Découverte Improbable 3 - Première Sodomie
Cette partie de mon histoire est assez longue, mais je n'ai réussi ni à la séparer en deux ni à la raconter avec moins de détails. J'espère que vous l'apprécierez tout de même. JF.
***
Une quinzaine de minutes après avoir quitté le stationnement de la manufacture où lhomme mavait fessé et humilié sans que montre quelque signe de rébellion, nous arrivons devant une grande maison à deux étages, entourée darbres et située un peu en retrait. Nous sommes presque en campagne, et le plus proche voisin se trouve à près dune centaine de mètres, ce qui garantit une certaine intimité.
Laisse tes vêtements dans la voiture, tu nen auras plus besoin ce soir, me dit-il. Va mattendre près de la porte.
Toujours complètement nu, mais bien plus à laise que la dernière fois que je suis sorti de cette voiture sans mes vêtements, je me dirige vers lentrée de la maison. Je dois avoir lair dun fantôme qui marche dans la nuit avec ma peau blanche éclairée par la lune presque pleine quaucun nuage ne masque, mais lidée que les voisins peuvent tout de même mapercevoir sils regardent dans la bonne direction au bon moment meffleure à peine. Une fois arrivé à la porte, je maccroupis et entoure mes jambes de mes bras pour me réchauffer en attendant de pouvoir entrer.
Monte lescalier et prends la première porte à gauche, cest la salle de bain, dit lhomme en déverrouillant la porte. Installe-toi à quatre pattes dans la baignoire. Jirai te rejoindre.
Pas fâché de me retrouver au chaud à lintérieur, je nattends pas quon me le répète pour monter lescalier et me diriger vers la salle de vain. Malgré ma précipitation, jai tout de même le temps dêtre impressionné par lopulence de la maison. Au vu des nombreuses décorations qui mêlent le style campagnard ancestral au mobilier le plus chic et moderne, il ne fait aucun doute que les propriétaires ont des goûts de luxe. Limposant foyer de pierre, les énormes poutres de bois qui barrent le plafond et une vieille bibliothèque bien garnie y côtoient des toiles aux motifs assurément contemporains, de rutilants sofas de cuir et quantité déléments éclectiques, ce qui donne à la maison une ambiance baroque, même si chaque objet semble être minutieusement disposé, comme au terme dune longue et âpre réflexion.
Après quelques minutes passées dans la baignoire à attendre que quelque chose se produise, lhomme entre et ne montre aucun signe de satisfaction à me voir ainsi, dans cette position disgracieuse que jai pourtant prise sans rechigner dans lespoir de lui plaire. Il se trouve maintenant en bras de chemise, manches relevées, et je suis à même de constater en voyant ses bras quil semble assez musclé, même sil est loin dêtre un culturiste. Sans dire un mot, il branche un système étrange à un joint situé sous le pommeau de douche.
Jaime bien la propreté, alors je vais te rendre propre. Épaules et tête par terre, cul relevé, écarte les fesses et relaxe-toi. Tu vas sentir quelque chose de froid.
Moins apeuré quintrigué, jobéis et sens aussitôt le « quelque chose de froid » appuyer contre mon anus et y pénétrer très facilement. Je le sens à peine passer, ce qui signifie que ça doit être assez étroit comme objet. Puis, un filet deau tiède simmisce entre mes chairs. Plus de doute possible, je subis pour la première fois un lavement. Même si je suis foncièrement daccord avec lobjectif recherché, la méthode avec lequel ce procédé mest administré mapparaît quelque peu dégradante, mais je comprends que cela fait partie du processus de prise de contrôle de lhomme à mon endroit. Je comprends tout cela et, bien que sois à quatre pattes dans une baignoire, mécartant les fesses, pendant quon minjecte de leau dans le rectum, je commence à bander. Cependant, bien vite, à lintérieur de moi, je commence à sentir un léger inconfort. Jai limpression que mes intestins sont en train de se remplir encore et encore, comme si cela nallait jamais sarrêter.
Serre les fesses.
Enfin, la canule se retire et une main se met à me masser le ventre en décrivant des cercles autour de mon nombril.
Tu toccupes du reste. Garde ça le plus longtemps possible en toi, puis relâche-toi dans la toilette.
Bien, Monsieur.
Ensuite, dit-il en me montrant un rasoir jetable et de la crème à raser, tu enlèves tous les poils autour de ta queue et sur tes petites couilles. Jai vu que ton cul était lisse, mais profite quand même de loccasion pour passer quelques coups de rasoir sur ta raie. Je te veux glabre comme au premier jour.
Euh, cest que
Cest un ordre.
Daccord, Monsieur.
