Mon Cher Beau Frère, Ce Grand Timide
Dominique, c'est votre semaine de permanence à notre annexe face à la poste. Me dit mon patron, pensant que j'avais oublié.
La barbe c'est une toute petite annexe de notre compagnie d'assurance et j'y serais seule, mais si je veux de l'avancement il ne faut pas faire la difficile.
Mardi dernier, donc, que vois je débarquer dans mon bureau, mon beau frère, le mari de Sophie.
« Ben, qu'est ce que tu fais là ; c'est vraiment un hasard si tu me trouves ici ? »
« J'ai vu ton mari, l'autre jour, qui m'a dit que c'était ta semaine ici et comme je passais dans le quartier, je me suis dit, je vais lui faire un petit coucou»
« C'est gentil ça, comme tu peux le constater, je ne suis pas débordée, c'est d'ailleurs assez ennuyeux, tu voulais quelque chose ? Assieds toi»
Il était comme gêné d'être là, il passait son attaché case d'une main à l'autre, il avait quelque chose à me dire mais ça ne sortait pas. Je reconnaissais bien là le grand timide. Il finit par bafouiller :
«......... Dominique, depuis Noël, tu sais, quand nous attendions un ami et que tu as eu un léger problème dans ton pantalon rouge moulant (voir : Noël en famille) je suis tout retourné. Pendant nos vacances, j'étais presque jaloux de Daniel, ton mari, quand vous partiez vous balader au clair de lune (voir : le préservatif) et puis, chez toi, quand les jeunes sont venus chercher la voiture, tu ne t'en es peut être pas rendu compte mais je n'avais d'yeux que pour toi et de voir le haut de tes cuisse dénudées, ça me faisait tout drôle (voir : la R5 et le doigt)»
« Ben, dis donc tu caches bien ton jeu, toi toujours si droit, discret, poli, aimable, je te fais de l'effet à ce point. Qu'est ce que tu attends de moi, au juste ?»
A partir de ce moment ce n'est plus du tout, mais alors plus du tout le Christian que je connaissais qui était face à moi. Les timides quand ça se lâche vaut mieux pas être en face.
«Si les s n'avaient pas été là l'autre jour je crois bien que je t'aurais sauté dessus.
« Et bien, et bien Christian qu'est ce qui t'arrive, calme toi, je ne t'ai jamais vu comme ça » lui dis je interloquée.
« Pourquoi me calmer..... Je voudrais t'embrasser partout, dans la nuque, sur les pieds, entre les cuisses, sur le ventre. J'aimerais te sucer les nichons, mordiller tes tétons, te bouffer la chatte, te lécher la fente, aspirer ton bouton d'amour, embrasser tes fesses, les palper, te mettre un doigt dans le cul, te serrer dans mes bras, te faire l'amour comme un fou ».
« Et ben dis donc, tu veux m'en faire des choses, t'es frustré à ce point avec Sophie, tu ne fais pas tout ce que tu viens de me dire avec elle ? »
« Sophie, elle est bien gentille mais c'est pas son truc, sorti du classique, elle ne connaît pas. C'est une excellente maîtresse de maison mais pas une maîtresse. Toi tu es belle, chaude, tu dois être une grande amoureuse, il en a de la veine ton mari ».
« Si j'ai bien compris, tu voudrais que je devienne ta maîtresse, tu oublies qu'avant tout je suis ta belle sur. »
« Et alors, je vois pas où est le problème, si tu es d'accord on commence tout de suite, moi je suis prêt, te voir là devant moi, je suis déjà en érection. Je n'ai qu'une hâte, voir ton beau cul. Fais moi plaisir, retrousse ta jupe et montre moi tes fesses, je les imagine déjà ; fermes, bien rebondies, fendues comme il faut, trouées en leur milieu d'un délicieux petit trou qui ne demande qu'à être vu et dorloté. Allez montre moi tous tes trésors cachés de belle amoureuse »
« T'es pas bien, tu te rends compte de ce que tu dis, tu as bien l'audace des timides. Je suis touchée par tes compliments mais tu es devenu fou, on saute pas comme ça sur les gens et en plus dans un bureau vitré donnant sur la rue, tout le monde pourrait nous voir.
