Quand Nathalie Reçoit Ses Amants

Depuis que nous avons déménagé et que nous sommes un peu plus éloigné de la région parisienne, Nathalie fait moins de rencontre seule ou avec moi.
De plus avec la venue de cette pandémie et les confinements à répétition, nous avons décidé de suspendre temporairement ces aventures, en espérant bientôt des jours meilleurs.
Voici donc le récit le plus récent des frasques de Nathalie.

L’histoire se passe au mois de Septembre 2019, nous sommes dans notre nouvelle maison depuis plus d’un an.
Cette demeure étant assez grande, avec plusieurs chambres et salles de bain, nous pouvons plus facilement recevoir et héberger nos amis.
Ainsi, même si le repas est un peu plus arrosé, ils peuvent dormir chez nous et ne repartir que le lendemain.

Un jour j’ai reçu un texto de notre ancien garagiste, Georges.
« Coucou, comment allez-vous ? Depuis votre départ on n’a pas eu l’occasion de se revoir, ce serait bien de s’organiser une petite soirée ensemble si ça vous dit. »
Connaissant bien le personnage, on s’est tout de suite dit que le message n’était pas anodin.
Je lui ai alors répondu que nous étions assez disponibles en ce moment et que s’il voulait on pouvait les recevoir, lui et sa femme.
Il a répondu :
« Ma femme est encore en vacances dans le sud jusqu’à la fin du mois et celle de Denis est dans sa famille en ce moment, on s’est dit tous les deux qu’on pourrait passer une soirée chez moi tous les quatre ce week-end »
J’ai demandé à Nathalie ce qu’elle en pensait.
« J’en pense que vu qu’ils sont célibataire en ce moment, ils ont certainement envie de me sauter »
Nous avons ri car j’ai pensé la même chose.
« Ça te dit ? » m’a-t-elle demandée.
« Oui si tu en a envie, mais je préfère qu’ils viennent à la maison, ce sera plus facile, surtout si je veux mater, je pourrais planquer des cameras un peu partout »
« Moi ça me va, d’autant que si je me rappelle bien Denis, même s’il n’est pas un top canon, a une belle queue »
J’ai donc répondu à Georges que l’on préférait les recevoir, qu’ils pourront visiter notre maison et qu’on avait largement de quoi les héberger pour la nuit.


« Ok, envoi moi l’adresse et on sera là avec Denis Samedi soir vers dix-neuf heures, j’ai hâte de vous revoir »

Dans la semaine, j’avais réaménagé la couverture des cameras intérieur afin de louper un minimum de chose et pouvoir regarder en temps réel.
Il y en avait maintenant dans les chambres des invités, dans le salon, la salle à manger, bref dans tous les endroits stratégiques.
Nathalie s’est apprêtée une partie de l’après-midi dans la salle de bain et quand elle ressort enfin elle est bien coiffée, bien maquillée, vêtue d’un string blanc, d’une mini-jupe blanche à volant, d’un chemisier noir mais assez transparent, de cuissardes noires et de bas dont les coutures sont à peine recouvertes par la mini-jupe.

Samedi soir vers dix-neuf heures nos deux compères arrivent.
Heureux de nous revoir, nous nous faisons tous la bise.
J’offre une bière à nos invités puis nous installons autour de l’ilot central de la cuisine en discutant de banalité.
Une fois la boisson terminé, Nathalie propose de faire visiter la maison.
Le ré de chaussée en premier.
Ils ont déjà pu voir la salle à manger, cuisine et salon qui ne font qu’une seule mais très vaste pièce, un couloir séparé de cette pièce par une poutre centrale et donnant accès aux deux chambres et salle de bain du bas, le bureau et le cellier, ainsi qu’une porte d’accès au garage.
Elle les précède ensuite en prenant l’escalier pour leur faire visiter l’étage.
Un peu en retrait en bas je les aperçois mater les fesses de ma femme qui se dandine bien en montant les marches.
« Choisissez vos chambres » leur dit-elle.
Georges dit qu’une des chambres à l’étage lui convient très bien d’autant plus que la vue sur la campagne est formidable.
Denis, lui, préfère la deuxième chambre du bas (la première étant la nôtre)
« Installez-vous pendant qu’on prépare l’apéro » dit Nathalie.
Ils vont chercher leurs affaires dans la voiture puis vont chacun dans leur chambre les déposer.

