l'impulsion du brassage rapide et brutal Cathy crie de plus belle. Entre deux plaintes elle supplie Alain de cesser, d'être moins rude, de ne pas trop irriter le vagin dans lequel elle pourra peut-être m'attirer ce soir.
-Quoi, tu ne peux pas oublier un instant ton sinistre individu? Concentre-toi sur ce que nous faisons, pense à toi et à moi. On pourra aller dans ton lit après la pipe que tu me dois, comme tu la devais à Jean. Là encore tu as commis un oubli fatal. On tient le diable par la queue en la suçant ou on ne l'apprivoise pas. Son bidule passé par ta bouche, il brûlerait de pouvoir y retourner. Tu avais l'avantage d'être la première, sa reconnaissance éternelle t'était acquise. Allez, à genoux, suce. Fais un effort, mouille avec ta langue de chaque côté, sous le frein, j'aime ça ! A quoi servent tes mains, bon sang ? Branle et suce en même temps. Et mes couilles, tu les oublies ? Tu es trop distraite. Evidemment, tu ne t'es pas entraînée avec Jean et tu veux m'appliquer le même régime. Ne nous confonds pas, lui c'est lui, moi c'est moi. Allez, reprends et mieux s'il te plaît.
Comment ou pourquoi Cathy supporte-t-elle la brusquerie d'Alain ? Je n'ai pas pratiqué en effet. Alain doit avoir raison, mon initiatrice a fait l'impasse sur des gestes que je découvre avec curiosité et intérêt. Dans mon slip ma verge durcit au spectacle de ces préparatifs. Il faut voir les deux mains qui montent et descendent sur la tige de l'homme et les léchouilles de la langue sur la tête du noeud. Mais comment fait-elle pour avaler une grande partie de l'instrument ? En plusieurs fois elle progresse et la queue finit par disparaître totalement. Où Cathy case-t-elle un morceau pareil. Ah ! elle tousse et doit essuyer quelques larmes. Au tour suivant, Alain maintient le nez dans les poils de son pubis, Cathy agite les mains en signe de reddition, il la lâche, elle se retire et crache un liquide blanchâtre tandis qu'Alain se tord de rire.
- Chochote, il faut espérer que ton coloc a une plus petite queue ou il sera déçu.
Elle se défend en pleurnichant :
-Tu as facile à dire. Je commence à avoir mal aux mâchoires. Et toi, tu as du mal à venir aujourd'hui, tu peines à jouir ! Tu m'as encore trompée ? Avoue.
-Rien à avouer. Ne me reproche pas d'avoir eu recours à une compensation pendant que tu étais sensée t'envoyer en l'air avec ton coup de foudre.
-Salaud.
-On pourrait croire que le torchon brûle entre ces deux là. Alain en rajoute :
- Cracher comme tu le fais est peu ragoûtant. Tu as des points faibles, il faudra travailler la fellation ma cocotte ! Allez, au pieu. Essuie toi les lèvres. Et après, à poil la nana ; Je vais t'administrer une cure de rattrapage pour remplacer la défaillance de Jean.
L'annonce du changement du champ d'activité me fait rentrer dans ma chambre, le temps de les laisser passer. Bientôt je pourrai reprendre mon poste d'observateur pour enrichir mes connaissances en matière de relations sexuelles. Cathy me voulait acteur, je me contenterai de regarder, mais j'apprendrai. Quand j'entends grincer le matelas et quand Cathy commence à geindre, je peux m'avancer jusqu'à la porte de la chambre laissée volontairement ouverte pour surveiller mon retour. En fait ,'jai pratiqué la première position du couple face à face avec Mathilde. Avec une différence importante toutefois. Alain mène le rapport avec une sorte de hargne que je ne pouvais pas me permettre lors d'une défloration. Cette charge de hussard porte ses fruits. Cathy suffoque et gémit très fort, s'accroche des quatre fers à son amant déchaîné.
Après un temps de récupération la joute reprend. Alain repose sur le dos, Cathy passe une jambe au-dessus de son homme,. Ainsi elle le domine et le regarde avec malice. Elle cherche des yeux la verge, la prend en main et la promène sur toute la longueur de son propre sexe. Elle s'énerve un peu :
-Mon pauvre Alain, tu n'es as en forme, tu bandes mou. Je veux bien te secouer la queue, mais si tu traînes nous serons obligés d'en rester là pour aujourd'hui sinonJean finira par nous surprendre. Détends-toi, aide-moi à te durcir. A la comparaison avec Jean tu pourrais paraître ridicule.
-Qu'attends-tu pour me réchauffer dans ta bouche ?