Prends le temps quil faut, je tattends au salon. Ah oui, et met ça quand tout sera fini et que tu seras bien vide et propre, ajoute-t-il en déposant près du lavabo, bien en évidence, un petit plug transparent.
Je vous épargne le reste des péripéties dans cette salle de bain. Jai dû gonfler trois autres fois mon ventre comme une baudruche (je ne dois pas avoir fait les choses correctement, cest certain) et me vider autant de fois avant dêtre satisfait de mon hygiène interne. Une fois celle-ci assurée, confirmée, vérifiée, certifiée, jai enlevé mes derniers poils (il faut dire que je les gardais déjà assez courts
) sur mes parties génitales et entre mes globes fessiers. Cela fait drôle de caresser mon sexe désormais glabre, jai limpression que cela contribue à me rabaisser un peu plus, comme si sans ces poils et avec ma maigreur, ma pâleur et ma faible pilosité générale je nétais pas assez viril pour être un « vrai » homme.
Mes ablutions ont duré presque une heure. Cest maintenant le temps de mouiller le plug de ma salive et de le poser, non sans appréhension, contre mon anus. Surmonté dun faux rubis en plastique, il nest pas tellement gros (environ trois centimètres de diamètre, à vue de nez) et a une forme duf légèrement étiré, mais il me faut quelques tentatives pour réussir à le faire entrer complètement dans mon petit cul inexpérimenté. La sensation est paradoxale. Il sy mêle un peu de douleur due à lécartement de mes chairs, mais aussi une sorte de plaisir doux et confus.
Je mempresse de dévaler lescalier pour rejoindre lhomme censé mattendre au salon. Il sy trouve en effet, un verre dalcool ambré à la main, les yeux rivés sur la télévision sur laquelle joue ce qui a toutes les allures du début dun film pornographique. Une jeune femme blonde en lingerie aguichante entre dans une pièce où un homme en complet-veston est en train de travailler sur un ordinateur portable, lair très concentré. Elle se met alors à se déhancher devant lui et à frotter les zones érogènes de son corps à travers la lingerie, pressant ses seins qui ne sont pas très volumineux, frottant son bas-ventre, exhibant ses jolies fesses traversées dun string en dentelle noir.
À ce moment, dans la réalité, lhomme se lève et sapproche de moi. Il boit une gorgée dalcool et me tend le verre.
Bois le reste.
Beurk, cest du whisky ! À la première gorgée que javale, je ne peux mempêcher de toussoter, ce qui lui arrache un mince sourire condescendant. Moi qui ne suis guère habitué à boire de lalcool fort et naime en plus pas tellement le goût du whisky en particulier, me voilà servi
Pendant quà petites gorgées, je mefforce de boire le contenu du verre, mhabituant peu à peu sentir couler le liquide chaud dans ma gorge et me sentant me détendre progressivement, lhomme tourne autour de moi et passe ses doigts distraitement sur mes hanches, puis sur mes fesses mais en les effleurant à peine. Il remonte ensuite vers mon ventre plat, pour aboutir sur mes seins. Pour une deuxième fois de la soirée, mes tétons se font caresser, pincer, étirer, tordre, alors que jessaie tant bien que mal de finir le foutu whisky au fond de mon verre sans en mettre partout. Encore une fois, je métonne de la réactivité de mes tétons.
Sur lécran, la jeune femme blonde sest installée dans le fauteuil en face de lhomme et a écarté son string pour mieux se masturber devant lui, exhibant sa chatte rose épilée dans laquelle elle fait aller et venir son index et son majeur en gémissant de plaisir. Lhomme commence à sintéresser à elle et a désormais complètement délaissé son ordinateur. Après quelques minutes de ce manège, il se penche vers elle et lembrasse goulûment, leurs langues semmêlent sans que lactrice ne cesse de se masturber.
Une fois mon verre terminé, lhomme le prend et le dépose plus loin. Ma tête tourne un peu, mais je ne suis pas ivre. Seulement, comment dire, libéré, oui, cest ça, libéré. Il empoigne alors fermement mes fesses, ce qui contraste avec la douceur de ses précédentes caresses, et me tire vers lui. Il plaque alors ses lèvres sur les miennes et me roule la pelle la plus intense que jaie jamais reçue. En même temps que ses mains malaxent activement mes fesses et jouent avec mon plug, sa langue me viole la bouche, ses lèvres me dévorent avidement. Mes jambes défaillissent sous moi, mon corps se liquéfie, ce qui fait que je mappuie encore plus sur son torse puissant, comme si je mabandonnais à lui, et le pousse à raffermir sa prise sur mon cul.
