Catherine Se Donne Pour La Première Fois
Jai rencontré Catherine en 1989. Elle était une jeune fille habitant Tarascon dune famille stricte sur le plan sexuel où lon attend dune fille de se marier et davoir des s et pas de découvrir des expériences sans lendemain.
Elle mesurait 1m75, élancée, sportive avec des cheveux blonds magnifiques et un corps superbe. Comme jhabitais Paris les rencontres étaient très rares et nous nous écrivions beaucoup ainsi que des téléphones en cachette de ses parents. Cela peut sembler dur à croire, mais pendant près de 2 ans nous navons que flirté : des bisous et quelques mains baladeuses
Elle était trop jeune aussi.
Javais 12 ans de plus que Catherine et déjà une expérience du candaulisme. Nous étions donc très différents : jaimais sa fraîcheur et son corps de sylphide, elle aimait ma maturité un peu sulfureuse mais aussi attirante. Jessayais de louvrir à la sensualité et elle tentait de me donner le gout du mariage et de la famille nombreuse.
Je découvrais son corps un peu plus à chaque rencontre. De jolis yeux bleus et de longues jambes fines. Puis une poitrine petite et ferme, faite de deux seins coniques terminés par des petits tétons rose en cône avec très peu daréole, deux petites pommes fières, des mamelles de jeune chienne vierge. Enfin la culotte de coton blanc tomba un autre jour : une toison blond roux peu fournie et naturelle, des fesses fermes et bien tenues, entre les jambes une fente comme un abricot qui quand on louvrait montrait une vulve charnue et caoutchouteuse cachant le nid damour où si lon introduisait le deuxième doigt elle avait un peu mal. Ces explorations anatomiques la faisait rougir et se tendre un peu, mais toutefois moins que la découverte du corps masculin.
Elle était gênée quand mon pantalon était baissé et acceptait de me caresser sans regarder mon sexe et de préférence à travers mon caleçon, tout en membrassant sur la bouche. Elle était donc toujours vierge à son bac et à sa maturité.
Jétais au chômage à lépoque et ce depuis plusieurs mois. On ne se mariait selon elle que si lon a une situation et elle souhaitait encore plus que moi que je décroche un poste intéressant. Le souci du chômage et lagacement dêtre acculé au mariage finirent par me rendre énervé. Son pucelage nétait plus tant un plaisir quun piège à venir qui métouffait. Avec un peu de perversité lidée que ce pucelage senvole avec un autre et où elle ne serait elle aussi quun objet naquit en moi.
Lidée était quun homme mur, un manager de quelque chose, me propose un poste idéal, mais quen échange il passe une soirée sensuelle avec Catherine. Je ne pourrai y assister (car ce serait peu vraisemblable) mais pourrait rester dans la pièce à côté
Elle fut assez surprise, mais curieusement, sa générosité de jeune fille amoureuse eut le dessus et elle était heureuse de me dire : « sil le faut je veux bien le faire pour toi et pour nous. » Evidemment, après le sexe, la proposition professionnelle tomberait à leau
Il ne me restait quà trouver linitiateur de mes fantasmes
A lépoque, il y avait une revue appelée Swing qui passait des centaines dannonces illustrées de couples échangistes et dhommes seuls. Jen découvrais une particulièrement intéressante, Simon, un homme dans la cinquantaine dorigine Séfarade, marié trop tôt et sennuyant avec sa femme, un peu rond et velu, cheveux grisonnants et trainant depuis toujours le fantasme non réalisé du la défloration et si possible dune jeune femme blonde et sans préservatif. La photo de son sexe le montrait assez large, très brun, pas très long, avec des bourses importantes et poilues et un gland bien proéminant. Un bel outil pour Catherine
Nous avons eu toute une phase de préparation de la rencontre : sa supposée activité et poste à pourvoir, les positions prévues et celles qui étaient à éviter, le ton directif sans être inquiétant vis-à-vis de Catherine, le compte-rendu détaillé après, etc
En bref, Simon voulait que Catherine le suce, fasse un 69, ait un rapport anal et quelle soit dépucelée dans la position du missionnaire pour une éjaculation interne profonde.
La soirée enfin arriva et, après un dîner en commun , Simon et Catherine allèrent dans la chambre, me laissant seul à, soi-disant, débarrasser. Je ne pouvais entendre distinctement ce qui se disait ou se passait, Simon avait des paroles brèves, je me souviens davoir entendu à un moment Catherine tousser, plus tard un cri delle comme « hou hou hou » probablement quand labricot fut enfoncé sous les coups de boutoir, jai bien entendu Simon grogner de plaisir quand il sépanchait dans Catherine, la souillant du premier sperme. Je ne pouvais que mimaginer le corps clair et fin de Catherine, écartelé sous cet homme basané et poilu qui faisait presque deux fois son poids, les jolis seins de jeune fille malaxés et sucés par un quinquagénaire en rut, la bouche aux aromes de fraise de ma fiancée envahie par une bite mure qui sent le cuir et le fauve, les jets de sperme dans ce qui sera plus tard la place de l dun autre, lamertume future de celui qui sera son mari en apprenant que sa promise sest faite dépucelée par un vieux cochon qui en a bien profité
Quand tout fut terminé, Catherine sortit dabord, le rouge aux joues, décoiffée et le rouge à lèvre de travers, ne voulant croiser mon regard
Simon sortit aussi naturel que satisfait, le sexe bringuebalant et encore luisant.
Une fois quil nous avait quittés, jaccueillais Catherine dans mes bras en la remerciant tendrement. Toutefois je voulus ne pas la pénétrer de peur que si elle était enceinte elle puisse penser que ça venait de moi, et pour cela je me servais de son argument comme quoi cétait réservé pour le mariage
Il me reste quelques photos, le compte rendu de Simon
Si ce récit vrai vous plait je pourrais en parler aussi.
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