Nathalie rejoint Georges avec serviettes et gant de toilette.
« Tiens, si tu veux prendre une douche demain matin, il y a du shampoing et du savon dans la salle de bain »
« Merci » lui dit-il en lui attrapant la main et en la collant contre lui.
« Tu es toujours aussi bandante »
Il a alors passé la main sous sa jupe et approché ses lèvres de sa bouche pour l’embrasser.
Ils ont échangé un long baiser fougueux pendant plusieurs secondes.
Ma femme s’est écartée de lui en passant la main sur son sexe tendu à travers la toile du pantalon et en se léchant les lèvres du bout de la langue avec un air de salope puis est descendue au ré de chaussée déposer aussi un nécessaire de toilette à Denis.
Ce dernier n’a pas osé être aussi entreprenant pour le moment, mais son regard en disait suffisamment long pour qu’elle comprenne qu’il la baiserait bien à nouveau.

Toute enjouée, elle est venue me retrouver pour finir de préparer l’apéro en me disant :
« Je crois qu’ils sont chauds »

Nous nous sommes installés dans le canapé pour siroter notre verre en mangeant les petits fours, le saucisson et les cacahuètes.
Nathalie n’était pas avare de ses mouvements de jambes, les croisant et les décroisant régulièrement, parfois les écartant un peu plus tout en restant soft.
Trois apéros plus tard nous avons décidés de passer à table.
L’ambiance était à la rigolade et aux blagues (souvent en rapport avec le sexe).
Nous avons bien mangé bien ri et bien bu.
Quand il fallait débarrasser un peu la table, Georges ne manquait pas une occasion pour aider Nathalie à le faire, ainsi dans la cuisine derrière l’ilot, il ne se privait pas de passer les mains sous sa jupe pour la caressait allègrement.
Elle les a excités discrètement tout au long de la soirée, l’alcool aidant, son décolleté était de plus en plus ouvert.
Whisky à l’apéro, vins à table, champagne et digestif dans le salon, la soirée s’avançait et il devait être environ deux heures du matin lorsque je me suis décidé à me lever du canapé pour aller rejoindre mon lit, prétextant que j’avais trop bu et que j’avais besoin de dormir si je ne voulais pas être malade en continuant à boire.

Titubant un peu, je suis allé jusqu’à la chambre.
« Je reviens, je vais voir s’il s’est bien déshabillé avant de se mettre au lit » leur dit ma femme.
Arrivée dans la chambre, elle m’a roulé une grosse pelle en me disant « Mate bien mon amour » et en retirant son string avant de les rejoindre sur le canapé.
De la chambre je voyais le dos du canapé mais je pouvais les voir de face et de biais avec les caméras sur mon téléphone mais aussi les entendre car la porte de ma chambre n’était pas fermée.
Quand elle les a rejoints, elle s’est assise entre eux deux, leurs mains se sont tout de suite faufilées partout sur son corps pour la déshabiller et la caresser.
Ils se sont penchés vers elle pour l’embrasser à tour de rôle.
Ravi de sentir que le string avait disparu, Georges à commencer à fouiller le sexe de ma femme avec ses doigts pendant que Denis s’occupait de ses seins.
Elle avait pendant ce temps posé ses mains sur chaque queue en l’extrayant de leur pantalon pour les branler.
Elle s’est ensuite agenouillée devant eux au pied du canapé pour aller les sucer chacun leur tour, elle passait d’une bite à l’autre en les prenant goulument à chaque fois.
Elle léchait leurs couilles et leur membre avec avidité et gourmandise, elle les suçait, les aspirait les branlait.
J’entendais depuis la chambre les bruits de sussions et je voyais ma femme sur l’écran de mon téléphone, soumise mais ravie de sucer ces deux mâles en érection.
Pendant plus d’une trentaine de minute elle s’est délectée à les sucer, s’amusant à les porter au bord de l’explosion puis en faisant retomber la pression en passant à l’autre et ainsi de suite jusqu’à ce que n’en pouvant plus, Georges a bloqué la tête de ma femme sur sa bite pour se vider dans sa bouche dans un grognement sourd mêlé à une flopée de mon cru.
Nathalie a tout avalé et s’est appliquée à bien lui nettoyer la bite avant de retourner s’attaquer à finir celle de Denis.

