Pari Perdu 4

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’ai pris le temps de me préparer jusqu’à ce fameux vendredi, comment j’allais préparer ma vengeance. J’ai de nouveau enculé ma femme plusieurs fois et j’ai même l’impression qu’elle commence à y prendre goût. J’ai appelé mon frère pour lui demander de prendre chez lui nos 2 s, ce qu’il accepté de suite.
Le vendredi est enfin arrivé. J’avais expliqué à ma femme ce que j’attendais d’elle. Je lui avais fait appeler Caroline pour lui proposer de venir jouer encore un coup avec moi, de prolonger mon humiliation. Elle s’était pas mal débrouillée, avait su être convaincante, surtout quand elle lui a dit qu’elle allait être étonnée de mon changement, qu’elles allaient vraiment pouvoir s’amuser.
Quand la sonnette a retentit, j’ai laissé ma femme aller ouvrir et je me suis installé dans le canapé.
Bonjour Caroline, bonjour Sylvie, et j’ai entendu leurs bises claquer.
« Elle est où ta petite lopette de mari ? En train certainement de branler sa petite bite » dit Caroline en gloussant.
« Viens, il t’attend dans le salon, suis-moi »
Je vis ma femme entrer suivie de Caroline. Elle ne s’attendait pas à me trouver assis dans le canapé, avec un verre à la main.
Ma femme l’a prise par le bras pour l’amener devant moi. Elle semblait inquiète et j’aimais çà.
« Les choses ont changé, Caroline. Tu as pris plaisir à m’humilier, tu vas prendre ce même plaisir à l’être. Fous toi à poil, tu seras peut être plus présentable qu’avec tes nippes sur le dos »
Décontenancée, elle s’est retournée pour quitter la maison. Mal lui en a pris puisque ma femme la gifla violemment.
« Tu as entendu, Monsieur t’a dit de te foutre à poil, tu obéis »
« Mais, que se passe-t-il Sylvie ? Je ne comprends pas, tu m’avais dit… »
Une nouvelle gifle et un nouvel ordre « A poil, pour que Monsieur puisse te voir »
Se sentant perdue, elle a commencé à se déshabiller, enlevant son pull et le laissant tomber à terre.


