L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 3) -

Hélène et les villageois (2) – Le Marquage -

Hélène resta encore une journée dans le village... Elle avait en effet quelques ajustements à effec concernant ses deux esclaves, la jeune humaine au crâne rasé Clytia enlevée à la couche de Ménélas et Hyppodémée, la centauresse vaincue en combat singulier. Sur l'ordre de la Belle Hélène, car la divine blonde visiteuse n'hésitait pas à se comporter ici en souveraine et les villageois en humbles sujets, l'un des villageois avait activé un grand feu et réquisitionné une part du métal du village pour confectionner la commande de Celle qui se comportait comme chez Elle... Tandis que quelques jeunes femmes se hâtaient à son service, l'homme façonnait le métal sous l'œil intéressé de Hélène qui appréciait la façon dont les muscles saillants du mâle se détaillaient sous la peau bronzée et transpirante... On avait dressé pour Cette Visiteuse un siège confortable à l'ombre d'un grand arbre, où une villageoise la coiffait, tandis qu'une autre lui lavait les pieds, une autre, enfin, s'affairant entre le "trône" et la rivière, afin de fournir en permanence de l'eau fraîche. Pour remercier le chef de cet humble bourg, Hélène avait ordonné à Clytia d'agir pour le plus grand plaisir du vieil homme. Certes ce dernier avait quelques peine à bander, mais il profitait pleinement de la bouche de cette belle esclave qui depuis le matin demeurait agenouillée entre ses cuisses, suçant son membre flétri qui parvenait tout de même à durcir quelque peu... Il savourait cet instant rare, ses mains posées sur la nuque lisse de l'esclave, appréciant ce doux épiderme, appuyant parfois pour qu'elle avale plus profondément son membre difficilement dressé... Quant à Hyppodémée, depuis qu'elle avait été saillie publiquement par le plus bel étalon de la contrée, elle avait abdiqué toute fierté et demeurait humblement dans son enclos, définitivement conquise par Celle qui avait daigné lui laisser la vie sauve.

Enfin, le forgeron vint s'agenouiller les bras tendus et levés en avant, tout en baissant la tête devant Hélène pour Lui présenter l'instrument qu'il avait forgé avec tant d'efforts tout au long de la matinée.

Elle s'en saisit et le soupesa, puis regarda avec satisfaction le beau "H" que constituait le bout de cette barre d’acier froid muni d’un long manche. Elle apposa sur sa cuisse nue cette lettre, Sa Marque, et apprécia l'espace qu'elle couvrait...
- Parfait ! Je suis satisfaite, dit-elle tout en congédiant d'un geste le forgeron qui s'éloigna modestement.

Hélène se leva et délaissa les trois jeunes femmes dévouées à Son service pour entrer dans la modeste demeure du vieux chef de village. Ce dernier sursauta, sentant les dents de Clytia frotter sur la peau fine et frippée de sa verge.

- Ne te dérange pas pour moi, plaisanta Hélène qui attendait naturellement quelque marque de déférence.

L'homme repoussa donc Clytia et se leva, pour venir s'incliner devant Hélène

- Ton forgeron a bien travaillé, pour le remercier, je lui offrirai la bouche mon esclave Clytia qui le soulagera de ses couilles pleines… Mais en attendant, tu peux maintenant lancer le déroulement de la cérémonie, dit-Elle

Le vieil homme chenu se précipita à l'extérieur. Hélène s'approcha de Clytia qui demeurait prostrée sur le sol crasseux. Elle tendit la main et caressa l'épaule douce et nue de son esclave...

- Lève-toi ! ordonna-t-elle, Clytia obéissant sans attendre.