Durant quelques secondes, je suis tétanisé. Javais fini par accepter lidée de lavoir sucé puis éventuellement de me faire baiser par lui, mais jamais je navais imaginé quil allait membrasser et encore moins comme ça ! Un tel geste était, me semblait-il, trop intime. Pourtant, après quelques instants, ma langue va à la rencontre de la sienne rugueuse et je réponds plus activement à ses baisers. Sans que je le veuille, mes doigts commencent à défaire maladroitement les boutons de sa chemise quil finit par retirer sans cesser de membrasser. Je vois pour la première fois son torse bien sculpté, surtout pour un homme de son âge. Je caresse ses abdominaux et ses pectoraux relativement découpés, sa peau légèrement bronzée. Sa langue agile enrobe la mienne comme pour la dompter, lécraser, son début de barbe crisse contre ma joue comme du papier abrasif mais je nen ai cure, jai limpression quil aspire ma volonté hors de moi tellement je me sens faible entre ses bras. Toutefois, dès que mes mains se posent sur la ceinture de son pantalon, il se recule vivement, comme saisi dune décharge électrique, ce qui me fait choir sur le sol, surpris et à bout de souffle.
À genoux sur le tapis là, fesses sur les talons, mains à plat sur les cuisses.
Dans le film, la jeune femme blonde est maintenant à genoux entre les jambes de lhomme assis. Elle tient la queue imposante de sa main minuscule et, avec un regard coquin volontairement provocateur, en suçote le gland comme sil sagissait dune friandise. Je le vois bien, son visage est tiraillé entre le désir dengloutir ce beau sexe de mâle bien excité et celui de faire durer le plaisir le plus longtemps possible.
Tu bandes. Tu timagines être le gars ou la fille ?
Euh, je ne sais pas trop, Monsieur
Habituellement, je mimagine toujours à la place du gars
Je vais te le demander autrement. En ce moment, tu timagines que cette fille te suce la bite ou tu imagines que toi, tu suces la grosse queue de ce gars ?
Je
je mimagine sucer sa queue
, avoué-je en rougissant et en détournant le regard.
Donc, tu bandes parce que tu as envie de sucer une queue ?
Oui, Monsieur, dis-je en rougissant encore davantage si cest possible.
Comme je suis le seul homme ici, cest donc la mienne que tu as envie de sucer, nest-ce pas ? me lance-t-il en collant son paquet bien dur contre mon visage pour me démontrer son excitation.
Oui, Monsieur
Mieux que ça, me demande-t-il dun ton sec en frottant carrément son entrejambes sur ma joue afin de bien me faire sentir la grosseur de son sexe.
Oui, Monsieur, jai envie de sucer votre queue.
Je suis sûr que tu peux faire mieux encore.
Je vous en prie, Monsieur, laissez-moi sucer votre grosse bite, jen ai tellement envie !
Jai presque crié cette phrase même si jai à peine conscience quelle provient véritablement de moi. Sentir cet énorme sexe tout dur si près de moi ma transformé en vraie chienne en chaleur. Je comprends à ce moment que cet homme, sil continue ainsi, pourra obtenir tout de moi, car, à mon grand désarroi, je deviens totalement malléable en sa présence.
Vas-y, petit, suce-moi.
Considérant que dans cette situation il vaut mieux répondre par le geste que par la parole, je sors avec difficulté son sexe du pantalon et entreprend de le cajoler comme je lai fait dans la voiture, dabord avec ma langue en enrobant le gland si doux que je retrouve avec plaisir, puis en en embouchant le plus possible le reste de la hampe, écartant mes lèvres autant que je le peux afin que mes dents ne la heurtent pas. À chaque va et vient que jeffectue sur lénorme gland et une petite partie de la queue, je sens mon anus se contracter autour du plug que je porte et une vague de plaisir traverser mon corps en même temps que je bande de plus belle. Cela me pousse à me démener comme une furie sur ce sexe dans lespoir de satisfaire son propriétaire, mais cela némeut en rien ce dernier, qui demeure impassible, sans même maccorder un regard dencouragement.
Après quelques minutes, tout de même, il semble lui prendre lenvie de jouer avec moi. Il me retire son sexe et le branle lentement devant mes yeux. Il constate sûrement avec un malin plaisir que je suis tout simplement incapable de détacher mes yeux de cette magnifique queue recouverte de salive, de ma salive. Je dois me retenir pour ne pas la saisir de mes mains et la plonger moi-même dans ma bouche !
Tu en veux encore, hein ?
Oui, Monsieur, jaimerais encore vous sucer.
Je te le répète, je me fous de ce que tu aimes. Ouvre la bouche, sors la langue.