« Dis donc, conasse, ramasse tes fringues , plie les et mets les sur la table. Tu n’es pas chez pépé mémé, et montre que tu sais faire autre chose que de ricaner et glousser »
Elle ramassa son pull, le plia et le posa sur la table. Elle s’accroupit, retira ses chaussures, puis se fut le tour de son jean de rejoindre son pull. Son T-shirt enlevé et elle était maintenant devant moi en sous vêtement. La sentant hésiter à aller plus loin, j’en remis une couche
« A poil, montre moi ce que tu as de mieux qu’une petite bite »
Elle s’est effondrée en larmes
« Non, pardonne moi pour ce que j’ai fait, je n’avais pas réfléchi, je suis une conne. Je n’aurais pu écouter Virginie »
« Je t’ai dit à poil, je me contrefous de tes excuses. Sylvie, aide-la, baisse lui cette stupide culotte »
C’est vrai qu’elle avait l’air conne avec cette culotte de jeune fille, passablement fripée.
Sylvie s’est approchée d’elle et lui baissa d’un coup sec sa culotte à mi genoux, ce qui me fit apparaitre une chatte mal entretenue, toute ébouriffée.
« Quel spectacle, il doit être vachement excité ton mari le soir quand tu présentes ainsi »
Et elle est repartie dans une bonne crise de larmes.
« Allez, ta culotte sur la table et ton soutif. Montre combien tu es désirable »
Elle a fini d’enlever sa culotte et retiré son soutien gorge, et par pudeur s’est dépêchée de mettre un bras devant ses seins et une main devant sa chatte.
« Mets les mains sur la tête et tourne lentement sur toi que je puisse voir »
Honteusement, elle a mis les mains sur la tête et a tourné lentement sur elle-même. Je commençais à bander sérieusement de ce spectacle.
« Tu t’es déjà vue devant une glace, tu as des seins qui commencent à ressembler à des gants de toilette, ton cul est plein de cellulite et ton ventre est déjà bien abîmé. Je t’imaginais autrement quand je te voyais passer avec ton jean serré. Pour ce weekend, tu vas m’appeler monsieur, tu seras à ma disposition, mon vide couilles.
Et arrête de pleurnicher, tu es là pour mon plaisir et rien que pour ça. Tu as compris ? »
« Oui, monsieur »
« Bon, Sylvie, tu vas t’occuper de trou du cul de cette salope et me le préparer pour que je l’encule. Ecarte ses fesses et dis moi ce que tu vois »
Sylvie s’est agenouillée derrière Caroline et lui a écarté les fesses.
« Monsieur, elle a un trou du cul bien serré et je pense qu’il n’a jamais servi. Sa raie n’est pas très propre, elle a de nombreux poils dans sa raie »
« Mets-y un coup de langue »
« Le goût est acre mais je pense qu’elle doit avoir quelques prédispositions à être enculée »
« Tu n’as jamais offert ton petit trou à ton mec, salope, tu le trouve trop précieux ? »
« Non, monsieur, jamais personne ne m’a touché là »
« Et bien, demande moi de t’enculer, de t’ouvrir ton cul de salope. Tu as pris plaisir à voir le mien s’ouvrir, tu vas apprendre ce que c’est. Allez, Sylvie, prépare moi ce trou que je puisse me décharger »
Je devinais Sylvie lui lécher le petit trou. J’ai vu le visage de Caroline se raidir et j’ai tout de suite compris que Sylvie venait de lui enfoncer un doigt.
« Ne lui ouvre pas trop le cul, elle a gloussé de ma petite bite, je préfère qu’elle la sente bien. Met toi à 4 pattes, écarte les fesses. Toi, Sylvie, va chercher la caméra, il faut immortaliser ce dépucelage »
Caroline s’est mise à 4 pattes, le cul face à moi et a écarté ses fesses de ses 2 mains. Effectivement, son petit trou était très serré, une jolie petite rondelle bien plissée et foncée. C’est vrai que ses poils rendaient l’endroit moins attrayant mais j’avais besoin de me délaisser. J’attendis le retour de Sylvie, équipée de sa caméra. Une fois installée :
« Demande moi de t’enculer, de dépuceler ton petit trou de salope »
« Enculez moi Monsieur, prenez votre plaisir »
J’ai défait mon pantalon, sorti ma bite et posé mon gland contre son petit trou. Et j’ai poussé pour le faire rentrer.
Le passage était vraiment étroit et j’ai redoublé d’efforts pour faire rentrer le gland. Comme elle gloussait un peu trop à mon goût, je lui ai mis une grande claque sur les fesses et je me suis enfoncé jusqu’à la garde.
« Tu l’as sent, ma petite bite, connasse ? »
« Oui, Monsieur, j’ai mal »
Je l’ai besognée un moment avant d’éjaculer au fond de son cul. Puis je me suis présenté devant sa bouche.
« Nettoie moi, prends moi en bouche, je ne veux pas de l’odeur de ton cul »
Elle m’a embouché avec une grimace de dégoût. Bon, elle a un corps de merde mais elle suce bien. Sa bouche aura donc ma faveur.
« Maintenant, tu vas faire face à la caméra, faire un grand sourire et raconter combien tu as aimé te prendre comme une salope ».
Je pensais que j’allais devoir de nouveau agir vivement pour qu’elle s’exprime, mais elle a tourné la tête vers Sylvie et avec un grand sourire un peu a dit :
« J’ai aimé être enculée comme une salope, merci monsieur de m’avoir dépucelé le cul »
« Bon, Sylvie, pose la caméra et fout toi à poil. Vous allez jusque dans la chambre à 4 pattes et vous allez vous gouiner devant moi. Vous êtes 2 bonnes salopes et je pense que vous allez m’offrir un délicieux spectacle.
J’ai regardé leurs 2 beaux petits culs se tordre jusque dans la chambre. Comme elles semblaient hésiter à la position à prendre, j’ai repris l’initiative :
« Roulez vous une bonne pelle et commencez donc par un petit 69. Donnez vous à fond, je veux voir celle qui saura faire jouir l’autre la première ».
Après s’être embrassée assez timidement à mon goût, elles se sont allongées sur le lit et ont commencé à se caresser. C’est ma femme qui a pris rapidement l’initiative et passant la langue sur la chate de Caroline et lui glissant les doigts dans le sillon de ses fesses. Je pense que c’est elle qui avait le plus envie de se faire pardonner et elle semblait ne pas vouloir me décevoir de nouveau. Caroline a semblé vouloir l’imiter mais ma femme avait déjà prise de l’avance.
Un doigt s’était déjà enfoui dans son petit trou et faisait des allers retours assez rapides. J’avais repris de mon côté le rôle de cinéaste et je passais d’un sexe à l’autre, réalisant de magnifiques gros plans.
Caroline s’est mise à gémir puis s’est lâchée dans de grands cris. Sylvie avait introduit 2 doigts dans son rectum et lui léchait avidement clito. Je les ai laissées se finir puis j’ai dit :
« Tu es vraiment incapable de rien, petite connasse. Non, seulement, tu es à peine baisable mais en plus tu es incapable de faire jouir une gonzesse. Pour te punir, Sylvie va te donner une bonne fessée et quand tu auras le cul bien rouge, je me viderai une nouvelle fois dedans. Mets toi en travers de ses genoux, le cul bien haut », ce qu’elle fit sans attendre.
Comme j’avais repris la caméra, Sylvie s’est amusée à lui écarter les fesses pour laisser prendre quelques jolis gros plans de sa rondelle. Puis les claques ont commencé à pleuvoir sur ses fesses, les faisant rougir à merveille. Et voilà qu’elle s’est remise à chouiner, à gigoter.
« Ouvre lui les fesses, je vais l’enculer sur tes genoux. Prends ma bite et pose la devant son trou »
Sylvie a posé une main sur ma cuisse, qu’elle a remonté en prenant le soin de me caresser un peu les couilles, a pris ma bite et l’a posé sur la rondelle.
« Allez y monsieur, enfoncez vous dans le cul de cette salope ».
Je ne me suis pas fait prier et je l’ai ramonée.

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