Les Deux Frères Ne Valent Pas Le Père ...
A dix sept ans et demi jétais encore vierge et je me posais beaucoup de questions, javais déjà embrassé, maladroitement, certes, mais quels effets les mains dun garçon produiraient sur les parties les plus intimes de mon corps ?
Mes sens me travaillent de plus en plus, ma culotte shumidifie lorsque jévoque des scènes coquines, comment font un homme et une femme pour saccoupler, cela fait-il autant de bien que je lentends dire ?
A force de me toucher moi-même je ne ressentais plus grand-chose dexcitant, cest pour cela que jai eu envie dessayer avec un petit voisin de mon âge
Pourquoi lui ? Je ne lai jamais vu avec une fille, donc dans ma tête, il nest pas intrépide, pas le genre qui va me sauter dessus a la première entrevue
Je lui ai proposé daller nous balader dans les champs, il a accepté en rougissant, une fois hors de vue des curieux, je lui ai pris la main, il ne disait rien mais je men foutais, cest un cobaye que jentraînais a labri des regards, arrivés parmi des bottes de pailles, jai pris le taureau par les cornes !
- As-tu déjà embrassé une fille Antoine ?
- Oui, une fois
- Et ça ta plu ?
- Bofff
jai un mauvais souvenir
- Elle a ouvert la bouche ?
- Oui, et elle ma refilé son chewing-gum
- Cest plutôt mignon
- Jai faillit lui vomir dessus
- Bon, et a part ça ? as-tu touché ses seins ?
- Oui par-dessus le pull
- Jamais a pleines mains ? veux-tu essayer ?
- Beeeennn, jsais pas
.
- Regarde
.
Je soulève mon top et fait passer les bonnets par-dessus ma poitrine pointue qui se dresse fièrement sous ses yeux ébahis
- Alors ?
- Cest chouette, plus jolis que ceux de maman, je les aperçois quelquefois
- Pose tes mains dessus, ça ne mord pas
- Cest dur
cest doux, ça me fait des choses
- Tu bandes ? Tu me la montres ? Si tu veux je te montre ma minette en échange
- Daccord, ont le fait en même temps
Timidement, il baisse son pantalon tandis que, la jupe coincée a la ceinture, je fais glisser ma culotte de coton, effectivement il bande, mais je suis déçue, ça ne ressemble pas a ce que je pensais voir
cest de la grosseur de mon pouce, ça sursaute a intervalles réguliers, il a le regard fixé sur ma motte peu poilue
- Tu me touche et je te touche ?
- Pas la peine
.
- Zut alors !
Deux longs filaments blancs giclent devant lui, aussitôt la quéquette se rabougris, je suis dépitée, moi qui croyais mamuser avec un moment.
- Hé ben ! Tas un problème toi !
- Ça me fait ça à chaque fois que je veux me caresser, je jouis dés que je pose ma main dessus .
- Mince alors dommage, jespérais que tu me fasses des choses avec.
- Tu voulais que je la mette dans ta fente ?
- Ben oui !
- Ça, mon frère pourrait te le faire, il en a une grosse, je lai vu se masturber
- Il serait daccord tu crois ? il a plus de vingt ans, il va me trouver jeune ?
- Si tu savais toutes les nanas quil senvoie !
- Tu lui demandes quand ?
- Ce soir
Ça na pas traîné, javais rendez-vous le lendemain après midi dans une grange abandonnée, le garçon mattendait sûr de lui, en mâchouillant un brin de paille.
- Alors gamine ? On veut connaître le grand frisson ?
- Vous nallez pas me violer hein ? !
- Cest toi qui me supplieras de te la mettre, approche que je tâte tes nichons
huuuuummmm pas mal relève ton Sweet-shirt pour voir ? Les bonnets sont bien pleins, dégrafe ton sousting
wooouuuuaaaah, belle paire de miches, met toi torse nu
- Je vous fais de leffet ?
- Tu veux dire bander ? Touches moi cette bosse
Il matt la main et la pose sur sa braguette déformée, sous mes doigts je découvre un rondin dur comme du bois, impossible de retirer ma main il la maintient dessus, alors je ferme les doigts sur ce manche qui bouge tel un serpent lorsque je serre .