Comme pour me narguer, il commence ensuite à arpenter mon visage avec son sexe. Il le fait glisser sur mes joues, frôler mes lèvres, cogner contre mes yeux, tapoter ma langue tout en refusant obstinément de me laisser poursuivre ma fellation même si je lui offre mon regard le plus cochon
Lassé de ce petit jeu, il finit par me donner ses couilles à gober, ce que je fais sans la moindre hésitation. Jai limpression de cajoler avec ma langue des gros bonbons que je ne pourrai jamais avaler, mais qui sont pourtant si bons. Dans cette position, sa queue repose sur tout mon visage et sans doute quelle le dépasse tellement est énorme !
Comment est-ce quon appelle quelquun qui aime sucer de la bite ?
Je ne sais pas, Monsieur, lui dis-je entre deux léchouilles.
On appelle ça une suceuse.
Mais je suis un gars
Aucune importance. De toute façon, avec ton corps de chochotte, ça ne change pas grand-chose. Tu es une suceuse, point. Ma petite suceuse. Dis-le.
Je, je suis votre
Je suis votre petite suceuse personnelle, Monsieur.
Je crois bien que je ne me fatiguerais jamais de lécher ses couilles comme ça, mais il en décide autrement puisque, avant même que je laie réalisé, il a posé ses mains sur ma tête et a plongé sa queue en moi. Instantanément, je métouffe sur celle-ci, mais nai guère le temps de mapitoyer. Aussitôt, elle ressort de ma bouche pour mieux y revenir, comme si elle cherchait à me forer. Comme dans la voiture plus tôt, ma tête est maintenue en place pendant que je me fais vigoureusement baiser la bouche. Enfin, je dis vigoureusement, mais sur lécran de la télévision, lactrice se fait bien plus r que moi. Son maquillage ruisselle sur ses joues tellement le sexe de lhomme plonge profondément entre ses lèvres en suivant une cadence effrénée. Je ne comprends absolument pas comment cette fille plus petite que moi peut en prendre autant dans sa bouche qui semble minuscule par rapport à la grosse queue de lacteur !
Ne tinquiète pas, dit lhomme que je suce en voyant que je regarde ce qui passe sur lécran, un jour tu pourras être aussi doué quelle. En attendant, fais de ton mieux. Tiens, faisons un test. Détends-toi, prends une grande inspiration, je veux voir jusquoù tu es capable de me prendre.
Lentement mais sûrement, sa queue senfonce en moi, distendant mes lèvres au maximum. Jai limpression quelle sallonge au fur et à mesure quelle remplit ma bouche puis, à force de travailler, trouve le chemin de ma gorge. Malgré quelques haut-le-cur de ma part, elle continue à senfoncer inexorablement jusquà ce que je ne puisse vraiment pas en accepter davantage. Pourtant, je nai en moi quun peu plus de la moitié de son sexe, cest-à-dire une douzaine de centimètres, mais elle est tellement large que cela rend la tâche bien plus ardue.
Regarde-moi.
Sa queue enfoncée en moi, je lève mes yeux plein de larmes vers lui, pour rencontrer plutôt lil électronique de son téléphone intelligent qui me prend en photo dans cette pose ô combien humiliante. Jessaie de mobjecter, mais une main derrière ma tête me dissuade de poser le moindre geste.
Ça, cest notre point de départ. Petit à petit, avec de lentraînement et de la volonté, tu arriveras peut-être à me prendre en entier. Une suceuse comme toi doit être capable de faire une gorge profonde de qualité, tu ne crois pas ?
Jacquiesce mollement, désireux maintenant de sentir cette énorme chose se retirer de ma bouche pour que je puisse finalement avaler au lieu de déverser ma salive par terre, et respirer normalement.
Il accède finalement à mon désir muet et sort brusquement de moi pour me laisser pantelant sur le tapis. Mes mâchoires me font si mal que jai limpression que je ne pourrais pas les bouger même si jessayais.
Enlève ton plug et montre-moi ton cul.
Oui, Monsieur, lui dis-je en accomplissant sa volonté.
Tu tes déjà rentré quelque chose entre les fesses ?
Non, Monsieur, jamais.
Parfait. Je te lai déjà dit, jaime les petits culs serrés. Le truc que tu portais est davantage un bijou quun vrai plug, cétait simplement pour que tes fesses shabituent à accueillir un corps étranger. On va attendre quelques minutes que ton anus se referme un peu. Profites-en pour garder ma bite bien dure. Viens lécher, ajoute-t-il en sasseyant sur le sofa après avoir achevé de se dévêtir, mais interdiction de me toucher avec tes lèvres, seulement ta langue.