« Sois gentille, fais moi voir ton cul » me dit il en essayant, par dessus le bureau, de me faire lever et de retrousser ma robe »
Un client entra à ce moment, stoppant net son geste, me libérant de sa folie amoureuse. Reprenant mon sérieux je lui dis :
« Cher monsieur, ce sont là deux dossiers séparés et confidentiels que vous désirez voir, ils sont bien rangés dans une chemise. Repassez pendant l'heure de la pause, je verrai alors si je peux satisfaire vos exigences. Au revoir Monsieur ».
Il sortit tout honteux de ce qu'il venait de dire et de faire. Moi j'étais toute chose et je n'étais plus trop attentive à mon nouveau client, je pense que celui ci s'en est aperçu, il me regardait d'un drôle d'air.
Le reste de la matinée, je repensais à la scène que je venais de vivre, ce n'était pas le même Christian que je connaissais qui étais devant moi. Toutes ces choses qu'il m'avait dites ne me laissaient pas indifférente, sans le vouloir vraiment, je me demande si je ne mouillais pas un peu.
-Il ne viendra pas, il n'osera pas après ce qu'il m'a dit, et s'il vient qu'est ce que je fais ? Ça trottait dans ma tête.
Midi, personne, il n'est pas venu, pendant toute l'heure de ma pause j'ai espéré sa venue, en vain.
(espéré n'est pas vraiment le mot )
J'ai mal dormi la nuit suivante, peut être viendra-t-il aujourd'hui et si c'était le cas, il fallait être belle.
Je décidais de m'habiller sexy, des bas à couture (il n'y a parait-il plus qu'une boite en France qui en fabrique) un porte jarretelles, une jolie petite culotte. N'étant pas trop habituée à ce genre de 'costume' j'hésitais entre mettre la culotte sous où sur le porte jarretelles quand mon mari sortant de la salle de bain, le coupe chou à la main,la figure pleine de mousse à raser :
« Je retrouve plus mon
.... ben dis donc, tu vas tourner dans un film porno où rejoindre ton amant dans cette tenue, tu fais envie on en mangerait » me dit il en s'approchant pour m'embrasser les seins.
« Laisse moi, tu vas me mettre de la mousse partout. Tu sais bien que mon seul amant, c'est toi. Non j'avais envie de m'amuser un peu et de voir comment c'était avant ».
« Je te signale, car je te vois hésitante que si tu mets ta petite culotte dessous le porte jarretelles, comme pour un collant, tu vas avoir des problèmes pour faire tes besoins, la culotte ne pouvant pas descendre bien bas, et te connaissant ça sera plusieurs fois dans la journée. Pareil si c'est pour ton amant la culotte va être un obstacle. Si tu la mets par dessus, c'est plus pratique en toutes circonstances mais c'est moins sexy. Alors dessus ou dessous ? ? » me lança-t-il en partant sans attendre la réponse.
En fait, la culotte, je l'ai mise dans mon sac, aujourd'hui je serais sans culotte.
Daniel réapparu juste au moment ou je rabaissais ma jupe, celle qui s'ouvre par derrière avec une grande fermeture éclair. S'il vient me tâter les fesses ou trousser ma jupe comme c'est son habitude il va se poser des questions sur l'absence de ma culotte. Aïe Aïe.Aïe
« J'ai pas fini ma question tout à l'heure, t'as pas vu mon dossier, celui que j'étudiais hier soir »
« Sur la table de nuit mon cher, tu devrais le savoir, ce dossier avait l'air de tintéresser plus que ta petite femme».
Pas beaucoup de clients en cette matinée du mercredi, l'air frais en haut des cuisses me rappelait que je ne portais pas de sous vêtements.