- Cest bien ! tâte la marchandise !
- Vous nallez pas gicler aussi vite que votre frère ?
- SI ! bien sûr que je vais décharger mais pas tout de suite, avant "ils" vont faire connaissance
- Qui ça "ils" ?
- Ta chatte et ma queue pardi, enlève tout que je vois comment tes gaulée
- Même ma culotte ?
- Surtout ta culotte ! tiens, je fais pareil, ainsi nous serons a égalité .
- Vous ne voulez pas lôter vous-même ma culotte ? jaimerais savoir ce que ça fait les mains dun homme sur moi .
- Je vois, allonge toi sur cette couverture et laisse toi faire .
Ses doigts passent sous lélastique, le slip glisse, ça fait drôle se sentir lair frais entre mes cuisses et ses mains brûlantes qui me touchent, il envoie balader ma culotte sur le sol, ceci fait, il se met à passer sa queue sur mes seins, mon cou, mes joues
mes lèvres
- Ouvre la bouche
- Pourquoi ?
- Pour me sucer, lapprentissage de la vie commence par-là, ouvre bien grand, je ne veux pas sentir tes dents.
Un peu déboussolée jobéis, moi qui croyais me faire caresser, me voilà avec une bite dans la bouche, il fait coulisser son membre toujours plus loin dans ma gorge, sa main branle la partie restante
Brusquement, il me lenfonce jusquaux amygdales, un liquide poisseux et acre déferle par saccades, impossible de refuser cette injection e et soudaine, le sourire aux lèvres il daigne se retirer une fois les jets taris.
- Toi, tes pucelle non ?
- Oui
je pensais justement que ça vous ferez plaisir ?
- Tu pensais mal, ras le cul de ces jouvencelles inexpérimentées, trouves toi quelquun de patient pour les préliminaires.
- Mais qui ?
- Quelquun de plus âgé, a qui la joie de dépuceler reste un lointain souvenir
- Plus âgé ?
- Ouais, quelquun comme mon père, justement, depuis son divorce il est en manque, tu veux que je lui parle de toi ?
- Oui mais ?
- Ce sera ici demain, il ne saura pas qui lenvoie et qui il va rencontrer, a toi de jouer, salut et merci pour la pipe !
Pensive, je me rhabille
me donner à un homme qui pourrait être mon père ? Ses gestes seraient doux et précis
il ne demanderait qua me faire plaisir
a quoi peut bien ressembler son membre ? Il doit être gigantesque
la mouille coule de mes lèvres excitées et désappointées, cest décidé, je viendrais demain !
Lorsque je suis arrivée un homme fait les cent pas devant la grange, il marque un temps darrêt en me voyant, je rassemble tout mon courage et met mes préjugés aux vestiaires
- Que fais-tu ici petite ?
- Cest moi qui vous ai donné rendez-vous
- Que veux-tu ?
- Je veux sentir vos mains sur moi, partout !
- Holà ! doucement je ne suis pas un pédophile !
- Je suis consentante et majeure sexuellement, je jure que personne nen saura jamais rien
Sans attendre sa décision je mallonge sur la paille, mes cuisses découvertes, légèrement séparées attirent son attention
Il sagenouille prés de moi, ses mains tremblantes se posent sur ma poitrine, et mes cuisses, je prends une longue respiration, mes seins se gonflent, mes genoux se séparent en forme de parenthèse
- Petite perverse
ferme les yeux je vais te donner du bonheur
Les mains se mettent en mouvement en haut et en bas, cest un festival de caresses innocentes qui se transforment en caresses sensuelles puis franchement sexuelles
Une main est passée sous mon pull, et lautre sous ma jupe, les bonnets sont malaxés et mon slip trituré, je geins de plaisir, pour ne pas passer pour une gourde ma main glisse sur sa cuisse encore revêtue du pantalon, la braguette est gonflée à bloc, rien à voir avec celle du fils aîné qui me paraissait pourtant énorme.
- Va-y, masse moi bien, dans un moment tu va la câliner et lembrasser
- Oui je veux tout faire
- Je vais te dévêtir
tu es prête ?