Je prends alors soin de lécher consciencieusement chaque veine parcourant sa verge bien droite, de titiller son méat et son prépuce durant quelques minutes. Mon travail doit être correct puisque son sexe demeure parfaitement droit. Si droit, si dur, si gros, si beau, je ne pensais jamais trouver une queue belle
Il sen est passé des choses en moi dans les dernières heures
Est-ce que tu es clean ?
Oui, oui, Monsieur, jai toujours utilisé une capote.
Parfait, je déteste porter un condom, jai limpression de ne rien sentir. Quant à moi, je suis clean aussi. Mon dernier examen date de quelques semaines et je nai baisé que ma femme depuis. Tu vas devoir me faire confiance comme moi je te fais confiance. Cest la seule fois que je vais te demander ton avis : est-ce que ça te va ?
Euh, je crois, oui
Je, je vous fais confiance, Monsieur.
Je sais, cest stupide de donner ainsi le feu vert à un homme que je ne connais pas, mais je ne peux men empêcher, lenvie et la curiosité sont simplement trop fortes !
Sur lécran, lhomme sest placé devant la jeune femme et a commencé à enfoncer son sexe dans sa chatte dans laquelle il senfonce dun coup, sans égard pour la pauvre fille qui doit accueillir un tel braquemart. Elle ne bronche pas, pourtant, même quelle semble apprécier si je me fie au sourire quelle arbore et au fait que son bas-ventre va au-devant des coups de son partenaire. Puisque lhomme chez qui je me trouve semble décidé à suivre à peu près le déroulement du film et que je nai moi-même pas de chatte, il ne fait pas de doute que le moment de me faire sodomiser pour la première fois approche de plus en plus
Étrangement, cela ne meffraie pas tellement malgré la taille du morceau qui risque dessayer dentrer en moi. On dirait que mon corps a décidé sans consultation avec mon cerveau daccepter tout ce que cet homme a envie de me faire
Tourne-toi maintenant, me dit-t-il doucement avant de cracher sur mon cul avec à-propos, de badigeonner mon illet de sa salive et dy enfoncer un doigt qui entre sans trop de difficulté. Tu es juste à point. Viens sur moi, je veux voir ton visage pendant que tu tenfonces sur ma bite. Ça va être un vrai plaisir de te déflorer.
Comprenant que le point de non-retour sapprête à franchi, je tremble maintenant dinquiétude : le baiser, la fellation, tout cela fait partie des préliminaires; là, moi qui me croyais avant ce soir hétéro, je mapprête à me faire enculer par cet homme mûr et marié dont jignore encore le nom. Par son sexe, il prendra possession de moi. En plus, je comprends fort bien quen menfonçant moi-même sur son pieu, je lui démontre encore un peu plus mon désir, ma soumission
Je grimpe donc sur le sofa et me positionne au-dessus de lui, une jambe de chaque côté, mes mains écartant mes fesses. Dune main, il frotte sa bite sur mon cul et finit par poser son gland turgescent contre mon anus qui demeure toutefois fermé, même après quil ait insisté à quelques reprises.
Détends-toi, prends de grandes respirations et laisse-moi entrer, murmure-t-il. Descends doucement sur ma queue, je sais que cest ce que tu veux. Arrête de te voiler la face, tu es une petite salope qui aime la bite, et là, je ten donne une belle, peut-être la plus grosse que tu verras de ta vie, alors vas-y, laisse-moi entrer, laisse-moi te dévierger. Tu vas tellement aimer sentir ma queue en toi que bientôt tu vas crier ton plaisir comme la fille à la télé, comme elle tu vas me supplier de te baiser plus profondément, plus fort, plus vite. Cest le moment de montrer ta vraie nature et daccepter ce que tu es, un objet de plaisir, alors vas-y, laisse-toi guider par ton plaisir, par mon plaisir, et ouvre-moi ton cul pour que je toffre la baise de ta vie
Hypnotisé par ces paroles murmurées à toute vitesse à mon oreille, je ne peux faire autrement que de mabandonner, dabaisser doucement mes fesses pour mempaler vers ce pieu tendu sous moi et lubrifié par ma salive. Cette fois, la pression de son gland contre mon illet fait souvrir celui-ci et jaccepte sa lente introduction en moi. Bien vite, toutefois, une douleur aiguë sempare de mes fesses et me coupe le souffle. Il faut dire que son gland est bien plus gros que le plug-bijou qui occupait auparavant cet emplacement. Mon anus est complètement distendu et la douleur est telle que je peine à concevoir comment je pourrai accueillir davantage de sa queue en moi.