La cavalière quitte sa monture, se penche sur la défaillance. Sa tête descend, remonte régulièrement, moi je vois surtout sa vulve rougie et entrebâillée son anus clos et ses fesses. Elle retourne sur sa monture, excite encore le gland sur ses nymphes, penche à droite, à gauche, arrondit son dos puis s'empale au ralenti sur le pieu redressé. Elle entame un trot prudent, creuse ou arrondit successivement ses reins selon que le membre pénètre ou quitte sa chatte gourmande. Arrive un moment où le trot devient galop. Tous deux s'essouflent, Alain tend son ventre, entre au plus profond, grogne. mais la fille saute en l'air, dégage le vit englué de sperme et "engueule" le maladroit qui s'est laissé aller à se déverser en elle:
- Alain, tu es malade! Tu éjacules dans mon vagin; n'es-tu plus capable de te maîtriser?
-Pourquoi, tu préfères être enceinte de ton instituteur ?
-Bon, ça va avec tes vaseuses. Assez batifolé. Dépanne-moi la machine à laver. Je ne sais pas pourquoi elle patine et bloque. Allons à la cave, vois si tu es meilleur mécano que baiseur.
Bien entendu ils ne peuvent pas m'apercevoir lorsqu'ils se dirigent vers le fond du couloir. Alain a enfilé son pantalon, elle sautille dans sa robe légère. Je vais faire le curieux : Le réparateur d'électrménager a retrouvé de la vigueur, a courbé Cathy sur le dessus du lave-linge et enfourne son outil, par derrière dans le sexe de Cathy. Je les trouve dans cette attitude en arrivant à la porte de la buanderie. Ce n'est pas la bonne méthode pour retaper la machine. Cathy râle, elle voulait mettre fin à l'exercice, se préserver pour mieux m'accueillir. Elle ne l'envoie pas dire, fait rire son amant heureux du bon tour. Il lime, lime, lime, elle ronchonne, ordonne d'arrêter, avec le résultat contraire à son attente. Lui a laissé descendre son pantalon sur les chevilles,
-Tu te fous de moi ou quoi, crie-t-elle ?
Non, attends un tout petit peu, je sens que ça vient...;,OUI! Je viens, oh, je vais partir, oui, attends
Il ne sait pas ce qu'il veut ! Il vient ou il part ?Je n'attends plus, je retourne vite à la porte d'entrée, je l'ouvre sans précautions de façon à être entendu. La minute d'après je suis à la porte de la cave, je joue au colocataire surpris,
-Oh ! Excusez-moi, je ne savais pas, mais continuez, je vous en prie, j'ai encore tellement de choses à apprendre.
Alain est empêtré dans son pantalon. La braguette restée fermée lors de la chute rend quasi impossible le remballage de la queue en état d'érection. Cathy me tourne le dos et essuie avec sa robe les coulées de sperme étalées sur ses reins et ses fesses.
- Pardon, je suis indiscret. Vous avez fini ? Quel dommage, je vais dans ma chambre.
- Oh ! Jean, ce n'est pas ce que tu crois. Mon ami Alain réparait la machine, il s'est mis à l'aise.
-Ah ! Oui. Et c'est ça son outil ! dis-je, le bras et l'index tendus vers le membre si difficile à reloger. A plus tard. Merci Alain, je n'aurai pas à faire ce que tu as si bien fait. Quand une machine est en panne, il faux bien graisser les parties sensibles.
Là-bas le couple hausse le ton. Les amants se rejettent la responsabilité de l'accident :
-Tu m'avais dit...
Je t'avais dit d'arrêter...
Ma porte est fermée, je boucle mes valises. Les cris envahissent le couloir La porte de la maison claque. On frappe à ma porte, j'ouvre à Cathy. Son visage est décomposé.
-Jean, ne voudrais-tu pas t'occuper du lave-linge? Mais que fais-tu.?
-Mes valises, ça se voit.
- Pourquoi ? A cause d'Alain. Il m'a e, mais c'est fini avec lui, je viens de le jeter à la porte
- Voyons ta machine. Depuis quand ne l'as-tu pas purgée ?
-Ca se purge? Ah ! Tu me l'apprends, nous sommes vraiment complémentaires.
La purge terminée, Cathy veut m'embrasser pour me remercier. Je la tiens à distance et la conduis devant le tableau du règlement intérieur
-Lis cette ligne, lis aussi celle-ci. N'accuse pas ton complice, j'ai tout vu et tout entendu depuis votre arrivée, j'étais dans ma cellule de moine, je vous ai observés dans le séjour, je t'ai vue payer ton gigolo en tapant dans notre caisse commune.
-Mais tu es dégoûtant, tu es... un sale voyeur !
-Ne voulais-tu pas m'initier à l'amour ? C'est fait. Tes démonstrations avec Alain étaient très réussies. Je te remercie pour ta générosité. Ah ! Tu ne feras plus souffrir Mathilde ou je raconte urbi et orbi tout ce que j'ai vu et entendu.
- Ne pars pas, c'était juste un pari, mais je suis amoureuse de toi !
- A samedi au bal. Si tu me cherches auparavant pour me raconter d'autres fantaisies, tu me trouveras chez Mathilde. Tu as de très jolies bottes. Tu les choisis mieux que tes amis. Adieu.
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