- Je nattends que ça
- Soulève-toi afin que je retire ton pull et ton soutien gorge
. OOOOOHHHH cest trop beau
tes bouts sont bien ressortis, je vais les aspirer
- Remettez votre main entre mes cuisses
- Ta culotte est tachée
Les lèvres lippues tirent sur mes bouts comme le ferait un bébé pour téter, des irradiations traversent tout mon corps, ses doigts font rouler mes lèvres lune sur lautre sans chercher à sintroduire sous le tissu, exactement comme je le désire : repousser le moment fatidique, mais le désir de baiser est le plus fort, je me tortille sous la caresse qui devient fade
- Tu es pressée petite pucelle
écarte tes jambes
Enfin le moment que je désire le plus au monde arrive, linstant ou ses doigts franchissent la barrière interdite de mon slip, les doigts qui effleurent ma peau provoquent chez moi de délicieux frissons, je gigote au point quil doit me maintenir.
- Ça te chatouille ? Bientôt ça te fera chavirer lesprit, à présent apprend toi à ouvrir une braguette, sort ma queue qui souffre dêtre recroquevillée
Jen retire avec peine un gourdin long et large, zébré de grosses veines, poilu jusquen moitié, un bout fendu encore à demi recouvert de peau, doù suinte une sève épaisse
- Vous allez me faire mal avec ça
- Tu en redemanderas petite ! maintenant joue avec, frotte le sur tes joues et tes lèvres, embrasse le, ouvre la bouche
je vais ten enfoncer quelques centimètres dans le palais
Docile et désireuse de découvrir la sensation de lécher une queue, je referme mes lèvres sur ce manche en évitant de le frotter avec mes dents, je lentoure dune main pour refouler loin la peau, cest lui qui va et vient dabord lentement puis de plus en plus vite , la grosse paluche posée sur ma tête empêche tous désirs de recracher le membre, la mâchoire ouverte a fond, tantôt il repousse ma joue , tantôt il senfonce jusquà ma luette, lhomme me baise la bouche, il ny a pas dautres mots, et jaime ça
- Tu es douée, ne cherche pas a te retirer, lorsque ça va arriver avale tout
- MMMUUUMMMMMUUUUUUUMMMMMMM !!!
- Biiiieeeeennn ! essore là jusquà la dernière goutte avec tes mains, a présent cest a moi de te bouffer le berlingot, allonge toi et passe tes jambes sur mes épaules pour que je colle ma langue sur ta figue
Lhomme, en expert, plaque sa bouche ouverte sur ma vulve avalant carrément mes lèvres, ils les absorbe et les mâchouille avant de se consacrer uniquement a mon clito prêt a éclater, je frétille de façon incontrôlable tant le plaisir est fort, je lâche prise
ma vessie aussi, par réflexe je serre mes cuisses sur ses oreilles risquant de l
- Lâche-moi bordel ! Je ne peux plus respirer ! Ça suffit les préliminaires, je vais tenfiler, écarte les cuisses et remonte-les
Il baisse son pantalon et ôte sa chemise, quil est beau ce torse poilu, et ce manche dressé qui se balance comme un cobra, vite ! Quil me lenfonce ! Ma chatte fait une bulle sonore lorsquil entre son gland, les mains posées dans le creux de mes aines il va forcer
cest gros, cest chaud cest boooooonnnnnnnnnnnnnn
- NNNOOOOOOONNNNNOOOOOUUUUUUUIIIIIIIIIIII !
- Moins fort, tu va faire fuir les lapins ! muuuuuummmm, quelle bonne petite chatte, dire que mes cons de fils nont pas sût en profiter !
- Baisez moi, vous êtes fort vous !, je sens votre queue tout au fond !
- Je vais même tétirer le vagin, Tiennnnnnns ! avale tout
- Wooooouuuuuaaaaaaaah ! encore ! encore !
Sa sueur tombe à grosses gouttes sur mon visage, ma matrice accuse les coups de reins terribles quil minflige, je ne compte plus les orgasmes, ma chatte se vide de toute sa sève, cest au bout de dix minutes quil hurle, enfoncée de toute sa longueur dans mon ventre sa seringue gicle par saccades interminables
Lorsque jai ouvert les yeux, encore engourdie de bonheur, il était habillé, prêt à repartir
- Demain même heure si tu veux essayer la sodomie
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