Quest-ce que tu es serré ! Je ne crois pas être déjà passé dans un conduit aussi étroit. Mais on va y arriver. Vas-y doucement. À chaque fois que la douleur diminue, descends un peu. Laisse ton cul mavaler et tout va bien se passer.
Réprimant lenvie de lui gueuler quil est cinglé de croire que le monstre de chair quil a entre les jambes va réussir à pénétrer mon cul, je prends quelques secondes pour mhabi à sa présence, puis massois un peu plus sur lui, quelques larmes sur les joues.
Cest bien, tu as pris le plus gros. Tout mon gland est entré. Maintenant, laisse-moi faire, je vais menfoncer en toi lentement mais sûrement, dit-il en agrippant mes hanches. Tu vas avoir mal, cest certain, mais ensuite tu me remercieras. Reste détendu, sinon ce sera encore plus douloureux.
Résigné, jattends de sentir son mandrin se frayer un chemin en moi, ce qui ne tarde pas. Sa progression est extrêmement lente, ce qui lui donne un caractère dautant plus irrémédiable. À chaque millimètre quil fait, je pousse un gémissement de douleur accompagné dun profond soupir; il me déchire, jai limpression que mon cul va éclater comme une pastèque quon échapperait et je suis de plus en plus convaincu quil va finir par abandonner en me disant que je ne suis quun incapable.
Au moment où la douleur devient véritablement insoutenable, il membrasse à nouveau, ce qui détourne mon attention de mon derrière souffrant pour faire un peu de place au plaisir quil me donne en fouillant ma bouche. Après quelques minutes de ce traitement, il me repousse doucement. Stupéfait, je constate alors que je suis complètement appuyé sur ses cuisses musclées. Il est parvenu à entrer en moi ! Je ne peux réprimer un sourire de fierté à cette idée, même si la douleur na pas du tout disparu, au contraire.
Tu vois, je savais que ça entrerait. Tu as bien fait ça. Continue à me laisser faire.
Jespère quil me donnera quelques instants pour que mon cul shabitue à sa présence intrusive, mais cet espoir est vite déçu. Après moins dune minute, sa queue se retire lentement mais pas totalement avant de revenir en moi toujours avec une lenteur à fois bienvenue et exaspérante. Ses plongées suivantes gardent cette allure de métronome au ralenti, mais je ne peux quadmettre quelles sont de plus en plus aisées et, en ce qui me concerne, de moins en moins souffrantes.
Tu commences à aimer ça à ce que je vois. Plus tôt, tu étais tout crispé et tu pleurais comme une pucelle et maintenant tu souris presque. On va pouvoir passer aux choses sérieuses.
Il me faut ladmettre, il a raison. Chose étonnante, la douleur a presque entièrement disparu pour faire place à un plaisir étrange qui repose autant sur la fierté que je ressens à lavoir accepté en moi que sur les sensations physiques que son sexe imposant me procure en frottant sur mes parois internes.
Dailleurs, ses allées et venues en moi se font de plus en plus rapides. En même temps quil propulse son bassin vers le haut, ses mains sur mes hanches mabaissent brutalement, ce qui fait quà chaque seconde une décharge de plaisir me parcourt tout le corps quand son gland senfonce dun coup au plus profond de moi. Je ne peux mempêcher de gémir de bonheur quand je sens et entends ses couilles taper contre mes fesses. Du coin de lil, je constate que, sur lécran de la télévision, lhomme et la jeune sont maintenant tous deux exactement dans la même position que nous. Les petits seins de la blonde tressautent à chacun des coups de boutoir quelle reçoit et qui, comme moi, la font pousser des gémissements extatiques. De mon côté, cest toutefois ma queue à moitié bandée qui virevoltent et frappe tantôt mon corps, tantôt celui de mon baiseur, quand à chaque seconde je monte et descends dune vingtaine de centimètres le long de sa colonne de chair.
Je tavais dit que tu finirais par aimer ça, hein ?
Oui, Monsieur, je ne croyais pas, dis-je en ahanant à chacune de ses poussées, je ne croyais pas que ça finirait par passer !
Si javais voulu un conduit plus large, jaurais baisé ma femme à son retour. Les petits culs étroits comme le tien, il ny a que ça de vrai ! Je te sens serrer les fesses autour de ma bite comme une vraie salope en manque.
Oh oui, Monsieur, je ne savais pas que cétait si bon de se faire enculer !
Sur lécran, lhomme a basculé la jeune femme désormais complètement nue contre une table de cuisine et la prend vigoureusement pendant que celle-ci hurle littéralement son plaisir quelle doit à peine exagérer vu la grosseur du sexe qui dilate sa chatte. À vue de nez, celui-ci doit arriver juste sous son nombril lorsquil est complètement planté en elle tellement est elle menue.