Il allait être midi et je mapprêtais à fermer quand il entra et vint s'asseoir tout penaud en face de moi.
« Je ne sais pas où me mettre après ma sortie d'hier, je ne sais pas ce qui m'a pris de te raconter de pareilles insanités, Il faut me pardonner, je ne sais plus où j'en suis »
L'heure de la pause approchant, j'allais fermer la porte vitrée et comme dans toute porte de ce type le verrouillage se fait par en bas j'allais bien voir si ces regrets étaient sincères. D'habitude je m'accroupis pour bloquer la porte, là je me penchais ostensiblement en avant lui permettant d'avoir une vue imprenable sur mes bas, le haut de mes cuisses et mes fesses bien mises en valeur par ma jupe.
Sa réaction a été immédiate, d'un bond il fut sur moi et avait fait glisser la fermeture arrière de ma jupe. Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit que je ne portais pas de culotte. Il colla immédiatement sa main entre mes jambes emprisonnant ainsi ma chatte.
Je fis semblant de faire la vierge effarouchée alors que de son autre main il m'envoyait une claque bien sentie sur une fesse.
« Oh le beau cul, je le vois enfin ton beau cul. Et puis tes bas, ton porte jarretelle et pas de culotte, je parierais qu'à te voir comme ça ton mari t'as fourrée ce matin, j'ai pas raison ? »
« Non, mon vieux, nous n'avons pas eu le temps »
« Alors c'est pour moi que tu t'es habillée ainsi ? Un espoir m'est permis puisque tu as les fesses à l'air, tu as une idée derrière la tête, hein ! t'as le feu au cul avoue ? »
Je m'étais redressée et il se collait maintenant à moi en m'embrassant dans le cou tout en asseyant de glisser une main sous ma jupe fendue.
« Arrête, grand fou. Tu vois pas que tout le monde peut nous voir derrière la vitre ; viens dans le bureau du conseiller financier » lui dis je en l'entraînant par le bras au fond du couloir. Je remarquais au passage une grosse bosse dans son pantalon, j'eus un petit sourire en pensant à ma jeune collègue qui dit toujours :
-Pour voir si un homme m'aime, je baisse les yeux-
La petite pièce est meublée de chaises pour les clients, de casiers et d'un bureau avec son fauteuil tournant sans accoudoir.
Sans précaution il me coucha sur le bureau en se penchant au dessus de moi. Avec fougue il m'embrassait dans le cou en répétant « Oh la belle femme, pour une belle femelle on peut dire que t'es une belle femelle, j'ai envie de toi, tu peux pas savoir comme j'ai envie de toi ».
Ouvrant mon chemisier et m'arrachant mon soutien gorge il se mit à peloter mes petits seins tout en mordillant doucement les tétons. Je ne disais rien mais appréciais la situation, lui commentait ses actions avec des mots doux entrecoupés de phrases ordurières. Il savait souffler le froid et le chaud.
C'était bon à entendre.
Il me fit glisser plus en arrière sur le bureau tout en me relevant les jambes, J'étais ainsi dans une position indécente, un peu comme une accouchée. Il avait l'air d'apprécier le tableau érotique qui s'offrait à sa vue. J'étais alors sans défense couchée sur le dos les jambes relevées, les cuisse écartées je lui présentais toute ma féminité. Il appréciait, lui qui depuis longtemps attendait ce moment.
Passant sa tête entre mes cuisses il vint embrasser mon pubis velu tirant sur les poils avec ses dents. Ça fait un peu mal, mais que c'est bon. Il trouva rapidement le bouton qu'il se fit un devoir d'aspirer, C'est là que j'ai commencé à partir en poussant de petits cris, il savait si prendre le bougre. Il continuait en faisant tourner sa langue dans mon sexe tout en frottant son nez sur mon clito, si j'avais été une femme fontaine, je crois bien que je l'aurais inondé, je mouillais, je mouillais, il lapait mon jus d'amour. Je me demande si je me suis autant liquéfiée pendant l'amour. Ce n'était pas possible que Sophie ne puisse apprécier ça, il devait avoir une ou des maîtresses pour savoir prendre aussi bien les femmes.
