Désobéissante 1 À 4
- Manon ! Tu es à table, pas chez les barbares ! Utilise ta fourchette et ton couteau et ne mange pas avec les doigts !
- Oui Papa.
***
Je suis à genoux sur le lit.
Il est allongé, membre dressé, au creux de ma paume.
Sa queue entre et sort de ma bouche en rythme. Je souris intérieurement. Ma langue aime redessiner les contours gonflés, d'une douceur si éthérée... je sens son énergie, sa force, son plaisir...
J'ai envie de rire.
Il se tend, je le masturbe, il malaxe mes seins ronds et pointus, caresse mes fesses sous ma jupe, trempe son majeur dans ma minette, sous ma culotte de satin.
Je ferme les yeux.
Il contracte les abdos, les cuisses et chuchote:
- Ah, Manon, att...
Je relève la tête dans un sourire et le masturbe plus fort.
Sa semence explose, vrille mon menton et mes yeux, puis coule en paquets épais, une lave d'amour et de sexe.
Il me regarde, encore secoué de spasmes, l'air halluciné.
- Waw.
Je souris encore et porte, ostensiblement, ma main souillée à ma bouche.
J'aspire le sperme, le goûte, l'avale, je me lèche et pourlèche les doigts.
Il se fait timide.
Je le reprends en bouche pour le nettoyer complètement.
J'aime manger avec les doigts.
***
2. Habille-toi, il fait froid
- Tu ne vas pas sortir en T-shirt ?
- Toutes mes copines le font !
- Manon, il fait 3 degrés dehors ! Va te mettre un pull et un manteau. Tu vas attr la mort.
- Mais...
- Pas de mais ! File !
***
Je me gèle.
Mais les mecs me regardent. Je me sens si moche depuis qu'Axel m'a jetée.
Alors j'ai mis une robe en stretch moulante, très décolletée, qui dessine avantageusement mes formes généreuses.
Le froid fait durcir les pointes de mes seins, qui dardent au travers du tissu. Il commence à neiger.
J'ai froid, mais je peux voir que j'attire les regards.
- Jolie.
Je me retourne.
Un garçon marche à côté de moi. Grand. Mignon.
- Merci.
Le soulagement m'étreint. Je peux plaire aux garçons.
- Je t'offre un chocolat chaud quelque-part ? Tu m'as l'air frigorifiée.
Je hoche la tête en souriant. Il a les yeux fixés sur mes seins.
Je le suis dans un café.
J'ai bien compris qu'il me propose bien plus qu'un chocolat.
Juste ce qu'il me faut aujourd'hui.
Et il faudrait que je me trouve un pull maintenant.
***
3. Fais attention à tes affaires.
- Manon, combien de fois faut-il que je te dise de ne pas jouer dans la gadoue ! Regarde dans quel état est ta robe ! Viens ici que je te passe un peu d'eau.
- Mais m'man...
- Non mais regarde dans quel état tu t'es mise ! Tu es bonne pour un bain en rentrant !
***
L'écorce de l'arbre me râpe les fesses.
Mes cuisses sont autour de lui, il me lutine délicieusement.
Ce n'était pas prévu, ce n'est même pas mon copain, on est juste amis...
Il m'emmenait en pique-nique, on s'est trouvé un bosquet en pleine cambrousse, personne à des kilomètres à la ronde...
On a commencé à parler, à manger, à boire un coup de rosé, il a mis sa main sur ma cuisse, il m'a demandé si je n'avais jamais pensé que ça pourrait coller entre nous... je l'ai embrassé, je ne sais pas pourquoi - il ne doit pas le savoir non plus.
Les premiers baisers, entre les chips et le poulet grillé, ma culotte qui disparaît sous ma robe entrouverte, déjà, il ne perd pas de temps, je ressens cette urgence, je découvre mes seins au grand jour, juste pour lui...
Il m'allonge sur le sol humide, je pense à l'herbe tachée de boue qui va ruiner ma robe, mais je le laisse sentir ma minette, l'apprivoiser, la satisfaire du nez et de la langue.
Premier orgasme...
Je me suis agenouillée sur le tapis de feuilles, les doigts noirs de terre, je l'ai flatté à mon tour, son sexe enflé épousait admirablement la forme de ma bouche, me donnait envie de plus, envie de lui.