Les gars comme toi, ils sont seulement bons à se faire casser le cul. Cest ça que tu veux, hein ?
Oui, sil vous plaît, dis-je dune voix qui ne ressemble pas à la mienne, cassez-moi le cul !
Excellent, tu comprends vite. Un peu trop peut-être, on verra. Quand jen aurai fini avec toi, tu ne pourras même plus tasseoir sans penser à ma grosse queue.
Aussitôt sa phrase terminée, il se lève du sofa en me tenant devant lui, toujours fiché sur son sexe et me porte ainsi jusquà la table de la cuisine où il prend soin de faire face à la télévision. Il colle mes jambes et les place à la verticale, puis, après avoir craché sur son sexe pour le lubrifier, reprend sa besogne en senfonçant encore plus profondément en moi que dans la position précédente, ce qui me fait pousser un long feulement de plaisir.
Même si le déplacement na pas duré plus de dix secondes, jai pu avoir une idée de sa force musculaire. Je ne suis pas très lourd, mais tout de même il ma soulevé comme si jétais une plume sans montrer le moindre signe de difficulté. Dailleurs, ainsi couché devant lui, jai une vue splendide sur son corps magnifique et en sueur qui travaille avec beaucoup dardeur. Il ny a pas que son sexe qui soit dur, tous ses muscles sont en fait bandés : ses abdos, ses pectoraux, ses biceps, ses avant-bras qui me maintiennent bien en place pendant quil me baise, avec damples coups de bassin qui me secouent vigoureusement et me font me déplacer sur la table comme un pantin quon secouerait, en même temps quau centre de celle-ci, un vase plein de fleurs vacille dangereusement.
Après plusieurs minutes du splendide spectacle de cet homme qui se démène en moi, il me retourne sur le ventre, mon sexe écrasé contre le bord de la table, et recommence de plus belle son travail de démolition. Évidemment, mon cul noffre plus tellement de résistance au passage de sa bite pourtant imposante, ce qui nenlève absolument rien au plaisir que je ressens. Jai même limpression que, dans cette position, il chatouille une partie différente de moi, comme si sa verge frottait sur un point sensible de mon corps, ce qui me fait rapidement gémir puis presque crier mon plaisir. Cest un peu comme une envie duriner, mais décuplée et bien plus agréable !
Devant moi sur la télévision, la jeune femme est dans la même position que moi. Derrière elle, la longue bite de lhomme se plante en elle à un rythme infernal pendant que ses seins sont écrasés sur la table et que de sa bouche ronde sortent des sons inarticulés. Chacun des rapides et brusques coups de lhomme produit une onde dans ses fesses et fait même bouger la table sur laquelle elle est couchée, entièrement comblée par son mâle.
Voyant que je prends doublement mon pied en sentant sa queue divine en moi et en regardant une jolie jeune femme subir un traitement semblable au mien, lhomme samuse alors avec moi en variant le rythme de sa pénétration, alternant entre une série de va-et-vient accélérés et dinterminablement lentes pénétrations qui font que je sens encore plus mes chairs sécarter autour de lui et que je gémis dimpatience dans lattente quil me comble de sa présence en moi. À un moment, il sort même complètement de mon rectum :
Écarte bien tes fesses pour bien montrer le cratère que tu as à la place du cul, dit-il juste avant que jentende le bruit caractéristique dun téléphone qui prend une photo. Tu aimes ça te faire prendre par-derrière comme ça, comme une chienne ? Tu aimes ça quand ma bite frotte sur ta prostate ?
(Cétait donc ça cette sensation si plaisante !)
Sil vous plaît, Monsieur, baisez-moi encore comme une chienne ! le supplié-je, complètement désinhibé par lexcitation, en agitant mon cul pour linviter à revenir sy loger, ce quil sempresse de faire après avoir à nouveau lubrifié sa queue.
Après quelques minutes de cet intense traitement en profondeur, lhomme augmente encore la cadence de ses assauts et je sens une jouissance énorme monter et moi. À linstar de mes pensées, mes mots deviennent incohérents et je narrive quà produire une suite incontrôlable donomatopées. Cette jouissance démoniaque part de lintérieur même de mon rectum qui se contracte frénétiquement autour de la bite de mon baiseur et se transmet à tout mon corps, désactivant tous mes sens, infiltrant le moindre nerf, le moindre muscle, la moindre cellule, inondant le moindre recoin de mon organisme tendu à lextrême. Jamais je nai ressenti un tel déluge de plaisir, jen tremble tellement la sensation est démesurée, insupportable. Je ne sais combien de temps cela dure, mais lorsque enfin je cesse de crier et ouvre les yeux, lhomme en sueur est affalé sur mon dos, haletant. Sa queue est toujours en moi, immobile. Je sens que mon ventre est collé à la table par le sperme que je viens dexpulser sans vraiment men rendre compte et que mon cul est rempli de la semence du mâle qui vient de se vider en moi. Encore étourdi par la jouissance qui vient de me terrasser, je sens son sexe perdre un peu de sa raideur en moi. Cela me fait tout drôle, je me sens comme à moitié vide même si je suis toujours le réceptacle de sa jouissance sûrement abondante si je me fie à ce que jai dégusté dans la voiture avant daboutir ici.