Ce dernier qui était tout excité d’avoir vu son comparse s’épancher dans la bouche de ma femme n’a pas résisté bien longtemps avant d’éjaculer lui aussi au fond de sa gorge.
Elle a dû s’y reprendre à plusieurs fois pour avaler la quantité de sperme qu’il lui avait déchargé en la traitant de chienne de pute et de salope comme pour la remercier de la super pipe qu’elle venait de lui prodiguer.
« Je vais voir s’il dort toujours » dit-elle en se relevant.

Sa langue encore chargée de sperme est venue se mélanger à la mienne, j’ai aspiré tout ce que j’ai pu en l’embrassant, j’étais moi aussi au bord de l’explosion.
Voyant mon excitation extrême, elle s’est penchée vers mon sexe pour l’avaler goulument.
Trois coups de langues ont suffi à me faire jouir à mon tour dans sa bouche.

Ils se sont servi à nouveau un verre pour se remettre de leurs émotions, puis Georges leur dit :
« Si vous voulez continuer ce sera sans moi ce soir car je n’en peux plus, je suis vidé et crevé »
« C’est ça les p’tits vieux » lui dit ma femme un peu déçue qu’il ne remette pas le couvert.

Une fois George parti, Denis dit à ma femme :
« T’inquiète, si tu veux moi je peux assurer pour deux sans problème, je suis prêt à te baiser toute la nuit »
« Je vais chercher des capotes, je te rejoins dans ta chambre » lui dit-elle.
En prenant les préservatifs dans l’armoire, Nathalie m’a demandé si ça ne me gênait pas qu’elle aille rejoindre Denis dans sa chambre et qu’elle risquait de passer une bonne partie de la nuit avec.
« Lâche toi bien quand tu va prendre ton pied et laisse la porte de sa chambre entre-ouverte, j’irais peut-être mater en direct discrètement. » lui dit-je.

Denis était allongé nu sur le lit, son sexe imposant bien en érection.
Nathalie est venue directement entre ses jambes pour venir gober à nouveau cette belle queue bien bandée qu’il lui offrait.
Elle a avalé ce beau membre qu’elle a enroulé de sa langue et l’a sucé longuement.
« T’es vraiment une sacrée salope toi, tu suce trop bien, j’adore ça »
Elle s’est ensuite relevée légèrement pour attr une capote et venir lui enfiler avec sa bouche.
Une fois le colosse habillé, elle s’est mise à califourchon sur lui en s’empalant sur cette grosse bite qui ne demandait que ça.
Après l’avoir complètement englouti, elle s’est sentie rempli et distendu tellement elle le sentait bien en elle.
Elle a commencé à monter et descendre sur cette colonne de chair bien raide, très vite sa jouissance est arrivée et lui a fait perdre pied, ses râles se sont transformés en cris lorsqu’elle a joui, des mots crus sont sorti de sa bouche en même temps qu’elle libérait son orgasme.
« Oh oui putain c’est bonnnnnnnnnn…, baise-moi bien fort salaud, elle est trop bonne ta grosse bite, ouiiiiiiiiiiiiiii… vas yyyyyyyyyyyy… c’est bon encoreeeeeeeee…, ahhhhhhhhhhh… »
Elle criait tellement fort que si quelqu’un était passé devant la maison il aurait pu l’entendre distinctement.
Elle s’est affalée sur son torse le temps de reprendre ses esprits puis est venue coller sa bouche à celle de Denis pour y enfourner sa langue et l’embrasser sauvagement.
Toujours bien ancré en elle, il a doucement entamé des va et viens puis l’a agrippé fermement pour la retourner et se retrouver sur elle, il pouvait maintenant mieux la maitriser et la baiser au rythme qu’il lui imposait.
Il allait et venait en elle comme bon lui semblait, un coup doucement, un coup sauvagement, un coup très loin au fond d’elle, un coup il rentrait à peine le gland puis ressortait se frotter à ses lèvres intime.
Il est ensuite sorti d’elle pour descendre et venir coller sa bouche sur sa vulve toute gonflée d’excitation, il lui a léché les lèvres puis le clito puis a enfoncé sa langue bien loin pour la fouiller ardument, il est ensuite venu titiller son clito avec ses lèvres puis avec ses dents et de nouveau avec sa langue ce qui eu pour effet de lui déclencher un nouvel orgasme.
Un long feulement de plaisir est sorti de sa bouche lorsqu’elle libérât sa jouissance bloquant avec ses deux mains la tête de Denis qui lui fouillait de sa langue.
A peine avait-elle fini de jouir qu’il est remonté lui planter son gros dard toujours aussi dur.
Toujours sur elle, il faisait maintenant des va et viens plus profond et rapide, comme s’il voulait la transpercer de son pieu, à chaque coup de boutoir qu’il lui assénait, elle le sentait encore plus loin.
Il allait de plus en plus vite, elle sentait qu’il allait jouir et elle aussi.
Ils ont explosé ensemble dans un mélange de grognements de cris et de râles.
Il s’est affalé sur elle et sont resté ainsi plusieurs minutes sans un mot, juste à reprendre leur souffle et leurs esprits.