Alors...
Je l'ai aspiré, recraché, avalé entier, je lui ai montré ce que pouvait être une fellation bien faite, experte, ce mélange de douceur et de brutalité, cet appétit, cette soif jamais étanchée, je l'ai dévoré, englouti, gobé, en gémissant mon envie, mon besoin.
Il est devenu fou...
...il m'a relevée, plaquée contre l'arbre, il a trempé son sexe en feu dans ma féminité inondée de plaisir, je me suis cambrée pour qu'il me pénètre...
... il m'a possédée brutalement, j'ai gémi dans le baiser fougueux, il ma soulevée, pilonnée, furieusement, nous avons noyé notre envie commune dans cette étreinte improbable, un couple copain-copine qui baise pour le plaisir, l'amitié comme ciment, l'ivresse de cette première fois inattendue comme excitation, je l'ai enserré de mes bras, de mes cuisses, lui ai demandé d'aller plus loin, plus vite, jusqu'à ce que l'extase me prenne le ventre, les reins, le corps, dans un râle aigu, à faire fuir les écureuils et les lapins qui devaient peupler ce bois.
Satisfaite, je me libère, je m'allonge dans la terre humide, et le guide entre mes seins, où je le masturbe avec énergie, tandis qu'il pince mes tétons dressés entre pouce et index. Je me surprends à avoir encore envie, je tends la langue, il vient en saccades grasses, dans un rire hébété, la semence liquide me couvre le visage, s'accumule au creux de mes seins, coule dans ma bouche entrouverte.
Il avance sa queue encore dure, je l'avale en me caressant la minette, y fourrant le majeur sans honte, en espérant qu'il ne désenfle pas, qu'il puisse recommencer, peut-être après la salade de fruits que nous avons prévue pour le dessert.
J'ai de la terre sur les fesses, sur mes doigts, mes vêtements. Du sperme sur le buste et le visage...
J'espère que ma culotte est restée sur la nappe, je déteste la porter quand elle est sale...
Je ris intérieurement... Dans quel état je me suis mise... je suis bonne pour un bain...
...avec lui peut-être ?
***
4.
- Manon ! Qu'est-ce que c'est que ce vilain mot !
- Mais Maxence m'embête !
- Ce n'est pas une raison pour dire des gros mots ! Tu t'excuses immédiatement, et je ne veux plus jamais entendre ça de ta part, tu m'as bien compris ?
- Oui Papa. Pardon Maxence.
***
- Baise-moi.
Il caresse mes longs cheveux bruns.
Il sourit en coin.
- Demande-le-moi encore.
Il a retiré ma culotte avec ses dents. En mordillant longuement la zone humide qui s'y était formée lors de nos baisers... et plus.
Il veut que je parle cru. J'ai envie de lui.
- Baise-moi. Je veux sentir ta bite en moi. Dans ma minette.
J'ondule les hanches, je suis allongée, cuisses écartées, j'ai mal aux reins tant mon envie est forte.
- Encore.
Je ris et je gémis de frustration. Je passe les mains derrière ses fesses et l'attire à moi dans l'espoir que son sexe tendu me pénètre. En vain. Il résiste, au bord de moi.
- Baise-moi, putain, viens, prends moi, je mouille, je veux ta queue dans ma... chatte...
Il se fait caressant, l'onde de plaisir menace de me submerger.
- Seulement ta chatte ?
Il y a un rire dans sa voix. Je sais ce qu'il veut. Je cède.
- Je te donnerai aussi mon cul, si c'est ce que tu veux, mais VIENS !
Ce n'est pas un gros sacrifice, j'aime bien, de temps en temps. Je le sens mieux ainsi. Et c'est bon, la plupart du temps.
- On verra, si tu es sage.
Il pousse sur ses reins et me prend d'un coup. Mes reins hurlent de bonheur. Mon corps frissonne. Je plante mes ongles longs dans son dos et me cambre pour l'accueillir au plus profond. Je ne serai pas sage, c'est sûr.
- Oh baise-moi, baise-moi, baise-moi.
Il aime que je dise des gros-mots. Ça me plaît bien aussi.
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