Face à la jeune femme qui avait tout abandonné pour Lui appartenir, Hélène sourit et saisit le beau et fin visage, l'approchant du Sien pour lui accorder un long et langoureux baiser. Leurs lèvres chaudes se frôlèrent, leurs langues s'entortillèrent... Hélène explorant avec voracité cette bouche docile encore odorante du vieux pénis qu'elle avait longuement sucé. Hélène dévorait littéralement Clytia qui frémissait d'extase, tandis que les mains de sa Maîtresse se posaient l'une dans le creux de ses reins, l'autre entre ses cuisses, déjà humides du désir que suscitait si instantanément l'exceptionnelle et unique beauté de Hélène... Clytia tenait à peine sur ses jambes, tremblante de plaisir tandis que les doigts de sa Divine Maîtresse fouillaient profondément son intimité, l'autre main glissant le long de la raie séparant ses fesses rondes et fermes, un doigt s'égarant résolument dans sa rosette si sensible.
.. Nul orifice de la jeune esclave qui ne fut ainsi investi par La Volonté de La Maîtresse... Union de leurs bouches, un doigt poussant pour s'enfoncer lentement dans la rosette, une main plongée dans sa chatte dégoulinante ! Clytia succombait avec délices aux attouchements impudiques de celle à qui elle avait offert sa liberté, sa dignité et même sa vie...

Pour un tel instant, pour ce plaisir que consentait à lui accorder Hélène, Clytia se fut offerte en sacrifice, telle une nouvelle Iphigénie, cette jeune femme du même âge qu'elle, que le Roi Agamemnon n'avait pas hésité à sacrifier pour obtenir les faveurs des Dieux avant d'aller combattre Troie... Troie, Iphigénie, Hélène, tout décidément ramenait à cette Femme hors norme et si Belle que tous les hommes devenaient fous en Sa présence. Les hommes... Et les femmes aussi, puisqu'elle-même, de noble ascendance avait tout sacrifié pour devenir entre ces douces mains qui la pénétraient maintenant, la plus humble et servile des créatures. Laissant échapper un long gémissement, tenant à peine debout sous les attouchements qui tétanisaient son corps, la tête renversée maintenant en arrière... Clytia savait qu'elle ne pouvait être ailleurs... Toute sa vie n'avait eu désormais qu'un seul but, faire d'elle l'esclave d'Hélène et lui offrir son corps, son âme, sa vie pour qu'Elle en use et en , pour Son usage ou celui de tout autre. Clytia subirait tout, pourvu qu'elle demeure toujours l'esclave d'Hélène ! Un ultime râle... Comme saisie de spasmes, l'esclave gémissait de plaisir, s'abandonnant totalement, son sexe brûlant et dégoulinant, avec toujours trois doigts fermement plantés dans son fondement...

Dehors, les villageois avaient installé le siège d'Hélène au centre de la place principale et on menait Hyppodémée au bout d'une longe, la rousse centauresse mi-femme mi-cheval se laissant guider avec humilité, les yeux rivés vers le sol, tous les regards des hommes se portant vers sa lourde et ferme poitrine nue.
On avait d'ailleurs attaché ses cheveux en queue de cheval (un comble !) afin que son épaisse crinière ne cache rien de ces si appétissants appâts. Elle savait ce qui l'attendait, elle l'acceptait désormais comme une évidence, puisqu'elle n'était plus cette libre et sauvage centauresse, guerrière et aventurière, mais une vulgaire monture, vaincue et domptée, asservie, docile... Hélène apparut à son tour, Clytia la suivant à un pas en arrière. La Belle prit place sur son siège et on mena la centauresse et l'esclave à proximité du cercle où avait brûlé un grand feu et où couvaient maintenant d'épaisses et rougeoyantes braises d'où dépassait un long manche de métal. Le forgeron se tenait immobile tout près du feu, les bras croisés, attendant. Tout autour, les villageois formaient un cercle silencieux, conscients de la solennité du moment. Ce fut Hyppodémée qui fut menée la première jusqu'au foyer... Elle ne résista pas lorsque plusieurs hommes se saisirent de ses quatre pattes afin de la faire chuter au sol en douceur sur le flanc, sans brusquerie. Cependant, on lui attacha avec application les pattes et les poignets... Le forgeron retira alors des braises la longue tige de métal, se terminant par un grand "H" rougi au feu... il s'approcha de la croupe chevaline d'Hyppodémée et la marqua profondément au fer rouge de La Lettre de sa Maîtresse. La centauresse rua de douleurs dans ses liens, mais courageuse elle serra les lèvres pour ne pas crier, ne laisser échapper aucune crainte. Elle tourna toutefois un regard à la fois soumis et douloureux vers Hélène qui plongea son regard dans le sien, jusqu'à ce que celle qui avait été la plus fière et indépendante des centauresses adresse un dernier regard éperdu et soumis vers La Blonde Beauté, puis baissa les yeux en signe de totale et définitive soumission.