La caméra disposée dans leur chambre était de bonne qualité et bien orienté, j’avais pu voir clairement le visage radieux de ma femme lorsqu’il l’avait faite jouir, j’étais de nouveau moi aussi au comble de l’excitation, je m’étais retenu pour ne pas éjaculer car je me doutais qu’il allait passer une bonne partie de la nuit à démonter ma femme dans tous les sens.
Lorsqu’il est sorti d’elle pour retirer sa capote, son sexe était toujours aussi gros et raide.
Ma femme voyant ça, à plonger sur lui pour l’engloutir dans sa bouche.
Elle en voulait ce soir.
Pendant plusieurs minutes elle l’a sucé goulument, puis s’est mise à quatre pattes en lui disant :
« Viens me prendre comme une chienne, je suis ta pute ce soir, tu va me défoncer toute la nuit »
Il n’en fallait pas autant pour qu’il s’exécute, il a enfilé une capote puis est venu la pénétrer sauvagement en levrette.
A chaque nouvelle position, elle avait l’impression qu’il allait encore plus loin.
Il l’a empoigné par les hanches pour s’enfoncer en elle jusqu’à la garde à chaque coup de rein.
Il l’a prise ainsi pendant un long moment, permettant à ma femme d’avoir plusieurs orgasmes.
La vue de son cul devait décupler ses pulsions car il n’arrêtait pas de lui parler en la baisant.
« T’es une bonne salope toi hein… t’aime ça la bite… t’aime ça quand j’te défonce sale pute… »
« Oh oui j’adore ça salaud »
« Faudra que tu viennes me voir de temps en temps pour me sucer dans mon camion salope, tu me feras gicler dans ta bouche et t’avalera tout comme une bonne chienne… hein tu viendras hein… »
« Oh oui si tu veux... j’adore ça pomper ta belle queue »
« J’te présenterais des potes, tu les suceras eux aussi hein grosse salope… »
« Oh ouiiiiiii… putain… continu… baise moi encore plus fort oh ouiiiiiiiiiiiiiiii… »
Nouvelle orgasme de ma femme.
Lui toujours dans son délire à continué de lui parler ainsi tout en la défonçant, à plusieurs reprises ils ont changé de position, il a fait jouir ma femme un grand nombre de fois et lui-même a beaucoup éjaculé. Sur elle, dans sa bouche et dans les capotes.
Il était environ sept heures de matin quand une dernière fois il ont joui ensemble.
Exténués tous les deux par tant de déchainement de sexe.
« Tu sais » lui dit-il « Ce que je t’ai dit c’est vrai »
« Quoi, que je suis une salope, je le sais « dit-elle en riant.
« Non, enfin si, mais c’est pas ça que je voulais te dire »
« Le coup du camion ? »
« Oui, que tu viennes me sucer ou qu’on se retrouve quelque part parfois pour ça » « Tu sais avec mon camion de dépannage je peux aller un peu partout »
« Je ne sais pas, on verra, pourquoi pas »
« Et pour… »
« Et pour tes potes ? »
« Oui »
« Pour l’instant oubli, chaque chose en son temps »
« Ok, j’espère que on aura l’occasion de passer à nouveau des bons moments comme ce soir »
« Bon allez, je suis crevée moi, je vais rejoindre mon homme, bonne nuit »