Toi, tu es vraiment une perle rare
Merci, Monsieur, lui dis-je alors avec un grand sourire tout en gémissant et en me tortillant encore de plaisir sous lui.
Dans la voiture, je tai dit que tu jouirais comme jamais, est-ce que je tai menti ?
Oh non, Monsieur, cétait tellement fort
Jai pensé mourir !
Ton cul palpite comme une chatte autour de ma bite, on dirait que tu essaies de me traire !
Je vous jure que je ne contrôle absolument rien, Monsieur, ça arrive tout seul
Je sais, tu tes abandonné complètement, cest parfait.
Après quelques instants dans cette position « tendre », il se relève et retire sa queue encore à demi-dure de mon fondement en prenant soin de me donner une petite fessée affectueuse au passage. Mes sphincters ont été tellement brutalisés que, dès que le bouchon que constituait son sexe nest plus fiché en moi, la gravité lemporte : la précieuse semence qui tapissait mon rectum est expulsée de mon cul béant pour sécraser sur le plancher. Même si cétait sa deuxième éjaculation de la soirée, il men a envoyé toute une dose ! Je me sens comme une jument qui vient de se faire engrosser par le plus vigoureux étalon du haras
Relève-toi.
Jobéis, non sans difficulté, puisque mes jambes peinent à me supporter tellement je reviens de loin !
Tu as vu ce que tu as fait ? Tu vas me nettoyer tout ça ! dit-il en posant les mains sur ses hanches et en me lançant un regard sévère dans lequel ne transparaît plus la moindre tendresse.
Croyant quil parlait de son sexe, je ne me fais pas prier pour men approcher mais il mempêche de lui toucher.
Laver ma queue, ce sera ta récompense. Avant, tu nettoies mon sperme que tu as laissé tomber par terre.
Vaguement écuré, surtout que mon excitation est maintenant retombée, je mincline de mauvaise grâce vers le sol où je commence à laper labondante semence tiède qui sy trouve. Au moins, le plancher est propre
Cest bien. La prochaine fois, tu sauras que mon sperme est précieux et quil ne faut pas en perdre une goutte, nest-ce pas ?
Oui, Monsieur, je suis désolé.
Soit tu le gardes dans ton cul jusquà ce que je te permette de te laver, soit tu le bois et tu me remercies. Cest un cadeau que je te fais, tu dois donc te montrer reconnaissant.
Oui, merci Monsieur, dis-je après avoir avalé les derniers restes de sa jouissance.
Maintenant, lèche la table. Je la veux propre comme avant que tu la souilles avec ton jus clair de mauviette.
Carrément écuré cette fois, je mexécute tout de même. Cest vrai que mon sperme est fade et aussi fort heureusement bien moins abondant par rapport à celui de lhomme derrière moi. Justement, celui-ci, profitant de ma position penchée, introduit à nouveau en moi mon bijou qui après la dégelée que je viens de subir flotte entre mes fesses. Je suis de serrer celles-ci autant que faire se peut pour le retenir en moi.
Cest bien, maintenant tu peux toccuper de ma bite. Ensuite, on ira prendre une douche et se coucher. Tu restes ici pour la nuit.
Heureux de pouvoir partager le lit de cet amant extraordinaire, même si cest juste pour une seule nuit, je le remercie en lui offrant un traitement qui relève davantage de la fellation attentionnée que du simple nettoyage. Alors que je cajole amoureusement cet organe merveilleux qui ma procuré tellement de plaisir dans la dernière heure, me dévoilant une part de moi que je ne soupçonnais pas, mon regard croise celui de la jeune actrice blonde qui, comme moi, avale avec délectation les derniers restes de la liqueur dhomme que le sien vient aussi de lui offrir. Elle est tellement belle ainsi, un gros sexe dans la bouche, quelques gouttes de sperme aux commissures des lèvres, que je ne ressens aucune honte à mêtre complètement laissé aller au plaisir. Cest tout simplement un nouveau moi qui vient de naître
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