Les Soldes
Les soldes
Comme chaque année, les magasins sont envahis par les clients lors des périodes de soldes. C'est amusant des les voir courir, de les voir se ruer dans les magasins pour acheter un produit qu'ils ne vont mettre qu'une seule fois et ensuite le ranger au fond du placard. En ce qui me concerne je fais les soldes simplement pour trouver des habits pas chers et que je vais mettre tous les jours ou presque. Cette période de solde a commencé depuis plusieurs jours déjà et me voilà donc devant un magasin de grande enseigne pour trouver des habits. Il n'y a plus grand monde. Je ne sais pas trop ce que je veux alors je marche dans les rayons pour homme, je regarde les pantalons, tee-shirt. Cela fait bien maintenant une demi-heure que je tourne et je vire sans trouver mon bonheur. Je me dirige vers la sortie lorsque j'entends une voix dans mon dos :
- " Bonjour je suis Mathilde...vous cherchez quelque chose ? ".
Je me retourne et je vois devant moi une jeune femme d'environ 25 ans, portant un shorty et tee-shirt aux couleurs du magasin, une casquette et des baskets. Sa tenue lui colle au corps comme une seconde peau. Le shorty lui moule les fesses bombées en soulignant la raie. Elle s'avance dans ma direction tout en souriant. Le tee-shirt déssine sa silhouette fine avec des gros seins qui bougent un peu de droite à gauche.
- " Heu...bonjour...en fait oui..."
- " Que cherchez-vous ? " enchaine-t-elle.
Il y a un petit auto-collant avec son prénom sur son tee-shirt.
- " Et bien je ne sais pas trop...".
Elle a croisé ses bras et ainsi relevé sa poitrine. Malgrès moi je ne peux en détacher le regard. Je reste là pendant plusieurs secondes avant qu'elle ne m'invite à marcher dans les rayons en me présentant plusieurs articles. Elle me montre des pantalons, des pulls, des tee-shirt. Je réponds oui ou non sans vraiment les regarder, parce qu'en fait je suis plus attiré par son corps, par ses fesses qui remuent devant mes yeux.
- " Il faudrait quand même vous décider..." dit-elle en riant.
- " Bon d'accord..."dis-je " je vais essayer celui-là " en pointant ma main vers un pantalon.
Elle prends le premeir sur la pile et m'invite à la suivre vers les cabines d'essayage. Il y a une rangée de cabines sur au moins vingt mètres, mais plutot que de prendre la première elle s'avance vers celle tout au fond. Elle ouvre le rideau, me tends le pantalon. J'entre dans la cabine et c'est à cet instant qu'elle me fait un clin d'oeil en disant :
- " A tout de suite...appelez-moi s'il y a un problème ".
Et bien sûre il y a un problème. Elle a prit le premier sur la pile sans regarder la taille. Donc je l'appelle et aussitôt je l'entend qui me réponds derrière le rideau, comme si elle était restée là sachant que j'allais l'appeler.
- " Il y a un soucis...? " demande-t-elle.
- " Eh ben...oui...il est un peu petit...".
J'écarte un peu le rideau et lui rend le pantalon, elle va en chercher un autre de la bonne taille.
- " Là ça va mieux..." dis-je.
- " Faîtes-voir...! " répond-elle en passant sa tête sur le côté du rideau. " Ah oui ça va mieux...' ajoute-elle en entrant carrément dans la cabine. " Mais il y a encore un petit détail...".
Elle est debout devant moi, elle pose ses mains sur la ceinture du pantalon et le remonte un peu, et donc je sens mon sexe et mes couilles remonter avec le pantalon, les jambes sont un peu longues. Il n'y a pas beaucoup de place dans la cabine mais elle arrive à se mettre à genoux devant moi et fait des ourlets.
- " Chuuut..." fait-elle " je sais que tu en as envie depuis tout à l'heure " ajoute-t-elle en replaçant sa main sur ma braguette. " Tu crois que je n'ai pas remarqué que tu n'arrêtais pas de mater mon cul...? ".
Elle glisse sa main dans le pantalon, saisit ma bite à moitiè bandée. Elle faif sauter le dernier bouton et le pantalon glisse sur mes chevilles et me l'enlève. Elle tire ensuite sur mon caleçon qui suit le même chemin que le pantalon. Je suis à moitiè nu dans la cabine avec une jeune femme à genoux devant moi, mon sexe dans la main. Elle tire doucement sur la peau pour décaloter le gland, puis dans le sens inverse. Avec l'autre main elle caresse mes bourses, la peau est tendue.
- " J'aime quand il n'y a pas de poil..." dit-elle " comme toi...".
Elle sourit puis avance sa tête en ouvrant la bouche et sortant la langue. Je ferme les yeux car je sais ce qui va se passer et je veux apprécier cette caresse au maximum. Je lâche un gémissement lorsque je sens sa langue chaude sur mon gland. Elle le lèche, passe sur le frein, glisse la pointe de sa langue dans le méat. Je gémis plusieurs fois, mes jambes tremblent. Je n'ose pas bouger. Lorsque ses lèvres se posent sur le gland qui s'enfonce dans sa bouche je pousse le bassin en avant pour m'enfoncer plus loin encore. Je sens alors sa bouche recracher mon sexe maintenant tendu au maximum. J'ouvre les yeux.
- " Pas si vite..." dit-elle en posant sa main sur ma bite qu'elle commence à branler.
- " Il ne faudrait pas que quelqu'un arrive.
- " Ne t'inquiètes pas..." répondit-elle en se relevant.
Elle retire son tee-shirt laissant ainsi jaillir sa poitrine volumineuse sous mes yeux. Je prend ses seins dans les mains, les pressent, je me jette dessus comme un affamé. Je les sucent, je pince les pointes entre les dents. Nos bouches se collent dans un baiser fougeux. Elle tire sur mon sexe, prends les couilles qu'elle pressent. Elle pose un doigt sur mes lèvres comme pour me dire de me taire. Elle s'accroupis à nouveau. Elle me suce avec rapidité, sa tête avance sur ma bite puis recule. Je sens son nez qui frotte contre mon bas-ventre. J'att alors sa tête et m'enfonce en elle plus loin encore, elle bave de plus en plus sur ma bite, le gland est décaloté, luisant de salive, je lui pompe la bouche avec force et rapidité. Je vois dans le miroir qu'elle a ses mains entre ses cuisses, le shorty ouvert, elle se branle. J'essais de gémir le moins fort possible mais c'est difficile. Sa bouche est chaude, douce. Encore quelques mouvements du bassin et je ne vais pas tenir longtemps. Je sens ma bite se contracter, comme mes couilles, j'ai des fourims dans le bas-ventre. Dans un dernier coup de reins je m'enfonce aussi loin que possible dans sa bouche, j'explose au fond de sa gorge. J'ai les jambes qui tremblent, mes coups de reins s'arrêtent lorsque je lâche le dernier jet de foutre.
Elle se relève en souriant, remet son tee-shirt et sort de la cabine. Je me presse pour sortir à mon tour de la cabine en remattant mon pantalon. Je la cherche dans le magasin, mais je ne la voie pas. Je m'avance à la caisse et demande si Mathilde est encore là. On me répond qu'elle est partie. Je demande alors si elle sera là demain. Pour toute réponse on me dit que non car c'était son dernier jour de travail dans le magasin. Dommage...
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