J’avais entendu une grande partie de leur conversation et j’avoue que l’idée me plaisais beaucoup.
Je savais très bien que même si Nathalie n’était pas complètement chaude pour ça, en la travaillant un peu j’étais certain qu’elle dirait oui au moins une fois.
Quand elle est rentrée sous la couette, elle est venue se blottir contre moi en me disant :
« Je suis rincée, ça te dérange si je dors, j’en peux plus »
« Non t’inquiète ma chérie, repose-toi »
Il faut dire qu’a force de me branler en les regardant j’avais éjaculé plusieurs fois et je n’étais pas sûr de pouvoir rebander tout de suite.

Midi, j’ai ouvert les yeux, Nathalie venait aussi de se réveiller, nous nous sommes levés et elle est partie directement à la douche, des traces de sperme séché se voyaient encore sur son corps et sur ses joues.
Georges déjà debout buvait un café, Denis était aussi parti se doucher dans l’autre salle de bain.
Quand Nathalie est sortie de sa douche je suis allé prendre sa place.
Nous avons ensuite bu un café tous ensemble et ma femme m’a demandé d’aller chercher du pain à la boulangerie qui se trouve situé dans une grande ville à une bonne dizaine de kilomètres.
Denis m’a demandé s’il pouvait m’accompagner et Georges à son tour est allé à la salle de bain.
Une fois parti, Nathalie étant encore en peignoir est entré rejoindre Georges encore nu et qui venait juste de sortir de la douche.
Sans un mot, elle a laissé tomber son peignoir puis est venue s’agenouiller devant lui pour commencer à le sucer, sans aucune résistance il s’est laissé aller à cette caresse buccale.
Une fois son membre bien en érection, il a relevé ma femme en lui disant :
« J’ai envie de te baiser »
Elle s’est mise face au lavabo, a légèrement écarté les jambes puis a ouvert un tiroir pour sortir un préservatif et le tendre à Georges.
Il s’est ensuite calé derrière elle pour lui enfoncer sa bite bien à fond.
La tenant par les hanches, il a entamé de grands va et viens qui ont très vite provoqués chez ma femme des gémissements de plaisir.
Ils étaient très excités de pouvoir se regarder dans la glace et voir ainsi l’expression du plaisir sur leur visage.
Les mains de Nathalie posées sur le lavabo, ses fesses allaient à la rencontre de chaque coup de rein que lui assénait son amant du jour, pour le sentir la pénétrer encore plus loin.
Nathalie a eu deux orgasmes avant que Georges ne se vide en elle en lui claquant les fesses et en éructant des mots crus pendant qu’il éjaculait.

Une fois revenu de la boulangerie, nous avons déjeuner tous les quatre, puis ils sont rentrés tranquillement chez eux dans l’après-midi.

Nathalie a eu l’occasion d’aller voir Denis et de le sucer dans son camion plusieurs fois.
Il prenait beaucoup de plaisir à se vider dans sa bouche et elle était excité de pouvoir faire une pipe à un mec en pleine rue, sachant qu’en hauteur elle ne pouvait pas être vu par les autres voitures qui passaient.

Voici donc le récit de notre histoire la plus récente car depuis l’arrivée de cette pandémie nous avons décidés par précaution de ne plus faire « d’extras » pour le moment.

Il me reste d’autres histoires de notre vie, un peu moins récentes mais que je vous conterais plus tard si cela vous intéresse.

Prenez soin de vous et de nous.

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