Il m'aida ensuite à me relever et me demanda non pas de m'asseoir mais de m'agenouiller sur le fauteuil du bureau. Dans un état second, je mexécutais. J'étais maintenant à genoux sur la chaise, les fesses vers le bureau, la poitrine sur le dossier. C'est là qu'il se présenta devant moi et enlevant ses chaussures et son pantalon me demanda si je voulais bien lui faire une petite gâterie.
Je regardais son sexe, son pubis presque sans poil contrairement au mien et relevant la tête je plongeais mon regard dans le sien, il comprit tout de suite mon émoi.
« Surprise, hein ! Tu ne t'attendais pas à ça de ton beau frère hein ! ma salope, mais j'ai tellement envie de te baiser que ma queue n'a jamais été si grosse».
Grosse, elle l'était en effet mais pas énorme, il exagérait un peu. Il devait quand même avoir envie de me pénétrer, le gland violacé était près à éclater, les couilles ramassées en un bon paquet. Moi aussi j'attendais pantelante, pour le sucer.
Ma bouche l'accueillit avec joie et je lui fis une pipe des plus réussie.
Il va partir dans ma bouche si je n'arrête pas tout de suite et je veux le sentir en moi.
Prenant alors une pause il fit tourner la chaise et amena ainsi mon derrière en face du lui. Il déplaça la lampe du bureau, éclairant ainsi la scène, pris alors du recul pour admirer le« paysage ». Il en fit même un croquis de mémoire...
« Au risque de me répéter, on peut dire que t'as un beau cul.... Et ce petit trou au milieu c'est vraiment la cerise sur le gâteau, c'est tellement tentant tout ça. Il n'y a pas de mots pour définir une telle merveille, l'ensemble est tellement séduisant. Tu sais qu'avec un tel cul, on serait prêt à bouffer ta merde à la petite cuillère ».
« Qu'en termes élégants ces choses là sont dites, tu as une façon pas ordinaire de faire des compliments, tu sais parler aux femmes qui aiment les termes crus, toi. Tu ferais mieux de te taire et d'agir »
Un petit coup de langue, qui n'était pas nécessaire tellement j'étais prête, et doucement avec d'infinies précautions il fit disparaître sa queue dans mon trou béant.
Il se figeât au fond de moi et ne bougeait plus, complimentant mon cul, faisant des arabesques autour de mon trou de balle avec son doigt. Au bout d'un moment qui me sembla une éternité il reprit son mouvement de va et vient, très doucement j'avais limpression qu'il voulait que ça dure toujours.
Je partais à chaque coup de boutoir, Il soufflait fort, malgré son désir, je sentais bien qu'il n'avait plus vingt ans mais le plaisir aidant il y mettait de la vigueur.
Il ne manquait pas d'expérience, je ne peux pas croire qu'il n'ai que Sophie dans la vie, il sait trop bien faire jouir une femme.
Il accélérait la cadence, sa jouissance était proche. Il libéra mon con et vint se branler dans ma raie des fesses. Se bloquant d'un coup, je sentis un liquide chaud sur ma nuque, le premier jet de sa semence qui passant par dessus mes habits venait d'être projeté jusque là. Les autres giclée m'inondèrent le dos par saccades alors que je partais en serrant les lèvres pour ne pas hurler dans une ultime jouissance.
Le silence retomba dans le bureau. Se penchant sur moi il vint m'embrasser délicatement sur la joue. Je ne sais plus trop où je me trouvais.
J'étais épuisée, j'avais mal aux genoux (la position n'étant pas des plus confortable). Je m'asseyais sur le fauteuil alors qu'il cherchait dans la poche de son pantalon, resté sur la chaise des clients, un grand mouchoir blanc. Passant dans mon dos il se fit un devoir d'éponger avec douceur tout le foutre dont il m'avait enduite.