On la détacha et lui permit de se redresser... puis on la mena par la longe jusqu'à Hélène afin de présenter Cette Marque indélébile qui était désormais à jamais incrustée dans la croupe de cette mi-femme mi-cheval.
Les villageois fascinés admiraient cette scène. Jamais en Grèce on n'avait évoqué un centaure qui fut ainsi soumis et humilié en étant marqué comme un vulgaire bétail. Bien puissant était le pouvoir de cette Femme, image de La Perfection, qui venait de faire réaliser un tel prodige ! Pour les villageois, il était évident que la Belle Hélène était sous la protection des Divinités et ils voyaient en Elle, une Déesse terrestre. Silencieusement, Clytia sanglotait, regardant avec frayeur le brasier. D'un geste de Hélène, on la poussa doucement et c'est en silence mais secouée de sanglots qu'elle s'avança docilement vers son supplice. Elle n'osait pas détourner le regard, comma hypnotisée par ce brasier où le forgeron avait à nouveau plongé son terrible instrument. L'esclave marchait telle un automate, sentant le feu du regard de sa Maîtresse dans son dos. Elle s'arrêta tout près des braises et s'agenouilla. Le forgeron caressa son omoplate... Il s'éloigna le temps de saisir l'instrument, revint et s'appliqua à bien apposer le"H" sur l'épaule de Clytia qui tressaillit à peine, mais laissa échapper un long cri de souffrance, avant de s'évanouir de douleurs...

Lorsqu'elle se réveilla, elle était allongée sur une couche propre et une jeune femme tamponnait son front d'un linge humide et frais. Elle sentit le tiraillement du marquage par le feu sur sa peau, mais comprit qu'on lui avait apposé un puissant onguent constitué de diverse plantes très efficaces et qui soulageait grandement la douleur, sans pour autant lui permettre d'oublier que sa peau, à tout jamais, porterait la marque de sa Maîtresse, de son état servile, de cette appartenance qui la comblait. Car c’est courageusement mais consentent, de son plein gré, que l’esclave a accepté cette souffrance pour sa Divine Maîtresse.

Hélène se tenait là, tout près d'elle. Elle congédia la servante et se pencha sur Son esclave, lui caressant doucement le visage, le cou, les seins...

- Tu t'es bien comportée... je suis fière que tu m'appartiennes, lui dit-elle avec douceur...

Ce n'est qu'au petit matin du lendemain que le trio quitta le village qui venait de vivre en deux jours plus d'événements exceptionnels que n'en avaient raconté les dix dernières générations. Beaucoup pleuraient de voir s'éloigner leur Divinité terrestre, la Belle Hélène chevauchant la centauresse Hyppodémée. Quant à Clytia montant la petite et solide jument spartiate qui arborait sur sa croupe la même marque "H" que l'esclave au crâne rasé et la centauresse... S’éloignant, Hélène n'accorda plus un regard à ces lieux où Elle venait de s'accaparer définitivement la possession de deux superbes créatures... Perdue dans ses pensées, laissant Hyppodémée suivre le chemin menant à la rivière Alfios, qu'elles allaient suivre jusqu'à leur prochaine destination : Olympie !

(A suivre…)

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