L'instant était magique, nous étions tous les deux, rassasiés de sexe.
Mais voilà, comme toujours en pareil cas, ma vessie se rappelait à moi. J'allais brisé ce moment intime et merveilleux. Qu'allait-il penser de moi avec mes problèmes, certes humain, mes très terre à terre. Que va-t-il penser, qu'elle idée va -t-il se faire de moi. Mais il fallait absolument que je rompe le charme.
« Tu voudras bien m'excuser mais il faut que j'aille au petit coin » lui dis je.
« Mais ne te gène pas, vas faire pipi, je t'accompagne »
« Comment ça tu m'accompagne ? »
« Oui, si tu es d'accord, je ne veux rien perdre de toi ».
Ainsi, contrairement à ce que j'aurais pu penser, il n'était pas dégoutté par la chose.
D'un bond je traversais le couloir pour aller m'avachir sur les toilettes en face du couloir, c'est que maintenant, ça devenait plus qu'urgent .
Ouff !! il était temps. Lui, cul nu la quéquette à l'air plongea à genoux à mes pieds (exactement comme son fils le jour du mariage ( voir : la main baladeuse) et poussa sa main dans mon entrejambe. Je l'arrosais copieusement ainsi que la manche de sa chemise.
Pendant ce temps tout en me regardant, il me récitait des vers ( j'ai recherché plus tard, ce sont des vers extraits du film de Tinto Brass de 1983 -La Clé-)
L'actrice se soulage la nuit dans le grand canal à Venise alors que son amant lui récite ces vers :
Lui : -Mon amour, pisse moi dessus
Car ta pisse doit être comme de l'eau de roses
Chère, chère amoureuse-
Elle : Nino je t'en prie, arrêtes
Lui : Mais ce sont des vers de Maffio Venier, un grand poète vénitien du 16 ème siècle.
« Qu'est ce que tu racontes, grand fou ( j'allais dire tu es bien comme ton fils) t'es tout trempé maintenant, te voilà bien avancé »
Retirant sa main il enfouit alors sa tête essayant en vain de lécher les dernière gouttes, mais il n'a pas une langue de caméléon et tout ce qu'il fit c'est de baver sur mon pubis poilu.
Je pensais les chiens ne font pas des chats, il a les mêmes attirances que ses fils-
Instinctivement, j'avais coincé sa tête entre mes cuisses, je desserrais l'étau pour le libérer. Il repris son grand mouchoir et avec la partie sèche de celui ci commença à m'éponger le sexe du pubis vers l'anus, c'est qu'il savait y faire le beau frère. Il insista sur le bouton au passage et ce n'était pas désagréable ma foi, passa et repassa sur les poils qui entouraient ma chatte et finit par un grand cercle bien appuyé sur le petit trou. C'était très agréable pour moi et aussi pour lui, je pouvais le constater car sa queue reprenait de la vigueur.
Le voyant venir, je l'arrêtais net :
« Non, c'est pas que je n'aurais pas envie mais nous n'avons plus le temps, il faut aller ouvrir l'agence, il est l'heure et même plus que l'heure. Je dois me changer, t'as vu comme je suis faite »
« Alors quand est ce qu'on se voit » me demanda-t-il un peu énervé, il n'avait pas vu le temps passer.
« Mais, dimanche prochain, vous venez tous à la maison pour l'anniversaire de Daniel, tu te souviens plus ? ».
« Je ne voulais pas parler de ça, tu le sais bien »
« Ah ! Parce que tu es prêt à tromper ta femme une autre fois, ça mon petit ami ce n'est pas gagné. Tu n'es pas mauvais amant, il faut le reconnaître mais il faut que je réfléchisses »
« Alors réfléchis vite et dis moi oui » s'emporta-t-il en se reculottant. Moi je remis de l'ordre dans mes vêtements, repris ma petite culotte dans mon sac afin d' être tout à fait présentable.
Il était grand temps d'ouvrir la boutique. (A suivre)
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